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Liste des extraits

— Et moi ? réclama Élias, de la crème jusque sur le nez.

— Toi, tu restes ici, répondit son père.

— Mais papa, je…

— Si Charlotte a des soucis, tu devras voler à son secours.

— Ah bon ?

Il fronça les sourcils, le temps de la réflexion, puis se tourna vers moi, radieux.

— J’espère que tu auras des soucis ! s’exclama-t-il.

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Le moment de partir arriva et je me retrouvai avec un souci non négligeable. Comment porter ma bonne vingtaine de sacs sans abîmer mes ongles fraîchement revêtus ? Hum…

Je les déplaçai tant bien que mal jusqu’au trottoir et les posai autour de moi.

Puis j’attendis. Les deux hommes s’étaient assis sur un banc un peu plus loin.

Parfait. Je campai mes poings sur mes hanches et les fixai avec insistance.

L’un des deux se décida enfin à venir me voir.

— Qu’est-ce que vous attendez ? me lança-t-il d’un ton rogue.

— Vous, rétorquai-je avec aplomb. Vous en mettez, un temps !

— Quoi ?

— Allez, prenez mes sacs, on y va.

— Hein ?

Il me contempla, le nez retroussé, incrédule.

— Mes sacs, répétai-je en désignant les paquets étalés autour de moi. Je ne peux pas m’en charger, je vais rayer mon vernis.

— Vous ne croyez quand même pas qu’on va vous aider ?

Je haussai un sourcil sévère.

— Je pensais que vous deviez trouver où j’habite ?

L’homme plissa les paupières.

— Où vous imaginez-vous que je vais, maintenant, avec tous mes sacs ? enchaînai-je.

Il ouvrit la bouche sans répondre, visiblement estomaqué. Je soupirai, comme j’avais vu Julia le faire. Genre peste exaspérée. Mon imitation devait être convaincante car l’homme retrouva l’usage de la parole.

— Vous me prenez pour un con ? cracha-t-il.

En fait, oui.

— Je peux laisser les sacs ici, répliquai-je. Mais je vous préviens, dans ce cas, je continue les courses.

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Extrait ajouté par CloB 2018-06-22T02:59:55+02:00

— Dis, Charlotte…

— Oui ?

— Ta collègue gentille et bizarre, qui a dit que le Geistjäger était un épouvantable monsieur…

Il trouvait Madeleine bizarre ? Il ne s’était pas regardé !

— Oui ? dis-je pourtant en retenant un soupir.

— Elle t’a fait de la peine, en pleurant, non ?

— Euh… Oui, reconnus-je. Un peu.

— Tu veux que je la tue ?

— Élias !

— Comme ça, elle ne sera plus triste !

Ah. C’était donc pour rendre service. Dans ce cas…

— Non, merci mon chou. Ça ira.

— Bon, d’accord.

Balard s’était tourné vers nous avec une expression incrédule.

— Qu’est-ce qu’il vient de dire, ce gamin ?

— Vous, je vous aime bien, décréta ledit gamin avec une tranquillité désarmante, toujours accroché à ma main. Quand le Geistjäger a interrogé Charlotte, j’ai eu un peu peur et j’ai pensé que j’allais devoir le tuer, mais non, vous êtes arrivé et vous l’avez cassé ! Ha !

Certes.

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La réponse arriva avec le psychiatre, dix minutes plus tard.

- Franchement, ronchonna t'elle à l'adresse de Mathilde. Cette manie de recruter vos indics n'importe où.... toute le monde n'est pas taillé pour ce job !

- C'est vrai, approuva Mathilde avec ses yeux de biche. mais d'un autre côté, une fille pareille, qui l'aurait soupçonnée de faire équipe avec un inspecteur de l’hyper-criminalité ?

Ben tines. Et de préparer son mariage avec un tueur à gage ?

Niveau de traumatisme : maximal.

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Extrait ajouté par Hepa 2018-03-05T13:09:46+01:00

- Vous êtes mon indic, Charlotte. Je vous protégerai s’il se passe quoi que ce soit, mais si je dois veiller sur deux personnes, j’ai peur que...

- Ça va aller, le tranquillisai-je. Lui, on peut le laisser mourir, il ressuscite juste après.

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-Je le savais, souffle-t-il

-Tu savais quoi? m’étonnai-je

-Tu fais semblant d'être nulle et peureuse, mais en vrai, tu es encore meilleure que nous.

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L'inspecteur éclata d'un dire tonitruant.

- Bon Dieu, Charlotte ! Si vous n'existiez pas, il faudrait vous inventer.

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Je cherchai Élias des yeux et me figeai. Dernier de la longue queue de personnes affamées qui assiégeaient la baraque à frites, il regardait les autres avec un air mauvais, en caressant son sabre d’une façon explicite. Il fallait intervenir sans traîner !

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- Charlooootte !

Elias me sauta dans les bras et se mit à pleurer à chaudes larmes.

- Je m'entrainais pour venir te chercher ! sanglota-t-il en désignant le punching-ball écrasé. J'étais presque prêt !

- Encore un ou deux ans, tempéra son père.

- Tu as vu ! Presque !

Il enfouit son visage contre mon chemisier et ses épaules tressautèrent au rythme de ses pleurs. Bouleversée, je le serrai de mon mieux pour le calmer.

- Je suis rentrée, mon chou, murmurais-je. Ne t'inquiètes pas.

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- Firmin ! s'exclama Elias. Tu pourras dire à Nicolette de nous apporter des caramels ? On a abimé ceux de Régis, alors il faut les lui rendre.

- Ce n'est pas grave, voyons, protesta le jeune homme.

- Si, c'est grave. On a pas pu les manger.

Firmin acquiesça avec le plus grand des sérieux. Régis parut perplexe. Bah. Il s'habituerait...

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