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2ème conte du recueil
Bien le bonjour, père Latisane Desureau ! – Salut et grand merci, Pif Paf Lelutin. – Si je vous le demande, est-ce que je pourrais épouser votre fille ? – Oui, bien sûr, cela se peut si la mère Traitlavàche, son frère Hautorgueil, sa sœur Fromagemou et la belle Catrinelle sont d’accord, cela se peut vraiment. La mère Traitlavache, où est-elle à cette heure ?
2ème conte du recueil
Bien le bonjour, père Latisane Desureau ! – Salut et grand merci, Pif Paf Lelutin. – Si je vous le demande, est-ce que je pourrais épouser votre fille ? – Oui, bien sûr, cela se peut si la mère Traitlavàche, son frère Hautorgueil, sa sœur Fromagemou et la belle Catrinelle sont d’accord, cela se peut vraiment. La mère Traitlavache, où est-elle à cette heure ?
3ème conte du recueil
Il était une fois deux frères qui faisaient tous deux le métier de soldats, mais l’un demeurait pauvre tandis que l’autre était riche. Alors le pauvre voulut sortir de sa misère et quitta l’uniforme pour se faire paysan ; il défricha et laboura son bout de terre et y sema des betteraves.
3ème conte du recueil
Il était une fois deux frères qui faisaient tous deux le métier de soldats, mais l’un demeurait pauvre tandis que l’autre était riche. Alors le pauvre voulut sortir de sa misère et quitta l’uniforme pour se faire paysan ; il défricha et laboura son bout de terre et y sema des betteraves.
5ème conte du recueil
Il était une fois une pieuse et pauvre fille qui vivait seule avec sa mère. Elles n’avaient plus rien à manger, et la fillette s’en alla dans la forêt, où elle fit la rencontre d’une vieille femme qui connaissait sa misère et qui lui fit cadeau d’un petit pot, auquel il suffisait de dire. « Petit pot, cuis ! », pour qu’il vous cuise une excellente et douce bouillie de millet ; et quand on lui disait. « Petit pot, cesse ! », il s’arrêtait aussitôt de faire la bouillie.
5ème conte du recueil
Il était une fois une pieuse et pauvre fille qui vivait seule avec sa mère. Elles n’avaient plus rien à manger, et la fillette s’en alla dans la forêt, où elle fit la rencontre d’une vieille femme qui connaissait sa misère et qui lui fit cadeau d’un petit pot, auquel il suffisait de dire. « Petit pot, cuis ! », pour qu’il vous cuise une excellente et douce bouillie de millet ; et quand on lui disait. « Petit pot, cesse ! », il s’arrêtait aussitôt de faire la bouillie.
6ème conte du recueil
Un soldat qui n’a peur de rien se doit aussi de ne se tracasser de rien. Tel était le soldat de cette histoire, qui venait d’être démobilisé ; comme il ne savait rien et n’avait rien appris qui pût lui servir à gagner son pain, il s’en alla tout simplement et se mit à mendier. Il possédait un vieux manteau de drap contre les intempéries, et il était aussi chaussé de hautes bottes en cuir de buffle, qu’il avait pu garder.
6ème conte du recueil
Un soldat qui n’a peur de rien se doit aussi de ne se tracasser de rien. Tel était le soldat de cette histoire, qui venait d’être démobilisé ; comme il ne savait rien et n’avait rien appris qui pût lui servir à gagner son pain, il s’en alla tout simplement et se mit à mendier. Il possédait un vieux manteau de drap contre les intempéries, et il était aussi chaussé de hautes bottes en cuir de buffle, qu’il avait pu garder.
9ème conte du recueil
Il nous faudra faire nos réserves de nourriture pour l’hiver, dit le chat, sinon nous risquons de mourir de faim. Toi, ma petite souris, tu ne peux pas aller partout, tu pourrais te faire prendre dans un piège. C’était une bonne idée. Ils achetèrent alors un petit pot de saindoux mais ne savaient pas où le cacher.
9ème conte du recueil
Il nous faudra faire nos réserves de nourriture pour l’hiver, dit le chat, sinon nous risquons de mourir de faim. Toi, ma petite souris, tu ne peux pas aller partout, tu pourrais te faire prendre dans un piège. C’était une bonne idée. Ils achetèrent alors un petit pot de saindoux mais ne savaient pas où le cacher.
