Andy & Gina - La série

La petite peste Gina entraîne l'influençable Andy vers les pires bêtises : décapiter les oiseaux, jeter le chien familial dans le puits, manger un cadavre. Les quatre cent coups de ces chenapans les amènent à de drôles de rencontres : des psychopathes, un facteur ivre qui partage sa bouteille avec eux, leur institutrice tournant dans un film à diffuser le samedi soir sur canal. Avec les deux héros de Relom, revivez vos peurs et phantasmes enfantins. Évoluez dans une atmosphère noire, mais pas oppressante. Soyez prêts à vous fendre la gueule dans un univers inspiré par Tim Burton, la famille Adams et le punk rock garage. Mais attention, vous risquez de vite vous attacher à ces deux rejetons, et de ne plus pouvoir vous en passer ! (Source : Bdfugue.com)

Andy & Gina sont peut-être toujours aussi jeunes, mais ils sont déjà très matures. Et quand Relom se lâche dans ses scénars sans rien lâcher sur son dessin, c'est trash et c'est poilant. Les deux gamins réalisent tous vos fantasmes d'enfants : faire fumer des crapauds, embrasser des princes charmants, taquiner les chats ou prostituer leur mère cul-de-jatte. Tout ça sous l'oeil attendri de leur Dick Rivers des campagnes de père qui poursuit sans relâche l'éducation de ses enfants : de l'art de dératiser aux finesses du sado-masochisme, ils apprennent très vite. (Source : Bdfugue.com)

Andy et Gina vivent dans un univers inspiré de la famille Adams et des films de Tim Burton, dans lequel règnent psychopathes, ivrognes, immoralité et catastrophes en tous genres. Un humour trash sans être sordide, noir sans être oppressant. (Source : Bdfugue.com)

Andy et Gina vivent dans un univers inspiré de la famille Adams et des films de Tim Burton, dans lequel règnent psychopathes, ivrognes, immoralité et catastrophes en tous genres. (Source : Bdfugue.com)

L'humour de Relom est sans pitié, comme le regard que les enfants portent sur les adultes, et en particulier sur leurs parents ! L'innocence de l'un (Andy) et le cynisme de l'autre (Gina) s'entremêlent pour composer un monde aussi effrayant qu'attachant. Ainsi, le chemin qui mène à l'école peut se révéler merveilleux. ou cauchemardesque ! Oscillant entre poésie et roman noir, «Andy et Gina» suit pourtant une constante : il nous fait mourir de rire. Retrouvons, chers auditeurs, Andy, Gina, leur papa et leur maman (qui n'est plus qu'une tête décharnée) qu'on avait laissés faisant de l'auto-stop en rase campagne à la fin du dernier album. Dans ce 5e tome, ils trouveront une fortune qu'ils s'empresseront de dépenser auprès d'un croquemort véreux façon docteur Frankenstein afin qu'il redonne forme humaine à leur maman. L'opération ne sera qu'à moitié réussie mais ils y gagneront une petite maison isolée dans les bois. C'est dans ce décor idyllique (et dans lequel leur papa n'aura de cesse que de les perdre, faisant passer les parents du Petit Poucet pour des saints) qu'ils apprendront à manier les armes à feu, qu'ils croiseront le chemin de créatures toutes plus fantastiques les unes que les autres : une licorne ailée, des ratons-laveur tireurs d'élite, des quéquettes volantes, une sorcière adepte des méthodes bio ou des dealers de crack incompétents. (Source : Bdfugue.com)