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CODE DE CONDUITE DES MEMBRES D'UPSILON SCORPI

Article 1 : Nous ne tuons jamais sans rétribution.

Article 2 : Nous ne tuons ni femme ni enfant.

Article 3 : Nous ne tuons pas nos commanditaires tant que la mission en cours n'est pas achevée, même en cas d'offre supérieure de la part de la cible.

Article 4 : En cas de menace sur notre famille, aucun des articles ci-dessus ne s'applique.

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Élias se tourna vers moi, le visage impassible.

— Tu veux que je les tue ?

— Quoi ? bredouillai-je.

— Tu veux que je les…

— Élias ! soufflai-je, paniquée. Il faut s’enfuir !

— D’accord. Mais avant, je les tue ou pas ?

Quoi ? Mais de quoi parlait-il ? Comme si c’était le moment !

— Élias ! Non !

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La réunion commençait à peine. Je pris un air inspiré pour suivre le PowerPoint qui défilait sur l’écran au fond de la pièce. Chiffres, graphiques, camemberts de répartition des activités, nous écoutâmes religieusement nos chefs exposer les uns après les autres leurs motifs de satisfaction ou de mécontentement. A priori, à la compta, nous nous en sortions plutôt bien. Une fois cette partie terminée, je sentis bien vite la douce torpeur inhérente aux « réunions dont on n’aurait jamais dû faire partie » m’envahir. Mon regard dériva sur la seule fenêtre dont vitres et stores étaient restés ouverts, pour rafraîchir la pièce déjà étouffante. Les immeubles voisins brillaient dans le soleil matinal. La voix de l’intervenant me berçait gentiment. Mes paupières s’alourdissaient. Encore cinq minutes et je reprenais ma nuit là où je l’avais laissée…

Mes yeux s’écarquillèrent soudain d’eux-mêmes, tandis qu’une exclamation s’étranglait dans ma gorge. Élias se tenait sur l’appui de fenêtre, toujours vêtu de mon T-shirt à cœurs et de mon short. Il jeta un regard absent à l’intérieur de la pièce. Mais que faisait-il là ? Comment avait-il grimpé ? Comment était-ce seulement possible ?

— Charlotte ? s’inquiéta Sophie à mi-voix.

Je battis des paupières. Élias disparut.

— Tu l’as vu ? soufflai-je à ma collègue.

— Quoi ? Qui ?

— Le… Le gamin ! Sur la fenêtre !

Elle ouvrit de grands yeux abasourdis et suivit la direction que j’indiquais. Sauf qu’il n’y avait plus rien à voir. Elle revint à moi.

— On est au huitième étage, Charlotte, murmura-t-elle avec une moue moqueuse. Tu t’es endormie, non ?

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"Pourquoi me sentais-je à ce point incapable d'offenser les gens ? L'idée même de peiner quelqu'un me rendait malade".

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— Ce frère est-il… est-il…

Il hésita sur les mots.

— Un psychopathe aussi ? proposai-je pour l’aider.

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Nous n’appartenions pas au même monde ! Ils parlaient de lutins et de gobelins, tandis que mon univers baignait dans les calculatrices et les métros en retard !

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Je raffermis prudemment ma prise sur mon saladier plein de soupe. S’il tentait le moindre mouvement malheureux, il goûterait à ma spécialité concombre-crevettes. En plein sur le crâne.

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Son aîné pencha la tête, l’air intrigué. Le petit garçon tremblait d’excitation.

— Adam, tu devrais épouser Charlotte.

Stop. Minute. Qui devait faire quoi ?

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— Pas grave, je comprends. Je reste avec toi, alors, mon adorable petite Charlotte. Je suis comme toi, j’aime bien quand c’est plus intime.

Il s’assit à moitié sur mon bureau et se pencha pour faire semblant d’examiner mon travail, tandis que ses yeux plongeaient dans mon décolleté. La panique me gagna. Mais à quel moment avais-je parlé d’intimité ? Il se tenait beaucoup trop près ! Devais-je reculer de façon explicite ? Ou ne pas bouger pour lui faire croire qu’il ne m’impressionnait pas ?

Une petite main se posa soudain sur ma cheville. Sous le bureau, Élias me dévisageait avec ses grands yeux bleus. Le contact de ses doigts m’inspira un courage nouveau. Hors de question de laisser ce sale type osseux me terroriser une seconde de plus. Je me levai d’un geste vif et contournai le bureau.

— Qu’est-ce que tu fais ? demanda Thomas, agacé.

— Puisque tu m’obliges à faire une pause, autant aller chercher les autres pour prendre un café, répondis-je fraîchement.

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J’allongeai le bras pour attraper ma calculatrice sur l’étagère et mon pied heurta un obstacle mou sous la table. Surprise, je jetai un coup d’œil. Assis en tailleur sur la moquette, Élias se frottait le bras, l’air ennuyé.

— Élias ! m’écriai-je. Mais qu’est-ce que tu fabriques ici ?

— Je ne voulais pas te déranger, répondit-il avec inquiétude. Je vais m’asseoir ailleurs.

— Mais… Tu n’as pas trouvé mon message ?

— Si si.

Il sortit un magazine de sous sa chemise. Celui-ci titrait « Les clés d’un mariage réussi ».

— Je l’ai pris pour le cas où je m’ennuierais, m’expliqua-t-il. Mais pour le moment, ça va. Il est petit, ton bureau.

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