Pour la deuxième fois consécutive, le chat abusa de la crédulité et de la gentillesse de la souris en lui faisant croire qu’il était invité au baptême d’un filleul, elle devait s’occuper seule de la maison.
Pour la deuxième fois consécutive, le chat abusa de la crédulité et de la gentillesse de la souris en lui faisant croire qu’il était invité au baptême d’un filleul, elle devait s’occuper seule de la maison.
L'histoire met en scène deux enfants dont l'un devient le souffre-douleur de sa marâtre, jusqu'à ce que celle-ci commette sur lui l'acte le plus extrême. Le récit fait intervenir un arbre magique, en l'occurrence un genévrier, et une métamorphose en oiseau au chant envoûtant. Il y est question également de Nourriture.
L'histoire met en scène deux enfants dont l'un devient le souffre-douleur de sa marâtre, jusqu'à ce que celle-ci commette sur lui l'acte le plus extrême. Le récit fait intervenir un arbre magique, en l'occurrence un genévrier, et une métamorphose en oiseau au chant envoûtant. Il y est question également de Nourriture.
GRIMM, JAKOB ET WILHELM : Contes merveilleux - Tome I : L'Apprenti meunier et la petite chatte - La Belle Catrinelle et Pif-Paf le Lutin - La Betterave - Blanche Neige - La Bonne bouillie - Les Bottes en cuir de buffle - Bout de paille, braise et haricot - Cendrillon - Chat et souris associés - Chat et souris emménagent - Le Clou - Le Conte du genévrier - Les Créatures de Dieu et les bêtes du Diable - Dame Trude, la sorcière - La Demoiselle de Brake - Les Deux frères - Le Diable et sa grand-mère - Les Douze frères - Les Enfants Couleur d'Or - L'Envie de voyager - L'Épi de blé - L'Esprit dans la bouteille - La Fiancée du petit lapin - La Fille du Roi et la grenouille - Frérot et soeurette - La Gardeuse d'oies - Hansel et Gretel - Histoire de celui qui s'en alla apprendre la peur - Nouvelles - Contes Jeunesse
GRIMM, JAKOB ET WILHELM : Contes merveilleux - Tome I : L'Apprenti meunier et la petite chatte - La Belle Catrinelle et Pif-Paf le Lutin - La Betterave - Blanche Neige - La Bonne bouillie - Les Bottes en cuir de buffle - Bout de paille, braise et haricot - Cendrillon - Chat et souris associés - Chat et souris emménagent - Le Clou - Le Conte du genévrier - Les Créatures de Dieu et les bêtes du Diable - Dame Trude, la sorcière - La Demoiselle de Brake - Les Deux frères - Le Diable et sa grand-mère - Les Douze frères - Les Enfants Couleur d'Or - L'Envie de voyager - L'Épi de blé - L'Esprit dans la bouteille - La Fiancée du petit lapin - La Fille du Roi et la grenouille - Frérot et soeurette - La Gardeuse d'oies - Hansel et Gretel - Histoire de celui qui s'en alla apprendre la peur - Nouvelles - Contes Jeunesse
Une petite fille têtue et imprudente désobéit une fois de plus à ses parents et s'en va trouver la terrible Dame Trude.
Une décision qu'elle risque bien de regretter...
Une petite fille têtue et imprudente désobéit une fois de plus à ses parents et s'en va trouver la terrible Dame Trude.
Une décision qu'elle risque bien de regretter...
15ème conte du recueil
Une demoiselle de Brakel alla un jour à la chapelle de Sainte- Anne, au-dessous d’Hunenbourg. Et comme elle désirait beaucoup trouver un mari, se croyant seule dans la chapelle, elle se mit à chanter :
15ème conte du recueil
Une demoiselle de Brakel alla un jour à la chapelle de Sainte- Anne, au-dessous d’Hunenbourg. Et comme elle désirait beaucoup trouver un mari, se croyant seule dans la chapelle, elle se mit à chanter :
19ème conte du recueil
Il y avait une fois un pauvre homme et une pauvre femme qui ne possédaient rien au monde qu’une petite cabane. Ils ne vivaient que du produit de leur pêche. Un jour que le pauvre homme assis au bord de l’eau tirait ses filets, il prit un poisson entièrement d’or.
