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Dernier royaume - La série

  • Nombre de tomes :
  • 11
  • Nombre de lecteurs :
  • 39
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


" Il y a dans lire une attente qui ne cherche pas à aboutir. Lire c'est errer. La lecture est l'errance. "
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Description
" Il y a dans lire une attente qui ne cherche pas à aboutir. Lire c'est errer. La lecture est l'errance. "
" Le passé est un immense corps dont le présent est l'œil. Ce corps rêve. La voix l'a abandonné. "
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Description
" Le passé est un immense corps dont le présent est l'œil. Ce corps rêve. La voix l'a abandonné. "
" Qu'on n'oublie pas que je ne dis rien qui soit sûr. Je laisse la langue où je suis né avancer ses vestiges et ces derniers se mêlent aux lectures et aux rêves. "
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Description
" Qu'on n'oublie pas que je ne dis rien qui soit sûr. Je laisse la langue où je suis né avancer ses vestiges et ces derniers se mêlent aux lectures et aux rêves. "
Un diptyque Les deux volumes, Les Paradisiaques, Sordidissimes, forment un diptyque. D'un côté le lieu enchanté, de l'autre côté l'objet d'épouvante. Comme dans les contes, c'est l'objet sordide qui permet de s'introduire dans le lieu le plus doux. Il s'agit d'un couple indissociable. Face au monde utérin qu'on quitte dans la naissance, le monde souterrain où on entre dans la mort. Face au lieu perdu involontairement, l'objet qu'on perd activement en le plaçant auprès de la dépouille. Face au site introuvable où le corps se fabrique, la tombe qu'on cherche à signaler à la communauté avec des pierres qu'on amoncelle. Les paradisiaques Les trois premiers tomes de Dernier royaume étaient consacrés à un temps étrange, le jadis. Le jadis est un temps mystérieux qui s'oppose au passé. Inorienté, il travaille le présent comme la foudre le ciel, comme la lave le fond de la terre, comme le big bang le fond de l'univers, comme la pulsion inconsciente le fond de l'âme. Les Paradisiaques - le tome IV de Dernier royaume - est consacré à un espace étrange, le paradis. L'espace où le temps mystérieux du jadis jouit est le paradis. C'est le lieu sans faute, humide, doux, vert, perpétuellement printanier. C'est le lieu immobile, irradiant, où a lieu le coup de foudre de l'amour. Dans ce lieu on ignore tous ceux qu'on avait cru connaître. Dans ce lieu on reconnaît sur-le-champ celui ou celle qu'on ignore. C'est la définition du coup de foudre. « Frappé par la foudre » se disait en latin « fanatique ». Les amants sont les seuls vrais fanatiques. Les Paradisiaques contiennent 42 contes sur la reconnaissance impossible de ceux qui se sont aimés.
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Un diptyque Les deux volumes, Les Paradisiaques, Sordidissimes, forment un diptyque. D'un côté le lieu enchanté, de l'autre côté l'objet d'épouvante. Comme dans les contes, c'est l'objet sordide qui permet de s'introduire dans le lieu le plus doux. Il s'agit d'un couple indissociable. Face au monde utérin qu'on quitte dans la naissance, le monde souterrain où on entre dans la mort. Face au lieu perdu involontairement, l'objet qu'on perd activement en le plaçant auprès de la dépouille. Face au site introuvable où le corps se fabrique, la tombe qu'on cherche à signaler à la communauté avec des pierres qu'on amoncelle. Les paradisiaques Les trois premiers tomes de Dernier royaume étaient consacrés à un temps étrange, le jadis. Le jadis est un temps mystérieux qui s'oppose au passé. Inorienté, il travaille le présent comme la foudre le ciel, comme la lave le fond de la terre, comme le big bang le fond de l'univers, comme la pulsion inconsciente le fond de l'âme. Les Paradisiaques - le tome IV de Dernier royaume - est consacré à un espace étrange, le paradis. L'espace où le temps mystérieux du jadis jouit est le paradis. C'est le lieu sans faute, humide, doux, vert, perpétuellement printanier. C'est le lieu immobile, irradiant, où a lieu le coup de foudre de l'amour. Dans ce lieu on ignore tous ceux qu'on avait cru connaître. Dans ce lieu on reconnaît sur-le-champ celui ou celle qu'on ignore. C'est la définition du coup de foudre. « Frappé par la foudre » se disait en latin « fanatique ». Les amants sont les seuls vrais fanatiques. Les Paradisiaques contiennent 42 contes sur la reconnaissance impossible de ceux qui se sont aimés.
