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Revivez en BD les grands moments de la plus célèbre des courses d’endurance !
En 1963, Ford, l’emblématique constructeur américain, cherche à changer son image et à conquérir un nouveau type de client, plus jeune et dynamique. La décision est donc prise de se lancer dans la compétition automobile, là où les constructeurs européens ont acquis leurs lettres de noblesse, et de défier Ferrari sur les terres mancelles ! Pour l’édition de 1964 des 24 Heures du Mans, les meilleurs ingénieurs planchent sur un modèle inédit : la GT 40. Rapides, mais peu fiables, les Ford laissent malheureusement très vite le champ libre aux redoutables Ferrari 275P. Mais les Américains n’ont pas dit leur dernier mot et reviendront les années suivantes ! Ainsi, de 1964 à 1967, les deux constructeurs n’auront de cesse de se défier et leur duel offrira à la course du Mans une de ses époques les plus mythiques !
Après Chapman, Alpine et Ayrton Senna, la collection Plein Gaz inaugure une nouvelle série consacrée aux 24 Heures du Mans !
Revivez en BD les grands moments de la plus célèbre des courses d’endurance !
En 1963, Ford, l’emblématique constructeur américain, cherche à changer son image et à conquérir un nouveau type de client, plus jeune et dynamique. La décision est donc prise de se lancer dans la compétition automobile, là où les constructeurs européens ont acquis leurs lettres de noblesse, et de défier Ferrari sur les terres mancelles ! Pour l’édition de 1964 des 24 Heures du Mans, les meilleurs ingénieurs planchent sur un modèle inédit : la GT 40. Rapides, mais peu fiables, les Ford laissent malheureusement très vite le champ libre aux redoutables Ferrari 275P. Mais les Américains n’ont pas dit leur dernier mot et reviendront les années suivantes ! Ainsi, de 1964 à 1967, les deux constructeurs n’auront de cesse de se défier et leur duel offrira à la course du Mans une de ses époques les plus mythiques !
Après Chapman, Alpine et Ayrton Senna, la collection Plein Gaz inaugure une nouvelle série consacrée aux 24 Heures du Mans !
1969. Sur la ligne de départ des 24 Heures du Mans, tous les pilotes s’apprêtent à s’élancer au pas de course pour sauter dans leurs bolides. Tous, sauf un : Jacky Ickx. Pour protester contre le danger du départ « en épi » et en mémoire de l’accident de son ami Willy Mairesse survenu lors de l’édition pluvieuse de 1968, Ickx décide de marcher pour rejoindre sa GT40. Partant bon dernier, sur le modèle vieillissant de Ford, il remonte petit à petit les redoutables Porsche, pourtant largement favorites, aboutissant à un final des plus mémorables ! Malgré ses vingt-quatre ans, le jeune prodige belge laisse entrevoir, en plus de ses qualités de vitesse pure, un sens tactique redoutable...
1969. Sur la ligne de départ des 24 Heures du Mans, tous les pilotes s’apprêtent à s’élancer au pas de course pour sauter dans leurs bolides. Tous, sauf un : Jacky Ickx. Pour protester contre le danger du départ « en épi » et en mémoire de l’accident de son ami Willy Mairesse survenu lors de l’édition pluvieuse de 1968, Ickx décide de marcher pour rejoindre sa GT40. Partant bon dernier, sur le modèle vieillissant de Ford, il remonte petit à petit les redoutables Porsche, pourtant largement favorites, aboutissant à un final des plus mémorables ! Malgré ses vingt-quatre ans, le jeune prodige belge laisse entrevoir, en plus de ses qualités de vitesse pure, un sens tactique redoutable...
Revivez en BD les grands moments de la plus célèbre des courses d’endurance !
Le 12 juin 1999, dans la portion d’Indianapolis du circuit des 24 Heures du Mans, la Mercedes CLR n°5 lancée à plus de 300 km/h perd l’appui et commence à décoller, tel un avion, puis tourne trois fois en l’air avant de s’écraser sur les arbres en bord de piste. C’est l’un des accidents les plus célèbres et les plus spectaculaires de la course automobile moderne. Personne ne croit une seconde que le pilote est en vie. Les pace-cars et le personnel de sécurité accourent à son secours. Et pourtant, à la stupeur générale, Peter Dumbreck sort du cockpit, indemne. Cet événement, qui fait suite à une série d’autres accidents tout aussi incroyables, offrira aux 24 Heures du Mans l’une de ses éditions les plus mémorables !