19ème conte du recueil
Il y avait une fois un pauvre homme et une pauvre femme qui ne possédaient rien au monde qu’une petite cabane. Ils ne vivaient que du produit de leur pêche. Un jour que le pauvre homme assis au bord de l’eau tirait ses filets, il prit un poisson entièrement d’or.
20ème conte du recueil
Il était une fois une femme pauvre, dont le fils avait grande envie de voyager. « Comment veux-tu partir en voyage ? lui dit sa mère. Nous n’avons pas un sou que tu puisses emporter ! » Mais le fils répondit. « Cela ne fait rien, mère, j’arriverai bien à me débrouiller ! Et d’abord, je n’arrêterai pas de répéter : Pas beaucoup ! Pas beaucoup ! »
20ème conte du recueil
Il était une fois une femme pauvre, dont le fils avait grande envie de voyager. « Comment veux-tu partir en voyage ? lui dit sa mère. Nous n’avons pas un sou que tu puisses emporter ! » Mais le fils répondit. « Cela ne fait rien, mère, j’arriverai bien à me débrouiller ! Et d’abord, je n’arrêterai pas de répéter : Pas beaucoup ! Pas beaucoup ! »
21ème conte du recueil
Quand Dieu, au temps jadis, se promenait encore en Personne sur la terre, le sol était beaucoup plus fertile que de nos jours et les épis portaient, non pas cinquante à soixante grains comme maintenant, mais de quatre à cinq cents grains qui venaient sur toute la hauteur de la tige, du ras du sol à son sommet, aussi longue avait-elle poussé, aussi long était l’épi.
21ème conte du recueil
Quand Dieu, au temps jadis, se promenait encore en Personne sur la terre, le sol était beaucoup plus fertile que de nos jours et les épis portaient, non pas cinquante à soixante grains comme maintenant, mais de quatre à cinq cents grains qui venaient sur toute la hauteur de la tige, du ras du sol à son sommet, aussi longue avait-elle poussé, aussi long était l’épi.
22ème conte du recueil
Il était une fois un pauvre bûcheron qui travaillait du matin au soir. S’étant finalement mis quelque argent de côté, il dit à son fils :
– Tu es mon unique enfant. Je veux consacrer à ton instruction ce que j’ai durement gagné à la sueur de mon front. Apprends un métier honnête et tu pourras subvenir à mes besoins quand je serai vieux, que mes membres seront devenus raides et qu’il me faudra rester à la maison.
22ème conte du recueil
Il était une fois un pauvre bûcheron qui travaillait du matin au soir. S’étant finalement mis quelque argent de côté, il dit à son fils :
– Tu es mon unique enfant. Je veux consacrer à ton instruction ce que j’ai durement gagné à la sueur de mon front. Apprends un métier honnête et tu pourras subvenir à mes besoins quand je serai vieux, que mes membres seront devenus raides et qu’il me faudra rester à la maison.
23ème conte du recueil
Il était une fois une femme avec sa fille qui avaient un beau jardin de choux. Un lapin y vint, à la saison d’hiver, et voilà qu’il leur mangeait tous les choux.
23ème conte du recueil
Il était une fois une femme avec sa fille qui avaient un beau jardin de choux. Un lapin y vint, à la saison d’hiver, et voilà qu’il leur mangeait tous les choux.
7ème conte du recueil
Dans un petit village vivait une pauvre vieille femme, qui s’était ramassé un plat de haricots et voulait les faire cuire. Elle dressa son feu dans la cheminée et l’alluma avec une bonne poignée de paille pour qu’il brûle plus vite. Quand elle mit ses haricots dans la marmite, il y en eut un qui lui échappa par mégarde, et qui vint choir sur le sol juste à côté d’un brin de paille ; l’instant d’après, c’était un bout de braise qui sautait du foyer et qui venait tomber auprès des autres.
7ème conte du recueil
Dans un petit village vivait une pauvre vieille femme, qui s’était ramassé un plat de haricots et voulait les faire cuire. Elle dressa son feu dans la cheminée et l’alluma avec une bonne poignée de paille pour qu’il brûle plus vite. Quand elle mit ses haricots dans la marmite, il y en eut un qui lui échappa par mégarde, et qui vint choir sur le sol juste à côté d’un brin de paille ; l’instant d’après, c’était un bout de braise qui sautait du foyer et qui venait tomber auprès des autres.