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— Tu es parti plus de quatre heures, le jour va bientôt se lever ! m’engueule Noam.

Je regarde autour de moi et dit cyniquement :

— Ils payent les gars du contrôle de l’hygiène ici ou quoi ? Non, parce que j’ai jamais connu d’endroit aussi crade ! Si une fois, un plan cul, enfin il devait l’être, mais quand j’ai vu son intérieur, enfin son logement, j’ai fui ! J’ai eu peur que son extérieur ne reflète son intérieur !

Louna me frappe à l’épaule et me lance :

— Non, mais tu te fous de nous là ! Tu étais où ? On s’est fait du souci !

— J’ai rencontré la famille de Gollum. Des gens charmants mais ne les laissez pas parler dans une langue étrangère.

Noam regarde Louna et d’un seul regard, ils se comprennent. Ils m’attrapent chacun par un bras et m’extirpent vers l’extérieur.

— Il est drogué ! s’exclame Noam.

— Non, il est juste con ! répond Louna.

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« Je m’aperçois qu’il a pleuré, sûrement pendant le laps de temps silencieux, qui m’a semblé durer une éternité.

Une larme est encore figée sur sa pommette. J’effleure sa joue du bout de mes doigts, ce qui le fait frissonner.

Élias ferme ses paupières, il a l’air rassuré. Son visage creusé entre mes mains, je l’embrasse sur le front.  »

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Je t’avais perdu alors que je t’aimais si fort, comment aurais-je pu t’oublier ? Notre histoire, on nous l’a volée ! Qui a dit qu’elle était finie, sûrement pas nous et certainement pas moi !

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J’accumule les allers-retours de l’intérieur à l’extérieur autant que je peux fumer de clopes et boire de whisky. Je suis venu ici pour trouver une compagnie d’un soir, mais me voilà les yeux plongés dans mon verre que je remue sans cesse. Je regarde les glaçons s’entrechoquer et tournoyer quand un homme, légèrement plus vieux que moi, me bouscule pour commander une coupe de champagne. Nous avons la même taille, mais lui est beaucoup plus fin. Il est très élancé, sa peau pâle et lisse paraît terriblement douce. Sa gestuelle, sa posture et son style vestimentaire lui donnent une élégance assez rare de nos jours. Ses cheveux sont d’un blond vénitien et semblent extrêmement soyeux, mi-longs, ils sont soigneusement peignés vers l’arrière. Il attrape son verre et s’aperçoit du coin de l’œil que je le reluque. Ma fâcheuse tendance à dévisager les gens me perdra. Je retourne noyer mon regard dans le liquide ambrée mais, trop tard, il m’aborde.

— Je peux vous aider ? dit-il avec un léger accent anglophone.

Je rêve, il m’a vouvoyé ! Je fais si vieux que ça bordel ! Non, cela n’est pas possible, il doit faire partie de la veille école, ce qui ne m’étonnerait pas avec ses airs de dandy moderne. Remarque, il n’y a pas de mal à faire la cour comme au bon vieux temps. Je recentre mon regard sur lui puis, réponds avec un ton frisant l’insolence qui n’est absolument pas voulu.

— Non, mis à part si vous avez la solution pour stopper le temps qui nous file entre les doigts !

J’ai réellement dit ça ? Pourquoi faut-il que je sois constamment sénile quand un mec me plaît ! D’ailleurs, il n’est absolument pas mon style. Pourtant, une attraction particulière me captive.

— Allez savoir, je suis peut-être le remède à vos problèmes ! Pardonnez-moi, je manque à tous mes devoirs, je me nomme Allister.

Non seulement il a l’air sûr de lui, mais en plus il fait limite flipper avec sa façon de parler tout droit sortie d’une autre époque. Et puis, c’est quoi ce prénom ? Qui de nos jours s’appelle ainsi, franchement ? Ses parents sont amish ou quoi !

— Moi, c’est Ethan, dis-je d’un trait, retenant le froncement de mon sourcil.

Cette contrariante manie de n’en lever qu’un seul quand je suis effaré ou surpris me trahit à chaque fois.

— Enchanté Ethan. Alors, dites-moi ce que vous venez faire ici ?

Ça ne se voit pas ? J’ai grave envie de baiser, pensé-je.

— C’est mon anniversaire, je n’allais pas passer la soirée chez moi devant la télé !

Je me suis retenu de donner la vraie raison, après tout il a l’air de bonne éducation, je ne vais donc pas me risquer à le choquer. Qui sait, il est peut-être d’une famille aisée, c’est toujours bon d’avoir ce genre de type dans son carnet d’adresses. Ne me jugez pas, si vous étiez passés par là où je suis passé, vous feriez pareil !

— Hé bien, joyeux anniversaire Ethan ! me dit-il en tendant son verre afin de trinquer les yeux dans les yeux pour ne pas déroger à la sacro-sainte règle.

Je remarque à ce moment-là, la couleur de ses yeux : un marron miel qui donne une profondeur infinie à son regard. Une telle chaleur s’en dégage, qu’une impression de béatitude me submerge. Son charme saisissant quand il me fixe, ne me laisse que l’unique choix de me sentir à l’aise en sa compagnie.

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