" Les terreurs ne ressemblent pas aux bêtes qui les provoquent. Les affects n'ont pas les traits des ouragans dont la menace les effraie. Les blessures ne ressemblent pas aux armes. Les tristesses ne ressemblent pas aux mots. "
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Description
" Les terreurs ne ressemblent pas aux bêtes qui les provoquent. Les affects n'ont pas les traits des ouragans dont la menace les effraie. Les blessures ne ressemblent pas aux armes. Les tristesses ne ressemblent pas aux mots. "
La Barque silencieuse est comme Vie secrète (Gallimard, 1998). Il s’agit de la recherche d’un mode de vie, plus singulier, plus radical, plus profond, sans jugement, sans société, sans dieux. C’est une suite de contes(la barque des morts, le coche d'eau, le dernier tournois, le dernier abbé, la comtesse de Hornoc, la haine merveilleuse, la fête des chants du marais, Alexandre le Grand au paradis, la fille du gouverneur d'Ise), les derniers jours de Mazarin perdu dans ses peintures, l'enfer de la Réserve, les paradis de port de mer, Pompée à Mytilène, l'exhumation du corps de Bossuet, Thamous à Palôdes). C’est une suite de petits romans, d’anecdotes historiques, de fragments biographiques (la mort de Madame de La Fayette, Ninon de Lenclos, Henriette d’Angleterre, Arria l’Aînée, Etienne de La Boétie…). C’est une suite d’étymologies (l’origine du mot corbillard, l’origine du mot liberté, de la négation, du mot vertu, du mot hiver, l'arrivée du chrysanthème à Toulouse en 1831, l'invention du mot suicide…). Avec Dernier Royaume, Pascal Quignard a trouvé une forme littéraire nouvelle, il casse les genres, décloisonne les domaines et brouille les images, une totalité authentique qui intègre l'essai, le moi, l'imaginaire, le conte.
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La Barque silencieuse est comme Vie secrète (Gallimard, 1998). Il s’agit de la recherche d’un mode de vie, plus singulier, plus radical, plus profond, sans jugement, sans société, sans dieux. C’est une suite de contes(la barque des morts, le coche d'eau, le dernier tournois, le dernier abbé, la comtesse de Hornoc, la haine merveilleuse, la fête des chants du marais, Alexandre le Grand au paradis, la fille du gouverneur d'Ise), les derniers jours de Mazarin perdu dans ses peintures, l'enfer de la Réserve, les paradis de port de mer, Pompée à Mytilène, l'exhumation du corps de Bossuet, Thamous à Palôdes). C’est une suite de petits romans, d’anecdotes historiques, de fragments biographiques (la mort de Madame de La Fayette, Ninon de Lenclos, Henriette d’Angleterre, Arria l’Aînée, Etienne de La Boétie…). C’est une suite d’étymologies (l’origine du mot corbillard, l’origine du mot liberté, de la négation, du mot vertu, du mot hiver, l'arrivée du chrysanthème à Toulouse en 1831, l'invention du mot suicide…). Avec Dernier Royaume, Pascal Quignard a trouvé une forme littéraire nouvelle, il casse les genres, décloisonne les domaines et brouille les images, une totalité authentique qui intègre l'essai, le moi, l'imaginaire, le conte.
