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Extrait

Extrait ajouté par qool 2016-02-07T19:43:45+01:00

Trouvé sur la page Facebook de l'auteur

[ Extrait – non corrigé ]

« — Merde alors ! grommela Maden. Pourquoi quand je suis gentil, ils ne répondent jamais à mes questions ?

— Gentil ? m’étonnai-je. Tu as décimé tout le monde en moins de deux secondes, tu as détruit le bar et tu viens de le crucifier au mur, ce n’est pas ce que l’on pourrait qualifier de « gentil ».

— Je l’ai laissé en vie et je lui ai posé la question sans le frapper, rétorqua-t-il comme un gosse exaspéré. C’était gentil, non ?

— Mmh, je ne suis pas certaine que tu es vraiment saisi la notion de la gentillesse.

— C’est de ta faute tout ça, rétorqua-t-il alors comme si c’était logique. Si tu n’étais pas là, je serais beaucoup moins conciliant.

— Je ne t’ai pas demandé de l’être…

— Parce que c’est être conciliant d’enfoncer des couteaux dans un type qui ne cherchait pas à se défendre, hurla le renégat.

— Si je puis me permettre, dis-je en souriant, tu as très mal répondu aux premières questions, c’est en partie de ta faute et en plus tu as déchargé ton flingue sur lui.

— Je vais vous tuer, cracha-t-il alors.

— Me tuer ? ricana Maden. Tu n’arrives même pas à tuer mon ennui…

C’en était fini de jouer, Maden s’avança vers le renégat qui n’était plus terrifié, non c’était pire que ça.

— A est passé par ici, je le sais. Dis-moi ce qu’il a dit, ce qu’il a fait, ce qu’il a peut-être projeté de faire.

— J’ai juste servi un verre à ce type, rien d’autre, cracha le renégat. Ce type est un démon, un vrai malade. Il est fourbe, sadique, prétentieux, arrogant et redoutable.

— C’est drôle, dis-je en souriant, il me fait penser à quelqu’un.

Maden haussa les épaules alors que je gloussai pour ne pas rire. Je m’approchai à mon tour, ignorant la douleur qui grandissait à nouveau dans mon ventre. Je ne voulais pas l’inquiéter avec ça.

— Tu ne devrais pas lui répondre de manières si dédaigneuses, lançai-je en regardant le renégat droit dans les yeux. Après c’est encore moi qui vais devoir subir son humeur.

— Subir ? répéta Maden tout en me ramenant contre lui. Mmh, ça me donne des idées…

Oh Mon Dieu…

Bien malgré moi et malgré l’ambiance glauque qui régnait autour de nous, j’étais bien. Je ne devais pas être nette pour aimer ce que je voyais et ce que je faisais, mais c'était le cas. J'étais heureuse, je me fichai d'être sale, couverte de sang et de faire du jonglage avec des objets bien trop tranchants pour moi. Ouais, tout ça m’était égal parce que je faisais ça avec Maden, parce qu’il me laissait faire et que ça semblait lui plaire de me regarder.

— Reste là, lança Maden à l'attention du renégat.

— Très drôle…

Je ne pus m’empêcher de gémir quand rapide comme l’éclair il me lova contre lui. Il me fit incliner le dos et se pencha vers moi, puis il m’embrassa. On devait avoir l’air de deux psychopathes et je m’en fichais éperdument. C’était nous, nous étions ainsi et ça m’allait… »

***

" — L’homme assit derrière vous, m’envoie vous dire qu’il aimerait beaucoup que vous vous asseyiez à sa table.

Je la regardais bizarrement.

— Si j’étais vous, vu la prestance qu’il dégage, je n’hésiterai pas.

Elle s’éclipsa et je restais coite en voyant le visage conquis et amusé de Maden. Je lui souris moi aussi et aussi poliment que possible je levai mon majeur. Jusqu'à ce qu'un homme assez grand, assez beau, me prenne par la main et me fasse tournoyer. Il se pencha vers moi.

— Tu es nouvelle par ici ? demanda-t-il.

— En quelque sorte oui, répondis-je.

— Crois-moi si tu étais déjà venu, je t’aurais déjà repérée. Tu es absolument ravissante. Tu appartiens à quelqu’un ?

— Oui, grogna une voix derrière lui.

Mes yeux croisèrent ceux de Maden. L’homme s'inclina et se confondit en excuse avant de s’éclipser. Maden n’y prêta aucune attention.

— Il y a trop de tension dans ta nuque.

Il tendit alors son bras et d'un geste fluide, plaqua sa main contre ma nuque, il me fit bouger la tête et je suivis le mouvement de ses gestes me laissant aller. Il me porta ensuite dans ses bras et m’entraîna plus loin sur la piste de danse. Son bras se déplia et il me fit tourner sur moi-même. Après quelques pas de danse, il s'arrêta. Mon pied qui était en équilibre ne bougea pas et quand son bras se referma sur moi, il m'attira à lui d'un mouvement sexy et érotique. Mes jambes se glissèrent entre les siennes, elles se mêlèrent les unes aux autres.

— Qu’est-ce que tu fiches ici ? Tu me suis ? demandai-je.

— Oui, répondit-il.

— Qu’est-ce que tu veux ?

— Toi.

— Tu ne sais donc pas formuler de phrases avec plus d'un mot ?

— Non.

— Tu régresses au stade de primate, raillai-je.

— Apparemment...

Mon agacement le fit sourire. Il me fit plus proche que nous l'étions déjà, nouant ses mains dans mon dos.

— Ne m'en veux pas, princesse. Quand tu es là, le sang a du mal à irriguer mon cerveau, tu me fais perdre tous mes moyens.

J'aurai pu croire à un compliment si je n'avais pas senti quelque chose devenir de plus de plus dur contre mon bassin.

— Il me semble pourtant que ça circule normalement. Range-moi ça ou je t'émascule et je ferais un trophée de tes bijoux de famille.

— Tu ne devrais pas dire des choses comme ça, chuchota-t-il.

— Ah non ?

— Non, parce que ça me donne des envies de primates..."

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