Nouvel arrivant dans la collection Plein Gaz, LF Bollée raconte la course incroyable de 1999 des 24 Heures du Mans – qu’il a lui-même couverte en tant que journaliste sportif !
Un album réalisé en partenariat avec l'ACO (Automobile Club de l'Ouest).
Revivez en BD les grands moments de la plus célèbre des courses d’endurance !
Le 12 juin 1999, dans la portion d’Indianapolis du circuit des 24 Heures du Mans, la Mercedes CLR n°5 lancée à plus de 300 km/h perd l’appui et commence à décoller, tel un avion, puis tourne trois fois en l’air avant de s’écraser sur les arbres en bord de piste. C’est l’un des accidents les plus célèbres et les plus spectaculaires de la course automobile moderne. Personne ne croit une seconde que le pilote est en vie. Les pace-cars et le personnel de sécurité accourent à son secours. Et pourtant, à la stupeur générale, Peter Dumbreck sort du cockpit, indemne. Cet événement, qui fait suite à une série d’autres accidents tout aussi incroyables, offrira aux 24 Heures du Mans l’une de ses éditions les plus mémorables !
Nouvel arrivant dans la collection Plein Gaz, LF Bollée raconte la course incroyable de 1999 des 24 Heures du Mans – qu’il a lui-même couverte en tant que journaliste sportif !
Un album réalisé en partenariat avec l'ACO (Automobile Club de l'Ouest).
24H du Mans 1964. Loin derrière la Ferrari victorieuse, une seule des 5 voitures engagées par la société automobile René Bonnet termine l'épreuve. Un an plus tard, elle est rachetée par Matra, spécialiste de l’armement, qui souhaite se servir du sport automobile pour vendre des voitures en série. Si les premiers essais ne sont pas concluants, Matra ne tarde pas à se faire petit à petit une place parmi les plus grands, notamment grâce à la passion et l’énergie de ses ingénieurs.
24H du Mans 1964. Loin derrière la Ferrari victorieuse, une seule des 5 voitures engagées par la société automobile René Bonnet termine l'épreuve. Un an plus tard, elle est rachetée par Matra, spécialiste de l’armement, qui souhaite se servir du sport automobile pour vendre des voitures en série. Si les premiers essais ne sont pas concluants, Matra ne tarde pas à se faire petit à petit une place parmi les plus grands, notamment grâce à la passion et l’énergie de ses ingénieurs.
Jaguar : un triomphe rugissant !
24 Heures du Mans, 1957. Suite à un incroyable concours de circonstances, Jaguar obtient sa 5e victoire au Mans avec 4 de ses fameuses « type D » en tête de la course. Suite à cet exploit, un journaliste s’entretient avec « Lofty » England, directeur technique et sportif de Jaguar, pour revenir sur l’histoire de la marque : de l’abandon du nom « SS » (peu judicieux au sortir de la Seconde Guerre mondiale) pour Jaguar aux débuts dans la compétition automobile jusqu’aux premières gloires...
À travers cet entretien, nous suivons par flashbacks toute une période charnière de la mythique marque Jaguar, dont l’histoire en compétition est intimement liée à celle des 24 Heures du Mans.
Jaguar : un triomphe rugissant !
24 Heures du Mans, 1957. Suite à un incroyable concours de circonstances, Jaguar obtient sa 5e victoire au Mans avec 4 de ses fameuses « type D » en tête de la course. Suite à cet exploit, un journaliste s’entretient avec « Lofty » England, directeur technique et sportif de Jaguar, pour revenir sur l’histoire de la marque : de l’abandon du nom « SS » (peu judicieux au sortir de la Seconde Guerre mondiale) pour Jaguar aux débuts dans la compétition automobile jusqu’aux premières gloires...
À travers cet entretien, nous suivons par flashbacks toute une période charnière de la mythique marque Jaguar, dont l’histoire en compétition est intimement liée à celle des 24 Heures du Mans.
L’histoire des 24 heures du Mans début le 26 mai 1923 à 16 heures. Cette toute nouvelle épreuve est créée par l’Automobile Club de l’Ouest quatre ans après la fin de la Grande Guerre. Si celle-ci reste encore confidentielle, elle attire des compétiteurs étrangers, comme l’Anglais Bentley. Pour cette première édition, il ne finira que quatrième, mais totalement séduit par l’exercice. Les années suivantes, les « Bentley Boys » – groupe de gentlemen drivers fortunés – reviendront pour écrire le mythe de la compétition en même temps que l’histoire...
