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Ah non, pas à Paris ! Ils sont tout le temps en grève... ce serait beaucoup trop facile pour toi, il y a des manifestations quasi quotidiennes... N'insiste pas... depuis le temps que ça dure, je ne les vois pas s'arrêter demain pour nous faire plaisir ! Un court silence encouragea Michaël à lever le bras pour frapper à la porte, mais il interrompit son geste en entendant la voix de Monsieur reprendre un ton plus fort :
Afficher en entierIl me suffit désormais de fermer mes paupières pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton odeur, me mettre face au vent pour deviner ton souffle. Alors écoute : où que je sois, je devinerai tes éclats de rire, je verrai les sourires dans tes yeux, j'entendrai les éclats de ta voix. Savoir simplement que tu es là quelque part sur cette terre sera, dans mon enfer, mon petit coin de paradis.
Afficher en entier- Quelles sont tes fleurs préférées ?
(...)
- On ne demande pas ces choses-là à l'intéressée, ça brise le charme, tu ne sais pas ça à ton âge ?
- Evidemment que je sais ça, répondit Lucas d'un ton de petit garçon boudeur, mais ce n'est pas toi l'intéressée !
Amy tourna les talons, manquant de peu de bousculer le garçon qui attendait toujours à l'entrée de la suite. Les deux hommes immobiles entendirent la voix d'Amy hurler du fond du couloir : " Un cactus, et tu peux t'asseoir dessus !"
Afficher en entier"Laisse-moi t'emmener dans mon monde, j'y guiderai chacun de tes pas, j'apprendrai tes réveils, j'inventerai tes nuits, je resterai près de toi. J'effacerai tous les destins tracés, recoudrai toutes les blessures. Tes jours de colère, je lierai tes mains dans ton dos pour que tu ne te fasses pas mal, je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer tes cris et rien ne sera plus jamais pareil, et si tu es seul nous serons seuls à deux."
Réplique de Zofia page 252
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