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- Elle a tenu tête à son père ? m'interrompit le maître des lieux.

- Evidemment ! Comment on aurait réussi à le mettre dans le ventre d'Ignace, autrement ?

- Pourquoi a-t-elle fait ça ?

Je lui jetai un coup d’œil torve.

- Parce que c'est une Lesath, même si vous faites semblant de ne pas le savoir. D'ailleurs, Lazare, je voulais vous dire que vous êtes vraiment un imbéc...

Clématite se jeta sur moi et plaqua sa main sur ma bouche.

- Le sortilège, expliqua-t-elle avec un sourire mortifié. Voulez-vous que j'aille la coucher, monsieur ?

- Mmm mmm ! protestai-je en tentant de me débattre, furieuse.

- Tu compte l'attacher ? demanda Adam, très intéressé.

- J'en arriverai là s'il le faut, monsieur.

- Je t'accompagne.

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— Ne t’inquiète, Croquette, lui chuchotai-je d’une voix rassurante. Ils ne mangent pas les chiens.

Clématite hocha la tête dans une direction indéfinissable, les yeux dans le vague. Mince. Il y en avait qui mangeaient du chien, dans le lot ?

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Lazare haussa les épaules.

— Julia m’a juré qu’il n’y était pour rien.

— Tu lui fais confiance ?

— Oui. Elle ne m’a jamais menti sur des sujets aussi graves. En plus, je ne vois pas pourquoi Walder aurait saboté sa propre enquête en dénonçant Charlotte à sa cible. D’après mes nymphes, mes fées et mes elfes, les seules choses qui le préoccupent sont la sécurité et la place de Julia dans notre monde. C’est la raison pour laquelle il mène cette enquête, d’ailleurs. Avec la plus grande application. Il n’éprouve aucune agressivité à l’égard de Charlotte. Que du mépris.

Je laissai échapper une moue blasée. Génial.

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Les quarante minutes de vol ne nous avaient pas suffi pour explorer le jet de fond en comble. Il était moins spacieux que les films le suggéraient, mais il regorgeait de trappes ingénieusement dissimulées dans les parois. Si mon amie avait trouvé la cachette des cacahuètes et la réserve d’alcool, moi, j’étais tombée sur un assortiment de scalpels, un long sabre plat au manche duquel pendaient trois têtes réduites façon Jivaro, et des menottes en fourrure. Je m’étais empressée de refermer les trappes. Mais bon sang, à quoi pouvaient bien servir ces menottes ?

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— Croyez bien, mademoiselle Charlotte, maugréa-t-elle alors qu’elle s’éloignait en claudiquant, si vous deviez ne pas revenir en vie, nous saurions vous venger…

Sophie me regarda, effarée.

— T’inquiète, chuchotai-je en priant pour que la banshee n’entende pas. Elle radote depuis des années. Elle dit toujours plein de trucs flippants comme ça…

Mon amie esquissa une moue perplexe et je m’empressai d’agiter l’enveloppe.

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Les grilles s’ouvrirent derrière nous, manipulées à distance par les créatures télékinésistes du manoir. Louis s’avança en agitant un boîtier en plastique noir.

— C’est une ouverture télécommandée, précisa-t-il avec un immense sourire.

Sophie souleva un sourcil perplexe.

— Pourquoi il me dit ça ? chuchota-t-elle à mon oreille.

Ça commençait déjà.

— C’est nouveau et il est très fier de l’avoir fait installer, brodai-je.

— Ah, OK. Il est bizarre, non ?

— Pourquoi ?

— Je ne sais pas. Il n’a pas arrêté de me raconter que vous aviez l’électricité dans le manoir et que c’était génial. Il vivait dans une grotte, avant ?

Mouarf. Il en avait fait des tonnes, quoi. Minute. Il n’y avait pas l’électricité, en réalité, dans le manoir ?

Les grilles se fermèrent tandis que je réfléchissais à cette importante question.

— C’est toujours automatique, lança Louis sur un ton important.

Je lui jetai un regard blasé. Heureusement, Sophie ne l’écoutait plus.

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— On devrait convenir d’un signal, annonça-t-il en claquant la porte derrière lui.

— Un signal ?

— Oui. Telle que je te connais, tu vas paniquer tout le temps, au décollage et à l’atterrissage du jet par exemple, et je ne saurai pas à quel moment tu as vraiment besoin de moi.

— Hein ? m’insurgeai-je.

— Donc il faut convenir d’un signal.

Je croisai les bras, hésitant un peu à me montrer vexée. Vu la vie que je menais, on paniquerait à moins, non ?

— L’idéal, reprit-il sans paraître remarquer mon attitude, ça serait que tu fasses battre ton cœur en morse et que tu m’envoies un SOS quand tu veux que je vienne.

L’effarement m’empêcha de trouver une repartie intelligente. Faire battre mon cœur en morse ?

— SOS, expliqua mon fiancé devant mon silence, c’est trois battements courts, trois battements longs et à nouveau trois battements courts.

— Adam, grommelai-je.

— Oui ?

— Si j’ai besoin de toi, je t’envoie un sms ou je fais sonner ton téléphone.

— Ah…

Il repoussa les mèches brunes qui lui tombaient devant les yeux, songeur.

— Oui, c’est une bonne idée aussi.

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— Je me demande ce qu’on va trouver, là-haut, qui le mette dans cet état, approuvai-je.

— On peut essayer de deviner ! Qu’est-ce qu’il aime, dans la vie, ce petit ?

Tuer des gens.

— Les friandises ? tentai-je.

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Trop tard. La jeune Polynésienne me s’aisit par la taille tandis qu’elle me soulevait sans effort apparent. Lâche-moi tout de suite! Pose-moi par terre! Mouette!

Elle me jeta un regard sidéré sans cesser d’avancer.

— Mouette? répéta-t-elle.

— Moeta! Je ne veux pas partir!

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— Tout va bien, répondis-je sur le même ton. Enfin... Sauf que vous êtes là alors qu’on devrait partir en courant et qu’en plus, tout le monde nous regarde.

J’en le sentis se détendre et il s’écarta de quelques centimètres pour poser son front contre le mien.

— Tu as honte de moi? me taquina-t-il.

— Très drôle. Je te signale que vingt-cinquième tueurs sanguinaires se tiennent dans la même pièce que moi, que Balard a décidé d’entrer dans l’histoire en les arrêtant tous d’un seul coup et que Clémentite a sous-entendu que quelqu’un risquait de manger Croquette. Si je pouvais me trouver ailleurs, ça m´arrangerait

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