Commentaires de livres faits par seriallectrice
Extraits de livres par seriallectrice
Commentaires de livres appréciés par seriallectrice
Extraits de livres appréciés par seriallectrice
La romance ne prend pas trop de place, les meurtres sont bien sanglants, (comme j'aime 😂), bref c'est presque un sans faute si ce n'est le mobile que j'ai trouvé un chouïa embrouillé.
Quoiqu'il en soit je lirai la suite avec un grand plaisir.
Un diptyque passionnant et prenant sur les rêves, la soif de pouvoir et le sentiment de solitude. Il m'a juste manqué dans cette opus le sentiment d'oppression et de terreur que j'ai ressenti dans le 1er tome pour que je le classe en or.
Pendant la guerre du Vietnam, des expériences sont menées pour contrôler les rêves des gens. Mais dans cet univers onirique plane une menace terrible, incontrôlable et dévastatrice.
Et si dormir devenait votre pire cauchemar, que feriez-vous ?
J'ai été complètement happée jusqu'au dénouement final, essayant de comprendre l'impossible.
Un coup de maître, un coup de génie que cette histoire.
Femi Kayode dresse un portrait sans concession de son pays natal: un pays où règne la corruption, où les tensions sociales et religieuses sont nombreuses et où le sentiment d'injustice gangrène les foules. Mais un pays qui fait de son mieux avec les cartes qu'on lui a données.
C'est passionnant et instructif.
Le fait de savoir que l'horrible crime qui a inspiré ce roman est tiré d'une histoire vraie rend sa lecture encore plus terrifiante.
Les personnages sont pas trop mal et se complètent bien. Leland est complètement déjanté et plutôt attachant.
L'histoire quant à elle est tirée par les cheveux et assez improbable.
Cependant le tout se lit plutôt bien et la romance est mignonne. C'est une petite lecture détente sans prétention.
Les descriptions des marées fantômes et des animaux marins qui les peuplent sont très bien faites et font froid dans le dos, tout comme leur souffrance que nous ressentons à travers les cauchemars d'Oural.
J'ai apprécié Oural et ses sentiments ambivalent pour Bengale. Bengale est plus difficile à apprécier. C'est un personnage tout en nuance, hanté par ses démons, prêt à tout pour mener à bien la mission qu'il s'est fixé.
Une belle histoire émouvante et terrifiante que je vous invite à découvrir.
La 1ère partie se concentre sur la naissance du Black Panthers et les éléments qui ont menés à sa création.
La 2ème partie, la plus importante, suit 3 personnages : Charlene, jeune militante de 16 ans, Neil, policier idéaliste de 28 ans et Tyrone ex-taulard de 21 ans, taupe malgré lui du FBI.
Trois vies, trois destins déchirés par le racisme, la guerre du Vietnam, la haine et les complots politiques, que l'on va suivre sur plusieurs années.
L'écriture de l'auteur est assez particulière, décousue, fracturée, à l'image de cette Amérique des années 60-70.
On est bercé par les bandes-son de James Brown, de Led Zep ou encore des Stones.
On salue le travail de recherche de l'auteur.
On est partagé entre la compréhension et la condamnation de la violence du BPP, au vu de la répression que la communauté noire subit.
On est choqué par la lâcheté et le machiavélisme des plus hautes autorités qui n'hésitent pas à manipuler l'opinion publique avec le concours du FBI et des forces de l'ordre.
Un livre pleins de fureur et d'idéaux déçus.
Un livre coup de poing.
L'originalité tient beaucoup au monde du poker.
Concernant les personnages j'ai beaucoup aimé Levi même si lui non plus n'est pas très original dans ses traits de caractère. Rose m'a pas mal agacée de par ses réactions d'enfant gâté mais rien de bien méchant. En revanche j'ai adoré Li Mei et surtout Lucky, qui apportent un vent de fraîcheur.
Concernant les deux "révélations"
on peut facilement les deviner, là encore, rien d'extraordinaire.
Cependant le livre se lit bien et l'histoire est malgré tout accrocheuse. Alors oui j'ai bien aimé mais comme dit plus haut, j'attendais vraiment plus de cette auteure encensée partout. Je pense tout de même réessayer avec un autre de ses livres afin de me faire une opinion plus tranchée.
Mon 1er coup de de l'année ❤️ !
