Sans cœur, Tome 2 : Sans âme

Ce livre est juste incroyable, c'est une vraie pépite ! Et cette fin, c'est juste... Waouh !

Je n'en dirais pas plu car le moindre commentaire supplémentaire pourrait donner des indices alors qu'il est tellement plus intéressant d'aller le lire... Allez y au plus vite!

Le prologue nous tient en haleine durant tout le roman...

Deuxième tome qui relate la version de Ciaràn de plus en plus envahi par sa pathologie face à une Abigaël toujours aussi éprise de lui. Il se dévoile cynique, froid, calculateur, manipulateur, n'ayant aucune pensée bienveillante pour quiconque. Il dénigre physiquement sa fiancée. On s'attend dès les premiers paragraphes à descendre en enfer et c'est ce qui va arriver avec ce tome...Ciaràn use de l'allégorie du Petit Chaperon Rouge en endossant le rôle du Grand Méchant Loup prêt à dévorer une Abigaël dupée et soumise.

Toutefois la relation qu'elle instaure avec lui est complexe, elle veut le percer et le défier sans cesse, ce qui libère chez lui des réactions sans qu'il puisse libérer des émotions dont il est privées.

Ciaràn veut comprendre ce que sont des émotions en les provoquant chez Abigaël.

Abigaël oeuvre toutefois dans l'ombre...Son intelligence, son sens de l'observation, et sa grande capacité émotionnelle sont ses armes.

Declan son grand frère arrive en Thaïlande pour l'aider et pour les affaires de la famille. On le découvre protecteur et éclairé de bienveillance envers le couple.

(Les commentaires de Ciaràn sur la Thaïlande et la dérive des moeurs est à croquer !)

Nombreuses péripéties qui font rebondir sans cesse le cheminement de leur relation vers quelque chose dont on ne présume pas l'issue.

C'est addictif à souhait, très bien écrit, en fait c'est une pépite pour qui aime la Dark Romance ...

Sans Cœur/Sans âme vient de prendre la tête dans le classement des mes coups de cœur, surpassant le Cri du Silence, écrit par le même auteur : la prodigieuse Angel Arekin.

Dans ce tome 2, nous avons accès sans limite aux pensées de Ciaràn, une immersion dans sa tête, son cœur et son âme.

En lutte contre un fantasme dans lequel il blesse mortellement Abi, le jeune homme nous montre son véritable visage tout au long de ce tome.

Pour moi, c'est un déferlement d'émotions du début à la fin, mais surtout à la fin, je suis restée amoureuse de Ciaràn tout du long et j'ai envié et admiré Abigael, me demandant à chaque nouveau caprice si j'aurais pu aimer un homme comme Ciaràn suffisamment pour en supporter autant qu'Abi. C'est le genre de chose qu'on ne peut pas préjuger sans en faire l'expérience, mais ce couple est hors du commun. Arekin est un auteur incroyable avec plus d'un tour dans son sac, elle nous offre un accès totale aux pensées et aux secrets de Ciaràn et on s'y jette à corps perdu pour tenter de comprendre, comme Abi, sa façon de voir le monde. Mais sans s'en rendre compte, on passe à côté d'une autre énigme : Abigael ; Je ne saurai pas dire si elle a toujours été ainsi, si Siaràn la façonnée ainsi ou si il n'a fait qu'éveiller un pan de sa personnalité endormi, mais derrière cette femme ennuyeuse et amoureuse, j'ai découvert une manipulatrice presque aussi douée que Ciaràn, une perversité et même à la fin un brin de folie, très loin de la jeune femme du premier tome.

Spoiler(cliquez pour révéler)Comme tout grand chef-d'oeuvre, la fin ne m'a pas laissé insensible bien au contraire, j'avais envie de pleurer toutes les larmes de mon corps, tellement pour moi ça a été dévastateur, cette finale a froissé quelque chose au fond de mon ventre. Pourtant, elle ne m'a pas déçue, je trouve même que c'est une fin...pas belle, ni même réaliste, mais...adaptée, bien assortie au style de l'histoire, aux personnages et même au genre de l'auteur. Arekin ne fait pas dans le tendre, d'ailleurs cette fin morbide (je pense que c'est le mot adéquat), m'a glacé mais avec une sensation de soulagement que je ne m'explique pas...

Je précise toutefois que j'ai trouvé cette lecture très compliquée émotionnellement, et je pense, ne convient pas aux personnes ultra sensibles et/ou vulnérables... Mais je recommande évidemment cette magnifique romance !

La suite de sans coeur ma séduite egalement, ciaran est fidèle a lui même toujours aussi froid et dénué de sentiments mais malgres tout il a ce "truc" qui fait que l on est sous son charme.

