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– Tu n’es pas un enfant, Joseph. Tu savais ce que tu faisais. Ta seule erreur a été de croire bêtement que tu pouvais t’en tirer si facilement.
Il a penché la tête, sa poitrine se soulevant à un rythme plus rapide.
– Je n’accepte pas ton argent. Cependant, je vais te laisser partir.
Joseph a lentement relevé la tête, et m’a regardé avec incrédulité.
J’avais trouvé la compensation parfaite pour son méfait, quelque chose qui n’avait pas de prix. Je n’avais aucun remords pour ce que j’avais fait. Il était de mon devoir d’être intraitable avec mes ennemis — et je l’étais.
– Je t’ai volé quelque chose qui vaut bien plus que l’argent. J’ai pris une chose innocente, une chose pure. Et tu ne la récupéreras jamais.
Là, Joseph s’est mis à trembler pour des raisons très différentes.
– J’ai pris ta charmante soeur, London. Elle m’appartient maintenant.
J’ai incliné la tête et observé son expression, sachant que sa réaction serait inestimable.
– Elle est en route pour ici — pour devenir ma prisonnière.
Afficher en entier-Je ne veux pas t'insulter, mais tu n'as pas l'air écossais.
-Parce que je ne suis pas roux ? demanda-t-il sur un ton las. Parce que je n'ai pas de taches de rousseur ou les yeux bleus ? Ça s'appelle la génétique Mignonne. Je croyais que tu connaissais ça, en tant que future médecin...
Afficher en entier-Au cas où tu ne l'es aies pas remarqué, il n'y a pas de douche ici.
Son expression n'a pas changé.
-Et je ne te laisserais pas en prendre une tant que tu ne te comportera pas bien.
-Dans le passé, les gens prenaient un seul bain par an, rétorqua-t-elle. Ça ira.
J'ai ri, aimant le fait qu'elle avait réponse à tout ce que je disais.
Afficher en entierElle ne m’avait pas encore vu parce qu’elle était absorbée par son reflet dans le miroir. Avec de grandes boucles à la façon des beautés des années vingt, ses cheveux étaient relevés sur une épaule et épinglés avec une barrette en diamant. Ses pommettes étaient soulignées par un fard discret, et ses yeux charbonneux, ce qui les rendait beaucoup plus verts qu’ils ne l’étaient en réalité. Son teint était impeccable, sublimant sa peau déjà parfaite. Tout en elle était parfait, comme si elle avait du sang royal. Je me suis appuyé contre le cadre de la porte et j’en ai profité pour l’admirer de tout mon soûl avant qu’elle me voie.
Je pourrais la regarder toute la journée.
— Waouh.
Elle se contemplait dans le miroir, bouche bée.
— Frans, je ne sais pas comment t’as fait. Je n’ai pas été aussi belle depuis mon bal de promo. Et même alors, je n’étais pas aussi canon.
Elle a été la seule à rire de sa blague. Comme elle était à l’évidence magnifique, je doutais que Frans puisse la croire.
— Je ne peux pas rendre belle une femme laide, dit-il avec son fort accent écossais. Mais je peux rendre sublime une belle femme.
Il lui a serré doucement les épaules et a souri à son reflet dans le miroir.
— Son Altesse royal va en avoir le souffle coupé quand il te verra.
— C’est déjà le cas.
London s’est tournée au son de ma voix, ignorant à l’évidence que je l’observais. Ses yeux ont fixé les miens, et elle a soudain semblé gênée, alors qu’elle était tout simplement magnifique.
Afficher en entierRelater une histoire sur une durée aussi courte diminuait sa portée. Mais avec un livre, il n'y avait jamais de fin.
Afficher en entier– M. Donoghue aime les blancs d’œufs avec des légumes verts grillés en garniture, expliqua Finley. Vous voulez que je vous prépare la même chose ?
Je n’ai pas pu m’empêcher de grimacer.
– Beurk, absolument pas. Qui mange ça le matin ?
– Un homme qui ressemble à ça.
Il a exhibé ses abdominaux durs comme le fer, illustrant son argument.
J’ai levé les yeux au ciel.
– L’arrogance n’a rien de sexy.
– J’ai confiance en moi, corrigea-t-il.
– La confiance en soi est silencieuse, arguai-je. Et tu ne l’es pas.
Au lieu de se fâcher, il a esquissé un sourire en coin.
– Ton sens de la répartie est mignon.
J’ai sourcillé.
– Tu me dragues ?
– Non. Si je te draguais, tu serais déjà penchée sur la table, le cul en l’air.
Il souriait toujours, mais ses yeux fumaient d’une intention indécente.
Mes joues se sont empourprées, car Finley écoutait notre conversation
Afficher en entier“Yes.” I obeyed willingly, not wanting to push his temper. I could handle this version of him, the silently threatening one. If I didn’t push him further than necessary, he would never cause me pain.
“Yes, sir.”
Now that was something I couldn’t get on board with. “You’re lucky you got a yes out of me. Don’t push your luck.”
His eyes shifted as he stared into mine. The chopper came to life in the background, the propeller growing loud and the wind picking up. His hand never left my neck as he looked me dead in the eyes. His thumb brushed across my soft skin. Instead of growing angry at my disobedience, he seemed to soften.
Afficher en entierCrewe watched me, partially smiling. “I’ve never seen a woman eat like that.”
“Like what?” I asked. “Like a real person who eats food? Do you only spend time with supermodels?”
He grinned. “There it is again.”
“What?” I grabbed my fork and cut into my eggs.
“The tone of jealousy.” He set his coffee down and grabbed his fork.
“What?” I asked incredulously. “I’m not jealous.”
Afficher en entierBones extended his hand again, and one of his cronies pulled a chain from a bag. It was black and heavy, and at the end was a collar meant to bind around someone’s neck. It was old and rusty, probably worn by other slaves he’d had before London. He opened the collar and separated the two pieces of metal, ready to wrap it around her neck.
He was going to have her on a leash for the entire ride to Rome.
I stared at the metal and thought about all the things he would do to her, about the way he’d already punched her in the face and given her a black eye. Bones was big and strong. London didn’t stand a chance against him.
Memories from last night flooded my mind—the scorching kisses she gave me and how tight her pussy was. Bones would never give her that kind of sex, the merciful kind. It would only be chains, whips, and broken bones.
I actually felt sorry for her.
“What’s taking her so long?” Bones asked with a sigh. “I should be getting back. Besides, I’m eager to play with my new toy.” He grinned in a sickening way, one eye smaller than the other. His teeth were crooked, and he smelled like old garlic.
I looked at the chain again, feeling uneasy.
“Crewe,” Bones said with a growl. “Did you hear me?”
I came back to the conversation, still utterly confused. I didn’t have a clue what was happening to me. All I could think about was London hopping on one foot as she tried to run from Bones with her other leg broken. She would be tortured every single day, unable to sleep because she would be so terrified. If he didn’t kill her, she would die from a heart attack.
Or she would kill herself.
For the first time in my life, pity rose in my heart.
“I’m sorry you’ve come all this way, but I’ve changed my mind.” I couldn’t stop staring at the metal collar, wondering how heavy it would feel once it sat on London’s shoulders. “I’ll compensate you for your trouble.”
Bones raised an eyebrow, his rage burning under the skin. “Is this a joke, Crewe?”
“I’m afraid not.”
Afficher en entier- Je leur fait confiance. Mais c'est lorsqu'on fait confiance à quelqu'un qu'il faut être le plus vigilant.
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