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Joséphine - La série


La liste des tomes


Substituant la réalité à la légende, F. Masson prend Joséphine à son berceau et ne la quitte qu’au moment de son mariage avec le général Bonaparte. Il la suit pas à pas pendant toute une période de sa vie qui, avant lui, avait presque complètement échappé aux historiens. Les intrigues qui préparèrent son premier mariage, sa venue de la Martinique, son union avec Alexandre de Beauharnais, ses malheurs conjugaux, la rupture et, finalement, la séparation et les consolations : l’enquête minutieuse de F. Masson ne laisse rien dans l’ombre. Il ne s’est pas contenté d’ailleurs de raconter des événements, de faire un portrait, neuf par bien des côtés ; de tracer une étude de caractère, souvent fine et ingénieuse ; de remettre au point des incidents de la vie de Joséphine, dénaturés plus ou moins, ceux-ci par les admirateurs, ceux-là par les malveillants, il a élargi son sujet par des peintures, à la fois documentées et pittoresques, de la vie coloniale à la fin du XVIIIe siècle, de la Société de l’Ancien Régime, des milieux révolutionnaires, des prisons de la Terreur, etc. Son livre se ferme sur l’apparition du jeune général Bonaparte, qui se laissa prendre, si impétueusement et si naïvement, à des mines de grande coquette où il croyait découvrir des façons de grande dame.
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Description
Substituant la réalité à la légende, F. Masson prend Joséphine à son berceau et ne la quitte qu’au moment de son mariage avec le général Bonaparte. Il la suit pas à pas pendant toute une période de sa vie qui, avant lui, avait presque complètement échappé aux historiens. Les intrigues qui préparèrent son premier mariage, sa venue de la Martinique, son union avec Alexandre de Beauharnais, ses malheurs conjugaux, la rupture et, finalement, la séparation et les consolations : l’enquête minutieuse de F. Masson ne laisse rien dans l’ombre. Il ne s’est pas contenté d’ailleurs de raconter des événements, de faire un portrait, neuf par bien des côtés ; de tracer une étude de caractère, souvent fine et ingénieuse ; de remettre au point des incidents de la vie de Joséphine, dénaturés plus ou moins, ceux-ci par les admirateurs, ceux-là par les malveillants, il a élargi son sujet par des peintures, à la fois documentées et pittoresques, de la vie coloniale à la fin du XVIIIe siècle, de la Société de l’Ancien Régime, des milieux révolutionnaires, des prisons de la Terreur, etc. Son livre se ferme sur l’apparition du jeune général Bonaparte, qui se laissa prendre, si impétueusement et si naïvement, à des mines de grande coquette où il croyait découvrir des façons de grande dame.
Pour expliquer le caractère de Bonaparte et celui de Joséphine après leur mariage, F. Masson d’abord les lettres que le général a écrites à sa femme durant la campagne d’Italie, ces lettres si ardentes, passionnées, vives, tant elles sont pleines de fraîcheur et d’amour. Puis il aborde l’attitude adoptée par Joséphine durant la campagne d’Égypte, et, après le retour de Bonaparte et après le Dix-huit Brumaire, la situation tout à fait obscure faite à Joséphine, qui, n’a pas de rôle officiel aux côtés du Premier Consul, qui lui interdit la vie mondaine qu’elle connaissait jusqu’alors. Et puis, à mesure que la fortune du Premier Consul monte, Joséphine se trouve entraînée vers les sommets. Tout se jette à elle et elle n’a qu’à choisir. F. Masson suit cette ascension et en décrit les étapes. Elles furent franchies avec une rapidité incroyable. En vendémiaire an VIII, au moment où Napoléon débarque à Fréjus, Joséphine est une malheureuse réduite aux expédients, qui n’ose pas se montrer en public. Deux ans plus tard elle est la plus grande dame qui soit en France et elle reçoit partout où elle va le traitement d’une reine. Sa grâce et sa bonté, les services qu’elle rend, ceux surtout qu’elle promet, lui assurent sur les êtres une sorte de pouvoir magique. Elle a pour tous des mots, des gestes, des dons, des gentillesses qui enlèvent les cœurs. Et pourtant, depuis germinal an VIII, elle vit dans les transes aussi bien d’un divorce possible, que d’un attentat, qui, d’un coup, la précipiterait au gouffre. Et c’est, durant ces cinq ans, la vie que vécut Joséphine.