L’histoire des 24 heures du Mans début le 26 mai 1923 à 16 heures. Cette toute nouvelle épreuve est créée par l’Automobile Club de l’Ouest quatre ans après la fin de la Grande Guerre. Si celle-ci reste encore confidentielle, elle attire des compétiteurs étrangers, comme l’Anglais Bentley. Pour cette première édition, il ne finira que quatrième, mais totalement séduit par l’exercice. Les années suivantes, les « Bentley Boys » – groupe de gentlemen drivers fortunés – reviendront pour écrire le mythe de la compétition en même temps que l’histoire...
1958. Vainqueur des 1000 kilomètres de Buenos Aires puis des 12 heures de Sebring avec leur 250 Testa Rossa, Ferrari s’annonce comme le grand favori du championnat du monde des voitures de sport, succédant ainsi à l’hégémonie Jaguar. Mais l’écurie Aston Martin ne compte pas leur rendre la tâche facile. David Brown, repreneur de la marque depuis 10 ans et à qui les récents modèles doivent leurs initiales « DB », exige de ses équipes des résultats concrets. Et la prochaine édition des 24 heures du Mans en sera l’occasion rêvée pour briller.
1958. Vainqueur des 1000 kilomètres de Buenos Aires puis des 12 heures de Sebring avec leur 250 Testa Rossa, Ferrari s’annonce comme le grand favori du championnat du monde des voitures de sport, succédant ainsi à l’hégémonie Jaguar. Mais l’écurie Aston Martin ne compte pas leur rendre la tâche facile. David Brown, repreneur de la marque depuis 10 ans et à qui les récents modèles doivent leurs initiales « DB », exige de ses équipes des résultats concrets. Et la prochaine édition des 24 heures du Mans en sera l’occasion rêvée pour briller.
En 1961, au départ des 24 heures du Mans, la supériorité de Ferrari s’apprête à devenir hégémonique. Après sa victoire en 1960 face à Aston Martin, la marque au cheval cabré compte bien prouver l'efficacité de ses TR61 et 250GT. Face à elles, les Aston Martin marqueront le pas et seules les Maserati pourront rivaliser un temps. Mais après plus de 4.000 kilomètres d’asphalte parcourus, trois Ferrari occupent les trois premières places du classement général. Mais ce n'est que le début d'une nouvelle ère ! Anecdotes historiques, apartés éclairants...
En 1961, au départ des 24 heures du Mans, la supériorité de Ferrari s’apprête à devenir hégémonique. Après sa victoire en 1960 face à Aston Martin, la marque au cheval cabré compte bien prouver l'efficacité de ses TR61 et 250GT. Face à elles, les Aston Martin marqueront le pas et seules les Maserati pourront rivaliser un temps. Mais après plus de 4.000 kilomètres d’asphalte parcourus, trois Ferrari occupent les trois premières places du classement général. Mais ce n'est que le début d'une nouvelle ère ! Anecdotes historiques, apartés éclairants...
Immortalisée par Steve McQueen dans son film Le Mans, la Porsche 917 est devenue une des plus grandes icônes de la course automobile. Mais avant cela, la 917 est l’aboutissement du travail de Porsche au plus haut niveau de la compétition. Grace à ce prototype, mis au point avec l’aide des plus grands pilotes de l’époque (Rodriguez, Siffert, Redman, Piper, etc.), Porsche peut enfin viser la victoire au classement général des 24 Heures du Mans 1970, voire remporter le championnat d’endurance. Les Ford GT40, après 4 ans de domination, sont vieillissantes, les Matra, elles, sont encore trop jeunes. En revanche, Ferrari, avec ses nouvelles 512 S et ses pilotes de talent, font figure d’épouvantail et vont rendre la tâche difficile à Porsche. Mais rien n’arrête une légende qui s’écrit, surtout à cette vitesse ! Ce nouvel album de la collection "Plein Gaz" consacré à la célèbre course mancelle revient sur une période mythique, certainement la plus attendue par les fans !
Immortalisée par Steve McQueen dans son film Le Mans, la Porsche 917 est devenue une des plus grandes icônes de la course automobile. Mais avant cela, la 917 est l’aboutissement du travail de Porsche au plus haut niveau de la compétition. Grace à ce prototype, mis au point avec l’aide des plus grands pilotes de l’époque (Rodriguez, Siffert, Redman, Piper, etc.), Porsche peut enfin viser la victoire au classement général des 24 Heures du Mans 1970, voire remporter le championnat d’endurance. Les Ford GT40, après 4 ans de domination, sont vieillissantes, les Matra, elles, sont encore trop jeunes. En revanche, Ferrari, avec ses nouvelles 512 S et ses pilotes de talent, font figure d’épouvantail et vont rendre la tâche difficile à Porsche. Mais rien n’arrête une légende qui s’écrit, surtout à cette vitesse ! Ce nouvel album de la collection "Plein Gaz" consacré à la célèbre course mancelle revient sur une période mythique, certainement la plus attendue par les fans !
