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Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d’un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
« J’aurais pu faire un carnage dès l’instant où j’ai piraté mon module superviseur ; en tout cas, si je n’avais pas découvert un accès au bouquet de chaînes de divertissement relayées par les satellites de la compagnie. 35 000 heures plus tard, aucun meurtre à signaler, mais, à vue de nez, un peu moins de 35 000 heures de films, de séries, de lectures, de jeux et de musique consommés. Comme impitoyable machine à tuer, on peut difficilement faire pire. »
Et quand notre androïde de sécurité met au jour un complot visant à éliminer les clients qu’il est censé protéger, il ne recule ni devant le sabotage ni devant l’assassinat ; il s’interpose même face au danger, quitte à y laisser des morceaux.
Martha Wells signe avec cette série un récit tout en ironie et en sensibilité sur l’éveil à la conscience et l’exercice du libre arbitre.
Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d’un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
« J’aurais pu faire un carnage dès l’instant où j’ai piraté mon module superviseur ; en tout cas, si je n’avais pas découvert un accès au bouquet de chaînes de divertissement relayées par les satellites de la compagnie. 35 000 heures plus tard, aucun meurtre à signaler, mais, à vue de nez, un peu moins de 35 000 heures de films, de séries, de lectures, de jeux et de musique consommés. Comme impitoyable machine à tuer, on peut difficilement faire pire. »
Et quand notre androïde de sécurité met au jour un complot visant à éliminer les clients qu’il est censé protéger, il ne recule ni devant le sabotage ni devant l’assassinat ; il s’interpose même face au danger, quitte à y laisser des morceaux.
Martha Wells signe avec cette série un récit tout en ironie et en sensibilité sur l’éveil à la conscience et l’exercice du libre arbitre.
AssaSynth se fait passer pour un humain augmenté afin d'enquêter sur les évènements violents qui entachent son passé : l'androïde aurait perdu le contrôle et massécré les clients d'un précédent contrat, après quoi il aurait été en partie réinitialisé. Il décide de se rendre sur les lieux du massacre. Et pour arriver à ses fins, l'androïde se fait embaucher comme consultant de sécurité auprès de trois scientifiques en litige avec leur employeur, qu'il sauve de plusieurs tentatives de meurtre et d'un kidnapping. AssaSynth apprend que le assacre perpétré s'inscrivait dans un complot de sabotage à plus grande échelle, dont GrayCris Corporation semble responsable.
AssaSynth se fait passer pour un humain augmenté afin d'enquêter sur les évènements violents qui entachent son passé : l'androïde aurait perdu le contrôle et massécré les clients d'un précédent contrat, après quoi il aurait été en partie réinitialisé. Il décide de se rendre sur les lieux du massacre. Et pour arriver à ses fins, l'androïde se fait embaucher comme consultant de sécurité auprès de trois scientifiques en litige avec leur employeur, qu'il sauve de plusieurs tentatives de meurtre et d'un kidnapping. AssaSynth apprend que le assacre perpétré s'inscrivait dans un complot de sabotage à plus grande échelle, dont GrayCris Corporation semble responsable.
« Je n’ai vraiment pas de bol avec les transports autopilotés.
Le premier à me prendre en stop n’avait eu d’autre motivation que celle de profiter de ma collection de fichiers multimédias.
L’emmerdeur de vaisseau expéditionnaire, EVE, le temps de notre collaboration, avait menacé de me tuer, regardé mes émissions préférées, altéré ma configuration structurelle, fourni un excellent soutien tactique, argumenté jusqu’à me convaincre de jouer les consultants en sécurité, sauvé la vie de mes clients et nettoyé derrière moi quand j’avais dû assassiner des humains. (C’étaient des méchants.) EVE me manquait beaucoup.
Et il y avait ce transport-ci. Qui s’était mis en tête de me confier le maintien de l’ordre à bord et de m’envoyer des notifications à chaque querelle entre passagers. Imbécile que je suis, j’y avais répondu. Pourquoi ? Je ne le sais pas moi-même. »
Enfin parvenu sur la planète Milu, AssaSynth est contraint d’endosser de nouveau son rôle de SecUnit afin de protéger son identité et, au passage, des clients officieux, accompagnés d’un bot de compagnie, Miki.
Confronté à plus puissants que lui, mais aussi à l’innocence déstabilisante de Miki, notre androïde devra allier les deux parts de son être pour survivre : la puissance de feu du robot et le libre arbitre de l’humain.
« Je n’ai vraiment pas de bol avec les transports autopilotés.
Le premier à me prendre en stop n’avait eu d’autre motivation que celle de profiter de ma collection de fichiers multimédias.
