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— Tu sais, Eliott, ce que j’ai dit…
Je sais ce qu’elle tente de m’expliquer, mais je ne veux pas l’entendre. Ses paroles me briseraient encore une fois. Je la coupe :
— Je sais, Florence. Tu as joué le rôle que je t’ai demandé à la perfection, je t’en remercie.
Je n’ose pas la regarder dans les yeux en prononçant ces paroles. Pourquoi ai-je tant de mal à le dire ? Tu ne m’aimes pas, Florence ; pourtant je t’ai entendue le dire, ces mots ont résonné en moi, mais ils étaient faux. Je le sais, alors pourquoi malgré moi ai-je l’espoir de me tromper ? Ce n’est pas comme si je t’aimais, moi ! Non, c’est encore un désir égoïste de ma part, vouloir savoir que tu es à moi certainement…
Afficher en entier« J’ai joué, j’ai risqué, j’ai perdu. La roue tourne, les cartes me souriront une prochaine fois. » (Florence)
Afficher en entier« Je suis officiellement redevenu l’homme à abattre et j’adore ça. Ses narines se dilatent, ses yeux sont exorbités, elle met sa poitrine en avant… Ce spectacle me ravit ! Mon sourire s’élargit. Elle remarque ma complaisance, ce qui me vaut même un petit :
— Connard !
Et me voilà au comble du bonheur. » (Eliott)
Afficher en entier« Cette femme est incorrigible, mais elle va apprendre. Apprendre à aimer m’obéir. » (Eliott)
Afficher en entier« Quel pouvoir as-tu sur mon corps, Eliott ? » (Florence)
Afficher en entier« — Pas d’obéissance, pas de jouissance. » (Eliott à Florence)
Afficher en entier« Que sommes-nous réellement ? Une équipe, un duo, un couple ? Tout se mélange dans ma tête. » (Florence)
Afficher en entier« La torture ne s’arrête pas là, Florence, ça va être long, terriblement long et excitant. Tu ne peux pas gagner à ce jeu, c’est moi qui mène. » (Eliott)
Afficher en entier« Atteindre son rêve c’est bien beau, mais encore faut-il savoir le garder. » (Florence)
Afficher en entierLa vie c’est comme une partie de poker : tu peux naitre avec un bon jeu, mais ne pas être un bon joueur et tout perdre ; tu peux avoir de mauvaises cartes, au mauvais moment, et te démerder pour que le sort s’abatte sur le joueur à côté de toi ; ou tu peux décider de bluffer, prendre le risque de tout perdre, mais aussi l’espoir de tout gagner. Qui a le plus à perdre ? Tout le monde, sans exception. Nous sommes tous autour de cette table invisible, tous les jours, prêts à jouer pour gagner. Car personne, même pas les tricheurs, ne sort de cette table avant leur dernier souffle. Pourquoi le poker ? Parce que c’est un jeu solitaire fait de façades destinées à cacher la vérité. Ça peut paraitre triste, mais si j’ai appris une chose c’est que la vie est faite ainsi.
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