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Description
Pour expliquer le caractère de Bonaparte et celui de Joséphine après leur mariage, F. Masson d’abord les lettres que le général a écrites à sa femme durant la campagne d’Italie, ces lettres si ardentes, passionnées, vives, tant elles sont pleines de fraîcheur et d’amour. Puis il aborde l’attitude adoptée par Joséphine durant la campagne d’Égypte, et, après le retour de Bonaparte et après le Dix-huit Brumaire, la situation tout à fait obscure faite à Joséphine, qui, n’a pas de rôle officiel aux côtés du Premier Consul, qui lui interdit la vie mondaine qu’elle connaissait jusqu’alors. Et puis, à mesure que la fortune du Premier Consul monte, Joséphine se trouve entraînée vers les sommets. Tout se jette à elle et elle n’a qu’à choisir. F. Masson suit cette ascension et en décrit les étapes. Elles furent franchies avec une rapidité incroyable. En vendémiaire an VIII, au moment où Napoléon débarque à Fréjus, Joséphine est une malheureuse réduite aux expédients, qui n’ose pas se montrer en public. Deux ans plus tard elle est la plus grande dame qui soit en France et elle reçoit partout où elle va le traitement d’une reine. Sa grâce et sa bonté, les services qu’elle rend, ceux surtout qu’elle promet, lui assurent sur les êtres une sorte de pouvoir magique. Elle a pour tous des mots, des gestes, des dons, des gentillesses qui enlèvent les cœurs. Et pourtant, depuis germinal an VIII, elle vit dans les transes aussi bien d’un divorce possible, que d’un attentat, qui, d’un coup, la précipiterait au gouffre. Et c’est, durant ces cinq ans, la vie que vécut Joséphine.
La générale Bonaparte est maintenant impératrice des Français et reine d’Italie ; la petite créole de la Martinique est sur le trône d’Anne d’Autriche et de Marie-Antoinette ; elle vit aux Tuileries, à Saint-Cloud, à la Malmaison, au milieu des courtisans attentifs, des uniformes chamarrés, des toilettes de cour. C’est dans ce décor nouveau que le troisième volume de F. Masson nous fait voir Joséphine. Tantôt il nous la présente dans son cabinet de toilette, aux mains des femmes de chambre et des coiffeurs ; tantôt dans les salons des Tuileries ; tantôt dans les cérémonies, les bals, les banquets, les fêtes, les concerts ; tantôt sous les ombrages de cette Malmaison, noyée dans la verdure riante des bords de la Seine ; tantôt enfin dans les réceptions officielles, dans les voyages où l’empereur la traînait à sa suite, toujours souriante malgré la fatigue, et après lesquels la foule disait : « Napoléon gagne les batailles, Joséphine gagne les cœurs ! » Pendant les cinq années que dura ce rêve, ceux qui la voyaient passer ainsi dans de perpétuelles splendeurs d’apothéose, pouvaient la croire pleinement heureuse et tranquille. Ils se trompaient. Joséphine n’était qu’une « sultane favorite » ; un caprice ou un intérêt du maître pouvaient la briser ; elle le savait, et elle vivait dans l’appréhension continuelle de la catastrophe, qui fut le divorce du mois de décembre 1809.
