Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 051

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Santa Muerte



Description ajoutée par Pegh 2020-02-20T20:32:25+01:00

Résumé

Austin, Texas. Tu t'appelles Fernando, et tu es mexicain. Immigré clandestin. Profession ? Dealer. Un beau jour... Non, oublie " beau ". Un jour, donc, tu es enlevé par les membres d'un gang méchamment tatoués qui ont aussi capturé ton pote Nestor. Pas ton meilleur souvenir, ça : tu dois les regarder le torturer et lui trancher la tête. Le message est clair : ici, c'est chez eux.

Fernando croit en Dieu, et en plein d'autres trucs. Fernando jure en espagnol, et hésite à affronter seul ses ennemis. Mais avec l'aide d'une prêtresse de la Santería, d'un Portoricain cinglé et d'un tueur à gages russe, là oui, il est prêt à déchaîner l'enfer !

Écartelé entre deux pays, deux cultures, deux traditions, Fernando est un antihéros des temps modernes. Quand toutes les frontières se brouillent, seul un nouveau genre littéraire peut dessiner le paysage. Gabino Iglesias invente donc ici le barrio noir. Il y conjugue à merveille douleur et violence de l'exil, réalisme social et mysticisme survolté, mélancolie et humour dévastateur.

Afficher en entier

Classement en biblio - 31 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Fanfan_Do 2023-10-08T10:16:37+02:00

C’est alors que je me suis souvenu qu’on était au Texas et pas au Mexique. À Austin on ne se fait pas descendre en pleine rue. On ne retrouve pas des cadavres pendus à des ponts ou découpés en petits morceaux dans des valises, sur le bord de la route. Personne ne reçoit de colis par la poste avec une tête à l’intérieur. Même si la plupart des politiciens le mériteraient, les narcos ne les attendent pas à la sortie du bureau pour les kidnapper ou leur vider deux chargeurs dans la gueule.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Commentaire ajouté par Fanfan_Do 2023-10-08T09:39:01+02:00
Argent

Austin Texas. Fernando, le narrateur, vient de se prendre un gros coup derrière la tête puis est jeté dans le coffre d'une voiture. Et là, il se met à prier la Santa Muerte de le protéger comme elle l'a si souvent fait. Qu'ils sont drôles ces croyants qui font le mal et qui demandent protection à Dieu et aux saints. Ils sont aussi extrêmement superstitieux et croient en des pouvoirs ancestraux et des maléfices.

Le premier chapitre, à l'heure du café le matin, il est dur à encaisser. Alors oui, on est prévenu sur la couverture par François Busnel, ça fait vraiment penser à du Tarentino... Ça découpe en petits morceaux avant de zigouiller histoire de bien se faire comprendre, c'est violent, très, et gore. Mais moi j'adore Tarentino et j'ai été prévenue ! L'écriture est superbe, extrêmement imagée, l'humour grinçant à souhait... un régal ! Sombre et sordide, mais un régal quand-même !

Fernando nous parle du Mexique, son pays, mortifère et terrible en comparaison du Texas. En réalité, d'un côté ou de l'autre de la frontière, le monde qu'il nous raconte fait froid dans le dos, grouillant de junkies et de criminels, de tueurs au regard fou, tatoués jusque sur le visage.

Au delà de la violence et des fous furieux qui peuplent cette histoire, ça nous dit aussi ce que c'est que d'être un migrant. Le chagrin de devoir quitter son pays, ses racines pour arriver dans l'inconnu, la nostalgie de la terre qui nous a vu naître, devenir plus personne, abandonner sa famille, sa culture et sa langue, se terrer dans un pays où l'on n'est rien.

Je vais me répéter, mais quelle écriture sublime ! J'en ai eu des frissons tellement c'est beau. Que l'auteur raconte la violence, l'amour, la nostalgie ou le chagrin, chaque mot est à sa place, beau et profond, tellement clair, explicite et brillant qu'il vous remue jusqu'au tréfonds de l'âme.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par smysa1204 2021-10-26T00:17:55+02:00
Argent

Un livre facile a lire, simple et efficace.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Jean-Michel-12 2021-09-05T11:02:37+02:00
Or

Gabino Iglesias nous plonge, sans préavis, dans un univers que Tarentino ne pourrait renier. Violence extrême, dialogues percutants dans une ambiance déjantée. Donc un coup de cœur pour ce roman relativement court mais très dense en émotions. Pourtant, en peu de pages, Iglésias arrive aussi montrer la souffrance et la précarité des immigrés clandestins latinos aux USA. Une réalité, certes mondiale, pour tous les migrants, mais qui interroge sur les inégalités sociales de nos sociétés et sur nos devoirs envers les plus démunis. Gabino Iglesias, portoricain, et culturiste comme le montre la photo de couverture, touche toutes les facettes de nos vies.