«Tout mythe explique une situation actuelle par le renversement d'une situation antérieure. Tout à coup quelque chose désarçonne l'âme dans le corps. Tout à coup un amour renverse le cours de notre vie. Tout à coup une mort imprévue fait basculer l'ordre du monde et surtout celui du passé car le temps est continûment neuf. Le temps est de plus en plus neuf. Il afflue sans cesse directement de l'origine. Il fait retraverser la détresse originaire autant de fois qu'on veut revivre.» http://www.folio-lesite.fr/Catalogue/Folio/Folio/Les-desarconnes
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«Tout mythe explique une situation actuelle par le renversement d'une situation antérieure. Tout à coup quelque chose désarçonne l'âme dans le corps. Tout à coup un amour renverse le cours de notre vie. Tout à coup une mort imprévue fait basculer l'ordre du monde et surtout celui du passé car le temps est continûment neuf. Le temps est de plus en plus neuf. Il afflue sans cesse directement de l'origine. Il fait retraverser la détresse originaire autant de fois qu'on veut revivre.» http://www.folio-lesite.fr/Catalogue/Folio/Folio/Les-desarconnes
"La vie secrète est la vie qui se sépare du monde. Je renonçai peu à peu à toutes les activités sociales que je menais. Je cherchais autre chose. La vie qui ne se montre pas, cachée, amoureuse, profonde, non sociale."
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"La vie secrète est la vie qui se sépare du monde. Je renonçai peu à peu à toutes les activités sociales que je menais. Je cherchais autre chose. La vie qui ne se montre pas, cachée, amoureuse, profonde, non sociale."
Le neuvième tome de Dernier Royaume est consacré à la pensée. Ainsi Pascal Quignard arrive au cœur de sa quête. Livre après livre, Dernier Royaume cherche à éprouver une autre façon de penser. Un mode de penser qui n’a rien à voir avec la philosophie. Une façon de s’attacher à la lettre, à la fragmentation de la langue écrite, et d’avancer en décomposant les images des rêves, en désordonnant les formes verbales, en exhumant les textes sources. Ce livre explore trois choses. Comment la pensée et la mort se touchent. Comment la pensée est proche de la mélancolie. Comment la pensée s’abrite auprès du traumatisme. Celui qui pense « compense » un très vieil abandon. Ce qui fait le fond de la pensée c’est la mère manquante. De même que le rêve est un sens dont les images désordonnées, condensées, paradoxales, intuitionnent quelque chose qui a précédé le sommeil et qui fait retour en elles, de même la pensée est un sens qui use de mots écrits, retranscrits, retraduits, épluchés, étymologisés, néologisés, lesquels projettent des liens entre des silhouettes éparses, où on s’est jadis perdu.
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Le neuvième tome de Dernier Royaume est consacré à la pensée. Ainsi Pascal Quignard arrive au cœur de sa quête. Livre après livre, Dernier Royaume cherche à éprouver une autre façon de penser. Un mode de penser qui n’a rien à voir avec la philosophie. Une façon de s’attacher à la lettre, à la fragmentation de la langue écrite, et d’avancer en décomposant les images des rêves, en désordonnant les formes verbales, en exhumant les textes sources. Ce livre explore trois choses. Comment la pensée et la mort se touchent. Comment la pensée est proche de la mélancolie. Comment la pensée s’abrite auprès du traumatisme. Celui qui pense « compense » un très vieil abandon. Ce qui fait le fond de la pensée c’est la mère manquante. De même que le rêve est un sens dont les images désordonnées, condensées, paradoxales, intuitionnent quelque chose qui a précédé le sommeil et qui fait retour en elles, de même la pensée est un sens qui use de mots écrits, retranscrits, retraduits, épluchés, étymologisés, néologisés, lesquels projettent des liens entre des silhouettes éparses, où on s’est jadis perdu.
"Qu’est-ce que je cherche, tome après tome, dans Dernier Royaume ? Une autre façon de penser à la limite du rêve. Une façon de s’attacher au plus près de la lettre, à la fragmentation de la langue écrite, et d’avancer en décomposant les images des rêves, en désordonnant les formes verbales, en exhumant les textes sources. Quelle étrange falsification a lieu dans le rêve ? Dans le dessin qui naît sous les doigts ? Dans le langage qui gémit ? Dans la pensée qui hallucine ? Dans la musique même ? Quel est ce mystérieux fantôme ou appelant ? Ce dixième tome de Dernier royaume n’a qu’un sujet : le faux qui fait le fond de l’âme. Le fond de l'âme hallucine. Le langage dédouble ses fantômes. Tous les arts élèvent des mondes faux. Même la dépression est un rêve. L’art dès son origine témoigne activement d’un passé présent : d’un rêve actif qui passe les générations et remanie ce qu'il fait revenir. L’art de la préhistoire est une référence fondamentale pour toutes les populations humaines actuelles. C’est le véritable patrimoine. Ce sont peut-être même les seules traces d’un fond universel qui s’est dispersé avec la curiosité territoriale propre à l’espèce et l'éparpillement des langues qui sont impuissantes à offrir d'aussi saisissantes archives originaires au fond des mots dont elles usent."
