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Historia - La série

  • Nombre de tomes :
  • 35
  • Nombre de lecteurs :
  • 3
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


Au sommaire de ce numéro: _ Echos de l'Histoire: Cléopâtre _ Un 350e anniversaire: La Rochefoucauld amoureux de Mme de Longueville _ Les dernières heures de Dien Bien Phu _ Comment Louis XIV administrait la France _ Les villages lacustres _ Un beau ratage des "services spéciaux" en 1945 _ Les guerres de Vendée _ Une célèbre actrice anglaise: Margaret Woffington _ Les dangereuses "Vacances romaines" d'un espion _ Au coeur du problème des Noirs: le Mississippi _ Madame Clovis Hugues a tué Morin! _ Les joyeux réveillons du Premier Empire
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Au sommaire de ce numéro: _ Echos de l'Histoire: Cléopâtre _ Un 350e anniversaire: La Rochefoucauld amoureux de Mme de Longueville _ Les dernières heures de Dien Bien Phu _ Comment Louis XIV administrait la France _ Les villages lacustres _ Un beau ratage des "services spéciaux" en 1945 _ Les guerres de Vendée _ Une célèbre actrice anglaise: Margaret Woffington _ Les dangereuses "Vacances romaines" d'un espion _ Au coeur du problème des Noirs: le Mississippi _ Madame Clovis Hugues a tué Morin! _ Les joyeux réveillons du Premier Empire
Au sommaire de ce numéro: _ Echos de l'histoire: petite histoire de la poste _ Il y a cinquante ans: "Aux armes citoyens!" _ Ceux de 14 _ Maria Walewska retrouve Napoléon à l'île d'Elbe _ Un espion fut le fossoyeur de l'empire autrichien _ Qui était François-Joseph _ Curieux trains d'autrefois _ Le calvaire de Madame Elisabeth _ Il y a vingt ans: les derniers jours du Maréchal Pétain à Vichy _ La libération de Paris _ L'homme qui servit de modèle à Arsène Lupin _ Au pays de Tendre _ 20 000 ans en arrière: la préhistoire au fond des grottes pyrénéenne
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Au sommaire de ce numéro: _ Echos de l'histoire: petite histoire de la poste _ Il y a cinquante ans: "Aux armes citoyens!" _ Ceux de 14 _ Maria Walewska retrouve Napoléon à l'île d'Elbe _ Un espion fut le fossoyeur de l'empire autrichien _ Qui était François-Joseph _ Curieux trains d'autrefois _ Le calvaire de Madame Elisabeth _ Il y a vingt ans: les derniers jours du Maréchal Pétain à Vichy _ La libération de Paris _ L'homme qui servit de modèle à Arsène Lupin _ Au pays de Tendre _ 20 000 ans en arrière: la préhistoire au fond des grottes pyrénéenne
César a construit son propre mythe, lequel a traversé les siècles sans jamais être écorné, surtout en France. Mais derrière l’image d’Épinal du fondateur de l’Imperium, le territoire géographique sur lequel s’étend l’autorité de Rome, apparaît en filigrane un proconsul brutal et violent, responsable, entre autres, d’exactions sur les populations civiles de la Gaule soumise. Ce qui conduit Pline l’Ancien à dénoncer un « crime contre l’humanité ». Alors César est-il un criminel de guerre ? La réponse est à lire dans ce dossier, signé de Jean-Yves Boriaud, Yann Le Bohec et Catherine Salles. Un million de morts, un million de prisonniers. Tel est le bilan effroyable de la guerre des Gaules, six années de campagne militaire façon terre brûlée, menée par Rome dans une intention civilisatrice et considérée par elle comme l’une de ses plus grandes victoires. Trois des meilleurs spécialistes de l’Antiquité reviennent sur les actions et les exactions de l’ambitieux général. César Imperator et Terminator ! Également au sommaire : Ces statues qu’on déboulonne. De Saint Louis à Napoléon, de Colbert à Thiers, haro sur certaines des figures emblématiques de l’Histoire de France, dont certains voudraient effacer toute trace dans le paysage français. Laurent Joffrin analyse les raisons de cette volonté destructrice et plaide pour la mémoire et non pour l’amnésie. Des récits. Quatre, ce mois-ci, à dévorer… Gandhi. L’homme derrière l’icône. Franck Ferrand retrace le destin et l’oeuvre de la « Grande Âme » de l’Inde, assassiné il y a tout juste 70 ans. Jeanne Toussaint. La panthère de Cartier. Claire l’Hoër nous fait découvrir les carrières successives d’une perle rare, ancienne « cocotte » devenue l’une des créatrices les plus célèbres de la célèbre Maison de joaillerie. La révolution des yéyés. Gérard de Cortanze nous transporte à l’époque de la déferlante du rock et du twist dans la France gaullienne sur laquelle va surfer la génération des baby-boomers. De quoi raviver la nostalgie de ces années marquées, par la joie de vivre et de consommer alors que la disparition de Johnny a endeuillé toute une génération. La folle échappée. Jean-Marc Dreyfus fait revivre l’incroyable évasion, en 1943, d’un groupe de détenus du camp de Drancy,. Et aussi : Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se penche sur le nouveau défi religieux auquel notre jeune République laïque est confrontée et de Guillaume Malaurie – qui s’interroge sur l’effet pervers de la multiplicité des Histoires, propre à étouffer l’Histoire collective. Sans oublier les pages Memento qui pose en ouverture une question d’actualité « Le Taj Mahal est-il indien ? » à l’heure ou l’État de l’Uttar Pradesh l’a retiré de ses plaquettes touristiques au motif qu’il s’agit d’un monument musulman, et les pages Culture.
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César a construit son propre mythe, lequel a traversé les siècles sans jamais être écorné, surtout en France. Mais derrière l’image d’Épinal du fondateur de l’Imperium, le territoire géographique sur lequel s’étend l’autorité de Rome, apparaît en filigrane un proconsul brutal et violent, responsable, entre autres, d’exactions sur les populations civiles de la Gaule soumise. Ce qui conduit Pline l’Ancien à dénoncer un « crime contre l’humanité ». Alors César est-il un criminel de guerre ? La réponse est à lire dans ce dossier, signé de Jean-Yves Boriaud, Yann Le Bohec et Catherine Salles. Un million de morts, un million de prisonniers. Tel est le bilan effroyable de la guerre des Gaules, six années de campagne militaire façon terre brûlée, menée par Rome dans une intention civilisatrice et considérée par elle comme l’une de ses plus grandes victoires. Trois des meilleurs spécialistes de l’Antiquité reviennent sur les actions et les exactions de l’ambitieux général. César Imperator et Terminator ! Également au sommaire : Ces statues qu’on déboulonne. De Saint Louis à Napoléon, de Colbert à Thiers, haro sur certaines des figures emblématiques de l’Histoire de France, dont certains voudraient effacer toute trace dans le paysage français. Laurent Joffrin analyse les raisons de cette volonté destructrice et plaide pour la mémoire et non pour l’amnésie. Des récits. Quatre, ce mois-ci, à dévorer… Gandhi. L’homme derrière l’icône. Franck Ferrand retrace le destin et l’oeuvre de la « Grande Âme » de l’Inde, assassiné il y a tout juste 70 ans. Jeanne Toussaint. La panthère de Cartier. Claire l’Hoër nous fait découvrir les carrières successives d’une perle rare, ancienne « cocotte » devenue l’une des créatrices les plus célèbres de la célèbre Maison de joaillerie. La révolution des yéyés. Gérard de Cortanze nous transporte à l’époque de la déferlante du rock et du twist dans la France gaullienne sur laquelle va surfer la génération des baby-boomers. De quoi raviver la nostalgie de ces années marquées, par la joie de vivre et de consommer alors que la disparition de Johnny a endeuillé toute une génération. La folle échappée. Jean-Marc Dreyfus fait revivre l’incroyable évasion, en 1943, d’un groupe de détenus du camp de Drancy,. Et aussi : Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se penche sur le nouveau défi religieux auquel notre jeune République laïque est confrontée et de Guillaume Malaurie – qui s’interroge sur l’effet pervers de la multiplicité des Histoires, propre à étouffer l’Histoire collective. Sans oublier les pages Memento qui pose en ouverture une question d’actualité « Le Taj Mahal est-il indien ? » à l’heure ou l’État de l’Uttar Pradesh l’a retiré de ses plaquettes touristiques au motif qu’il s’agit d’un monument musulman, et les pages Culture.
La déclaration d’indépendance unilatérale d’octobre 2017 a replacé la Catalogne au cœur de l’actualité. Mais le débat n’est pas nouveau. La rivalité entre Madrid et Barcelone a des racines profondes que le magazine Historia vous expose dans ce dossier consacré aux origines historiques de la « question catalane » et signé des meilleurs spécialistes du sujet. La longue histoire du harcèlement sexuel et le Festival Historia qui aura lieu à Strasbourg du 16 au 18 février sont également à la une de ce numéro. Les Catalans ont déjà connu et expérimenté trois formes d’autonomie successives en Espagne au cours du XXe
 siècle. La Mancomunitat, de 1914 à la mise en place de la dictature de Primo de Rivera, en 1923. La Generalitat de Catalunya avec un statut d’autonomie en 1932. Et l’actuelle dont le principe réside dans la Constitution espagnole de 1978, massivement approuvée par référendum avec 91 % de « oui » en Catalogne, ainsi que l’explique le spécialiste de la géo-politique catalane Cyril Trépier. Mais l’identité catalane émerge dès le IXe siècle et son âge d’or s’épanouit au cours du Moyen Âge. Cette histoire riche et mouvementée, marquée, surtout depuis le XVIIe siècle, par la lutte contre le pouvoir centralisateur de Madrid, est retracée en détail, chronologie à l’appui, dans ce dossier aux couleurs de la Catalogne. Également au sommaire de ce numéro : L’Événement aborde ce mois-ci le sujet délicat du harcèlement sexuel. Une longue histoire que nous retracent, de la Préhistoire à nos jours, en passant par Hollywood, l’historienne Joëlle Chevé, la vidéaste Aude Gogny-Goubert et le journaliste François Forestier. Des récits • 1358, Paris s’éveille par Franck Ferrand ou le récit du premier des soulèvements parisiens contre la royauté, mené par le prévôt des marchands, Étienne Marcel, le 23 février 1358. • Camille Desmoulins et Robespierre. Une amitié en Révolution. L’historien Hervé Leuwers (qui sera présent au Festival Historia) revient sur l’amitié datant du collège entre le journaliste et Conventionnel montagnard Desmoulins et « l’Incorruptible » Robespierre, son cadet de deux ans. • Gutenberg, l’Alsacien. La casse du siècle. Georges Bischoff qui présentera son ouvrage « Le siècle de Gutenberg » au Festival Historia, établit un lien entre la présence de Gutenberg jusqu’en 1444 à Strasbourg (qui fête cette année le 500e anniversaire de sa mort) et la genèse strasbourgeoise de la typographie et rappelle le coup de génie de l’inventeur de l’imprimerie qui a bouleversé notre rapport à l’écrit. Le Memento, avec en ouverture, un retour sur les prémices de mai 1968, dès le mois de février avec le limogeage du directeur de la Cinémathèque, Henri Langlois, par le ministre André Malraux. Et aussi, ce mois-ci : Emmanuel de Waresquiel rend hommage à Jean d’Ormesson, disparu en décembre, et parle de sa « façon de traiter les choses graves avec légèreté et les choses légères avec sérieux. » Guillaume Malaurie décortique avec humour les nouvelles périphrases en vigueur, publiées au Journal officiel, supposées s’appliquer aux inextricables situations géopolitiques actuelles. La guerre est désormais « une attaque à dose totale » et la trahison s’appelle « un changement de camp »… Sans oublier les pages Expos, Écrans, livres, Voyage – à Carcassonne et sa région, au cœur de ses hiératiques châteaux sentinelles -, Gastronomie et Mots croisés.
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La déclaration d’indépendance unilatérale d’octobre 2017 a replacé la Catalogne au cœur de l’actualité. Mais le débat n’est pas nouveau. La rivalité entre Madrid et Barcelone a des racines profondes que le magazine Historia vous expose dans ce dossier consacré aux origines historiques de la « question catalane » et signé des meilleurs spécialistes du sujet. La longue histoire du harcèlement sexuel et le Festival Historia qui aura lieu à Strasbourg du 16 au 18 février sont également à la une de ce numéro. Les Catalans ont déjà connu et expérimenté trois formes d’autonomie successives en Espagne au cours du XXe
 siècle. La Mancomunitat, de 1914 à la mise en place de la dictature de Primo de Rivera, en 1923. La Generalitat de Catalunya avec un statut d’autonomie en 1932. Et l’actuelle dont le principe réside dans la Constitution espagnole de 1978, massivement approuvée par référendum avec 91 % de « oui » en Catalogne, ainsi que l’explique le spécialiste de la géo-politique catalane Cyril Trépier. Mais l’identité catalane émerge dès le IXe siècle et son âge d’or s’épanouit au cours du Moyen Âge. Cette histoire riche et mouvementée, marquée, surtout depuis le XVIIe siècle, par la lutte contre le pouvoir centralisateur de Madrid, est retracée en détail, chronologie à l’appui, dans ce dossier aux couleurs de la Catalogne. Également au sommaire de ce numéro : L’Événement aborde ce mois-ci le sujet délicat du harcèlement sexuel. Une longue histoire que nous retracent, de la Préhistoire à nos jours, en passant par Hollywood, l’historienne Joëlle Chevé, la vidéaste Aude Gogny-Goubert et le journaliste François Forestier. Des récits • 1358, Paris s’éveille par Franck Ferrand ou le récit du premier des soulèvements parisiens contre la royauté, mené par le prévôt des marchands, Étienne Marcel, le 23 février 1358. • Camille Desmoulins et Robespierre. Une amitié en Révolution. L’historien Hervé Leuwers (qui sera présent au Festival Historia) revient sur l’amitié datant du collège entre le journaliste et Conventionnel montagnard Desmoulins et « l’Incorruptible » Robespierre, son cadet de deux ans. • Gutenberg, l’Alsacien. La casse du siècle. Georges Bischoff qui présentera son ouvrage « Le siècle de Gutenberg » au Festival Historia, établit un lien entre la présence de Gutenberg jusqu’en 1444 à Strasbourg (qui fête cette année le 500e anniversaire de sa mort) et la genèse strasbourgeoise de la typographie et rappelle le coup de génie de l’inventeur de l’imprimerie qui a bouleversé notre rapport à l’écrit. Le Memento, avec en ouverture, un retour sur les prémices de mai 1968, dès le mois de février avec le limogeage du directeur de la Cinémathèque, Henri Langlois, par le ministre André Malraux. Et aussi, ce mois-ci : Emmanuel de Waresquiel rend hommage à Jean d’Ormesson, disparu en décembre, et parle de sa « façon de traiter les choses graves avec légèreté et les choses légères avec sérieux. » Guillaume Malaurie décortique avec humour les nouvelles périphrases en vigueur, publiées au Journal officiel, supposées s’appliquer aux inextricables situations géopolitiques actuelles. La guerre est désormais « une attaque à dose totale » et la trahison s’appelle « un changement de camp »… Sans oublier les pages Expos, Écrans, livres, Voyage – à Carcassonne et sa région, au cœur de ses hiératiques châteaux sentinelles -, Gastronomie et Mots croisés.