L’emmerdeur de vaisseau expéditionnaire, EVE, le temps de notre collaboration, avait menacé de me tuer, regardé mes émissions préférées, altéré ma configuration structurelle, fourni un excellent soutien tactique, argumenté jusqu’à me convaincre de jouer les consultants en sécurité, sauvé la vie de mes clients et nettoyé derrière moi quand j’avais dû assassiner des humains. (C’étaient des méchants.) EVE me manquait beaucoup.
Et il y avait ce transport-ci. Qui s’était mis en tête de me confier le maintien de l’ordre à bord et de m’envoyer des notifications à chaque querelle entre passagers. Imbécile que je suis, j’y avais répondu. Pourquoi ? Je ne le sais pas moi-même. »
Enfin parvenu sur la planète Milu, AssaSynth est contraint d’endosser de nouveau son rôle de SecUnit afin de protéger son identité et, au passage, des clients officieux, accompagnés d’un bot de compagnie, Miki.
Confronté à plus puissants que lui, mais aussi à l’innocence déstabilisante de Miki, notre androïde devra allier les deux parts de son être pour survivre : la puissance de feu du robot et le libre arbitre de l’humain.
« La majorité de mes voyages ont été stressants, tout compte fait.
Plus que du stress, c’était de l’angoisse, cette fois. Fidèle à mes habitudes, j’ai regardé des séries. J’avais déniché un long drame historique narrant les premiers temps de l’exploration spatiale. Mais malgré les informations très convaincantes fournies en barres latérales, j’avais un peu de mal à y croire. J’ai arrêté au milieu du deuxième épisode et basculé sur une comédie musicale. »
Le Dr Mensah a été kidnappée. À moins que sa planète d’origine, Préservation, ne verse une rançon à GrayCris et n’abandonne toute poursuite, ils la tueront.
Infiltration et piratages de haute volée, duel avec une terrifiante SecUnit de combat, affrontement virtuel en immersion totale… AssaSynth est sur tous les fronts : on ne tue pas impunément ses clients ! Encore moins ses « presque amis humains ».
Ce quatrième et dernier volet du Journal d’un AssaSynth illustre la métamorphose d’un être en quête de son individualité, et qui, loin de vouloir devenir humain, aspire à en être l’égal.
« La majorité de mes voyages ont été stressants, tout compte fait.
Plus que du stress, c’était de l’angoisse, cette fois. Fidèle à mes habitudes, j’ai regardé des séries. J’avais déniché un long drame historique narrant les premiers temps de l’exploration spatiale. Mais malgré les informations très convaincantes fournies en barres latérales, j’avais un peu de mal à y croire. J’ai arrêté au milieu du deuxième épisode et basculé sur une comédie musicale. »
Le Dr Mensah a été kidnappée. À moins que sa planète d’origine, Préservation, ne verse une rançon à GrayCris et n’abandonne toute poursuite, ils la tueront.
Infiltration et piratages de haute volée, duel avec une terrifiante SecUnit de combat, affrontement virtuel en immersion totale… AssaSynth est sur tous les fronts : on ne tue pas impunément ses clients ! Encore moins ses « presque amis humains ».
Ce quatrième et dernier volet du Journal d’un AssaSynth illustre la métamorphose d’un être en quête de son individualité, et qui, loin de vouloir devenir humain, aspire à en être l’égal.
"Dans la catégorie androïde, je suis une SecUnit séditieuse. Il y a beau temps que j'ai piraté mon module superviseur et j'ai pris goût au libre arbitre. Cela m'apparente-t-il au genre humain ? Beurk. Sûrement pas. Dans l'ensemble les humains sont des imbéciles répugnants dévorés par leurs émotions." Mais on ne se refait pas. Ou bien si, justement. Et quand une mission d'exploration de ceux qui l'ont accueilli dans leur communauté tombe sous l'assaut d'un bâtiment hostile, AssaSynth n'hésite pas à payer de sa personne. A plus forte raison si la situation tourne à l'inextricable : un vaisseau qui-n'est-pas-son-ami ("ça n'a rien à voir avec les interactions humaines") décérébré, des pirates contrôlés par un implant sauvage, un monde dévoyé qu'on s'arrache et jusqu'à une ado encombrante trop futée. Il faut protéger les uns (y compris d'eux-mêmes), rentrer dans le lard des autres. Et attention : se méfier des reliques aliens imprévisibles. Action. Le roman Effet de réseau fait suite aux quatre novellas du "Journal d'un AssaSynth".