Dès l'origine des 24 heures du Mans, en 1923, l'épreuve d'endurance z servi de banc d'essai à de très nombreuses innovations technique proposées par différents constructeurs: phare antibrouillard, traction avant, compresseur, frein à disque, injection, aileron, moteur central arrière, turbine, turbo, hybridation, etc.
La réglementation de l'ACO ayant toujours favorisé le développement technologique, de nombreuses voitures révolutionnaires ont ainsi pu prendre la piste durant ce siècle de courses automobiles. Et, si toutes n'ont pas figuré en bonne place au palmarès, elles ont souvent permis des avancées techniques qui, aujourd'hui encore, sont reprises dans la production des voitures de série.
Dès l'origine des 24 heures du Mans, en 1923, l'épreuve d'endurance z servi de banc d'essai à de très nombreuses innovations technique proposées par différents constructeurs: phare antibrouillard, traction avant, compresseur, frein à disque, injection, aileron, moteur central arrière, turbine, turbo, hybridation, etc.
La réglementation de l'ACO ayant toujours favorisé le développement technologique, de nombreuses voitures révolutionnaires ont ainsi pu prendre la piste durant ce siècle de courses automobiles. Et, si toutes n'ont pas figuré en bonne place au palmarès, elles ont souvent permis des avancées techniques qui, aujourd'hui encore, sont reprises dans la production des voitures de série.
Véritable esthète, le commissaire-priseur Hervé Poulain est également un passionné de vitesse et de course automobile. Jeune pilote amateur, il rêvait depuis toujours de participer aux 24 Heures du Mans et pensait ce rêve inaccessible… jusqu’au jour où il fit part à la direction de BMW Motorsport de son idée de promouvoir l’art en confiant l’habillage de voitures de course à des artistes contemporains. Le constructeur allemand fut séduit par le projet et proposa de fournir une de ses 3.0 CSL à la condition qu’aucun autre sponsor ne soit présent sur la carrosserie et que BMW reste propriétaire de la voiture après la course. C’est ainsi qu’en 1975 est né le concept des « Art cars », avec une première voiture peinte par Alexander Calder qui fit sensation lors de l’épreuve mancelle. Les années suivantes, Frank Stella, Roy Lichtenstein ou encore Andy Warhol succèderont à Calder et, même si aucune voiture ne montera sur le podium, cela reste une immense victoire pour Hervé Poulain qui a réussi son pari : associer la compétition, le design et l’art.
Véritables œuvres d’art roulantes, ces pièces uniques sont aujourd’hui conservées au Musée BMW à Munich. Préfacé par Hervé Poulain, ce onzième album consacré aux 24 Heures du Mans en bande dessinée revient sur un projet visionnaire l’année même où BMW fait son grand retour au Mans avec une nouvelle Art Car réalisée par l’artiste éthiopienne Julie Mehretu.
Véritable esthète, le commissaire-priseur Hervé Poulain est également un passionné de vitesse et de course automobile. Jeune pilote amateur, il rêvait depuis toujours de participer aux 24 Heures du Mans et pensait ce rêve inaccessible… jusqu’au jour où il fit part à la direction de BMW Motorsport de son idée de promouvoir l’art en confiant l’habillage de voitures de course à des artistes contemporains. Le constructeur allemand fut séduit par le projet et proposa de fournir une de ses 3.0 CSL à la condition qu’aucun autre sponsor ne soit présent sur la carrosserie et que BMW reste propriétaire de la voiture après la course. C’est ainsi qu’en 1975 est né le concept des « Art cars », avec une première voiture peinte par Alexander Calder qui fit sensation lors de l’épreuve mancelle. Les années suivantes, Frank Stella, Roy Lichtenstein ou encore Andy Warhol succèderont à Calder et, même si aucune voiture ne montera sur le podium, cela reste une immense victoire pour Hervé Poulain qui a réussi son pari : associer la compétition, le design et l’art.
Véritables œuvres d’art roulantes, ces pièces uniques sont aujourd’hui conservées au Musée BMW à Munich. Préfacé par Hervé Poulain, ce onzième album consacré aux 24 Heures du Mans en bande dessinée revient sur un projet visionnaire l’année même où BMW fait son grand retour au Mans avec une nouvelle Art Car réalisée par l’artiste éthiopienne Julie Mehretu.