Ce tome est de son point vu, on a donc le loisir de savoir tout ce qu il pense contrairement au premier tome et ses penses sont parfois tellement intense mais tellement logique pour un sociopathe, l auteure en parle à merveille et nous sort de nos romances habituelles

Abigaelle a su trouver sa place dans cette relation, elle est très courageuse dans ce tome car elle sait qu elle n obtiendra jamais le même amour de ciaran que la plupart des humains et malgres tout elle sait que c est d elle qu il a besoin, c est une autre forme d amour et elle a su s adapter à lui au delà du fantasme qu il represente.

Je remercie les éditions BMR pour l'envoi de ce service presse.

J'ai bien aimé ce second tome !

En ce qui concerne les personnages, j'ai eu du mal à les comprendre notamment notre perso masculin qui parle d'Abi d'une façon vraiment malsaine (alors oui, on est dans une dark romance) mais là cela m'a bien dérangée.

L'histoire reste prenante et addictive malgré quelques longueurs et des incohérences que je n'ai pas forcément comprises notamment ce retournement de situation !

La plume de l'auteure est toujours au top ! Un peu déçue de ce second tome car j'ai préféré le premier mais cela reste une bonne lecture !

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Sans âme – Angel Arekin

Un second tome totalement DÉROUTANT, troublant, addictif, sensuel… Une dark romance INCLASSABLE! Pour un public pleinement averti!

« … Ma quatre mille cinq cent unième envie de meurtre arrive plus vie que prévu. Et je pensais que son objet serait la file surexcitée à mes côtés. »

Ciaràn et Abigael se sont beaucoup approchés (bon, oui, c’est vite dit…), ils ont appris à se connaître et à apprivoiser les secrets de l’autre. Ciaràn lui donne tout ce qu’elle désire et Abigael répond honnêtement à toutes ses questions. Alors, lorsque cette dernière lui propose de partir en voyage en Thaïlandais avec des amis, Ciaràn accepte de mauvaise grâce. Saura-t-il contrôler la bête, la part d’obscurité, en lui en dehors des murs de la demeure des Mordret?

« … j’ai accepté sa proposition grotesque de partir en vacances. Avec des amis! »

Cependant, sans médoc, Ciaràn est loiiin de contrôler toutes ses pulsions. Il est dangereux. Oui, il contrôle ses pensées, mais ses fantasmes, c’est autrement chose… Sur UN fantasme en particulier. « Douceur. Douleur. Deux mots presque identiques. » Deux mots qui commencent à être grandement indissociables lorsqu’il pense à Abigael. Il ne peut pas aimer. Il ne tient pas à elle. Malheureusement, il ne peut empêcher SES émotions à elle de grandir :

« Pour éviter le moindre élan de romantisme, je tranche net :

-Il m’arrive quelques fois de désirer que tu sois sociopathe. Tu serais ma complice et on irait trucider quelques passants. »

Alors, pendant ce voyage, Ciaràn doit « survivre » aux amis de sa petite-amie, tolérer les élans amoureux de cette dernière, lui faire dire « oui » à la grande demande (sans que cela en devienne un show), comprendre son fantasme sanglant qui l’attire, contrôler la meilleure amie d’Abigael qui essaie sans cesse d’attirer son regard… Tout cela en gardant son sang-froid?

« -Si ni mon cul ni mon portefeuille ne t’attirent, il te faudra un jour m’expliquer pour quelle raison tu comptes m’épouser. Je te conseille d’être convaincant à ce moment-là si tu veux que j’accepte ta proposition. Au demeurant, tu souhaites me saigner comme un cochon, alors sois très, très persuasif. »

Malheureusement, il ne peut pas tout contrôler, loin de là. Il n’aurait peut-être pas dû appeler son frère pour lui poser des questions. Voilà que ce dernier débarque en Thaïlande afin de le surveiller. Par chance, il peut compter sur l’honnêteté d’Abigael, sa franchise et sa passion pour un sociopathe.

« -Tu n’apprécies pas mon honnêteté?

-Non, c’est juste que… ton absence d’empathie me paraît parfois…

Elle semble chercher le mot adéquat.

-… Éprouvante. Tu ne ressens vraiment rien. »

Ciaràn ne comprend pas, et s’il y a bien une chose qu’il l’irrite au plus haut point, c’est d’être dans l’ignorance. Son désir pour elle grandit. Son fantasme se fait plus sanglant, plus réel, plus tentant… Veut-il vraiment y résister?

« -Mais tu dois avoir peur, je m’exclame en me relevant. Je suis un putain de sociopathe, Abigael. Je suis en train de t’avouer que j’ai envie de te blesser. Tu devrais être morte de trouille, t’enfuir loin de moi, pleurer, crier, avoir une réaction normale… Le désir de te posséder est sauvage. Il me déstabilise et me rend agressif… »

Dans ce deuxième tome, c’est la voix de Ciaràn que nous entendons, que nous suivons tout du long, nous sommes littéralement dans sa tête : déstabilisante, bruyante, troublante. Notre personnage masculin est (comme je l’ai dit dans le précédent roman) complexe… mais en fait, il est beaucoup plus que cela. Il est terrifiant, intelligent, calculateur, froid, sadique et... terriblement attirant. On ne peut pas le décrire en un seul mot… Je comparais cette histoire aux Somber Jann de Cynthia Havendean, mais, finalement, je me rétracte : c’est presque plus froid, dépourvu d’émotions et vicieux. (J’hésite, je vais devoir les relire pour me décider.)

