Sept jours en Écosse

J’ai adoré ma lecture.

Marie 27 ans a tout pour être heureuse, enfin sur le papier. Elle travaille, est mariée, a des enfants et une maison. Elle est totalement dévouée à sa famille. Mais au plus profond d’elle-même, qui est-elle? Que veut-elle?🌸

Guillaume son mari est totalement absent il passe tout son temps au travail. Quand il le réalise il est complètement perdu. L’évolution de ce personnage est touchante.

Retrouver une vieille lettre des rêves de la petite Marie et c’est le déclic. Elle va oser partir à l’aventure. Ce n’est pas seulement un voyage en Écosse, c’est surtout un voyage au creux de Marie qui s’est oublié en étant une mère et une épouse, mais elle n’est pas que ça. Marie n’est pas un robot.🖍️

J’ai aimé son audace tout plaqué pour se trouver. Son côté curieuse et téméraire qui ressort au fil de ses découvertes, nous allons écouter ses doutes, ses hésitations et ressentir sa souffrance.

J’ai vraiment vécu cette lecture. La description des paysages et l’ambiance est telle que j’étais en totale immersion, j’avais la sensation de sentir le froid sur mes joues.

Alastair est un personnage gentil et bienveillant qui l’aide beaucoup, pourquoi pas un spin-off?

Une parenthèse douce, tendre mais intense, j’aime beaucoup les messages que l’autrice veut transmettre à travers ses mots. Ça pourrait être vous, être moi, ce livre parle à tout le monde.

Immersion imminente dans les Highlands... Sept jours en Ecosse de Mélissa BELLEVIGNE, c'est court pour se découvrir... mais c'est absolument parfait ! Ces sept jours vont permettre à Marie de faire un voyage dans une contrée dont elle rêve depuis l'enfance, un retour sur elle-même, un feed-back sur sa vie. Et, cette ascension n'est pas du tout déplaisante, elle est même incroyablement savoureuse.

Plus les pages se tournent, plus je me sens en phase avec cette héroïne du quotidien, cette madame-tout-le-monde, ni exceptionnelle, ni remarquable si ce n'est par sa volonté de se retrouver, pure, en phase avec elle-même, révélant pleinement ce qu'elle est. Elle est courageuse. Elle se remet en cause. Elle se questionne et cela n'est pas donné à tout le monde.

Le roman peut paraître léger mais cela est sans compter le contexte parfait de l'Ecosse. Lorsque j'évoque plus haut une immersion, je crois bien que Mélissa BELLEVIGNE a entièrement rempli sa mission : celle de nous plonger dans l'atmosphère quelque peu humide mais pure et sauvage de Inverness et de ses environs. Je ne connais pas ce pays mais il est, dans ces pages, absolument et exactement, comme je l'imagine. L'auteure a réussi à me montrer la brillance de la surface du célèbre Loch Ness, les odeurs des petites échoppes, la musicalité des bars bruyants aux senteurs épicées du whishy. Bravo pour cette remarquable immersion.

L'histoire de Marie est somme toute assez classique. Un couple qui se perd dans le quotidien, une décision de rupture de la routine, une découverte, une révélation... Là encore, Mélissa BELLIGNE sublime ce scénario avec deux petites voix de la conscience qui prêtent aux sourires, des escapades enchanteresses, la rencontre avec un vrai Highlander et son kilt, un dénouement qui est aussi une révélation.

C'est bien construit. Des passages sont surprenants, loin d'être attendus, ce qui réhaussent fortement cette petite romance-à-l'air-de-rien dans mes lectures très plaisantes et qui m'émeuvent un petit peu plus que ce à quoi je m'attendais.

Vous l'avez compris, ce récit a fait son office : au prime abord, il m'a semblé classique, puis il m'a conquise et m'a même émue et touchée un grade au-dessus de mes espérances. Je vous conseille donc cette histoire de redécouverte de soi. Elle fait du bien et joue parfaitement son rôle.

Un plaisir assuré.

Comme je m'y attendais, j'ai absolument tout aimé dans ce livre.

Je me suis énormément reconnue dans l'héroïne, Marie, qui a mis ses rêves d'enfants de côté. Elle est passionnée par la photo, mais son appareil prend la poussière dans le grenier. Ce voyage est pour elle l'occasion de retrouver cette passion. D'ailleurs, ça va entraîner quelques situations cocasses. Mais je suis la première à connaître ce risque, des endroits incongrus pour faire LA photo. J'ai adoré son évolution tout au long de son voyage, elle est vraiment touchante. Elle est tiraillée entre le besoin de se retrouver et le manque de ses enfants, la culpabilité de les avoirs laissés une semaine. Grâce au destin et un peu au mysticisme de cet incroyable pays, Marie va réussir à se retrouver et à comprendre beaucoup de choses sur elle et son passé. Mais ce voyage est essentiel pour Marie et finalement pour Guillaume son mari, aussi.

Guillaume va se rendre compte que tout repose sur sa femme, qu'il n'est qu'un fantôme dans sa famille. Il a délaissé sa femme et ses enfants pour son travail. Mais cette semaine va tout bousculer dans sa vie, dans sa façon de voir les choses et dans ses choix.

En plus de suivre Marie en Écosse, on suit également un peu ce qui se passe dans son foyer pendant son absence. Je ne m'attendais pas à ça, mais j'ai beaucoup aimé voir ce qui se passait en parallèle du voyage de Marie.