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"Qu’est-ce que je cherche, tome après tome, dans Dernier Royaume ? Une autre façon de penser à la limite du rêve. Une façon de s’attacher au plus près de la lettre, à la fragmentation de la langue écrite, et d’avancer en décomposant les images des rêves, en désordonnant les formes verbales, en exhumant les textes sources. Quelle étrange falsification a lieu dans le rêve ? Dans le dessin qui naît sous les doigts ? Dans le langage qui gémit ? Dans la pensée qui hallucine ? Dans la musique même ? Quel est ce mystérieux fantôme ou appelant ? Ce dixième tome de Dernier royaume n’a qu’un sujet : le faux qui fait le fond de l’âme. Le fond de l'âme hallucine. Le langage dédouble ses fantômes. Tous les arts élèvent des mondes faux. Même la dépression est un rêve. L’art dès son origine témoigne activement d’un passé présent : d’un rêve actif qui passe les générations et remanie ce qu'il fait revenir. L’art de la préhistoire est une référence fondamentale pour toutes les populations humaines actuelles. C’est le véritable patrimoine. Ce sont peut-être même les seules traces d’un fond universel qui s’est dispersé avec la curiosité territoriale propre à l’espèce et l'éparpillement des langues qui sont impuissantes à offrir d'aussi saisissantes archives originaires au fond des mots dont elles usent."
« Le tome VIII, Vie secrète, se consacrait à la question "Qu'est-ce que l'amour ?" Le tome IX, Mourir de penser, était consacré à la question "Qu'est-ce que penser ?" Le tome X, L'Enfant d'Ingolstadt, posait la question "Qu'est-ce que la peinture ?" Le tome XI de Dernier royaume, L'homme aux trois lettres, c'est mon "Qu'est-ce que la littérature ?" C’est ainsi que Pascal Quignard présente ce nouveau tome de Dernier Royaume. Il se pose la question de l’art auquel il a consacré toute sa vie. Dans la forme « océanique » qui caractérise ces volumes, il explique le bonheur qu’il a retiré de cette passion qui ne s’est jamais démentie. « Jaime les livres. J’aime leur monde. J’aime être dans la nuée que chacun d’eux forme, qui s’élève, qui s’étire. J’éprouve de l’excitation à en retrouver le poids léger et le volume à l’intérieur de la paume. J’aime vieillir dans le silence, dans la longue phrase qui passe sous les yeux ». Cette déclaration ouvre le nouveau merveilleux opus de Pascal Quignard, sans doute le plus autobiographique.
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« Le tome VIII, Vie secrète, se consacrait à la question "Qu'est-ce que l'amour ?" Le tome IX, Mourir de penser, était consacré à la question "Qu'est-ce que penser ?" Le tome X, L'Enfant d'Ingolstadt, posait la question "Qu'est-ce que la peinture ?" Le tome XI de Dernier royaume, L'homme aux trois lettres, c'est mon "Qu'est-ce que la littérature ?" C’est ainsi que Pascal Quignard présente ce nouveau tome de Dernier Royaume. Il se pose la question de l’art auquel il a consacré toute sa vie. Dans la forme « océanique » qui caractérise ces volumes, il explique le bonheur qu’il a retiré de cette passion qui ne s’est jamais démentie. « Jaime les livres. J’aime leur monde. J’aime être dans la nuée que chacun d’eux forme, qui s’élève, qui s’étire. J’éprouve de l’excitation à en retrouver le poids léger et le volume à l’intérieur de la paume. J’aime vieillir dans le silence, dans la longue phrase qui passe sous les yeux ». Cette déclaration ouvre le nouveau merveilleux opus de Pascal Quignard, sans doute le plus autobiographique.

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