Je ne sais pas quoi dire qui n'a pas déjà été dit sur ce livre. L'histoire est prenante, addictive, originale (exit les vampires mievres et faussement méchants qui se transforment en agneaux pour les beaux yeux de leur dulcinée, bonjour les vampires impitoyables et sanguinaires et leurs chasseurs tout aussi impitoyables).
Jay Kristoff revisite le mythe des vampires avec brio, ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un livre aussi bon. Et je dois dire que les illustrations, de toute beauté, ajoutent un vrai plus à l'histoire.
Ne vous laissez pas impressionner/ décourager par le nombre de pages, on ne les voit pas passer. J'ai déjà lu des livres moitié plus courts que celui-ci qui m'ont pourtant paru deux fois plus longs.
J'ai vraiment hâte que le tome 2 soit traduit. Sûr que je vais sauter dessus à sa sortie.
Bref, en un mot: foncez !
Le côté maladroit de Car, qui la rend sympathique au début, devient vite pénible.
Thalion est un bon gros cliché sur pattes: beau, indecemment riche, ultra protecteur et maniaque du contrôle. Les autres personnages ne sont, à mon sens, que des faire-valoir de l'héroïne.
En gros, je n'ai trouvé aucun des personnages vraiment attachants.
La romance ne m'a pas transcendé pour plusieurs raisons: déjà l'esquisse d'un triangle amoureux, même si à mon avis il y a très peu de suspens quant à l'homme qui ravira le cœur de Car. La deuxième raison aurait pu faire l'objet d'un TW car
Malgré ces points négatifs j'ai apprécié l'univers créé par l'auteur: une magie liée aux saisons, j'ai trouvé que c'était une idée plutôt originale.
De plus, même si j'ai trouvé l'histoire un poil répétitive, toute la partie où [spoiler]Car est retenue prisonnière est hyper prenante.
Donc en résumé, un 1er tome en demi-teinte, je ne suis pas sûre de poursuivre la série.
Le livre est relativement court (moins de 300 pages), il n'y a donc pas de temps à perdre en palabre: de la première à la dernière page il n'y a aucun temps mort, aucune longueur. Les événements s'enchaînent ainsi que les retournements de situation. J'ai été baladée du début à la fin et franchement j'ai adoré ça !
Et quel plaisir de retrouver Yvonne Chen, son franc parler et son sarcasme à toute épreuve. Un régal !
Ne la réveillez pas est un thriller psychologique malsain assez addictif et qui fait froid dans le dos quand on sait que l'auteure s'est inspirée des crimes perpétrés par les médecins nazis durant la seconde GM.
Qui est le tueur ? Que cherche-t-il ? Quels sont les liens entre toutes les victimes ? Pourquoi l'assassin tient-il tellement à ce que Joy mène l'enquête ? Toutes ces questions m'ont tenue en haleine.
J'ai beaucoup apprécié l'équipe d'enqueteurs:
-Joy et Donnelli: au début je me suis dit encore des personnages de flics torturés par leur passé ! Et puis je me suis attachée à eux. L'auteure parvient à leur insuffler quelque chose de profondément humain.
- Barrère: sous son caractère volcanique et colérique d'ours mal léché, qui aurait pu le rendre antipathique, on se rend compte finalement que c'est juste un homme maladroit, mal à l'aise avec ses émotions.
- Némo qui apporte une touche de normalité et de fraîcheur
- Florac que l'on voit évoluer et mûrir à mesure que l'enquête avance.
Tous ces personnage forment une équipe de choc que j'ai bien envie de retrouver dans leur prochaine enquête.
Les questions que se posent Kit et Laura, je me les suis posées aussi:
Le twist à env. 150 pages de la fin est très bien trouvé, je ne m'y attendais carrément pas ! Il m'a tout fait remettre en question !
Je n'attendais pas grand chose de ce livre, mais "Par omission" est un très bon thriller psychologique que je conseille à tous les amateurs du genre.
Alors oui, ce livre contient tout ça, mais j'avoue que pendant plus de 50%, je me demandais où était passée la Emma Scott que j'aime tant lire. J'ai trouvé toute la 1ère moitié du livre d'une banalité affligeante, tant au niveau des personnages, que de leur rencontre ou de la construction de leur histoire. Il faut attendre plus de la moitié du livre pour retrouver la profondeur de ces précédentes histoires (et là, ça déchire le cœur). Et si j'ai aimé toute cette dernière partie; pour la beauté des mots, la puissance des émotions ou le message véhiculé (cf note de l'auteur en fin de livre), la banalité de la 1ère partie, beaucoup trop longue à mon goût, a fait baisser mon appréciation générale et me laisse un petit goût de déception.