Savez-vous que c’est au cours de la Première Guerre mondiale que l’espionnage moderne voit le jour ? Les femmes vont y jouer un grand rôle dès le début. Un dossier réalisé sous la houlette de l’historien, expert du renseignement et de l’espionnage, Yvonnick Denoël qui montre l’importance de cette guerre de l’ombre, aussi décisive que celle des tranchées. Réseaux de résistance, écoutes et cryptographie, désinformation et déstabilisation sont quelques-unes des pratiques expérimentées pendant la Grande Guerre par tous les pays concernés. Avant 1914, écrit Yvonnick Denoël, le renseignement est une activité peu valorisée. Après 1918, il est hors de question qu’un pays puisse s’en dispenser. L’essor du décryptage, le renseignement économique comme composante de la guerre secrète, la guerre bactériologique, la féminisation du renseignement avec la mise à l’honneur de quelques grandes figures, des célèbres Mata Hari et Mistinguett aux plus méconnues Marthe McKenna et Elsbeth Schragmüller, dite « Mademoiselle Doktor », sont les points forts de ce dossier. Au sommaire : L’Événement du mois consacré à Jules Verne, à l’occasion des 190 ans de sa naissance à Nantes. Un article de son biographe Daniel Compère. Des récits • La révolution de 1848 vue par Victor Hugo par Franck Ferrand ou le récit pris sur le vif de l’insurrection qui a éclaté dans la capitale il y a cent soixante-dix ans par un reporter de choc, l’auteur de La Légende des siècles lui-même. • Transhumanisme. Le nouvel horizon de l’évolution par Xavier Donzelli qui nous parle d’un rêve vieux comme le monde, celui d’un homme démiurge. • La symphonie campanaire du Moyen Âge par le médiéviste Laurent Vissière. L’historien se fait le chef d’orchestre d’un concert oublié, celui que jouaient, par sonneurs interposés, les timbres des cloches qui chapitraient les heures de la vie médiévale. À lire également, les pages Expos, Ecrans, Memento où vous découvrirez que l’obsolescence programmée existe depuis les années 1920, Livres, Voyage (le palais al-Bahia à Marrakech) et Gastronomie. Sans oublier les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel – qui réfléchit à la complexité de l’Histoire aussi incertaine que notre temps présent - et Guillaume Malaurie qui vous exhorte à courir voir la pièce « Tertullien », jouée au Théâtre de Poche Montparnasse aux résonances étonnamment actuelles.
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Savez-vous que c’est au cours de la Première Guerre mondiale que l’espionnage moderne voit le jour ? Les femmes vont y jouer un grand rôle dès le début. Un dossier réalisé sous la houlette de l’historien, expert du renseignement et de l’espionnage, Yvonnick Denoël qui montre l’importance de cette guerre de l’ombre, aussi décisive que celle des tranchées. Réseaux de résistance, écoutes et cryptographie, désinformation et déstabilisation sont quelques-unes des pratiques expérimentées pendant la Grande Guerre par tous les pays concernés. Avant 1914, écrit Yvonnick Denoël, le renseignement est une activité peu valorisée. Après 1918, il est hors de question qu’un pays puisse s’en dispenser. L’essor du décryptage, le renseignement économique comme composante de la guerre secrète, la guerre bactériologique, la féminisation du renseignement avec la mise à l’honneur de quelques grandes figures, des célèbres Mata Hari et Mistinguett aux plus méconnues Marthe McKenna et Elsbeth Schragmüller, dite « Mademoiselle Doktor », sont les points forts de ce dossier. Au sommaire : L’Événement du mois consacré à Jules Verne, à l’occasion des 190 ans de sa naissance à Nantes. Un article de son biographe Daniel Compère. Des récits • La révolution de 1848 vue par Victor Hugo par Franck Ferrand ou le récit pris sur le vif de l’insurrection qui a éclaté dans la capitale il y a cent soixante-dix ans par un reporter de choc, l’auteur de La Légende des siècles lui-même. • Transhumanisme. Le nouvel horizon de l’évolution par Xavier Donzelli qui nous parle d’un rêve vieux comme le monde, celui d’un homme démiurge. • La symphonie campanaire du Moyen Âge par le médiéviste Laurent Vissière. L’historien se fait le chef d’orchestre d’un concert oublié, celui que jouaient, par sonneurs interposés, les timbres des cloches qui chapitraient les heures de la vie médiévale. À lire également, les pages Expos, Ecrans, Memento où vous découvrirez que l’obsolescence programmée existe depuis les années 1920, Livres, Voyage (le palais al-Bahia à Marrakech) et Gastronomie. Sans oublier les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel – qui réfléchit à la complexité de l’Histoire aussi incertaine que notre temps présent - et Guillaume Malaurie qui vous exhorte à courir voir la pièce « Tertullien », jouée au Théâtre de Poche Montparnasse aux résonances étonnamment actuelles.
Dans ce dossier consacré à la longue et difficile épopée du petit d’homme, Historia se penche sur le berceau des bébés d’autrefois et sur celui des petits qui, à partir du XXe siècle, vont naître, entourés de nouvelles fées bienveillantes, l’hygiène, l’asepsie, l’antisepsie, la pédagogie et la psychologie infantile. Avec la participation exceptionnelle de l’historienne spécialiste de l’histoire de la naissance et de la petite enfance, Marie-France Morel, et du pédopsychiatre Marcel Rufo. Impitoyablement sélectionné dans les sociétés grecques et romaines, le nourrisson, très vulnérable jusqu’à la fin du XIXe siècle, et en butte à une mortalité effarante - 80 à 90 % des petits succombent avant leur premier anniversaire - , est condamné à errer dans les limbes, au bord de l’enfer, s’il n’a pas été baptisé avant sa mort ou à être abandonné s’il survit au sein d’une famille trop misérable pour l’élever. Ce n’est qu’à partir de la fin du XVIIIe siècle que le nouveau-né, vu jusque là comme un tube digestif sans conscience, commence à être enfin considéré comme un être à part entière, mais longue sera la route avant qu’il ne puisse bénéficier des bienfaits de l’asepsie découverte par Pasteur et d’une nouvelle discipline, la pédagogie. D’ailleurs, saviez-vous que le terme « bébé », dérivé de l'anglais baby, n’est employé qu’à partir des années 1840 ? Également au sommaire L’évènement du mois Dans le cadre du 50e anniversaire de Mai 68, zoom sur L’autre 68 : le pouvoir face à la crise. Une situation brossée grâce à l’étude de documents officiels et privés des Archives Nationales qui revisite complètement l’approche du sujet en le contextualisant dans l’espace – la contestation n’est pas propre à la capitale - et le temps – On parle désormais de mai-juin 68. Des récits Ils ont osé défier Hitler. Un hommage à celles et ceux qui, en Allemagne, ont eu le courage de dire non au nazisme, quel que soit le prix à payer pour leur acte de résistance. « Notre fin sera atroce, mais cela vaut mieux qu’une atrocité sans fin », écrit Hans Scholl. le frère de Sophie. Être prêt à mourir pour ne pas vivre sous un régime indigne. Peu l’ont fait, mais le nom de ces héros est entré dans l’Histoire. August Landmesser, Sylvin Rubinstein, Otto et Élise Hampel, Sophie Scholl, son frère Hans et leurs amis de la Rose blanche, Ernst Leitz, Irène Block, Georg Elser, se sont, chacun à leur manière, dressé contre l’intolérable. Voici leur histoire, souvent poignante, emblématique de « la résistance individuelle à la barbarie collective ». Sous les pavés, les anars ! par Carl Aderhold ou l’histoire, soixante-dix ans avant les étudiants de Mai 68, d’un hippie avant l’heure, Joseph Albert, dit Libertad, fondateur du journal L’Anarchie, fidèle à son mot d’ordre « Fais ta révolution toi-même ». Scandale sur la Boudeuse par Franck Ferrand ou l’histoire d’une étrange affaire à bord de l’un des navires participants à l’expédition autour du monde de Bougainville. Et aussi le guide Culture du mois, les pages Memento et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui nous parle de la nouvelle censure, façon principe de précaution, et de Guillaume Malaurie au sujet du film « La Mort de Staline », comédie historiquement fausse et néanmoins apparemment dotée de vertus pédagogiques.
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Dans ce dossier consacré à la longue et difficile épopée du petit d’homme, Historia se penche sur le berceau des bébés d’autrefois et sur celui des petits qui, à partir du XXe siècle, vont naître, entourés de nouvelles fées bienveillantes, l’hygiène, l’asepsie, l’antisepsie, la pédagogie et la psychologie infantile. Avec la participation exceptionnelle de l’historienne spécialiste de l’histoire de la naissance et de la petite enfance, Marie-France Morel, et du pédopsychiatre Marcel Rufo. Impitoyablement sélectionné dans les sociétés grecques et romaines, le nourrisson, très vulnérable jusqu’à la fin du XIXe siècle, et en butte à une mortalité effarante - 80 à 90 % des petits succombent avant leur premier anniversaire - , est condamné à errer dans les limbes, au bord de l’enfer, s’il n’a pas été baptisé avant sa mort ou à être abandonné s’il survit au sein d’une famille trop misérable pour l’élever. Ce n’est qu’à partir de la fin du XVIIIe siècle que le nouveau-né, vu jusque là comme un tube digestif sans conscience, commence à être enfin considéré comme un être à part entière, mais longue sera la route avant qu’il ne puisse bénéficier des bienfaits de l’asepsie découverte par Pasteur et d’une nouvelle discipline, la pédagogie. D’ailleurs, saviez-vous que le terme « bébé », dérivé de l'anglais baby, n’est employé qu’à partir des années 1840 ? Également au sommaire L’évènement du mois Dans le cadre du 50e anniversaire de Mai 68, zoom sur L’autre 68 : le pouvoir face à la crise. Une situation brossée grâce à l’étude de documents officiels et privés des Archives Nationales qui revisite complètement l’approche du sujet en le contextualisant dans l’espace – la contestation n’est pas propre à la capitale - et le temps – On parle désormais de mai-juin 68. Des récits Ils ont osé défier Hitler. Un hommage à celles et ceux qui, en Allemagne, ont eu le courage de dire non au nazisme, quel que soit le prix à payer pour leur acte de résistance. « Notre fin sera atroce, mais cela vaut mieux qu’une atrocité sans fin », écrit Hans Scholl. le frère de Sophie. Être prêt à mourir pour ne pas vivre sous un régime indigne. Peu l’ont fait, mais le nom de ces héros est entré dans l’Histoire. August Landmesser, Sylvin Rubinstein, Otto et Élise Hampel, Sophie Scholl, son frère Hans et leurs amis de la Rose blanche, Ernst Leitz, Irène Block, Georg Elser, se sont, chacun à leur manière, dressé contre l’intolérable. Voici leur histoire, souvent poignante, emblématique de « la résistance individuelle à la barbarie collective ». Sous les pavés, les anars ! par Carl Aderhold ou l’histoire, soixante-dix ans avant les étudiants de Mai 68, d’un hippie avant l’heure, Joseph Albert, dit Libertad, fondateur du journal L’Anarchie, fidèle à son mot d’ordre « Fais ta révolution toi-même ». Scandale sur la Boudeuse par Franck Ferrand ou l’histoire d’une étrange affaire à bord de l’un des navires participants à l’expédition autour du monde de Bougainville. Et aussi le guide Culture du mois, les pages Memento et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui nous parle de la nouvelle censure, façon principe de précaution, et de Guillaume Malaurie au sujet du film « La Mort de Staline », comédie historiquement fausse et néanmoins apparemment dotée de vertus pédagogiques.