Fernando est un immigré clandestin mexicain, il vit à Austin en surveillant l’entrée d’un bar de nuit et en « dealant » pour un patron de la drogue local. Malgré sa situation hors la loi, sa vie se déroule sans problème particulier, jusqu’au jour où il est enlevé en pleine rue. Les kidnappeurs sont des membres d’une mara particulièrement violents, tatoués au possible et n’ayant aucune pitié. Assistant à la décapitation d’un de ses « collègues » de travail, Fernando sait que sa vie va être bouleversée et que des forces obscures sont à l’œuvre.

Comme l’indique la quatrième de couverture, Fernando est un anti-héros poussé par les événements et les circonstances à faire des choses hors du commun. Un malfrat, toujours la peur au ventre, qui côtoie malgré lui des membres de la Mara Salvatrucha, des tueurs à gages, des exilés et surtout la Santa Muerte, symbole d’un mysticisme omniprésent dans les tatouages, les figurines et les prières. Un cocktail détonnant.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par aphrodian 2021-07-10T15:26:53+02:00
Diamant

j'ai bien aimé Santa Muerte, un mélange de gang et de spiritualité, le personnage est assez attachant, on le suit dans ses périples, tout en espérant qu'il s'en sorte. Car en effet, si le héro est soutenu par ses Divinités, ses ennemis ne sont pas en reste.

c'est très addictif, et cela vas assez vite.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Mitsiie 2021-03-04T22:37:39+01:00
Lu aussi

Livre qui se lit facilement. Je l'ai cependant trouvé peu approfondie. On reste en surface, c'est peu développé à mon sens.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par venzo 2021-02-03T16:42:41+01:00
Or

Une super découverte ! Fernando, personnage principal, nous raconte comment il est arrivé clandestinement à Austin après avoir dû fuir le Mexique. Il se retrouve dans une situation improbable, assiste à une décapitation, prie Santa Muerte de l'aider, prépare une vengeance et a peur, terriblement peur. L'écriture de Gabino Iglesias est forte, brute, rapide, déjantée. Cela m'a rappelé la série Bourbon Kid ; le déchaînement de violence, l'humour noir, le sang, les personnages tous plus barrés les uns que les autres (tueur à gages russe, dernier bluesman du Texas, Saint Lazare, grande prêtresse...). J'ai beaucoup aimé aussi les titres des chapitres (que je vous laisse découvrir). Gabino Iglesias est un auteur d'une catégorie bien à part et que je vais suivre, c'est certain.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Irene-Adler 2020-08-17T21:30:10+02:00
Argent

Au premier abord, on pourrait classer ce roman noir dans la catégorie des romans "barrés" ou "frappadingue" tant il est déjanté, a des relents de fantastique et des saints inconnus de ton calendrier catholique, orthodoxe et tout ce que tu veux.

Et en effet, ce ne serait pas une erreur de classement car si on le regarde en gros, c'est de l'action pure, de la violence, des drogues, des armes à feu et une histoire de vengeance vieille comme le monde.

Pas de la vengeance raffinée à la Monte-Cristo, mais de celle au Beretta, au Desert Eagle et à l'Uzi (à ne pas confondre avec de l'ouzo).

Pourtant, dans le fond, il n'y a pas que ça…

Ce n'est pas que l'histoire d'une vengeance, car au travers de l'histoire de Fernando, immigré clandestin mexicain, dealer de toutes sorte de drogues et videur de boite, c'est aussi celle de tous les clandestins qui tentent de passer la frontière pour vivre le rêve Américain, ou tout simplement, essayer de sortir de la misère ou échapper à des tueurs ou quitter un pays exsangue.

Fernando a beau être un revendeur et le type qui rapporte le fric à Guillermo, le dealer en chef, il mène une vie rangée, tranquille, sans faire de vague et en priant beaucoup la Santa muerte…

Notre personnage principal n' a rien d'un dur, d'un salaud. Il pourrait même chanter ♫ Je ne suis pas un héros ♪.

En un mot, il est réaliste, un presque monsieur-tout-le-monde, qui sait se servir des armes, car s'il n'a rien d'un ange, il n'a pas non plus les cojones pour s'attaquer à plus fort que lui.

