Commentaires de livres faits par sassalali
Extraits de livres par sassalali
Commentaires de livres appréciés par sassalali
Extraits de livres appréciés par sassalali
Quelle en ait conscience ou pas.
Elle est le début du reste de ma vie et la fin de mon passé.
Elle est ce que je dois protéger.
Elle peut tuer autant qu'elle voudra et je la protégerai toujours des conséquences.
Je l'entends pousser plusieurs jurons exaspérés.
-Arrête un peu. Hors de question que j'emmène ma caisse dans un endroit pourri.
-Ils nous mentent donc dans les livres, continué-je.
Les héroïnes ont droit à la colline avec un coucher du soleil, alors que moi, j'ai droit à une grue miteuse qui va me faire choper le tétanos.
J'ai l'impression que la tempête qui m'emportait au large se calme enfin, je me donne le droit d'être heureux.
Il fait courir le bout de ses doigts sur mes pommettes et continue : Les étoiles pourront tomber des cieux, et la nuit recouvrir la terre, mais tant que les ténébres survivront, je serai toujours à toi.
– Alors je serai ta bouée de sauvetage, Zack. Jusqu’à ce que tu retrouves goût à la vie. Tu peux te reposer sur moi. Je serai là chaque jour, à chaque fois que tu auras du mal à respirer ou que tu perdras pied. Je serai aussi là pour te botter le cul si nécessaire. Et t’obliger à aller de l’avant. Parce qu’on est obligés, Zack. Parce que c’est la vie. Parce que si on n’avance pas on tombe.
– Comment tu fais pour être aussi forte ?
– Je viens du sud de Chicago, plaisante-t-elle du bout des lèvres comme si elle ne voulait pas m’offenser.
Sa réponse m’arrache un sourire. Le premier depuis un long moment.
– Allez, viens, on va se coucher ! On a tout le temps d’affronter le monde demain à tête reposée.
Moi je porte ma tenue ridicule de commise avec ma charlotte sur la tête. Je ne l'avais pas croisé depuis semaines. Évidemment, il fallait qu'on se revoie quand je ressemble à un champignon nucléaire et que je suis en train de menacer un étudiant de l'assomer avec ma louche.
-Les vrais pros s'occupent de tous les clients, Rob, même ceux qu'ils ne peuvent pas encadrer.
-Elle m'adore, objecte mon voisin avec un sourire envoûtant. Elle l'a oublié, c'est tout.
-Je n'ai rien oublié à ton sujet, macaroni périmé!
-Macaroni périmé? On me l'avait jamais faite celle-là.
-J'en pleins d'autres surnoms sympas pour toi en réserve, Western spaghetti!
-Tu me les énuméreras en privé pendant que tu me feras ma finition.
-Va chier en enfer pizza aux anchois!
-ROB! me remonte Chris.
-Nous n'aurions pas du flirter Robyn.
-Nous avons fait un peu plus que flirter, parmesan premier prix.
Je ne peux m'empêcher de sourire. Parmesan premier prix.... Elle n'est pas dénuée d'imagination.
Fallon était incapable de prononcer un mot. Toutes ses émotions les bloquaient, aussi se contenta-t-elle de hocher la tête en pleurant.
Il chassa ses larmes du bout des doigts.
-Alors battons nous pour nous ensemble.
Il inclina la tête pour l'embrasser et le monde se mit à tourner. Tout reprit sa place quand il posa les lèvres sur les siennes.
-Je croyais que tu n'étais pas sur la carte? murmura t-il, sa tête s'inclinant vers moi.
-Je n'y suis toujours pas! Je ne suis pas un mets qui est proposé au tout-venant. Il faut beaucoup de temps pour m'attendrir, encore plus pour trouver l'accompagnement qui me mettrait le plus en valeur et je te passe le temps de tomber sur le juste assaisonnement. Je suis de nature trop épicée. Ca complique les assortiments!
Il éclata de rire et leva son verre dans ma direction avant d'en boire une gorgée.
-Aux viandes à mariner, alors!
-Par contre, entre cuisiniers, fais attention à la marinade! Elle peut tourner, laissant un arrière goût amer, et il faut tout jeter.