Agent de l’étranger ou victime d’un complot révolutionnaire ? Depuis deux siècles, on s’interroge sur la culpabilité de la reine. Dans son prochain ouvrage, dont Historia vous livre des extraits, Jean-François Kahn la condamne. À tort, selon d’autres historiens, dont Évelyne Lever, qui se montrent plus nuancés à l’égard des fautes supposées de « l’Autrichienne ». À lire également dans ce numéro, un dossier consacré à l’Opium et à la grande histoire d’un empoissonnement planétaire et un récit sur la rivalité qui oppose deux grandes cités de l'antique Narbonnaise, fondées sous la Rome impériale, Nîmes et Arles, dans la célébration de leur passé antique. Pour Jean-François Kahn, auteur du livre M la maudite, la lettre qui permet de tout dire, à paraître chez Tallandier à la rentrée, la culpabilité de la reine qu’il accuse de tous les maux, ne fait aucun doute. Il y a même eu, selon lui, double jeu, menteries et surtout, haute trahison. Face à lui, l’historienne Évelyne Lever, spécialiste du sujet et auteur d’une biographie de référence (Fayard), livre un point de vue opposé et les historiens Olivier Coquard et Joël Félix apportent leurs propres analyses, très éclairantes, sur sa personnalité, son supposé rôle politique, et le contexte révolutionnaire. Au sommaire de ce numéro ♦ un dossier édifiant consacré à l’Opium et à ses dérivés. signé de Philippe Chassaigne, Rafaël Pic et Hugues Demeude. Une plongée sordide dans la grande histoire d’un trafic très lucratif, responsable de l’ empoisonnement planétaire frappant de nos jours 50 millions de personnes. Il rappelle notamment que, contrairement à une idée reçue, l’opiomanie n’est donc pas une spécialité d’Extrême-Orient découverte par les Occidentaux au moment de la colonisation. Utilisé dès l’Antiquité des Sumériens et des Grecs pour ses vertus médicinales, l’opium, considéré de tous temps à la fois comme un poison et un remède, fait partie de la pharmacopée asiatique avant l’arrivée des Occidentaux. Il semble que la pratique consistant à le fumer ait été introduite par les marchands arabes via la route de la soie. Les Occidentaux le découvrent aussi entre le XVIIe et le XXe siècle sous forme de laudanum, le « vin d’opium » consommée sous forme de gouttes. L’empire du Milieu n’est donc pas le berceau de l’opium, mais va devenir, à partir du XVIIIe siècle son principal débouché commercial. La responsabilité en revient lorsque aux marchands de la Compagnie des Indes orientales qui vont y vendre leur « opium européen » cultivé en Inde. ♦ Des récits • Le roi n’est pas mort, vive le roi ! par Franck Ferrand qui imagine ce qui ce serait passé si Louis XIV, tombé gravement malade en 1658, était mort à vingt ans. • La folle bataille du château d’Itter par Éric Tréguier qui raconte un épisode méconnu de la Seconde Guerre mondiale. • La genèse des 24h du Mans. Gérard de Cortanze, petit-neveu du vainqueur de 1938, raconte comment est née la course automobile mythique dont la première édition se déroule en 1923. • Nîmes-Arles, les championnes de la romanité. Guillemette Hervé évoque la rivalité qui oppose aujourd’hui ces deux cités, créées sous la Rome impériale dans la célébration de ce passé antique. Et aussi, ♦ la rubrique Memento, avec une suite au dossier consacré aux témoignages de soldats pendant la Guerre d’Algérie (Historia n° 856) avec la publication d’un choix de lettres de lecteurs adressées à la rédaction. ♦ les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se livre à une intéressante introspection sur son approche du monde turc à la lumière de l’image véhiculée par la fiction mais aussi par la réalité. « En Turquie, la religion est revenue très vite se loger au coeur même de l’État. Il est curieux de constater que ce retour du religieux dans les années 1950 correspond paradoxalement à l’ancrage de la Turquie dans le système de défense occidental et à son entrée dans l’Otan, en 1952. » écrit-il. À méditer. et Guillaume Malaurie rendant hommage au champion cycliste italien et résistant Gino Bartali qui a intégré post-mortem le mémorial des Justes de Yad Vashem. ♦ les pages culturelles Guide, avec une sélection des expositions, films, dvd, jeux vidéos, livres à ne pas manquer. Avec, ce mois-ci, une interview exclusive de l'écrivain et journaliste américain Douglas Preston, auteur de La Cité perdue du dieu singe, de passage à Paris ce printemps.
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Agent de l’étranger ou victime d’un complot révolutionnaire ? Depuis deux siècles, on s’interroge sur la culpabilité de la reine. Dans son prochain ouvrage, dont Historia vous livre des extraits, Jean-François Kahn la condamne. À tort, selon d’autres historiens, dont Évelyne Lever, qui se montrent plus nuancés à l’égard des fautes supposées de « l’Autrichienne ». À lire également dans ce numéro, un dossier consacré à l’Opium et à la grande histoire d’un empoissonnement planétaire et un récit sur la rivalité qui oppose deux grandes cités de l'antique Narbonnaise, fondées sous la Rome impériale, Nîmes et Arles, dans la célébration de leur passé antique. Pour Jean-François Kahn, auteur du livre M la maudite, la lettre qui permet de tout dire, à paraître chez Tallandier à la rentrée, la culpabilité de la reine qu’il accuse de tous les maux, ne fait aucun doute. Il y a même eu, selon lui, double jeu, menteries et surtout, haute trahison. Face à lui, l’historienne Évelyne Lever, spécialiste du sujet et auteur d’une biographie de référence (Fayard), livre un point de vue opposé et les historiens Olivier Coquard et Joël Félix apportent leurs propres analyses, très éclairantes, sur sa personnalité, son supposé rôle politique, et le contexte révolutionnaire. Au sommaire de ce numéro ♦ un dossier édifiant consacré à l’Opium et à ses dérivés. signé de Philippe Chassaigne, Rafaël Pic et Hugues Demeude. Une plongée sordide dans la grande histoire d’un trafic très lucratif, responsable de l’ empoisonnement planétaire frappant de nos jours 50 millions de personnes. Il rappelle notamment que, contrairement à une idée reçue, l’opiomanie n’est donc pas une spécialité d’Extrême-Orient découverte par les Occidentaux au moment de la colonisation. Utilisé dès l’Antiquité des Sumériens et des Grecs pour ses vertus médicinales, l’opium, considéré de tous temps à la fois comme un poison et un remède, fait partie de la pharmacopée asiatique avant l’arrivée des Occidentaux. Il semble que la pratique consistant à le fumer ait été introduite par les marchands arabes via la route de la soie. Les Occidentaux le découvrent aussi entre le XVIIe et le XXe siècle sous forme de laudanum, le « vin d’opium » consommée sous forme de gouttes. L’empire du Milieu n’est donc pas le berceau de l’opium, mais va devenir, à partir du XVIIIe siècle son principal débouché commercial. La responsabilité en revient lorsque aux marchands de la Compagnie des Indes orientales qui vont y vendre leur « opium européen » cultivé en Inde. ♦ Des récits • Le roi n’est pas mort, vive le roi ! par Franck Ferrand qui imagine ce qui ce serait passé si Louis XIV, tombé gravement malade en 1658, était mort à vingt ans. • La folle bataille du château d’Itter par Éric Tréguier qui raconte un épisode méconnu de la Seconde Guerre mondiale. • La genèse des 24h du Mans. Gérard de Cortanze, petit-neveu du vainqueur de 1938, raconte comment est née la course automobile mythique dont la première édition se déroule en 1923. • Nîmes-Arles, les championnes de la romanité. Guillemette Hervé évoque la rivalité qui oppose aujourd’hui ces deux cités, créées sous la Rome impériale dans la célébration de ce passé antique. Et aussi, ♦ la rubrique Memento, avec une suite au dossier consacré aux témoignages de soldats pendant la Guerre d’Algérie (Historia n° 856) avec la publication d’un choix de lettres de lecteurs adressées à la rédaction. ♦ les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se livre à une intéressante introspection sur son approche du monde turc à la lumière de l’image véhiculée par la fiction mais aussi par la réalité. « En Turquie, la religion est revenue très vite se loger au coeur même de l’État. Il est curieux de constater que ce retour du religieux dans les années 1950 correspond paradoxalement à l’ancrage de la Turquie dans le système de défense occidental et à son entrée dans l’Otan, en 1952. » écrit-il. À méditer. et Guillaume Malaurie rendant hommage au champion cycliste italien et résistant Gino Bartali qui a intégré post-mortem le mémorial des Justes de Yad Vashem. ♦ les pages culturelles Guide, avec une sélection des expositions, films, dvd, jeux vidéos, livres à ne pas manquer. Avec, ce mois-ci, une interview exclusive de l'écrivain et journaliste américain Douglas Preston, auteur de La Cité perdue du dieu singe, de passage à Paris ce printemps.
Quoi de plus anglais que la monarchie britannique ? Et pourtant ... La volonté d'un roi, Georges V, et le temps ont effacé son origine germanique. À l’heure où est célébré le 108e anniversaire du sacre de la reine Victoria, dernière représentante de la maison de Hanovre, Historia revient sur l’histoire d’une dynastie très allemande qui a changé d’identité. Et dans ce numéro double estival, découvrez les merveilles patrimoniales de France inscrites à l’Unesco. Le 17 juillet 1917, le roi Georges V annonce sa renonciation à ses titres et noms allemands et demande à toute sa parentèle d’origine allemande de faire de même. Le nouveau nom de la dynastie est désormais Windsor, du nom de la monumentale forteresse située au sud de Londres, emblématique de l’histoire de l’Angleterre, où séjourne la famille royale. Cette rupture et ses conséquences, mais aussi les penchants nazis d’une partie de l’establishment britannique, comme ceux du duc de Windsor et de Wallis Simpson, reçus par Hitler en 1937, sont abordés sans détours par trois historiens spécialistes des têtes couronnées et de l’histoire des monarchies, Jean Des Cars, Philippe Chassaigne et Joëlle Chevé. À lire également : Un dossier consacré à un tour de France des lieux et monuments inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco. Des Hauts-de-France à la Polynésie, de l’Ile-de-France à la Nouvelle-Aquitaine, voici l’histoire et les raisons du classement des 43 sites distingués. Il place la France parmi les quatre pays les mieux dotés, comme l’explique Laurent Stefanini, ambassadeur de France à l’Unesco, dans l’entretien qu’il a accordé à Historia. Des récits - Marguerite Hamilton. La bonne étoile de la Nasa par Myriam Détruy. Un hommage à cette mathématicienne de génie sans qui l’homme n’aurait jamais marché sur la Lune. - Kaspar Hauser, victime ou imposteur par Franck Ferrand qui se penche sur une énigme vieille de près de deux siècles. - Quand les Françaises mettaient les voiles par Nicole Pellegrin. À l’heure où tchador, burka et foulard sont de plus en plus visibles dans l’espace public français, l’historienne rappelle que le voile et ses avatars ont longtemps fait partie des obligations vestimentaires de nos mères et grands-mères. - Richard Mique. L’illustre inconnu du Hameau de la reine par Jeanne Morcellet qui tire de l’ombre l’architecte du havre champêtre de Marie-Antoinette. Sans oublier les pages Culture (Spectacles, Expos, Livres, Gastronomie et mots croisés) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel et Guillaume Malaurie.
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Quoi de plus anglais que la monarchie britannique ? Et pourtant ... La volonté d'un roi, Georges V, et le temps ont effacé son origine germanique. À l’heure où est célébré le 108e anniversaire du sacre de la reine Victoria, dernière représentante de la maison de Hanovre, Historia revient sur l’histoire d’une dynastie très allemande qui a changé d’identité. Et dans ce numéro double estival, découvrez les merveilles patrimoniales de France inscrites à l’Unesco. Le 17 juillet 1917, le roi Georges V annonce sa renonciation à ses titres et noms allemands et demande à toute sa parentèle d’origine allemande de faire de même. Le nouveau nom de la dynastie est désormais Windsor, du nom de la monumentale forteresse située au sud de Londres, emblématique de l’histoire de l’Angleterre, où séjourne la famille royale. Cette rupture et ses conséquences, mais aussi les penchants nazis d’une partie de l’establishment britannique, comme ceux du duc de Windsor et de Wallis Simpson, reçus par Hitler en 1937, sont abordés sans détours par trois historiens spécialistes des têtes couronnées et de l’histoire des monarchies, Jean Des Cars, Philippe Chassaigne et Joëlle Chevé. À lire également : Un dossier consacré à un tour de France des lieux et monuments inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco. Des Hauts-de-France à la Polynésie, de l’Ile-de-France à la Nouvelle-Aquitaine, voici l’histoire et les raisons du classement des 43 sites distingués. Il place la France parmi les quatre pays les mieux dotés, comme l’explique Laurent Stefanini, ambassadeur de France à l’Unesco, dans l’entretien qu’il a accordé à Historia. Des récits - Marguerite Hamilton. La bonne étoile de la Nasa par Myriam Détruy. Un hommage à cette mathématicienne de génie sans qui l’homme n’aurait jamais marché sur la Lune. - Kaspar Hauser, victime ou imposteur par Franck Ferrand qui se penche sur une énigme vieille de près de deux siècles. - Quand les Françaises mettaient les voiles par Nicole Pellegrin. À l’heure où tchador, burka et foulard sont de plus en plus visibles dans l’espace public français, l’historienne rappelle que le voile et ses avatars ont longtemps fait partie des obligations vestimentaires de nos mères et grands-mères. - Richard Mique. L’illustre inconnu du Hameau de la reine par Jeanne Morcellet qui tire de l’ombre l’architecte du havre champêtre de Marie-Antoinette. Sans oublier les pages Culture (Spectacles, Expos, Livres, Gastronomie et mots croisés) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel et Guillaume Malaurie.
Entrez avec Historia dans la tarentelle des Italiens ayant fait souche en France. Qu’ils soient bâtisseurs, militaires, politiques, artistes, entrepreneurs, sportifs, tous ont depuis la Révolution française, joué un rôle majeur dans l’histoire de notre pays. Un dossier spécial de 100 pages ! Également au sommaire de ce numéro, trois récits en complément du dossier consacré aux Italiens de France. - La saga des Fratellini par Franck Ferrand, qui raconte la véritable révolution menée par cette lignée de clowns, entrée dans la légende du cirque. - 1893 : le massacre des Piémontais. Guillaume Malaurie revient sur un épisode peu glorieux de l’histoire de l’immigration transalpine en France, cette chasse à l’Italien meurtrière menée par des ouvriers français à Aigues-Mortes, et en explique le contexte. - L’opération ovalie de Mussolini par Jean-Pierre Favero ou comment la promotion du rugby devient pour le régime fasciste un moyen de rallier les ressortissants de la péninsule, immigrés en France. Sans oublier les pages Guide (Expos, Écrans, Livres), Voyage – dans le Lyon façonné par les Italiens - , Gastronomie, Vins, et les chroniques affutées de Guillaume Malaurie qui évoque les relations passionnelles entre l’Italie et la France, sœurs latines, souligne-t-il, mais point jumelles, et d’Emmanuel de Waresquiel qui rappelle, quant à lui, que si « les Italiens nous doivent peut-être un peu, nous leur devons infiniment plus ».
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Entrez avec Historia dans la tarentelle des Italiens ayant fait souche en France. Qu’ils soient bâtisseurs, militaires, politiques, artistes, entrepreneurs, sportifs, tous ont depuis la Révolution française, joué un rôle majeur dans l’histoire de notre pays. Un dossier spécial de 100 pages ! Également au sommaire de ce numéro, trois récits en complément du dossier consacré aux Italiens de France. - La saga des Fratellini par Franck Ferrand, qui raconte la véritable révolution menée par cette lignée de clowns, entrée dans la légende du cirque. - 1893 : le massacre des Piémontais. Guillaume Malaurie revient sur un épisode peu glorieux de l’histoire de l’immigration transalpine en France, cette chasse à l’Italien meurtrière menée par des ouvriers français à Aigues-Mortes, et en explique le contexte. - L’opération ovalie de Mussolini par Jean-Pierre Favero ou comment la promotion du rugby devient pour le régime fasciste un moyen de rallier les ressortissants de la péninsule, immigrés en France. Sans oublier les pages Guide (Expos, Écrans, Livres), Voyage – dans le Lyon façonné par les Italiens - , Gastronomie, Vins, et les chroniques affutées de Guillaume Malaurie qui évoque les relations passionnelles entre l’Italie et la France, sœurs latines, souligne-t-il, mais point jumelles, et d’Emmanuel de Waresquiel qui rappelle, quant à lui, que si « les Italiens nous doivent peut-être un peu, nous leur devons infiniment plus ».
Cent ans après la fin de la Grande Guerre, ses blessures sont encore présentes chez les descendants des soldats. Comment s’est transmis le souvenir de ces disparus, entre silence, douleur, colère et dévotion ? Pourquoi les plus jeunes s'en emparent-ils aujourd'hui sur le web et les réseaux sociaux ? Dans ce dossier écrit par l’historien Jean-Yves Le Naour, spécialiste de la Première Guerre mondiale et du XXe siècle, Historia met en lumière cent ans d’une mémoire blessée, celle de toutes ces familles qui se sont construites avec l’absence d’un père, d’un mari, d’un fils, d’un frère. Une plongée émouvante dans les archives de l’intime. 9,5 millions de morts ou disparus parmi les pays belligérants, 1,4 million de poilus sacrifiés – 52 % des Français nés en 1894 ne sont plus là en 1918 –, 1 milliard d’obus tirés en quatre ans ! Derrière ces données brutes, des familles anéanties, des centaines de milliers d’orphelins - entre 1918 et 1929, 300 000 soldats pères de famille décèdent des suites de leurs blessures. Au total, un enfant sur 12 se retrouve orphelin en 1929. -, des femmes en noir dans chaque village de France, des cœurs qui n’ont jamais cessé de saigner sur quatre générations... Les nombreux témoignages passés et récents – dont ceux que nos lecteurs nous ont fait parvenir –, nous disent, ainsi que l’écrit Jean-Yves Le Naour, une chose essentielle : « Il faut faire une place aux morts pour que les vivants puissent continuer à vivre. » « Non, écrit-il encore, la Grande Guerre ne s’est pas achevée le 11 novembre 1918. Son sillon de douleur s’est prolongé durant des décennies (…). Et les morts nous accompagnent. » Également au sommaire de ce numéro L’Album de l’Histoire, en partenariat avec le magazine Polka, consacré aux derniers jours de Nixon à la Maison-Blanche. Des récits ♦ La Rochelle dans l’étau royal par Franck Ferrand qui fait revivre le siège de cette place forte du protestantisme le 28 octobre 1628. ♦ Les Fantômes de la Renaissance. Caroline Callard raconte comment les spectres, loin de refluer à l’aube de la Révolution scientifique, vont, au contraire, avoir voix plus que jamais, au chapitre. ♦ Les Tribulations d’un wagon ou l’histoire de la célèbre voiture-restaurant 2419 D, théâtre de deux armistices par Denis Lefebvre. Et aussi, le Memento ou l’actualité commentée de l’histoire, le guide Culture (Expos, cinéma, théâtre, dvd, jeux vidéos, livres) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel et Guillaume Malaurie. Emmanuel de Waresquiel parle du « monde d’avant » la Grande Guerre, la société paysanne, bourgeoise et aristocratique, qui allait être pulvérisée, elle aussi, par le conflit, et des monuments, innombrables, qui continuent de perpétuer dans toute la France, la mémoire de ce traumatisme. Dans un autre registre, Guillaume Malaurie, dans la foulée du succès du numéro d’Historia consacré à « ces Italiens qui ont fait la France », plaide pour une mémoire nationale où chaque héritage singulier ne s’empile pas sur l’autre mais se lie à l’autre, pour nous rendre plus forts. Mais quoiqu’en pensent les tenants de l’identité nationale ou ceux du communautarisme, n’est-ce pas déjà le cas ?
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Cent ans après la fin de la Grande Guerre, ses blessures sont encore présentes chez les descendants des soldats. Comment s’est transmis le souvenir de ces disparus, entre silence, douleur, colère et dévotion ? Pourquoi les plus jeunes s'en emparent-ils aujourd'hui sur le web et les réseaux sociaux ? Dans ce dossier écrit par l’historien Jean-Yves Le Naour, spécialiste de la Première Guerre mondiale et du XXe siècle, Historia met en lumière cent ans d’une mémoire blessée, celle de toutes ces familles qui se sont construites avec l’absence d’un père, d’un mari, d’un fils, d’un frère. Une plongée émouvante dans les archives de l’intime. 9,5 millions de morts ou disparus parmi les pays belligérants, 1,4 million de poilus sacrifiés – 52 % des Français nés en 1894 ne sont plus là en 1918 –, 1 milliard d’obus tirés en quatre ans ! Derrière ces données brutes, des familles anéanties, des centaines de milliers d’orphelins - entre 1918 et 1929, 300 000 soldats pères de famille décèdent des suites de leurs blessures. Au total, un enfant sur 12 se retrouve orphelin en 1929. -, des femmes en noir dans chaque village de France, des cœurs qui n’ont jamais cessé de saigner sur quatre générations... Les nombreux témoignages passés et récents – dont ceux que nos lecteurs nous ont fait parvenir –, nous disent, ainsi que l’écrit Jean-Yves Le Naour, une chose essentielle : « Il faut faire une place aux morts pour que les vivants puissent continuer à vivre. » « Non, écrit-il encore, la Grande Guerre ne s’est pas achevée le 11 novembre 1918. Son sillon de douleur s’est prolongé durant des décennies (…). Et les morts nous accompagnent. » Également au sommaire de ce numéro L’Album de l’Histoire, en partenariat avec le magazine Polka, consacré aux derniers jours de Nixon à la Maison-Blanche. Des récits ♦ La Rochelle dans l’étau royal par Franck Ferrand qui fait revivre le siège de cette place forte du protestantisme le 28 octobre 1628. ♦ Les Fantômes de la Renaissance. Caroline Callard raconte comment les spectres, loin de refluer à l’aube de la Révolution scientifique, vont, au contraire, avoir voix plus que jamais, au chapitre. ♦ Les Tribulations d’un wagon ou l’histoire de la célèbre voiture-restaurant 2419 D, théâtre de deux armistices par Denis Lefebvre. Et aussi, le Memento ou l’actualité commentée de l’histoire, le guide Culture (Expos, cinéma, théâtre, dvd, jeux vidéos, livres) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel et Guillaume Malaurie. Emmanuel de Waresquiel parle du « monde d’avant » la Grande Guerre, la société paysanne, bourgeoise et aristocratique, qui allait être pulvérisée, elle aussi, par le conflit, et des monuments, innombrables, qui continuent de perpétuer dans toute la France, la mémoire de ce traumatisme. Dans un autre registre, Guillaume Malaurie, dans la foulée du succès du numéro d’Historia consacré à « ces Italiens qui ont fait la France », plaide pour une mémoire nationale où chaque héritage singulier ne s’empile pas sur l’autre mais se lie à l’autre, pour nous rendre plus forts. Mais quoiqu’en pensent les tenants de l’identité nationale ou ceux du communautarisme, n’est-ce pas déjà le cas ?
Comment concilier l’esprit et la chair ? Depuis le début de son histoire, l’Église s’efforce de résoudre cette question complexe, véritable quadrature du cercle. Dans ce dossier articulé autour de quinze questions clés, historiens et sociologues des religions, en remontant aux sources des textes sacrés, analysent l’histoire tumultueuse de l’Église et de la sexualité et étudient les variations, voire les contradictions de la doctrine chrétienne à ce sujet. Les quinze questions fondamentales abordées sont : ♦ Que disent les Évangiles de la sexualité ? ♦ Quelles sont les origines de la défiance chrétienne à l’égard du sexe ? ♦ Que disent de la femme et de la sexualité les fondateurs de la théologie chrétienne ? ♦ Jusqu’à quel point l’amour mystique peut-il être sensuel ? ♦ Pourquoi le mariage est-il promu sacrement ? ♦ Qu’est-ce que l’amour chaste ? ♦ L’Église accorde-t-elle une place au plaisir dans la sexualité conjugale ? ♦ L’Église a-t-elle toujours radicalement condamné l’homosexualité ? ♦ Quelle place occupe la luxure dans la hiérarchie des péchés ? ♦ Quand le célibat des prêtres est-il devenu obligatoire ? ♦ Au Moyen Âge, l’Église est-elle proxénète ? ♦ Moines lubriques, tartuffes, prédateurs sexuels : mythe ou réalité ? ♦ La Réforme a-t-elle brisé les tabous médiévaux ? ♦ La contraception est-elle toujours l’un des grands tabous de l’Église ? ♦ L’avortement : l’impossible conciliation ? Quinze interrogations, placées comme autant d’étapes jalonnant la longue histoire de l’Église. Une interview de l’historienne Caroline Muller autour de la pratique de la direction spirituelle dans le catholicisme conclut ce dossier brûlant. À lire également dans ce numéro Des récits • Stradivarius : le violon enchanté par Franck Ferrand ou l’histoire de la fabrication de l’un des chefs d’œuvre du luthier de Crémone, le célèbre Milanollo, ainsi surnommé en hommage à la violoniste virtuose Teresa Milanollo, l’une des ses propriétaires. • L’imprudente conjuration des Pazzi. Jean-Yves Boriaud revient sur les raisons de l’échec de ce complot mené contre les héritiers de la famille des Médicis, Laurent, le futur Magnifique, et son frère Julien, par une ancienne lignée aristocratique rivale, liée à la papauté. • Albert Speer, les arts et les armes du IIIe Reich. Martine Devillers-Argouarc’h raconte l’histoire d’une supercherie historique ou comment l’architecte du régime nazi, ministre de l’Armement en 1942, a réussi à échapper à la corde à Nuremberg et à se faire passer pour un nazi modéré…jusqu’en 2007 ! L’Album photo de l’Histoire en partenariat avec Polka Magazine sur les braquages et carnages des bandits de la bande à Bonnot. La rubrique Memento avec, entre autres, un article de l’historien Tramor Quemeneur, Harkis : une mémoire à vif rappelant, à l’occasion de la remise de la Légion d’honneur à une vingtaine d’anciens combattants algériens de l’armée française en septembre dernier, le sort qui a été fait aux Harkis, depuis la fin de la guerre d’Algérie, en Algérie et en France. Et Souffler sur la Breizh, un billet de Benjamin Brillaud, alias Nota Bene, le vidéaste vedette de You Tube, qui nous raconte la naissance de la Bretagne. Les chroniques… de Guillaume Malaurie saluant la salutaire mise en scène digitale du patrimoine. « Si les musées et les expositions veulent reconquérir le public populaire, il n’est pas d’autre choix, écrit-il, que de raconter aussi l’Histoire avec la langue et la syntaxe interactives du siècle qui s’ouvre. ».. Et d’Emmanuel de Waresquiel qui se penche sur la solitude du pouvoir, son essence même. « Il y a dans ce face-à-face du pouvoir et de celui qui l’exerce quelque chose qui relève forcément de la conscience d’un destin particulier ou d’une élection, bien au-delà des urnes. » Et le guide Culture (Écrans, expositions, livres) avec la sélection du moment de la rédaction.
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Comment concilier l’esprit et la chair ? Depuis le début de son histoire, l’Église s’efforce de résoudre cette question complexe, véritable quadrature du cercle. Dans ce dossier articulé autour de quinze questions clés, historiens et sociologues des religions, en remontant aux sources des textes sacrés, analysent l’histoire tumultueuse de l’Église et de la sexualité et étudient les variations, voire les contradictions de la doctrine chrétienne à ce sujet. Les quinze questions fondamentales abordées sont : ♦ Que disent les Évangiles de la sexualité ? ♦ Quelles sont les origines de la défiance chrétienne à l’égard du sexe ? ♦ Que disent de la femme et de la sexualité les fondateurs de la théologie chrétienne ? ♦ Jusqu’à quel point l’amour mystique peut-il être sensuel ? ♦ Pourquoi le mariage est-il promu sacrement ? ♦ Qu’est-ce que l’amour chaste ? ♦ L’Église accorde-t-elle une place au plaisir dans la sexualité conjugale ? ♦ L’Église a-t-elle toujours radicalement condamné l’homosexualité ? ♦ Quelle place occupe la luxure dans la hiérarchie des péchés ? ♦ Quand le célibat des prêtres est-il devenu obligatoire ? ♦ Au Moyen Âge, l’Église est-elle proxénète ? ♦ Moines lubriques, tartuffes, prédateurs sexuels : mythe ou réalité ? ♦ La Réforme a-t-elle brisé les tabous médiévaux ? ♦ La contraception est-elle toujours l’un des grands tabous de l’Église ? ♦ L’avortement : l’impossible conciliation ? Quinze interrogations, placées comme autant d’étapes jalonnant la longue histoire de l’Église. Une interview de l’historienne Caroline Muller autour de la pratique de la direction spirituelle dans le catholicisme conclut ce dossier brûlant. À lire également dans ce numéro Des récits • Stradivarius : le violon enchanté par Franck Ferrand ou l’histoire de la fabrication de l’un des chefs d’œuvre du luthier de Crémone, le célèbre Milanollo, ainsi surnommé en hommage à la violoniste virtuose Teresa Milanollo, l’une des ses propriétaires. • L’imprudente conjuration des Pazzi. Jean-Yves Boriaud revient sur les raisons de l’échec de ce complot mené contre les héritiers de la famille des Médicis, Laurent, le futur Magnifique, et son frère Julien, par une ancienne lignée aristocratique rivale, liée à la papauté. • Albert Speer, les arts et les armes du IIIe Reich. Martine Devillers-Argouarc’h raconte l’histoire d’une supercherie historique ou comment l’architecte du régime nazi, ministre de l’Armement en 1942, a réussi à échapper à la corde à Nuremberg et à se faire passer pour un nazi modéré…jusqu’en 2007 ! L’Album photo de l’Histoire en partenariat avec Polka Magazine sur les braquages et carnages des bandits de la bande à Bonnot. La rubrique Memento avec, entre autres, un article de l’historien Tramor Quemeneur, Harkis : une mémoire à vif rappelant, à l’occasion de la remise de la Légion d’honneur à une vingtaine d’anciens combattants algériens de l’armée française en septembre dernier, le sort qui a été fait aux Harkis, depuis la fin de la guerre d’Algérie, en Algérie et en France. Et Souffler sur la Breizh, un billet de Benjamin Brillaud, alias Nota Bene, le vidéaste vedette de You Tube, qui nous raconte la naissance de la Bretagne. Les chroniques… de Guillaume Malaurie saluant la salutaire mise en scène digitale du patrimoine. « Si les musées et les expositions veulent reconquérir le public populaire, il n’est pas d’autre choix, écrit-il, que de raconter aussi l’Histoire avec la langue et la syntaxe interactives du siècle qui s’ouvre. ».. Et d’Emmanuel de Waresquiel qui se penche sur la solitude du pouvoir, son essence même. « Il y a dans ce face-à-face du pouvoir et de celui qui l’exerce quelque chose qui relève forcément de la conscience d’un destin particulier ou d’une élection, bien au-delà des urnes. » Et le guide Culture (Écrans, expositions, livres) avec la sélection du moment de la rédaction.
Attention collector ! Ce numéro est à lui seul un pan d’Histoire. Ernest Lavisse, Joseph Kessel, Alain Decaux, André Castelot, Jean d’Ormesson, Jean et Simone Lacouture, Marc Ferro, Régine Pernoud, Georgette Elgey et tant d’autres ! Depuis plus d’un siècle, journalistes, historiens et académiciens offrent chaque mois aux lecteurs d’Historia, de formidables récits d’Histoire tout en respectant l’exigence propre à notre revue : faire dialoguer l’histoire académique et l’histoire populaire. Réalisation vidéo Sandrine Samii Nous vous présentons dans ce numéro collector n° 869 un florilège – certes arbitraire tant le choix était dense – des textes les plus marquants et/ou les plus émouvants signés par ces compagnons de route prestigieux, extraits d’un bon millier de numéros patiemment compulsés. (Retrouvez cette sélection d’articles, ainsi qu’une dizaine d’autres, dans leur version intégrale sur historia.fr) ♦ Au fil de cette trentaine d'articles, vous redécouvrirez comment s’est constituée l’Entente cordiale à travers la plume d’André Maurois ou vivrez, heure par heure, le 11 novembre 1918 avec un témoin de l’époque, le général Weygand. Quant au maréchal Juin, il vous fera revivre la bataille du mont Cassin en février 1944 et le diplomate André François-Poncet brossera un tableau saisissant des relations complexes entre Hitler et Mussolini, amis pour le meilleur et surtout pour le pire. Citons encore le portrait de Kennedy forgeant sa propre légende par l’historien André Kaspi ou le reportage de Gonzague Saint Bris racontant avec sa verve coutumière la bataille de Marengo, comme si vous y étiez ! La rédaction d’Historia les a sélectionnés sans a priori. Laissez-vous guider, comme nous, par le seul plaisir de la lecture, en redécouvrant des textes d’auteurs d’exception, conteurs ou témoins de leurs temps qui ont nourri Historia de leur passion et de leur volonté de transmission. ♦ Dans cet exceptionnel numéro collector, vous découvrirez un sondage exclusif Harris Interactive sur la relation des Français à l’Histoire. Ils aiment l’Histoire, c’est indéniable et les résultats le prouvent, mais cette enquête révèle aussi un oubli massif des savoirs qui est préoccupant. 53 % des – de 35 ans ont oublié leurs cours d’Histoire. Mais ils sont 91 % à penser que l’Histoire est nécessaire pour comprendre les fondements et les racines culturelles des sociétés et autant à être convaincus qu’elle est essentielle pour disposer d’une bonne culture générale. Et devinez quel est le personnage qui incarne le mieux l’Histoire de France et l’Histoire de l’Europe ? Allez, on vous aide, il porte un bicorne et a la main sur l’estomac… La suite de ce sondage, sans oublier les pages Culture (Expos, Écrans, Livres et Mots croisés), est à découvrir sans tarder dans ce numéro !
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Attention collector ! Ce numéro est à lui seul un pan d’Histoire. Ernest Lavisse, Joseph Kessel, Alain Decaux, André Castelot, Jean d’Ormesson, Jean et Simone Lacouture, Marc Ferro, Régine Pernoud, Georgette Elgey et tant d’autres ! Depuis plus d’un siècle, journalistes, historiens et académiciens offrent chaque mois aux lecteurs d’Historia, de formidables récits d’Histoire tout en respectant l’exigence propre à notre revue : faire dialoguer l’histoire académique et l’histoire populaire. Réalisation vidéo Sandrine Samii Nous vous présentons dans ce numéro collector n° 869 un florilège – certes arbitraire tant le choix était dense – des textes les plus marquants et/ou les plus émouvants signés par ces compagnons de route prestigieux, extraits d’un bon millier de numéros patiemment compulsés. (Retrouvez cette sélection d’articles, ainsi qu’une dizaine d’autres, dans leur version intégrale sur historia.fr) ♦ Au fil de cette trentaine d'articles, vous redécouvrirez comment s’est constituée l’Entente cordiale à travers la plume d’André Maurois ou vivrez, heure par heure, le 11 novembre 1918 avec un témoin de l’époque, le général Weygand. Quant au maréchal Juin, il vous fera revivre la bataille du mont Cassin en février 1944 et le diplomate André François-Poncet brossera un tableau saisissant des relations complexes entre Hitler et Mussolini, amis pour le meilleur et surtout pour le pire. Citons encore le portrait de Kennedy forgeant sa propre légende par l’historien André Kaspi ou le reportage de Gonzague Saint Bris racontant avec sa verve coutumière la bataille de Marengo, comme si vous y étiez ! La rédaction d’Historia les a sélectionnés sans a priori. Laissez-vous guider, comme nous, par le seul plaisir de la lecture, en redécouvrant des textes d’auteurs d’exception, conteurs ou témoins de leurs temps qui ont nourri Historia de leur passion et de leur volonté de transmission. ♦ Dans cet exceptionnel numéro collector, vous découvrirez un sondage exclusif Harris Interactive sur la relation des Français à l’Histoire. Ils aiment l’Histoire, c’est indéniable et les résultats le prouvent, mais cette enquête révèle aussi un oubli massif des savoirs qui est préoccupant. 53 % des – de 35 ans ont oublié leurs cours d’Histoire. Mais ils sont 91 % à penser que l’Histoire est nécessaire pour comprendre les fondements et les racines culturelles des sociétés et autant à être convaincus qu’elle est essentielle pour disposer d’une bonne culture générale. Et devinez quel est le personnage qui incarne le mieux l’Histoire de France et l’Histoire de l’Europe ? Allez, on vous aide, il porte un bicorne et a la main sur l’estomac… La suite de ce sondage, sans oublier les pages Culture (Expos, Écrans, Livres et Mots croisés), est à découvrir sans tarder dans ce numéro !
Dans une ville traumatisée par la défaite face aux Prussiens et le siège de 1870-1871, les Parisiens proclament la Commune. Ni glorification, ni hommage aveugle, ce dossier signé, entre autres, des historiens Quentin Deluermoz, Olivier Peynot, Jean-Louis Robert, Charles Giol, Eloi Valat, Denis Lefebvre et Céline Léger, redonne plus de clarté à ces soixante-douze jours d’insurrection populaire et de répression sanglante se déroulant dans la capitale, mais aussi dans d’autres villes de France et expérimentant une forme novatrice de démocratie directe avec plus ou moins de succès. Pour mieux comprendre la portée de l’héritage de la Commune. Avec une carte du Paris de la Commune, quartier par quartier et une analyse détaillée de sa politique, en particulier des mesures sociales et démocratiques, sans lendemain en raison de la brièveté de l'expérience, mais pour beaucoup visionnaires prônées par le mouvement communard telle la séparation des Églises et de l’État ou la proclamation de l’égalité du salaire entre les hommes et les femmes. À lire également dans ce numéro : Ci-gît Saint-Jean-d-Acre par Franck Ferrand qui fait revivre le long siège et la chute de la ville au printemps 1291. La grotte Cosquer s’ouvre à vie nouvelle. Jennifer Kerner est allée à la rencontre des artistes chargés de réaliser un fac-similé de la caverne sous-marine marseillaise menacée de submersion définitive. Le commando Kieffer : des héros comme les autres. Jean-Yves Le Naour retrace l’histoire de cette unité française intégrée aux commandos britanniques, la première du genre. La rubrique Memento des infos historiques avec un article d’ouverture sur la révolution de la généalogie par l’ADN, le guide Culture (Ecrans, Livres, Gastronomie, Mots croisés) et les chroniques de Guillaume Malaurie qui rappelle que l’Histoire a besoin de toutes les approches mais pas de nouveaux Savonaroles, et Emmanuel de Waresquiel inquiet du divorce grandissant des ados et de la lecture.
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Dans une ville traumatisée par la défaite face aux Prussiens et le siège de 1870-1871, les Parisiens proclament la Commune. Ni glorification, ni hommage aveugle, ce dossier signé, entre autres, des historiens Quentin Deluermoz, Olivier Peynot, Jean-Louis Robert, Charles Giol, Eloi Valat, Denis Lefebvre et Céline Léger, redonne plus de clarté à ces soixante-douze jours d’insurrection populaire et de répression sanglante se déroulant dans la capitale, mais aussi dans d’autres villes de France et expérimentant une forme novatrice de démocratie directe avec plus ou moins de succès. Pour mieux comprendre la portée de l’héritage de la Commune. Avec une carte du Paris de la Commune, quartier par quartier et une analyse détaillée de sa politique, en particulier des mesures sociales et démocratiques, sans lendemain en raison de la brièveté de l'expérience, mais pour beaucoup visionnaires prônées par le mouvement communard telle la séparation des Églises et de l’État ou la proclamation de l’égalité du salaire entre les hommes et les femmes. À lire également dans ce numéro : Ci-gît Saint-Jean-d-Acre par Franck Ferrand qui fait revivre le long siège et la chute de la ville au printemps 1291. La grotte Cosquer s’ouvre à vie nouvelle. Jennifer Kerner est allée à la rencontre des artistes chargés de réaliser un fac-similé de la caverne sous-marine marseillaise menacée de submersion définitive. Le commando Kieffer : des héros comme les autres. Jean-Yves Le Naour retrace l’histoire de cette unité française intégrée aux commandos britanniques, la première du genre. La rubrique Memento des infos historiques avec un article d’ouverture sur la révolution de la généalogie par l’ADN, le guide Culture (Ecrans, Livres, Gastronomie, Mots croisés) et les chroniques de Guillaume Malaurie qui rappelle que l’Histoire a besoin de toutes les approches mais pas de nouveaux Savonaroles, et Emmanuel de Waresquiel inquiet du divorce grandissant des ados et de la lecture.
De l’Inde à l’Afrique centrale, de l’Espagne à l’Irak, du VIIe au début du XXe siècle, l’esclavage en terres d’islam a frappé au moins 20 millions de personnes, capturées, vendues ou échangées. Une traite orientale à grande échelle restée longtemps tabou et occultée par les pratiques esclavagistes de l’Antiquité gréco-romaine et des Amériques modernes, mais commençant à faire l’objet de recherches approfondies comme le révèle ce dossier d’Historia, auquel a participé, entre autres, l’historien Salah Trabelsi, professeur des universités en histoire et civilisation du monde arabe et musulman à l’université Lumière de Lyon II. À lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec en ouverture une interview de Denis Peschanki qui codirige le programme 13 Novembre étudiant la mémoire des attaques terroristes de 2015. Il y a cent ans, le procès Landru : un bourreau des cœurs aux assises par Franck Ferrand qui revient sur l’ouverture, le 7 novembre 1921, de la comparution du plus célèbre des tueurs en série français. La mer, ce jardin secret de Louis XVI. Gérard de Cortanze éclaire l’un des aspects de la personnalité du roi, son intérêt pour la géographie, les explorations maritimes et la marine de guerre française Les mystères des pierres au Moyen Âge. L’historien Laurent Vissière revient sur la fascination exercée par les lapidaires sur l’imaginaire médiéval. Sans oublier le guide Culture (Expos, Ecran, Livres, Voyage, Gastronomie et Mots croisés). Et les chroniques de Guillaume Malaurie qui réfléchit au mouvement actuel de retour à la terre et Emmanuel de Waresquiel rendant un bel hommage aux cinquante vies de Belmondo.
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De l’Inde à l’Afrique centrale, de l’Espagne à l’Irak, du VIIe au début du XXe siècle, l’esclavage en terres d’islam a frappé au moins 20 millions de personnes, capturées, vendues ou échangées. Une traite orientale à grande échelle restée longtemps tabou et occultée par les pratiques esclavagistes de l’Antiquité gréco-romaine et des Amériques modernes, mais commençant à faire l’objet de recherches approfondies comme le révèle ce dossier d’Historia, auquel a participé, entre autres, l’historien Salah Trabelsi, professeur des universités en histoire et civilisation du monde arabe et musulman à l’université Lumière de Lyon II. À lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec en ouverture une interview de Denis Peschanki qui codirige le programme 13 Novembre étudiant la mémoire des attaques terroristes de 2015. Il y a cent ans, le procès Landru : un bourreau des cœurs aux assises par Franck Ferrand qui revient sur l’ouverture, le 7 novembre 1921, de la comparution du plus célèbre des tueurs en série français. La mer, ce jardin secret de Louis XVI. Gérard de Cortanze éclaire l’un des aspects de la personnalité du roi, son intérêt pour la géographie, les explorations maritimes et la marine de guerre française Les mystères des pierres au Moyen Âge. L’historien Laurent Vissière revient sur la fascination exercée par les lapidaires sur l’imaginaire médiéval. Sans oublier le guide Culture (Expos, Ecran, Livres, Voyage, Gastronomie et Mots croisés). Et les chroniques de Guillaume Malaurie qui réfléchit au mouvement actuel de retour à la terre et Emmanuel de Waresquiel rendant un bel hommage aux cinquante vies de Belmondo.
Retour sur un siècle de présence française en Extrême-Orient, entre Siam et Chine, dans ce dossier réalisé avec les historiens Ivan Cadeau et Jean-François Klein. Une colonisation d’exploitation aux origines souvent aujourd’hui méconnues, la plus coûteuse et la plus âpre de toutes, qui n’a pas été uniquement un choc des cultures, mais aussi une histoire d’hybridation née pendant et après l’époque coloniale. Un monde disparu après la défaite française de Diên Biên Phu mais dont l’héritage est encore visible de nos jours. Et pour son numéro 900, Historia a eu l’honneur de pouvoir interviewer le Premier ministre Jean Castex que l’on découvre féru d’Histoire et grand lecteur et collectionneur de notre magazine. À lire également dans ce numéro : Une interview exclusive du Premier ministre Jean Castex, lecteur assidu d’Historia, qui nous a livré ses impressions sur l’Histoire dont il est féru depuis sa jeunesse et sur les questions de société qu’elle soulève régulièrement. Des récits Flaubert, le cynique au cœur tendre par Franck Ferrand qui rend hommage à l’écrivain à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Les premiers de cordée de la Renaissance par Jean-Yves Boriaud ou comment Pétrarque et Léonard de Vinci ont été les précurseurs de l’alpinisme européen. Samuel Pozzi, le médecin de ces dames. Joëlle Chevé se penche sur la carrière du charismatique fondateur de la gynécologie, également dandy et esthète, le « Docteur Dieu » de Sarah Bernhardt, au destin tragique. Le guide Culture (Expos, écran, livres, gastronomie et mots croisés) et les chroniques de Emmanuel de Waresquiel, faisant la distinction entre le vrai de l’Histoire et la vérité historique et Guillaume Malaurie évoquant le temps d’avant les sondages politiques, des mouches de l’Ancien Régime aux premières techniques de marketing américaines des années trente.
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Retour sur un siècle de présence française en Extrême-Orient, entre Siam et Chine, dans ce dossier réalisé avec les historiens Ivan Cadeau et Jean-François Klein. Une colonisation d’exploitation aux origines souvent aujourd’hui méconnues, la plus coûteuse et la plus âpre de toutes, qui n’a pas été uniquement un choc des cultures, mais aussi une histoire d’hybridation née pendant et après l’époque coloniale. Un monde disparu après la défaite française de Diên Biên Phu mais dont l’héritage est encore visible de nos jours. Et pour son numéro 900, Historia a eu l’honneur de pouvoir interviewer le Premier ministre Jean Castex que l’on découvre féru d’Histoire et grand lecteur et collectionneur de notre magazine. À lire également dans ce numéro : Une interview exclusive du Premier ministre Jean Castex, lecteur assidu d’Historia, qui nous a livré ses impressions sur l’Histoire dont il est féru depuis sa jeunesse et sur les questions de société qu’elle soulève régulièrement. Des récits Flaubert, le cynique au cœur tendre par Franck Ferrand qui rend hommage à l’écrivain à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Les premiers de cordée de la Renaissance par Jean-Yves Boriaud ou comment Pétrarque et Léonard de Vinci ont été les précurseurs de l’alpinisme européen. Samuel Pozzi, le médecin de ces dames. Joëlle Chevé se penche sur la carrière du charismatique fondateur de la gynécologie, également dandy et esthète, le « Docteur Dieu » de Sarah Bernhardt, au destin tragique. Le guide Culture (Expos, écran, livres, gastronomie et mots croisés) et les chroniques de Emmanuel de Waresquiel, faisant la distinction entre le vrai de l’Histoire et la vérité historique et Guillaume Malaurie évoquant le temps d’avant les sondages politiques, des mouches de l’Ancien Régime aux premières techniques de marketing américaines des années trente.
On a longtemps cru que l’extermination des Juifs avait été tenue secrète. Des milliers de pièces d’archives dispersées par le monde prouvent aujourd’hui que ce n’était pas le cas. Quatre-vingts ans après les faits, Historia propose un état des lieux précis sur ceux qui savaient, ceux qui pouvaient agir et ceux qui ont choisi de se taire. Un dossier d’autant plus nécessaire que les survivants du génocide sont de moins en moins nombreux. A lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec en ouverture le premier volet de notre triptyque consacré aux Échos de Campagne, pendant la Campagne présidentielle. Des récits Puyi, la longue marche vers l’oubli. Franck Ferrand retrace la destinée du dernier empereur de Chine qui a abdiqué, enfant, en février 1912, il y a cent dix ans. Ces couronnes qui ont fait l’Histoire de Bruno Dumézil ou une analyse de la couronne, symbole de pouvoir sur tous les continents et à toutes les époques. Le Dr Paul, un « détective au scalpel » de Denis Lefebvre. Portrait du médecin légiste le plus célèbre du siècle dernier, aussi fin limier. Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se souvient des vœux des Présidents successifs et de Guillaume Malaurie scrutant le ciel étoilé et son histoire. Sans oublier les pages Culture (Expos, Écrans, Livres, Gastronomie, Voyage avec une visite de l’Escurial, Mots croisés)
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On a longtemps cru que l’extermination des Juifs avait été tenue secrète. Des milliers de pièces d’archives dispersées par le monde prouvent aujourd’hui que ce n’était pas le cas. Quatre-vingts ans après les faits, Historia propose un état des lieux précis sur ceux qui savaient, ceux qui pouvaient agir et ceux qui ont choisi de se taire. Un dossier d’autant plus nécessaire que les survivants du génocide sont de moins en moins nombreux. A lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec en ouverture le premier volet de notre triptyque consacré aux Échos de Campagne, pendant la Campagne présidentielle. Des récits Puyi, la longue marche vers l’oubli. Franck Ferrand retrace la destinée du dernier empereur de Chine qui a abdiqué, enfant, en février 1912, il y a cent dix ans. Ces couronnes qui ont fait l’Histoire de Bruno Dumézil ou une analyse de la couronne, symbole de pouvoir sur tous les continents et à toutes les époques. Le Dr Paul, un « détective au scalpel » de Denis Lefebvre. Portrait du médecin légiste le plus célèbre du siècle dernier, aussi fin limier. Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se souvient des vœux des Présidents successifs et de Guillaume Malaurie scrutant le ciel étoilé et son histoire. Sans oublier les pages Culture (Expos, Écrans, Livres, Gastronomie, Voyage avec une visite de l’Escurial, Mots croisés)
Soixante ans après la guerre d’Algérie, Historia revient dans ce dossier sur les points de tension mémoriels entre la France et l’Algérie et publie, pour la première fois dans l’histoire des relations franco-algériennes un sondage, réalisé des deux côtés de la Méditerranée, portant sur ce chapitre, encore à vif, de notre histoire commune et ouvrant de nouvelles perspectives pour un avenir apaisé. À lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec le deuxième volet de nos Échos de Campagne sur les références des candidats à la Présidentielles à l’Histoire, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Des récits Les quatre sergents, martyrs de la liberté. Franck Ferrand fait revivre le drame de l’arrestation et de l’exécution à La Rochelle de quatre jeunes sergents le 19 mars 1822. Collabos : le grand recyclage de l’après-guerre. Christophe Bourseiller s’est penché sur ces Français collaborationnistes ayant réussi à poursuivre une brillante carrière dans la France de l’après-guerre. Iconophages, de sacrés mangeurs. Aude Gros de Beler revient sur une pratique religieuse universelle, l’ingestion d’images ou de substances sacrées. Sans oublier les pages Culture (Expos, Écrans, Livres, Gastronomie et mots croisés) et les chroniques de Guillaume Malaurie comparant la situation de l’Ukraine à celle des Sudètes et d’Emmanuel de Waresquiel incitant le promeneur parisien à la rêverie.
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Soixante ans après la guerre d’Algérie, Historia revient dans ce dossier sur les points de tension mémoriels entre la France et l’Algérie et publie, pour la première fois dans l’histoire des relations franco-algériennes un sondage, réalisé des deux côtés de la Méditerranée, portant sur ce chapitre, encore à vif, de notre histoire commune et ouvrant de nouvelles perspectives pour un avenir apaisé. À lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec le deuxième volet de nos Échos de Campagne sur les références des candidats à la Présidentielles à l’Histoire, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Des récits Les quatre sergents, martyrs de la liberté. Franck Ferrand fait revivre le drame de l’arrestation et de l’exécution à La Rochelle de quatre jeunes sergents le 19 mars 1822. Collabos : le grand recyclage de l’après-guerre. Christophe Bourseiller s’est penché sur ces Français collaborationnistes ayant réussi à poursuivre une brillante carrière dans la France de l’après-guerre. Iconophages, de sacrés mangeurs. Aude Gros de Beler revient sur une pratique religieuse universelle, l’ingestion d’images ou de substances sacrées. Sans oublier les pages Culture (Expos, Écrans, Livres, Gastronomie et mots croisés) et les chroniques de Guillaume Malaurie comparant la situation de l’Ukraine à celle des Sudètes et d’Emmanuel de Waresquiel incitant le promeneur parisien à la rêverie.
Le roman national et ses figures historiques, de Clovis à Napoléon 1er, ont longtemps constitué le socle de notre identité nationale. Un récit aujourd’hui attaqué de tous les côtés et dont les meilleurs historiens vous racontent comment et par qui il s’est construit, avec quels objectifs et de quelle manière il a été instrumentalisé au fil des époques. Mais comment, à l’heure actuelle, produire et enseigner un récit historique scientifique, commun et respectueux des différences, à la fois national et global ? Professeurs, historiens et journalistes ont répondu à Historia dans ce dossier ouvert à tous les points de vue. À lire également dans ce numéro : ♦ L’infographie du mois sur le cheval à Paris au XIXe siècle. ♦ Le Mémento avec en ouverture le troisième et dernier volet de nos Échos de Campagne. Des récits ≈ Bruay-en-Artois, le crime aux 50 millions de détectives par Franck Ferrand qui revient sur ce fait divers d’avril 1972 devenu une affaire politique. ≈ Les papyrus de la mer Rouge. Aude Gros de Beler revient sur cette découverte majeure apportant des indices sur la logistique du chantier de la Grande Pyramide de Kheops. ≈ Tanaka Shozo, pionnier écolo de l’ère Meiji. Olivier Tosseri nous présente le premier écologiste japonais. Le guide Culture (Expos, Ecrans, Livres, Voyage) et les rubriques d’Emmanuel de Waresquiel qui analyse une passion française : la russophilie des élites depuis le XVIIIe siècle et Guillaume Malaurie constatant la fin de l’ère de la dissuasion nucléaire.
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Le roman national et ses figures historiques, de Clovis à Napoléon 1er, ont longtemps constitué le socle de notre identité nationale. Un récit aujourd’hui attaqué de tous les côtés et dont les meilleurs historiens vous racontent comment et par qui il s’est construit, avec quels objectifs et de quelle manière il a été instrumentalisé au fil des époques. Mais comment, à l’heure actuelle, produire et enseigner un récit historique scientifique, commun et respectueux des différences, à la fois national et global ? Professeurs, historiens et journalistes ont répondu à Historia dans ce dossier ouvert à tous les points de vue. À lire également dans ce numéro : ♦ L’infographie du mois sur le cheval à Paris au XIXe siècle. ♦ Le Mémento avec en ouverture le troisième et dernier volet de nos Échos de Campagne. Des récits ≈ Bruay-en-Artois, le crime aux 50 millions de détectives par Franck Ferrand qui revient sur ce fait divers d’avril 1972 devenu une affaire politique. ≈ Les papyrus de la mer Rouge. Aude Gros de Beler revient sur cette découverte majeure apportant des indices sur la logistique du chantier de la Grande Pyramide de Kheops. ≈ Tanaka Shozo, pionnier écolo de l’ère Meiji. Olivier Tosseri nous présente le premier écologiste japonais. Le guide Culture (Expos, Ecrans, Livres, Voyage) et les rubriques d’Emmanuel de Waresquiel qui analyse une passion française : la russophilie des élites depuis le XVIIIe siècle et Guillaume Malaurie constatant la fin de l’ère de la dissuasion nucléaire.
Un numéro, deux dossiers. Moscou, le mythe de la Troisième Rome, remet en perspective, à la lumière des siècles, la volonté expansionniste de Vladimir Poutine et permet de comprendre pourquoi la capitale russe s’est toujours considérée comme le bastion de l’orthodoxie ainsi que les raisons de la rivalité entre Moscou et Kiev. Henri IV, Napoléon 1er, Louis-Philippe, Louis XVIII et Napoléon III. Ces porte-drapeaux de la réconciliation nationale. Focus sur les trois rois et les deux empereurs qui voulaient réconcilier les Français. À lire également dans ce numéro L’infographie du mois sur vieillesse et longévité à travers les âges. Le Mémento avec en ouverture un article de Laurent Lemire sur La Défense européenne : l’impossible consensus. Des récits : ♦ Le pays de cocagne, sinon rien ! de Florent Quellier. Une utopie matérialiste héritée des mythologies gréco-latine et celtique. ♦ L’abbé Grégoire, la révolution en soutane. Françoise Hildesheimer revient sur la figure de ce prélat atypique, symbole de la fusion des Lumières et de la Bible. Sans oublier le guide Culture (Expos, Ecran, Livres, Voyage (Dans les pas d’Howard Carter par Aude de Beler), Gastronomie, Mots croisés) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel rendant hommage à Benjamin Constant dont les écrits politiques résonnent d’une manière très actuelle, et Guillaume Malaurie qui établit un parallèle entre l'Ukraine, la Russie et la paix carthaginoise infligée par Rome à Carthage après la troisième guerre punique en 146 av. J-C..
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Un numéro, deux dossiers. Moscou, le mythe de la Troisième Rome, remet en perspective, à la lumière des siècles, la volonté expansionniste de Vladimir Poutine et permet de comprendre pourquoi la capitale russe s’est toujours considérée comme le bastion de l’orthodoxie ainsi que les raisons de la rivalité entre Moscou et Kiev. Henri IV, Napoléon 1er, Louis-Philippe, Louis XVIII et Napoléon III. Ces porte-drapeaux de la réconciliation nationale. Focus sur les trois rois et les deux empereurs qui voulaient réconcilier les Français. À lire également dans ce numéro L’infographie du mois sur vieillesse et longévité à travers les âges. Le Mémento avec en ouverture un article de Laurent Lemire sur La Défense européenne : l’impossible consensus. Des récits : ♦ Le pays de cocagne, sinon rien ! de Florent Quellier. Une utopie matérialiste héritée des mythologies gréco-latine et celtique. ♦ L’abbé Grégoire, la révolution en soutane. Françoise Hildesheimer revient sur la figure de ce prélat atypique, symbole de la fusion des Lumières et de la Bible. Sans oublier le guide Culture (Expos, Ecran, Livres, Voyage (Dans les pas d’Howard Carter par Aude de Beler), Gastronomie, Mots croisés) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel rendant hommage à Benjamin Constant dont les écrits politiques résonnent d’une manière très actuelle, et Guillaume Malaurie qui établit un parallèle entre l'Ukraine, la Russie et la paix carthaginoise infligée par Rome à Carthage après la troisième guerre punique en 146 av. J-C..
Depuis le déclenchement de la guerre par la Russie, l’Ukraine puise dans son passé les raisons de résister à son puissant voisin. Le mythe Cosaque est mobilisé mais son interprétation diffère dans l’imaginaire des Russes et des Ukrainiens. En Ukraine, ils incarnent une première identité nationale, différente de l’identité russe et l’aspiration à l’indépendance par rapport à l’empire russe et soviétique. La réalité est plus complexe. Pour y voir plus clair, Historia vous propose une immersion dans le monde de ce peuple indocile des steppes, pris dans l’étau des tensions géo-politiques de chaque époque, dans ce dossier signé des meilleurs spécialistes. À lire également dans ce numéro : ♦ L’infographie du mois sur les victimes de guerre depuis le Moyen Âge. ♦ Le Mémento avec en ouverture, une interview de Guillemette Andreu-Lanoë, directrice honoraire des Antiquité égyptiennes. Retrouvez l’entretien en intégralité sur historia.fr. Des récits • Jesse James, le brigand bien-aimé. Farid Ameur nous raconte la véritable histoire du « Robin des bois américains ». • Albert Londres, la plume dans la plaie, par Denis Lefebvre. L’histoire d’un journaliste intransigeant qui a mis en lumière le destin des opprimés et des exclus. • Esprit de Munich, es-tu encore là ? Jean-Yves Le Naour revient sur le « tout sauf la guerre » et ses limites. Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel sur la question de l’opposition française de la légitimité et de la légalité et de Guillaume Malaurie sur les relations traditionnellement tendues des souverains du Kremlin et des boyards. Le guide Culture (Expos, Ecrans, Livres, Voyage, Gastronomie, Mots croisés).
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Depuis le déclenchement de la guerre par la Russie, l’Ukraine puise dans son passé les raisons de résister à son puissant voisin. Le mythe Cosaque est mobilisé mais son interprétation diffère dans l’imaginaire des Russes et des Ukrainiens. En Ukraine, ils incarnent une première identité nationale, différente de l’identité russe et l’aspiration à l’indépendance par rapport à l’empire russe et soviétique. La réalité est plus complexe. Pour y voir plus clair, Historia vous propose une immersion dans le monde de ce peuple indocile des steppes, pris dans l’étau des tensions géo-politiques de chaque époque, dans ce dossier signé des meilleurs spécialistes. À lire également dans ce numéro : ♦ L’infographie du mois sur les victimes de guerre depuis le Moyen Âge. ♦ Le Mémento avec en ouverture, une interview de Guillemette Andreu-Lanoë, directrice honoraire des Antiquité égyptiennes. Retrouvez l’entretien en intégralité sur historia.fr. Des récits • Jesse James, le brigand bien-aimé. Farid Ameur nous raconte la véritable histoire du « Robin des bois américains ». • Albert Londres, la plume dans la plaie, par Denis Lefebvre. L’histoire d’un journaliste intransigeant qui a mis en lumière le destin des opprimés et des exclus. • Esprit de Munich, es-tu encore là ? Jean-Yves Le Naour revient sur le « tout sauf la guerre » et ses limites. Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel sur la question de l’opposition française de la légitimité et de la légalité et de Guillaume Malaurie sur les relations traditionnellement tendues des souverains du Kremlin et des boyards. Le guide Culture (Expos, Ecrans, Livres, Voyage, Gastronomie, Mots croisés).
La généalogie séduit. De plus en plus, au point de devenir un véritable phénomène de société. Désormais ouverte sur d’infinies possibilités depuis l’avènement de l’Internet, révolutionnée par l’apparition de nouveaux outils numériques et autres plates-formes collaboratives, elle attire des générations plus jeunes, désireuses de reconstituer l’histoire de leur famille, au-delà du cercle familial, voire de suivre la piste de leur ADN. Analyse de trajectoires d’ancêtres, lignages de personnalités, portraits de dynasties de métiers, conseils pratiques et marche à suivre, Historia vous propose de multiples pistes de recherches dans ce dossier, réalisé en partenariat avec Geneanet, et rédigé par les meilleurs généalogistes actuels. A lire également dans ce numéro L’infographie du mois sur Distances et vitesses dans l’Antiquité romaine pour remettre les pendules du voyage à l’heure impériale. Le Memento avec un article sur le recul du trait de côte et ses conséquences sur le patrimoine maritime. Des récits ♦ Ces lieux où les couronnes se sont brisées par Charles-Édouard Vial qui évoque les anciennes résidences royales où des souverains ont abdiqué. ♦ La première vague des bains de mer. C’était il y a deux cents ans. Viviane Manase nous entraine à Dieppe en 1825, dans le sillage de la duchesse de Berry. ♦Il était une foi…deux chrétientés. Bruno Dumézil revient sur la rupture entre les Églises catholique et orthodoxe. Sans oublier le guide Culture (Expos, Livres, Mots croisés) et les chroniques de Guillaume Malaurie qui s’adresse dans une lettre ouverte au président de la République au sujet des commémorations des 80 ans du raid de Dieppe et d’Emmanuel de Waresquiel qui trouve les Français de plus en plus tristes.
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La généalogie séduit. De plus en plus, au point de devenir un véritable phénomène de société. Désormais ouverte sur d’infinies possibilités depuis l’avènement de l’Internet, révolutionnée par l’apparition de nouveaux outils numériques et autres plates-formes collaboratives, elle attire des générations plus jeunes, désireuses de reconstituer l’histoire de leur famille, au-delà du cercle familial, voire de suivre la piste de leur ADN. Analyse de trajectoires d’ancêtres, lignages de personnalités, portraits de dynasties de métiers, conseils pratiques et marche à suivre, Historia vous propose de multiples pistes de recherches dans ce dossier, réalisé en partenariat avec Geneanet, et rédigé par les meilleurs généalogistes actuels. A lire également dans ce numéro L’infographie du mois sur Distances et vitesses dans l’Antiquité romaine pour remettre les pendules du voyage à l’heure impériale. Le Memento avec un article sur le recul du trait de côte et ses conséquences sur le patrimoine maritime. Des récits ♦ Ces lieux où les couronnes se sont brisées par Charles-Édouard Vial qui évoque les anciennes résidences royales où des souverains ont abdiqué. ♦ La première vague des bains de mer. C’était il y a deux cents ans. Viviane Manase nous entraine à Dieppe en 1825, dans le sillage de la duchesse de Berry. ♦Il était une foi…deux chrétientés. Bruno Dumézil revient sur la rupture entre les Églises catholique et orthodoxe. Sans oublier le guide Culture (Expos, Livres, Mots croisés) et les chroniques de Guillaume Malaurie qui s’adresse dans une lettre ouverte au président de la République au sujet des commémorations des 80 ans du raid de Dieppe et d’Emmanuel de Waresquiel qui trouve les Français de plus en plus tristes.
Au cours du Moyen Âge, face à la vie chère, à la pression fiscale ou aux abus des puissants, le peuple gronde comme en témoignent les révoltes des Jacques, Maillotins et autres Cabochiens. Dans son dossier de rentrée, Historia vous présente ces colères éruptives, souvent violentes, considérées dans la société très hiérarchisée d’alors, comme une manifestation illégitime, voire démoniaque, et en analyse les causes et les conséquences. Des révoltes de bourgeois aux émeutes paysannes tournant à la guerre civile, c’est donc à un numéro médiéval plein de bruit et de fureur que vous convie Historia ! À lire également dans ce numéro : L’infographie du mois sur 50 ans d’évolution du confort des ménages (1954-2002) et la rubrique Memento avec, en ouverture, un article sur la situation des femmes en France avant la loi sur l’IVG. Des récits Munich 1972 : les JO de la terreur par Denis Lefebvre. Ou comment les XXe Olympiades, censées effacer les Jeux de Berlin de 1936, ont été ensanglantées par un attentat palestinien terroriste visant la délégation juive. Ces armes qui changent l’Histoire. Olivier Tosseri revient sur les pièces maîtresses qui ont changé l’art de la guerre, du char antique aux drones contemporains. Le guide Culture (Expos, Écrans, Livres, Voyage, Gastronomie et Mots croisés). Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui nous parle de la nécessité de sauver Odessa, fondée au XVIIIe siècle et unique en son genre, et de Guillaume Malaurie évoquant le « grand remplacement » après 1945, à Kaliningrad, un territoire et une capitale jusque-là peuplés d’Allemands et devenus Russes, par la force.
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Au cours du Moyen Âge, face à la vie chère, à la pression fiscale ou aux abus des puissants, le peuple gronde comme en témoignent les révoltes des Jacques, Maillotins et autres Cabochiens. Dans son dossier de rentrée, Historia vous présente ces colères éruptives, souvent violentes, considérées dans la société très hiérarchisée d’alors, comme une manifestation illégitime, voire démoniaque, et en analyse les causes et les conséquences. Des révoltes de bourgeois aux émeutes paysannes tournant à la guerre civile, c’est donc à un numéro médiéval plein de bruit et de fureur que vous convie Historia ! À lire également dans ce numéro : L’infographie du mois sur 50 ans d’évolution du confort des ménages (1954-2002) et la rubrique Memento avec, en ouverture, un article sur la situation des femmes en France avant la loi sur l’IVG. Des récits Munich 1972 : les JO de la terreur par Denis Lefebvre. Ou comment les XXe Olympiades, censées effacer les Jeux de Berlin de 1936, ont été ensanglantées par un attentat palestinien terroriste visant la délégation juive. Ces armes qui changent l’Histoire. Olivier Tosseri revient sur les pièces maîtresses qui ont changé l’art de la guerre, du char antique aux drones contemporains. Le guide Culture (Expos, Écrans, Livres, Voyage, Gastronomie et Mots croisés). Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui nous parle de la nécessité de sauver Odessa, fondée au XVIIIe siècle et unique en son genre, et de Guillaume Malaurie évoquant le « grand remplacement » après 1945, à Kaliningrad, un territoire et une capitale jusque-là peuplés d’Allemands et devenus Russes, par la force.
Vous avez dit « fake news » ? Si l’expression s’est imposée récemment en français, elle renvoie à des pratiques connues depuis l’Antiquité. Mensonges, bobards, intox et autres forgeries n’ont pas attendu l’ère des réseaux sociaux pour désinformer. Des figues de Caton à la vraie fausse affaire des bébés martyrs koweitiens, en passant par les pièces falsifiées de l’affaire Dreyfus ou le micmac de l’affaire Markovic, Historia décrypte dans ce dossier la redoutable mécanique de la tromperie et ses effets dévastateurs pour le pire et, parfois, le meilleur. A lire également dans ce numéro La rubrique Memento avec en ouverture le centenaire de la Mosquée de Paris. Des récits ♦ Octobre-novembre 1972, le procès de Bobigny. L’historienne Catherine Valenti rappelle comment, à l’occasion de cette affaire d’avortement, Gisèle Halimi a fait avancer la cause des femmes. ♦ Frida Kahlo à Paris, une ombre au tableau. Le premier séjour de la peintre mexicaine à Paris en 1939 pour présenter son œuvre au public français, manque de tourner au vinaigre. Par Gérard de Cortanze. ♦ Agnès Sorel, la première favorite royale. A l’occasion des 600 ans de sa naissance en 1422, Claire L’Hoër revient sur la destinée de la Dame de Beauté. ♦ Pharaons superstars. Aude Gros de Beler célèbre la pharaonmania qui s’expose actuellement au Mucem à Marseille. Les pages Culture (Expos, Écrans, Livres, Voyage – Sur la voie du baroque niçois), Gastronomie, Mots croisés et les chroniques de Guillaume Malaurie, trouvant de trouvant un troublant parallèle entre métavers et purgatoire et d’Emmanuel de Waresquiel qui s’interroge sur le tournant des siècles.
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Vous avez dit « fake news » ? Si l’expression s’est imposée récemment en français, elle renvoie à des pratiques connues depuis l’Antiquité. Mensonges, bobards, intox et autres forgeries n’ont pas attendu l’ère des réseaux sociaux pour désinformer. Des figues de Caton à la vraie fausse affaire des bébés martyrs koweitiens, en passant par les pièces falsifiées de l’affaire Dreyfus ou le micmac de l’affaire Markovic, Historia décrypte dans ce dossier la redoutable mécanique de la tromperie et ses effets dévastateurs pour le pire et, parfois, le meilleur. A lire également dans ce numéro La rubrique Memento avec en ouverture le centenaire de la Mosquée de Paris. Des récits ♦ Octobre-novembre 1972, le procès de Bobigny. L’historienne Catherine Valenti rappelle comment, à l’occasion de cette affaire d’avortement, Gisèle Halimi a fait avancer la cause des femmes. ♦ Frida Kahlo à Paris, une ombre au tableau. Le premier séjour de la peintre mexicaine à Paris en 1939 pour présenter son œuvre au public français, manque de tourner au vinaigre. Par Gérard de Cortanze. ♦ Agnès Sorel, la première favorite royale. A l’occasion des 600 ans de sa naissance en 1422, Claire L’Hoër revient sur la destinée de la Dame de Beauté. ♦ Pharaons superstars. Aude Gros de Beler célèbre la pharaonmania qui s’expose actuellement au Mucem à Marseille. Les pages Culture (Expos, Écrans, Livres, Voyage – Sur la voie du baroque niçois), Gastronomie, Mots croisés et les chroniques de Guillaume Malaurie, trouvant de trouvant un troublant parallèle entre métavers et purgatoire et d’Emmanuel de Waresquiel qui s’interroge sur le tournant des siècles.
Alors que la tension monte crescendo en mer de Chine dans le détroit de Taïwan, Historia revient aux sources du conflit et sur les spécificités de l’île face à son puissant voisin. Un dossier inédit, rédigé par les meilleurs spécialistes de la question, analysant les relations complexes, passionnelles et souvent méconnues entre Pékin et l’ancienne Formose, coordonné par Stéphane Corcuff, maître de conférences à Sciences Po Lyon. À lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec en ouverture La France, pionnière du solaire ou comment dès le XIXe siècle, des ingénieurs français se sont tournés vers le Soleil pour trouver une alternative aux énergies fossiles. Des récits : • Alexandre le Grand célébré par les trois religions par Laurent Vissière • Les enfants de l’exode par Éric Alary qui revient sur les souffrances endurées à quatre-vingts ans de distance par les plus jeunes contraints de fuir leur pays. Le guide Culture (Expos, Écrans, Livres, Voyage (à Naxos, joyau vénitien des Cyclades), Gastronomie et Mots croisés. Le palmarès des prix Historia 2022 Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se penche sur l’importance du cérémonial monarchique anglais, constitutif de l’identité britannique, et Guillaume Malaurie, frappé par le pouvoir de la tyrannie puritaine, aujourd’hui comme hier.