On suit donc Alex et Marco (surtout Alex), qui sont inspecteurs à la brigade des crimes et délits sexuels, de fait certains passages sont pénibles à lire et font froid dans le dos. D'autant plus que si cette brigade est fictive, les statistiques qui filent tout au long de l'histoire sont, eux, bien réels. Mais je m'en doutais et ce n'est pas pour ça que j'ai classé le livre en bronze.
Il y a, à mon goût, beaucoup trop de digressions sur la vie personnelle d'Alex. Si ça permet d'apprendre à la connaître et à s'attacher à elle (quoique... j'avoue, sans pouvoir l'expliquer, avoir eu du mal avec ce personnage, pourtant central de de l'histoire), ça nous sort complètement de l'enquête proprement dite qui prend, finalement, pas tant de place que ça eu égard au 440 pages du livre.
La résolution de l'enquête m'a frustrée:
Et puis le militantisme c'est bien, mais trop de militantisme tue le militantisme. Et là pour moi c'est clairement trop. Dans le livre, aucune femme ne peut sortir de chez elle sans se faire siffler/ insulter/ mettre la main au c**, et par extension les hommes sont donc (quasiment) tous des animaux incapables de se contrôler. Je shématise, mais en gros c'est ça.
Je n'ai jamais eu peur de sortir seule le soir et en lisant ce livre j'ai eu l'impression que c'était presque anormal 😅.
Mais il y a aussi des points positifs : [spoiler]le fait que les victimes soient des hommes par exemple... ou que les coupables soient des femmes.
Donc une lecture en demie teinte pour moi. Je ne sais pas encore si je lirai le tome 2.
⚠️ D'ailleurs à ce sujet, je vous déconseille fortement de lire le résumé du tome 2 avant d'avoir lu le tome 1, car il révèle des éléments importants de ce livre.
Pourtant j'ai lu ce livre en à peine plus d'un jour. C'est typiquement le genre de livre "encore un chapitre et j'arrête " et 1h plus tard j'étais encore en train de lire.
Il y a un suspens indéniable, avec des suspects qui se multiplient et une victime au passé trouble.
J'ai eu des doutes quant à l'identité du meurtrier, j'avoue avoir soupçonné successivement plusieurs personnages sans jamais réussir à avoir une certitude absolue.
Le twist final est bien trouvé et franchement
C'est machiavélique !
Bref, malgré tous ses défauts, j'ai adoré ce livre.
On suit différents membres de la famille, les horreurs et les sacrifices que chacun à vécu afin de pouvoir survivre et se retrouver.
La famille est nombreuse et j'ai souvent eu du mal à remettre qui était qui, ce qui a parfois pu me déconnecter de l'histoire.
Cependant le travail de recherche est phénoménal et l'émotion bien présente.
C'est un beau livre, d'une importance capitale pour le travail de mémoire.
J'ai vraiment adoré ma lecture que ce soit dans le traitement de l'enquête ou celui de la romance. Romance qui prend son temps pour se construire et évoluer, le livre donnant vraiment la part belle à la résolution de la disparition de Snow.
L'écriture est bonne (mis à part quelques coquilles), les personnages sont cohérents et le petit plus pour moi, fan d'Agatha Christie, c'est la révélation finale amenée à la manière de Hercule Poirot.
Je n'ai pas lu les trois premiers tomes de la série puisque chaque livre est indépendant l'un de l'autre mais avec cette lecture qui est une véritable réussite je vais probablement m'y intéresser de plus près.
Nicolas Lebel nous offre une encore une fois un très bon roman noir avec le retour des Furies et leur nouvelle "danse" qui se passe cette fois-ci sur une île perdue en Bretagne.
Avide de vengeance, Yvonne met tout en œuvre pour retrouver les furies quitte à sortir des clous et se mettre en danger.
Un huis-clos palpitant, qui tient en haleine et une fin qui promet un dernier tome passionnant.
En dehors de ça, l'histoire est plutôt intéressante, même si parfois l'auteur se perd en digression pas toujours intéressante. J'ai bien aimé que les deux personnages principaux soient des loosers qui pourraient être n'importe qui.
