Commentaires de livres faits par saralice
Extraits de livres par saralice
Commentaires de livres appréciés par saralice
Extraits de livres appréciés par saralice
une histoire superbe et prenante ou ce lie amitié, amour, magie et tristesse bref ce livre m'a fait rêver jusqu'au bout.
d’ailleurs je n ai pas su m’arrêter et l'ai lu d'une seule traite
Bref, j'ai été emballée et je recommande la lecture de ce roman !!
Le 27 juillet 1794, 9 thermidor de l'an II, à la prison de la Force, deux jeunes femmes se tiennent compagnie dans l'attente de leur dernière heure. Mais la chute de Robespierre signifie leur libération. L'une connaîtra un destin extraordinaire en devenant impératrice, l'autre sera l'une des femmes les plus adulées de la Révolution avant d'être l'égérie du Directoire. Qui était vraiment Thérésa Cabarrus ? Une aristocrate espagnole arriviste et frivole, dont la beauté faisait et défaisait les fortunes ? Une révolutionnaire éprise du sanguinaire Jean-Lambert Tallien ? Une femme courageuse qui, à Bordeaux et à Paris, sauva des centaines de têtes et contribua à mettre fin à la Terreur ? Une intrigante qui organisait des fêtes somptueuses, s'attira les faveurs de Barras et poussa Joséphine dans les bras de Bonaparte ? Une princesse et une mère exemplaires ? En prêtant sa plume à la belle Thérésa, alias madame Tallien, alias Notre-Dame du Bon Secours, alias Notre-Dame de Thermidor, Carmen Posadas brosse le portrait d'une jeune femme pleine d'esprit, de générosité et d'audace, qui aimait les plaisirs, la mode et le luxe mais sut comprendre son époque et la vivre avec fougue et passion.
Biographie de l'auteur
Carmen Posadas est née en Uruguay en 1953, où elle a vécu jusqu'à l'âge de douze ans. Elle réside à Madrid depuis 1965. Auteur d'une douzaine de livres pour enfants, de recueils de nouvelles et d'essais, elle a écrit pour le cinéma et la télévision. Ses romans, Cinq mouches bleues et Petites infamies, sont aujourd'hui des best-sellers internationaux. Elle a reçu le prix Planeta en 1998.
Policier ? Thriller ? pour moi aucun des deux, mais plutôt roman psychologique.
Les deux personnages que sont Julian et Sandra, nous donnent leurs ressentis au fil des pages. La traque de Julian pour ces nazis qui l'ont tant fait souffrir, est une vengeance , l'ultime, la nécessaire.
Comment peut on vivre normalement après avoir fait subir de telles horreurs ? La réponse dans l'étude de Fred et Karin : ils sont au dessus de tout cela.
J'ai bien aimé l'évolution du récit à travers le point vue tantôt de Julian tantôt de Sandra. La différence de génération, le recul face aux faits.
Une bonne écriture, même si parfois de petites fausses notes ( traduction ? ). Un Bon roman sans aucun doute
Pour tous, il n'était qu'une légende. Mais voilà le taphoscaphe de Frahser revenu à la lumière, sorti de son ancienne demeure de sable : malheur à qui l'a ainsi tiré de l'oubli ! Déjà, par sa seule présence, il fait renaître les vieux contes de guerre et de mort que les peuples de Gondwana voudraient tous oublier. Et c'est par le moindre de ces peuples - les Troglodytes des montagnes du sud - que les malédictions associées à l'empire des Roms menacent de renaître.Comment ce taphoscaphe est-il entré en possession de Trevor, le voyageur ? Il se refuse à le dire. Et s'il a accepté, de mauvais gré, d'affronter une nouvelle fois les périls de la piste du Nord, qui mène du désert brûlant jusqu'à la nuit des glaces, nul ne saura ce qu'il a vu dans les terres et les mers froides. Ni les Nomades qui l'ont accueilli avec son terrible fardeau. Ni son propre frère, qui l'accompagne et lutte avec lui contre les pillards et les lacertiles.Qui pourrait dévoiler le secret de Trevor ? Giedrus, le Nomade, qui lit dans les courbes du désert comme en un livre ouvert ? Arnahm, le souvenir vivant des anciennes guerres ? Roald et Lucille, lancés seuls dans les dunes sur la piste de la caravane ? Ou cette silhouette inquiétante qui les guette tous, cet être inconnu aux pouvoirs effrayants : Tobler, qui commande aux tempêtes ?
Jennifer n'a que cinq ans, mais elle n'est déjà plus tout à fait une enfant comme les autres. Sa maman, Janet, est gravement malade. Mais, malgrè les terribles souffrances physiques et morales que lui affligent sa maladie, elle s'efforce d'apporter à sa famille, et tout particulièrement à ses enfants, Bryan et Jenny l'amour et la tendresse dont ils ont tant besoin. Cependant, à sa mort, le jour du dixième anniversaire de Bryan, tout va changer. Leur père, Bud, les emmène alors faire la connaissance de Deb, une femme autoritaire et hautaine, impliquée dans une secte, qu'il leur présente au premier abord comme une simple amie, mais qui s'avèrera par la suite etre bien plus que cela... Jusqu'au bout, elle et ses enfants haïront Jennifer, lui faisant subir humiliation sur humiliation, puis la laissant totalement livrée à elle même, faisant de sa tendre enfance un veritable enfer.
Une trop brève enfance, premier roman de Jennifer Lauck, est d'autant plus bouleversant qu'il est autobiographique. Tout nous est décrit avec pudeur et courage à travers le regard innocent, mais jamais naïf de l'auteur enfant.C'est un monde cruel qui nous est décrit, un monde d'adultes, au sein duquel il faut se battre pour assurer sa survie, un monde qui ne nous épargne rien. Un livre déroutant, et tellement émouvant, qu'il devient parfois difficile de retenir ses larmes..