Pourtant, il va devoir aller se greffer de suite une solide paire de cojones car ceux qui ont tué son boss et Consuelo, sa mère de substitution, prêtresse de la Santería, ce sont des MS13… Mara Salvatrucha, pour ceux qui ne pigent pas et qui n'ont pas encore fait des traces de freinage dans leurs slips ou culottes !

Un roman noir qui est intense, court, ne te laisse pas le temps de reprendre ton souffle et te fera croiser la route de personnages (Le Russe et El Principe) dont tu ne sais pas trop s'il vaut mieux ne jamais les croiser ou alors, si les avoir pour potes, pourrait t'aider si un jour tu veux dézinguer des membres du terrible gang des MS-13…

Un barrio noir qui mélange habillement la violence, l'humour, l'amitié, la vengeance, les drogues et autres cachetons favoris du Docteur House. Sans oublier les cierges, les bougies, les neuvaines et les prières à des tas de saints.

Donc, si tu veux lire ce petit roman qui pulse, ami lecteur, amie lectrice, n'oublie pas ton chapelet, un gros cierge, tes offrandes à la Santa Muerte ou autre saint(e) qui a tes faveurs, tes balles à têtes creuses, de l'eau bénite (parce qu'on ne sait jamais), une grosse paire de cojones et des flingues !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Myl99 2020-06-28T17:10:49+02:00
Argent

Un livre assez court, qui ressemble un peu à du Tarantino transposé dans un monde où les démons existent vraiment. Un roman qui déménage !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par MillieDi 2020-03-14T16:13:34+01:00
Lu aussi

Ce roman commençait bien avec une scène des plus marquantes, annonçant sang et violence. L'originalité étaient aussi présente avec la mise en avant des dieux polythéistes d'Amérique latine. C'est pourquoi je n'ai pas compris la suite.

Tant qu'à partir dans la violence à outrance allons-y à fond et gaiement. Or la 2nd partie fait retomber toute la tension dramatique, nous laissant avec un héros pathétique et une absence gênante de péripéties. La fin est des plus décevantes.

Ce roman m'a fait l'effet d'un soufflé.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Delphine-42 2020-02-28T12:31:27+01:00
Or

Fascinée dès la couverture et la quatrième de couverture, j'ai appréhendé ce roman comme un roman noir bien déjanté sur les cartels mexicains.

En fait, nous suivons Fernando, un immigré clandestin qui cumule deux boulots ; vigile de boîte de nuit et dealer tout en bas de l'échelle. Sa deuxième activité va l'amener à risquer sa vie quand il va être kidnappé et qu'il va regarder un de ses collègues être décapité sous ses yeux.

Dès lors, Fernando prend peur et se réfugie encore plus dans la religion et son apprentissage mystique auprès de la prêtresse de la Santeria, qu'il considère comme une mère d'adoption. Coincé dans une patrie qui n'est pas la sienne, il ne peut retourner d'où il vient car il a dû s'exiler.

Il ne lui reste plus qu'à prier sa Santa Muerte pour qu'elle le protège des gens qui lui veulent du mal et se jeter dans la gueule du loup avec des tueurs cinglés pour s'en sortir...

Santa Muerte est un roman noir violent, déjanté et saupoudré d'humour noir. L'auteur, culturiste de profession, écrit ici son premier roman noir et c'est son premier roman traduit en France.

Avec des thèmes forts comme la foi, l'amitié, la solidarité, l'exil, l'immigration et la violence des gangs, Gabino Iglesias nous livre un roman noir atypique, qui nous fait ressentir de l'empathie pour son antihéros, Fernando, et nous fait faire connaissance avec une galerie de personnages bien trempés.

Le roman est court, moins de 200 pages, mais intense avec des scènes de violence inouïes et des tueurs qui ne reculent devant aucune atrocité.

Un soupçon de fantastique plane au-dessus du roman, à moins que ce soit l'addiction de Fernando pour l’oxycodone qui fasse cet effet là, puisqu'on vit le récit par son point de vue.

Une découverte de plume originale avec un récit addictif qui plonge le lecteur dans une aventure, pied au plancher.

Afficher en entier

Dates de sortie

Santa Muerte

  • France : 2020-02-20 (Français)
  • France : 2021-04-01 - Poche (Français)

Activité récente

bgn91 l'ajoute dans sa biblio or
2024-01-09T09:49:24+01:00

Titres alternatifs

  • Zero Saints - Anglais

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 31
Commentaires 10
extraits 10
Evaluations 21
Note globale 7 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode