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Extrait ajouté par LN-12 2021-10-21T14:29:20+02:00

Ô homme ordinaire, qui se croit le seul et le premier à vivre !

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Extrait ajouté par MelanieMichel 2020-02-06T20:55:22+01:00

L'un des maux de cette époque est que l on ne peut plus demander aux gens ce qu ils font. Cette question jadis innocente entraine aujourd'hui un malaise trop profond. Le chômage y est pour beaucoup. Je trouve cela dommage. Si quelqu'un me disait très simplement qu'il ne faisait rien dans la vie, j aurais pour lui de l admiration. Il est magnifique de ne rien faire. Si pzu de gens en sont capables.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:51:50+02:00

Pourquoi chercher à dire ce qui est de l’ordre de l’indicible ? Peut-être pour me prouver à moi-même que je n’ai pas inventé. Il m’est arrivé de penser que les évangélistes avaient écrit dans ce seul but.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:51:17+02:00

Je me rappelais aussi avoir repéré, dans une encyclopédie mythique, le nom de plusieurs fées septentrionales qui m’avaient fait rêver. Nul doute, à présent, que ces charmantes créatures étaient nées dans le cerveau d’un type s’enfuyant d’un festin. On ne dira jamais assez le mal causé par les idées trop belles de celui qui s’échappe d’un banquet nocturne. Et moi, j’étais la madame Bovary de ces gens : la victime de leurs trop beaux mensonges.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:50:39+02:00

N’en déplût à Purcell, il n’y avait pas de génie dans le froid. Il y en avait dans ses opéras, point final. Dans le froid, il y avait la souffrance abrutie des hommes que le gel avait restitués à leur animalité. S’il y avait un génie dans le froid, le fameux air n’eût pas été composé par un Anglais, mais par un Esquimau. Semblablement, s’il y avait eu tant de charmes aux voyages d’hiver, les fameux lieder n’eussent pas été l’œuvre d’un Autrichien, mais d’un Lapon. Les vrais Nordiques, eux, se terraient dans leur demeure pour ne pas s’exposer à ces risques inutiles.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:49:40+02:00

L’un des maux de cette époque est que l’on ne peut plus demander aux gens ce qu’ils font. Cette question jadis innocente entraîne aujourd’hui un malaise trop profond. Le chômage y est pour beaucoup. Je trouve cela dommage. Si quelqu’un me disait très simplement qu’il ne faisait rien dans la vie, j’aurais pour lui de l’admiration. Il est magnifique de ne rien faire. Si peu de gens en sont capables.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:49:08+02:00

Cette attitude devait s’expliquer entre autres par la géographie : quand on s’aventurait si loin dans les hivers du Nord, la solidarité devenait un devoir. À partir d’une certaine latitude, l’homme se débarrassait de son passé, de sa personnalité, de son identité, voire de son casier judiciaire, pour ne plus être qu’un homme, cette créature effarée, composée de cinquante pour cent de faim et de cinquante pour cent de froid.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:47:51+02:00

J’en conclus que j’avais ri à un moment particulièrement bouleversant de cette saga. Que se passait-il donc ? Une jeune femme au bord des larmes tenait à un homme hébété des propos convulsifs. Cette fille eût été presque jolie si elle n’avait pas été coiffée comme ça. Pourquoi les Américaines avaient-elles toujours ce brushing ridicule ? C’était d’autant plus regrettable qu’ensuite des nuées de villageoises européennes iraient demander à leur coiffeuse de donner à leur chevelure le même mouvement. Et ce qui était vilain sur Cindy l’était davantage encore sur Jeannine, Marijke, Gigliola et Gudrun.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:45:33+02:00

Un nombre indéfinissable d’heures plus tard, je regrettai amèrement ma folie. Comment l’expliquer sinon par cette transe du Nord qui s’empare des rêveurs ? En temps ordinaire, je n’étais pas un abruti complet. Si je m’étais conduit comme tel cette fois, c’était pour avoir été la victime de ces mythologies boréales qui frappent les âmes sensibles dès qu’il neige.

Il fallait reconnaître que les lieux où je marchais étaient d’une beauté sidérante. Je n’étais cependant pas certain d’être prêt à mourir pour un paysage, fût-il superbe.

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Extrait ajouté par paraty62 2013-07-17T10:44:47+02:00

C’était en Finlande, quelque part entre Faaaa et Aaaaa.

J’étais parti trois jours auparavant, à la recherche de la dame de mes pensées, car dans le Nord, si l’on part en voyage, c’est que l’on cherche la dame de ses pensées. (C’est l’un des points communs les plus étranges entre le Nord et le Sud.)

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