« Je suis un monstre. Je suis un monstre. Je suis un monstre… qu’une femme au cœur pur s’est surprise à aimer. Suis-je en train de démolir ce cœur? De le noircir au point de le rendre méconnaissable? »

Notre personnage féminin principal, Abigael, est impressionnante. Elle est devenue forte au fil de notre lecture du premier tome, mais cette fois, elle a drôlement changé… Elle a appris à jouer, à apprivoiser la bête, à comprendre la psychologie de l’homme et à aimer le sociopathe. J’ai aimé sa fougue, sa personnalité, sa force, son courage, sa détermination; elle est tout simplement impressionnante.

« -Plus je te possède, plus je t’aime. Plus je te tourmente, plus je t’aime. Plus je te manipule, plus je t’aime. »

Choquante. Cette Dark Romance est sanglante, terriblement érotique, sombre, PASSIONNANTE. Mais attention, ce roman est pour un public averti, totalement et prudemment averti. Cette histoire porte bien son titre : Sans cœur ET sans âme. Mais il y a tellement plus : il y a une passion intense, une obsession obscure… Angel Arekin a une plume MAGNIFIQUE, surprenante, MARQUANTE, traumatisante et totalement BOULEVERSANTE. Elle nous amène TRÈS loiiiin avec son histoire. Tous ses personnages sont tellement envoûtants, ils sont poignants. J’ai été totalement ensorcelée par le monde dans lequel l’auteure nous entraîne.

« Les membres de ma famille sont des morceaux de verre : certains sont tranchants et acérés, et d’autres sont seulement brisés. »

Une romance INSOLITE, SURPRENANTE, MARQUANTE, bouleversante, traumatisante. Une dark romance comme on voit peu, puisqu’on se jette littéralement dessus. Cette histoire est tout simplement ÉTONNANTE, originale ET… à lire absolument. MAIS attention aux cœurs sensibles… 16/10

Merci pour cet INDESCRIPTIBLE service presse! #Sansâme #NetGalleyFrance

Résumé:

Il voulait son âme, elle lui a offert son cœur. Supportera-t-elle le poids de ses fantasmes ? Pourra-t-elle y survivre ?

Abigael et Ciaràn, libérés de leurs secrets, ont réussi à trouver un certain équilibre. Mais en Thaïlande, loin du cadre familial et des règles établies, Ciaràn ne prend pas ses médicaments. Vulnérable, il a de plus en plus de mal à maîtriser ses pulsions. Abigael n’a jamais été autant en danger…

SANS ÂME est une fiction dark qui n’entre pas dans les codes de la romance classique : romance y rime avec violence, séduction avec soumission, et certaines scènes peuvent surprendre les lectrices non averties.

Une suite sympa même si j’ai préféré le premier tome. On a droit au point de vue de notre protagoniste masculin. J’ai trouvé qu’il y avait quelques redondances même si on découvre une nouvelle facette de Ciàran et Abi.

Notre héros reste fidèle à lui-même bien qu’il nous dévoile une part plus sombre de sa personnalité (oui c’est possible).

Quant à Abi, elle se montre persévérante et n’hésite pas à titiller Ciàran dans le but de le faire réagir.

Je n’ai pas trop compris le retournement de situation. Pour moi, ça manquait un peu de cohérence mais je n’en dirais pas plus pour ne pas spoiler.

C’est un roman qui est envoûtant, fascinant et addictif. Angel Arekin a un talent pour l'écriture. Elle sait incroyablement bien décrire les émotions et les ressentis des personnages, la psychologie est toujours incroyable comme dans tous ses livres.

J’ai apprécié l’originalité du personnage de Ciàran. C’est inhabituel et grisant de découvrir un autre monde. On en parle mais on ne sait pas la façon dont il fonctionne. Angel a su gérer cette facette à la perfection.

Une suite sympa de Sans coeur. Quelques redondances néanmoins, mais j'ai beaucoup apprécié rentrer dans la tête de Ciàran qui reste fidèle jusqu'au bout à lui-même.

Une suite intéressante, avec parfois quelques redondances, mais très intéressante.

Au premier tome, je n’étais pas sure que j’ai aimé cette histoire mais maintenant je le sais. Oui j’ai aimé, c’est vraiment bien écrit. L’histoire et le sujet est original. Les personnages sont super bien développés dans leur complexité hors standard. J’ai été sorti de ma zone de confort dans cette lecture qui je dois avouer m’a dérangée. J’adore la fin je dirais même que j’aimerais lire une suite que j’espaçasse peut-être ...