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La générale Bonaparte est maintenant impératrice des Français et reine d’Italie ; la petite créole de la Martinique est sur le trône d’Anne d’Autriche et de Marie-Antoinette ; elle vit aux Tuileries, à Saint-Cloud, à la Malmaison, au milieu des courtisans attentifs, des uniformes chamarrés, des toilettes de cour. C’est dans ce décor nouveau que le troisième volume de F. Masson nous fait voir Joséphine. Tantôt il nous la présente dans son cabinet de toilette, aux mains des femmes de chambre et des coiffeurs ; tantôt dans les salons des Tuileries ; tantôt dans les cérémonies, les bals, les banquets, les fêtes, les concerts ; tantôt sous les ombrages de cette Malmaison, noyée dans la verdure riante des bords de la Seine ; tantôt enfin dans les réceptions officielles, dans les voyages où l’empereur la traînait à sa suite, toujours souriante malgré la fatigue, et après lesquels la foule disait : « Napoléon gagne les batailles, Joséphine gagne les cœurs ! » Pendant les cinq années que dura ce rêve, ceux qui la voyaient passer ainsi dans de perpétuelles splendeurs d’apothéose, pouvaient la croire pleinement heureuse et tranquille. Ils se trompaient. Joséphine n’était qu’une « sultane favorite » ; un caprice ou un intérêt du maître pouvaient la briser ; elle le savait, et elle vivait dans l’appréhension continuelle de la catastrophe, qui fut le divorce du mois de décembre 1809.
Sitôt le divorce prononcé, Joséphine rentre dans l’ombre de l’Histoire, il n’est plus question d’elle ; le silence se fait autour de son nom. Pourtant, elle est toujours Impératrice, certes douairière, mais Impératrice tout de même, avec sa Maison, son train de vie luxueux et surtout ses dépenses. À plusieurs reprises, Napoléon apure des dettes qui s’élèvent à plusieurs millions. Mais ce qui manque à Joséphine, et qu’elle n’a de cesse de retrouver, c’est une place, un rôle où elle puisse briller dans cet Empire dont, pour raison d’État, elle a été écartée. Ce volume termine la série des études minutieuses entreprises par F. Masson sur Joséphine. Depuis les préliminaires du divorce jusqu’au dernier jour de sa vie, ce sont, suivant l’ordre du temps, les séjours à l’Élysée, Malmaison, Navarre, aux Eaux, en Italie, en Suisse… Puis les désastres de 1814 et la chute de l’Empire, qui forcent Joséphine à sortir de sa luxueuse oisiveté. Elle ne lui survivra que de quelque mois, une pneumonie l’emportant le 29 mai 1814. Et c’est seulement par la presse que Napoléon, exilé sur l’île d’Elbe, apprendra la mort de celle qu’il n’avait jamais cessé d’aimer… Frédéric Masson (1847-1923), un des plus grands spécialistes des études napoléoniennes, demeure encore, cent ans après sa mort, une référence incontestable. Sa biographie de Joséphine comprend trois autres volumes : Joséphine de Beauharnais, Madame Bonaparte, et Joséphine impératrice et reine.
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Sitôt le divorce prononcé, Joséphine rentre dans l’ombre de l’Histoire, il n’est plus question d’elle ; le silence se fait autour de son nom. Pourtant, elle est toujours Impératrice, certes douairière, mais Impératrice tout de même, avec sa Maison, son train de vie luxueux et surtout ses dépenses. À plusieurs reprises, Napoléon apure des dettes qui s’élèvent à plusieurs millions. Mais ce qui manque à Joséphine, et qu’elle n’a de cesse de retrouver, c’est une place, un rôle où elle puisse briller dans cet Empire dont, pour raison d’État, elle a été écartée. Ce volume termine la série des études minutieuses entreprises par F. Masson sur Joséphine. Depuis les préliminaires du divorce jusqu’au dernier jour de sa vie, ce sont, suivant l’ordre du temps, les séjours à l’Élysée, Malmaison, Navarre, aux Eaux, en Italie, en Suisse… Puis les désastres de 1814 et la chute de l’Empire, qui forcent Joséphine à sortir de sa luxueuse oisiveté. Elle ne lui survivra que de quelque mois, une pneumonie l’emportant le 29 mai 1814. Et c’est seulement par la presse que Napoléon, exilé sur l’île d’Elbe, apprendra la mort de celle qu’il n’avait jamais cessé d’aimer… Frédéric Masson (1847-1923), un des plus grands spécialistes des études napoléoniennes, demeure encore, cent ans après sa mort, une référence incontestable. Sa biographie de Joséphine comprend trois autres volumes : Joséphine de Beauharnais, Madame Bonaparte, et Joséphine impératrice et reine.

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