-oui aussi mais j'ai subitement une furieuse envie d'un peu de rudesse et d'animalité avec lui.
-Va vraiment falloir que t'arrêtes de lire des bouquins où les meufs se font attacher et fouetter.
-Et alors? si j'ai envie d'être un peu malmenée?
J'aurai tout entendu. Non mais vraiment …..
-Qui a envie d'être un peu malmenée? demande Martin en déposant nos consommations devant nous.
-Mel. Elle kiffe l'un des tatoueurs de tout à l'heure et elle espère qu'il l'attachera avant de la fouetter.
Vous savez, celui avec des jolies bulles roses en forme de cœur.
Dans mon univers coloré, les réseaux sociaux n'ont pas remplacé les petits mots doux et les lettres enflammées, les premiers rdv ont encore lieu sur les bancs publics et non dans une boite où grésillent des sonorités techno et les danses collées serrées ne sont pas des invitations à une aventure sans lendemain.
Dure réalité hein?
C'est la mienne. Je n'écris pas des romans à l'eau de rose modernes pour rien.
Je m'en tape le coquillard que l'on aperçoive mes deux (ou trois) petits bourrelets abdominaux, ou que mes fesses ressortent un peu trop. tant que je ne ressemble pas à un jambonneau ligoté, engoncé dans un 36, ça me va.
Alors les gaines! Mais quelle idée saugrenue.
-Moi non plus, lui assurai-je.
Notre confiance mutuelle me rasséréna.
-Oh, si! Il s'est passé quelque chose d'atroce.
-Quoi ? fis-je inquiète.
-J'ai demandé des chamallows et on me les a refusés.
-Pourquoi est ce que tu voulais des chamallows?
-Parce que ça me faisait penser à toi et que je me sentais seul
-C'est mignon, commentai-je Et ils n'ont pas voulu?
-Non
-Nom d'un panda sans bambou! Ils sont vraiment horribles Des criminels de la pire espèce
-Arrête, Chloé. Ne ramène pas tous au matériel. Je t'ai vue et j'ai su que je voulais être avec toi. Ton visage, ton corps, ton sale caractère et ta façon d'être, c'est un tout qui me plaît. C'est un ensemble Chloé. Je sais ce que je veux. Et je sais ce que je ne veux pas.
Nous nous découvrons depuis plusieurs mois maintenant et j'ai envie d'officialiser notre relation.
Il passe sa main dans mes cheveux, son geste me donne le courage de le regarder de nouveau droit dans les yeux, sans ciller.
-Si je dois aller chercher la lune pour toi ou décrocher des étoiles pour ton plaisir...
Je le ferai. Je ne veux pas seulement te fréquenter, je te veux toute à moi.
-Moi aussi je décrocherai la lune pour toi Sébastien.
-On les écrase, Chloé! Tu as envie que je t'écrase? lance t-elle d'une manière sarcastique en s'immobilisant face à moi, le regard furibond.
-Je capitule.
-Où vas tu trainer ton squelette d'un pas mou? lâche ma mère en tapant du pied sur le sol.
-Dans ma chambre pour me préparer. Tu as gagné dictateur!
Ma réponse semble la satisfaire.... fumisterie.
Repoussant l'échéance fatidique, je vais exceller dans mon domaine de prédilection; faire une sieste. Je n'arrive pas à envisager ce foutu gala qui me paraît pourtant inéluctable.
J'aurai beau repousser jusqu'à la dernière seconde, je sais qu'il me faudra m'y rendre.
Elle ne l'avait jamais formulé comme ça avant, pourtant c'était a vérité, et l'énoncer à voix haute ôta un poids énorme de ses épaules.
La vérité, c'était qu'elle ne voulait pas être une reine de beauté. Elle voulait être elle-même et personne ne pourrait l'empêcher d'être la meilleure version d'elle même à moins qu'elle ne le laisse faire, ce qui était absolument hors de question.
-Et si ça n'arrive jamais, alors tant pis. Je m'aime bien comme je suis.
Tess lui pressa l'épaule.