Tout est tellement bien décrit dans ce livre, les émotions, les situations que vivent les personnages. Ils sont vraiment humains, ils font des erreurs, comme nous tous, on peut très facilement s'identifier à eux. Et d'ailleurs, je pense que le personnage de Marie raisonnera en beaucoup de femmes, de mamans…

Et puis, parlons de l'Écosse, évidemment, j'ai aimé voyager à travers ce livre, tant j'avais l'impression d'y être. J'ai adoré ce qui était marqué sur le post-it de Marie, que des symboles de l'Écosse. On y retrouve réellement l'ambiance, les pubs, le haggis, les coutumes, les légendes, les paysages de nature incroyable. Il se pourrait même que j'ai eu une grosse envie de tout plaquer pour partir élever des moutons là-bas, ou encore mieux, reprendre la fantastique librairie de Freya.

Petit bonus, l'autrice nous fait comprendre qu'elle a caché un petit quelque chose dans son histoire, et j'ai adoré le découvrir en même temps que Marie. C'est bien amené et très fort en émotion.

Coup de coeur pour cette magnifique histoire. Un voyage extraordinaire en Écosse, mais aussi un voyage initiatique pour Marie, l'héroïne qui s'est perdue sur le chemin de la vie. Elle s'est oubliée et a oublié ses rêves d'enfants. Elle va se redécouvrir, se libérer et renouer avec sa passion pour la photo durant ce voyage. J'avais vraiment l'impression d'être en Écosse, j'avais les étoiles dans les yeux comme Marie face à ses paysages que l'autrice dépeint à merveille. Une histoire de résilience, de pardon, de découverte de soi. Une histoire qui cache quelques secrets bien enfouis. Une petite dose de légende, de mysticisme, comme je les aime. Une histoire d'amour, de famille, de reconstruction et de destin. Un livre à dévorer pendant cette période automnale, une lecture cocooning qui vous entraîne au coeur des Highlands et de ses décors majestueux.

Une lecture légère et sympathique, avec les sublimes paysages d'Ecosse en arrière plan.

Le roman Sept jours en Écosse, est une œuvre touchante qui nous emmène au cœur des Highlands 🏞️, avec une héroïne en quête de renouveau. Marie, une femme submergée par la routine, décide de s'évader pendant une semaine en Écosse, laissant derrière elle son mari et ses enfants pour retrouver sa véritable identité.

La nature devient un personnage à part entière, où la beauté sauvage de l'Écosse reflète les émotions internes des protagonistes. Le roman mêle quête de soi et romance, tout en ajoutant une touche de suspense à l'histoire. Même si les coïncidences sont parfois un peu trop évidentes pour paraitre plausible.

L'un des thèmes centraux du roman est la question de la seconde chance dans le couple et dans la vie. La relation entre Marie et son mari, Guillaume, est au cœur de cette intrigue et donnent le point de vue de plusieurs personnages tout aussi attachants les uns que les autres.

C'est une lecture idéale pour l'automne, à savourer avec une tasse de thé ☕, où l'ambiance feutrée et parfois mélancolique de l'Écosse inspire à la réflexion. C'est un bon mélange entre romance et développement personnel qui donne envie de s'envoler pour l’Écosse📖🍂

Sept jours en Écosse est un roman introspectif et malgré quelques imperfections reste une lecture apaisante et inspirante!

Une excellente histoire de seconde chance envers soi-même et sa famille.

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L’héroïne, Marie et son mari, Guillaume (deuxième prénom, mais ouvre les yeux bon sang! 😜 ), m’ont énormément touchée tout au long du roman, dans leur couple depuis 10 ans qui s’oublie.

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Tour à tour nous les suivons grâce à la narration à la 3ème personne (j’adore ça!), sans oublier les points de vue également de leur proche : de la sœur Sarah, de la voisine Laura, et leurs enfants, bien sûr, et même du chien 😂.

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J’ai adoré l’ensemble donné, avec tous ces personnages, qui avaient chacun leur importance pour faire ouvrir les yeux à nos deux protagonistes sur leur vie, sur leur couple, sur leur famille.

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Et puis il y a l’Écosse : un personnage à part entière dans cette histoire, avec ses écossais chaleureux (un peu trop parfois), ses paysages magnifiques, toute cette ambiance féerique avec un merveilleux cerf qui invite à l’évasion, à la réflexion, à la méditation.

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Une histoire d’amour et de nouveau départ que j’ai trouvé très intéressante tant part le suspense mis dans la romance que dans les questionnements de chacun sur lui même, sur ses attentes en tant qu’individu mais aussi dans sa vie de couple et de famille.

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Les signes du destin et les pensées si liées de nos héros ne peuvent que nous faire espérer tout du long qu’ils vont réussir à réformer ce couple que la vie et son quotidien a éloigné.

Mais n’est il pas trop tard?

N’ont ils pas trop laissé passé le temps justement ?

Ahhhhh j’étais à fond 🥰🥰

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En bref : ce n’est pas passé loin du coup de cœur, il y a vraiment juste un détail dans le déclencheur pour Marie, que je ne voulais pas, et qui du coup a fait retomber mes émotions, juste avant la fin, sinon c’était sur c’était un petit coup de coeur.

Spoiler(cliquez pour révéler)Mais pourquoi ce baiser, mais pourquoi 😭… bon ok ça rendait l’histoire super réaliste aussi, mais je ne voulais pas 😂