Il m'a fallu un moment pour comprendre quel direction l'auteur voulait donner à son livre car le début est assez long, mais c'est ce "mystère" qui m'a fait continuer à lire.
Bref, sans être un échec, cette lecture n'a pas été spécialement transcendante, je pense que je vais bien vite l'oublier.
A réserver aux amateurs du genre.
Le style pourrait en dérouter plus d'un: narrée à la 1ere personne, l'histoire est racontée du POV d'Amy, jeune demoiselle de tout juste 14 ans
Si ce livre n'est pas dénué de défauts, j'ai néanmoins eu des rêves d'Amérique et de road trip , je me suis évadée d'un quotidien affligeant de banalité 😅 le temps de quelques heures et c'est finalement tout ce que je demande à une histoire !
Quoiqu'il en soit, je suis plutôt mitigée. L'idée est originale: peut-on écrire un best-seller en étant totalement anonyme ? C'est le postulat de départ de ce roman.
A travers une mise en abyme, France Coudert alias Efsy Washington, nous raconte le procédé pour l'écriture d'un best-seller tout en étant impliquée, malgré elle, dans l'histoire qu'elle raconte.
Un peu polar, un peu romance érotique, un peu romance contemporaine, ce livre est un OLNI (dixit le mentor de Efsy) et réuni tous les clichés des trois genres. Même si c'est assumé (et expliqué !) pour ma part c'était too much: le DJ beau gosse et torturé, la romance à l'eau de rose, la méchante garce, le suspect trop évident (et pour le coup je n'ai pas été surprise par la fin)... Bref, ce roman réuni à peu près tout ce qui m'horripile dans un livre !
Et pourtant je n'ai pas un seul instant songé à arrêter ma lecture . Peut-être parce que j'attendais le truc "wahou" qui allait me scotcher à mon canapé (spoiler alert, ce n'est jamais arrivé). Mais le pari est gagné pour l'auteur(e) et pour l'éditeur : j'ai acheté ce livre et je le commente, et qu'on parle d'un livre en bien ou en mal, l'essentiel c'est qu'on en parle (re-dixit le mentor de Efsy).
Alors ce livre sera-t-il un best-seller ? Seul l'avenir nous le dira. Ce qui est sûr c'est que best-seller n'est pas synonyme de bon livre. Car s'il n'est pas mauvais (loin de là même) ce n'est pas non plus le livre de ouf auquel je m'attendais.
J'ai trouvé le début assez long à se mettre en place, je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire au point où je me suis demandé si j'allais poursuivre la lecture... Bien m'en a pris d'avoir persévéré car au final j'ai adoré ma lecture, surtout toute la partie concernant la vie de Minka. Une partie poignante et révoltante qui m'a plus d'une fois nouée les tripes.
Ce livre pose la question de la force du pardon : peut-on pardonner quand on n'est pas sois même la victime du crime? Demander pardon revient -il à s'absoudre de tous ses pêchers, même les plus horribles ? Des décennies de comportement exemplaire peuvent-ils effacer quelques années d'horreur absolue?
Ce que j'ai apprécié dans ce livre c'est qu'il n'y a pas de manichéisme avec d'un côté les bons et de l'autre les méchants. La vie n'est pas toute noire ou toute blanche, elle est faite de plusieurs nuances de gris et cette histoire nous le rappelle.
C'est le 2eme livre de Jodi Picoult que je lis après "mille petits riens" (que je conseille fortement) et je dois dire que pour la 2eme fois, l'auteur fait mouche. Nul doute que je vais poursuivre la découverte de ses œuvres.
Pardonne -lui, est un livre que je vous invite à découvrir.
Quand la fin du monde toque à la porte, le meilleur et le pire de l'humanité se côtoient et je trouve que Chuck Wendig en fait une bonne analyse.
Malgré des sujets assez anxiogènes (pandémie, IA, effondrement du monde moderne et des démocraties...) c'est un livre que j'ai dévoré et tout le long de ma lecture je me disais que ce livre ferait une pu**** de bonne série TV, tellement l'écriture est bonne et imagée et l'imagination de l'auteur foisonnante.
Ne vous laissez pas freiner par la taille du bouquin car il en vaut chaque mot, chaque page. Allez-y, vous ne le regretterez pas 🙂