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Alors que la tension monte crescendo en mer de Chine dans le détroit de Taïwan, Historia revient aux sources du conflit et sur les spécificités de l’île face à son puissant voisin. Un dossier inédit, rédigé par les meilleurs spécialistes de la question, analysant les relations complexes, passionnelles et souvent méconnues entre Pékin et l’ancienne Formose, coordonné par Stéphane Corcuff, maître de conférences à Sciences Po Lyon. À lire également dans ce numéro : La rubrique Memento avec en ouverture La France, pionnière du solaire ou comment dès le XIXe siècle, des ingénieurs français se sont tournés vers le Soleil pour trouver une alternative aux énergies fossiles. Des récits : • Alexandre le Grand célébré par les trois religions par Laurent Vissière • Les enfants de l’exode par Éric Alary qui revient sur les souffrances endurées à quatre-vingts ans de distance par les plus jeunes contraints de fuir leur pays. Le guide Culture (Expos, Écrans, Livres, Voyage (à Naxos, joyau vénitien des Cyclades), Gastronomie et Mots croisés. Le palmarès des prix Historia 2022 Les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel qui se penche sur l’importance du cérémonial monarchique anglais, constitutif de l’identité britannique, et Guillaume Malaurie, frappé par le pouvoir de la tyrannie puritaine, aujourd’hui comme hier.
La France possède le deuxième domaine maritime au monde. Parmi ses possessions diverses sur lesquelles a flotté ou flotte encore le drapeau tricolore, il existe tout un lointain patrimoine territorial français inconnu du grand public à découvrir dans ce dossier inédit écrit par l’historien Bruno Fuligni. Il nous révèle également la valeur économique et géopolitique de ces étendues du bout du monde où se joue aussi l’avenir du pays. Savez-vous que la France appartient toujours au club très fermé des États pluricontinentaux à l’instar du Royaume-Uni et des États-Unis ? De l’archipel des Chesterfield, proche de la Nouvelle-Calédonie, aux très convoitées îles Éparses au large de Madagascar, l’historien Bruno Fuligni, auteur du Tour du monde des terres françaises oubliées (Éditions du Trésor), retrace l’aventure de la découverte de ces territoires et leur destinée. À lire aussi : La rubrique Memento avec en ouverture une infographie sur la bataille de Stalingrad et un article de Laurent Lemire sur les cinquante ans d’un film d’anticipation visionnaire Soleil vert se déroulant en 2022. Des récits • Alexandre VI. L’empoisonneur empoisonné de Jean-Yves Boriaud ou comment la cantarella, le célèbre poison des Borgia s’est retourné contre eux. • France-Allemagne 1931 : le match des retrouvailles par François da Rocha-Carneiro ou la diplomatie du ballon rond. • L’abbé Nollet, l’électricité et les lumières. Jeanne Morcellet met en lulière un savant, précurseur oublié de l’enseignement technique. Le guide Culture (Écrans, Expos, Livres, Voyage (à Belfort pour le centenaire du territoire), Gastronomie, Mots croisés) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel revenant sur les « marches du peuple » d’hier et d’aujourd’hui et Guillaume Malaurie présentant l’ouvrage que l’historien américain Paul Jankowski consacre à l’entre-deux-guerres en résonance avec l’actualité.
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La France possède le deuxième domaine maritime au monde. Parmi ses possessions diverses sur lesquelles a flotté ou flotte encore le drapeau tricolore, il existe tout un lointain patrimoine territorial français inconnu du grand public à découvrir dans ce dossier inédit écrit par l’historien Bruno Fuligni. Il nous révèle également la valeur économique et géopolitique de ces étendues du bout du monde où se joue aussi l’avenir du pays. Savez-vous que la France appartient toujours au club très fermé des États pluricontinentaux à l’instar du Royaume-Uni et des États-Unis ? De l’archipel des Chesterfield, proche de la Nouvelle-Calédonie, aux très convoitées îles Éparses au large de Madagascar, l’historien Bruno Fuligni, auteur du Tour du monde des terres françaises oubliées (Éditions du Trésor), retrace l’aventure de la découverte de ces territoires et leur destinée. À lire aussi : La rubrique Memento avec en ouverture une infographie sur la bataille de Stalingrad et un article de Laurent Lemire sur les cinquante ans d’un film d’anticipation visionnaire Soleil vert se déroulant en 2022. Des récits • Alexandre VI. L’empoisonneur empoisonné de Jean-Yves Boriaud ou comment la cantarella, le célèbre poison des Borgia s’est retourné contre eux. • France-Allemagne 1931 : le match des retrouvailles par François da Rocha-Carneiro ou la diplomatie du ballon rond. • L’abbé Nollet, l’électricité et les lumières. Jeanne Morcellet met en lulière un savant, précurseur oublié de l’enseignement technique. Le guide Culture (Écrans, Expos, Livres, Voyage (à Belfort pour le centenaire du territoire), Gastronomie, Mots croisés) et les chroniques d’Emmanuel de Waresquiel revenant sur les « marches du peuple » d’hier et d’aujourd’hui et Guillaume Malaurie présentant l’ouvrage que l’historien américain Paul Jankowski consacre à l’entre-deux-guerres en résonance avec l’actualité.
200 000 Sénégalais ont participé à la Grande Guerre. À l’occasion de la sortie du film Tirailleurs le 4 janvier, Historia revient sur l’histoire de cette « force noire » selon les mots du général Mangin, de ces unités militaires dont l’engagement et le sacrifice ont trop longtemps été oubliés tout en faisant découvrir une histoire méconnue et une réalité complexe, loin des clichés. Avec une interview exclusive d’Omar Sy, premier rôle dans le long métrage de Mathieu Vadepied.
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200 000 Sénégalais ont participé à la Grande Guerre. À l’occasion de la sortie du film Tirailleurs le 4 janvier, Historia revient sur l’histoire de cette « force noire » selon les mots du général Mangin, de ces unités militaires dont l’engagement et le sacrifice ont trop longtemps été oubliés tout en faisant découvrir une histoire méconnue et une réalité complexe, loin des clichés. Avec une interview exclusive d’Omar Sy, premier rôle dans le long métrage de Mathieu Vadepied.
Comment Benito Mussolini, le leader du Parti socialiste italien (PSI) avant la Première Guerre mondiale, est-il devenu le Duce ? Historia revient sur les circonstances qui ont porté ce vétéran de 37 ans au pouvoir, sur le projet totalitaire fasciste et sa mise en œuvre concrète. Avec, outre les contributions d’historiens et de journalistes, une interview de l’historien Emilio Gentile de l’université de Rome « la Sapienza », spécialiste du fascisme italien.
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Comment Benito Mussolini, le leader du Parti socialiste italien (PSI) avant la Première Guerre mondiale, est-il devenu le Duce ? Historia revient sur les circonstances qui ont porté ce vétéran de 37 ans au pouvoir, sur le projet totalitaire fasciste et sa mise en œuvre concrète. Avec, outre les contributions d’historiens et de journalistes, une interview de l’historien Emilio Gentile de l’université de Rome « la Sapienza », spécialiste du fascisme italien.
La vraie nature des « cathares », le terme même fait débat, suscite de vives controverses entre historiens depuis une trentaine d’années. Historia a donné la parole aux tenants des deux opinions, ceux qui défendent l’existence et la singularité du catharisme, une Église chrétienne dissidente. Et leurs opposants, déconstructeurs du catharisme occitan en tant que tel, révélant l’invention à des fins politiques et l’instrumentalisation, dès le XIIe siècle, d’un prétendu péril hérétique, baptisé « catharisme » et revivifié, dans les années 1970 dans une région désignée comme « Pays cathare », pour des raisons identitaires, commerciales et touristiques. Aux lecteurs de juger.
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La vraie nature des « cathares », le terme même fait débat, suscite de vives controverses entre historiens depuis une trentaine d’années. Historia a donné la parole aux tenants des deux opinions, ceux qui défendent l’existence et la singularité du catharisme, une Église chrétienne dissidente. Et leurs opposants, déconstructeurs du catharisme occitan en tant que tel, révélant l’invention à des fins politiques et l’instrumentalisation, dès le XIIe siècle, d’un prétendu péril hérétique, baptisé « catharisme » et revivifié, dans les années 1970 dans une région désignée comme « Pays cathare », pour des raisons identitaires, commerciales et touristiques. Aux lecteurs de juger.
L’histoire de ces supplétifs – plusieurs centaines de milliers de « Français musulmans » qui ont combattu avec l’armée française lors de la guerre d’Algérie et ont été, dans leur grande majorité, abandonnés aux représailles du FLN après la signature des accords d’Évian le 18 mars 1962. Pour mieux comprendre qui furent les harkis, leur rôle et leurs missions dans le conflit, les raisons de leurs choix, et transmettre leur histoire. Un dossier réalisé avec la participation (par ordre alphabétique) de Fatima Besnaci-Lancou, Houria Delourme, Jacques Frémeaux, François-Xavier Hautreux, Katia Khemache, Denis Peschanski et Tramor Quemeneur.
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L’histoire de ces supplétifs – plusieurs centaines de milliers de « Français musulmans » qui ont combattu avec l’armée française lors de la guerre d’Algérie et ont été, dans leur grande majorité, abandonnés aux représailles du FLN après la signature des accords d’Évian le 18 mars 1962. Pour mieux comprendre qui furent les harkis, leur rôle et leurs missions dans le conflit, les raisons de leurs choix, et transmettre leur histoire. Un dossier réalisé avec la participation (par ordre alphabétique) de Fatima Besnaci-Lancou, Houria Delourme, Jacques Frémeaux, François-Xavier Hautreux, Katia Khemache, Denis Peschanski et Tramor Quemeneur.
En quoi cette guerre, jusqu’à présent oubliée, la première des guerres modernes dont la mémoire est inscrite dans la géographie parisienne, peut-elle nous renseigner sur le conflit actuel opposant la Russie et l’Ukraine ? Les meilleurs spécialistes en abordent toutes les facettes et montrent pourquoi la péninsule de Crimée et la mer Noire cristallisent hier comme aujourd’hui les ambitions de Moscou.
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En quoi cette guerre, jusqu’à présent oubliée, la première des guerres modernes dont la mémoire est inscrite dans la géographie parisienne, peut-elle nous renseigner sur le conflit actuel opposant la Russie et l’Ukraine ? Les meilleurs spécialistes en abordent toutes les facettes et montrent pourquoi la péninsule de Crimée et la mer Noire cristallisent hier comme aujourd’hui les ambitions de Moscou.
Louer sa force de frappe à une armée régulière contre rétribution et avantages en nature est une pratique courante depuis l’Antiquité. Historia s’interroge sur les faits et les méfaits de ces soldats de fortune au service des États ou pour leur propre compte. De l’hoplite grec au combattant du groupe Wagner, retour sur une pratique qui a connu son âge d’or en Occident entre le XVe et le XVIIe siècle.
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Louer sa force de frappe à une armée régulière contre rétribution et avantages en nature est une pratique courante depuis l’Antiquité. Historia s’interroge sur les faits et les méfaits de ces soldats de fortune au service des États ou pour leur propre compte. De l’hoplite grec au combattant du groupe Wagner, retour sur une pratique qui a connu son âge d’or en Occident entre le XVe et le XVIIe siècle.
De la Préhistoire à nos jours, Historia rouvre les dossiers d’affaires criminelles énigmatiques, mal jugées ou impunies qui toutes nous racontent une époque et ses mœurs, son contexte politique ou social. Un numéro double estival dans lequel notre équipe d’experts - historiens, journalistes et même un ancien commissaire divisionnaire, explorent les différentes pistes possibles pour chacune d’entre elles. Un décryptage magistral !
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De la Préhistoire à nos jours, Historia rouvre les dossiers d’affaires criminelles énigmatiques, mal jugées ou impunies qui toutes nous racontent une époque et ses mœurs, son contexte politique ou social. Un numéro double estival dans lequel notre équipe d’experts - historiens, journalistes et même un ancien commissaire divisionnaire, explorent les différentes pistes possibles pour chacune d’entre elles. Un décryptage magistral !
Alors que la Turquie du président Erdogan célèbre le centenaire de la République, Historia revient sur la figure tutélaire de Mustafa Kemal, dit Atatürk, le « père des Turcs ». Grand réformateur, il a ancré son pays, à la fois turcisé et occidentalisé, dans la modernité. Comment s’est construite la nation turque après l’humiliant traité de Sèvres de 1920 ? En quoi la politique de Kemal est-t-elle déterminante ? Qui était l’homme derrière l’icône ? Un dossier éclairant, écrit par les meilleurs spécialistes, pour comprendre pourquoi cet héritage est toujours revendiqué, quoique remis aussi en question, par l’actuel chef de l’État turc.
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Alors que la Turquie du président Erdogan célèbre le centenaire de la République, Historia revient sur la figure tutélaire de Mustafa Kemal, dit Atatürk, le « père des Turcs ». Grand réformateur, il a ancré son pays, à la fois turcisé et occidentalisé, dans la modernité. Comment s’est construite la nation turque après l’humiliant traité de Sèvres de 1920 ? En quoi la politique de Kemal est-t-elle déterminante ? Qui était l’homme derrière l’icône ? Un dossier éclairant, écrit par les meilleurs spécialistes, pour comprendre pourquoi cet héritage est toujours revendiqué, quoique remis aussi en question, par l’actuel chef de l’État turc.
A l’occasion du 250e anniversaire du Grand Orient de France, Historia se penche sur le rôle et la place de la franc-maçonnerie en France depuis la création, en 1773, l’Ordre, la plus vieille obédience de l’hexagone. De son influence, depuis la Révolution française, sur les grands événements du pays, à son influence politique et sociétale entre la IIIe et la Ve République et jusqu’à nos jours, sa riche histoire et, en particulier son ésotérisme, ont toujours suscité de nombreuses interrogations.
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A l’occasion du 250e anniversaire du Grand Orient de France, Historia se penche sur le rôle et la place de la franc-maçonnerie en France depuis la création, en 1773, l’Ordre, la plus vieille obédience de l’hexagone. De son influence, depuis la Révolution française, sur les grands événements du pays, à son influence politique et sociétale entre la IIIe et la Ve République et jusqu’à nos jours, sa riche histoire et, en particulier son ésotérisme, ont toujours suscité de nombreuses interrogations.
À l’occasion du centenaire de la mort de Gustave Eiffel, Historia revient sur l’extraordinaire ascension du père de la célèbre Tour parisienne et sur les multiples facettes de son génie. Ingénieur surdoué et visionnaire, entrepreneur moderne, lobbyiste hors pair et homme d’affaire, il se révèle aussi un pionnier méconnu de l’aérodynamique et de l’aéronautique.
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À l’occasion du centenaire de la mort de Gustave Eiffel, Historia revient sur l’extraordinaire ascension du père de la célèbre Tour parisienne et sur les multiples facettes de son génie. Ingénieur surdoué et visionnaire, entrepreneur moderne, lobbyiste hors pair et homme d’affaire, il se révèle aussi un pionnier méconnu de l’aérodynamique et de l’aéronautique.

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