-Nous aussi, On t'aime bien.
-Mensonge, brailla Lucy, à qui le vin commençait manifestement à faire de l'effet. On t'aime tout court comme tu es.
-Merci, monsieur Darcy, répondit Gina.
-Avec plaisir, répliqua t-elle avec un épouvantable accent britannique qui les fit de nouveau pouffer.
-Je commets encore beaucoup d'erreurs avec toi. Je veux dire dans notre couple. Mais sache une chose, Sabine. Je t'aime et je tiens à toi plus qu'à ma vie. Je ne te ferai jamais de mal. Si je t’oppresse par mes attentions protectrices, ce n'est pas calculé et je continue à travailler sur ce point. Tu sais, je n'ai jamais eu peur, pas même de ma mort. En revanche, la tienne me terrorise et cette nouveauté me déstabilise. Mais je veux que tu me fasses confiance, toujours.
Il s'exprime avec gravité d'une voix douce. La portée de son aveu m'émeut.
-Je te fais confiance.
-Pas pleinement. Tu l'as montré en sondant la légitimité de ma décision.
"Butons le cœur. Et la raison. Et puis Blaise Pascal, t'avais un nom de chiotte franchement".
Numéro 2
-Si tu cries, je peux faire passer ce type pour une menace potentielle, le plaquer au sol et lui tirer une balle dans la jambe en guise de self-défense. On dira qu'il a fait un geste menaçant envers toi.
Il retint un gloussement.
-Ce ne sera pas nécessaire, répondit-il.
Je grognai, pour faire bonne mesure.Çà me démangeait de mettre Superman à terre avec son super pouvoir lui permettant de voler, là.
Quel frimeur.
On pourrait juger ma décision. Ou la sienne.
Qualifier notre histoire d'insensée ou d’irréelle. Il y a fort à parier qu'Alec n'aura plus que des termes dédaigneux à mon égard, ou que mon père pleurera sa fille.
En posant ma bouche sur la sienne, je scelle un amour compliqué, qui n'aurait jamais dû exister. Le fait est que j'ai choisi de suivre la voix du cœur, et je ne m'excuserai pas.
-Jure moi qu'une fois que Crown hors d'état de nuire, tu.....
-Je te le jure, me coupe-t-il, avant de m'embrasser à nouveau.
-Dis le moi
-Aye. Tu sais que ce n'est pas un titre de noblesse? Ça désigne juste un propriétaire terrien. Donc oui, je suis laird.
-Laird Ramsey.....Sexy.....
Elle passe une main dans mon dos, se colle contre moi et agrippe mon tee-shirt.
-Ce qui ferait de moi.... Lady Ramsay?
J'adore....
Je m'arrête sur le seuil, mon sang grimpant dangereusement en température, j'oscille entre excitation maximum et fou rire qui monte.
-En réalité, il y a déjà une Lady Ramsay. Elle fait du thé pour une dizaine de personnes en ce moment même.
-Ne le cherche pas ici, il est à côté chez le tatoueur.
Jonas ne relève pas la tête de ses outils mais je vois le sourire moqueur qui éclaire son visage. Prise en flagrant délit ! Mon manque de discrétion me démoralise.
Je prends de l'élan du bras droit et l'envoie de toutes mes forces sur celui qui tente de m'agresser. Mon poing ne rencontre que de l'air, je perds l'équilibre et une étreinte puissante empêche une nouvelle tentative.
-Charlie! c'est moi!
-Maxence? Mais bon sang, vous ne pouviez pas me le dire plus tôt? J'aurai pu vous faire mal !
Vous êtes sérieuse? J'ai cru que vous étiez en train de convulser, pas d'essayer de me frapper.
Mieux vaut ne rien lui répondre et contenir la violence qu'il provoque en moi juste en me regardant avec son petit air satisfait.
-On parle de la vieille rognure d'ongle de troll?.
Ma vue se brouille et une larme solitaire m'échappe.
Ce qu'il dit la, le sentiment précis.. je l'éprouve aussi.
Du plus profond de mon âme. Il est la vérité absolue, la confusion parfaite et totale de mon être.
De nos êtres.