"Dans la catégorie androïde, je suis une SecUnit séditieuse. Il y a beau temps que j'ai piraté mon module superviseur et j'ai pris goût au libre arbitre. Cela m'apparente-t-il au genre humain ? Beurk. Sûrement pas. Dans l'ensemble les humains sont des imbéciles répugnants dévorés par leurs émotions." Mais on ne se refait pas. Ou bien si, justement. Et quand une mission d'exploration de ceux qui l'ont accueilli dans leur communauté tombe sous l'assaut d'un bâtiment hostile, AssaSynth n'hésite pas à payer de sa personne. A plus forte raison si la situation tourne à l'inextricable : un vaisseau qui-n'est-pas-son-ami ("ça n'a rien à voir avec les interactions humaines") décérébré, des pirates contrôlés par un implant sauvage, un monde dévoyé qu'on s'arrache et jusqu'à une ado encombrante trop futée. Il faut protéger les uns (y compris d'eux-mêmes), rentrer dans le lard des autres. Et attention : se méfier des reliques aliens imprévisibles. Action. Le roman Effet de réseau fait suite aux quatre novellas du "Journal d'un AssaSynth".
Dans ce huis clos policier riche en rebondissements, AssaSynth, qui ne demande toujours qu’à rester dans son coin à regarder des séries, découvrira la valeur du travail d’équipe – avec les humains, qui ne sont pas tous incompétents, et les autres bots, qui ne sont pas tous stupides.
Mais, surtout, iel apprendra à ne pas céder à un travers finalement très humain : dépasser ses préjugés.
Dans ce huis clos policier riche en rebondissements, AssaSynth, qui ne demande toujours qu’à rester dans son coin à regarder des séries, découvrira la valeur du travail d’équipe – avec les humains, qui ne sont pas tous incompétents, et les autres bots, qui ne sont pas tous stupides.
Mais, surtout, iel apprendra à ne pas céder à un travers finalement très humain : dépasser ses préjugés.
Je m’énerve quand les humains ne valorisent pas mon travail, mais un excès de reconnaissance me perturbe aussi, c’est à ne rien y comprendre. La conscience, ça craint.
Dans ce nouvel opus, AssaSynth, toujours prêt à tout pour protéger « ses » humains et adepte de programmes multimédias, doit faire face à de nouvelles défaillances non seulement matérielles mais psychologiques, qui le poussent à interroger, avec son sarcasme habituel, les notions de traumatisme, de solidarité, de guérison émotionnelle, et, finalement, ce qu’être humain signifie vraiment : entre vulnérabilité et résilience.
Au casting : l’équipage de Préservation, EVE, le vaisseau expéditionnaire intelligent rencontré dans Schémas artificiels, des colons en autarcie depuis vingt ans, une corporation esclavagiste ; le tout sous la menace d’un parasite alien !
Le roman Effondrement système fait suite à Effet de réseaux, cinquième volet de « Journal d’un Assasynth ».
Une nouvelle inédite
Chez-soi : foyer / périmètre / nid / territoire
Dans cette courte histoire qui se passe à la fin de Stratégie de sortie, où le Dr Mensah a été sauvée des griffes de la corporation GrayCris, les humains retrouvent avec délice la paix de leur foyer – concept qu’AssaSynth cherche tant bien que mal à définir...
Traduit de l’anglais par Mathilde Montier.
Je m’énerve quand les humains ne valorisent pas mon travail, mais un excès de reconnaissance me perturbe aussi, c’est à ne rien y comprendre. La conscience, ça craint.
Dans ce nouvel opus, AssaSynth, toujours prêt à tout pour protéger « ses » humains et adepte de programmes multimédias, doit faire face à de nouvelles défaillances non seulement matérielles mais psychologiques, qui le poussent à interroger, avec son sarcasme habituel, les notions de traumatisme, de solidarité, de guérison émotionnelle, et, finalement, ce qu’être humain signifie vraiment : entre vulnérabilité et résilience.
Au casting : l’équipage de Préservation, EVE, le vaisseau expéditionnaire intelligent rencontré dans Schémas artificiels, des colons en autarcie depuis vingt ans, une corporation esclavagiste ; le tout sous la menace d’un parasite alien !
Le roman Effondrement système fait suite à Effet de réseaux, cinquième volet de « Journal d’un Assasynth ».
Une nouvelle inédite
Chez-soi : foyer / périmètre / nid / territoire
Dans cette courte histoire qui se passe à la fin de Stratégie de sortie, où le Dr Mensah a été sauvée des griffes de la corporation GrayCris, les humains retrouvent avec délice la paix de leur foyer – concept qu’AssaSynth cherche tant bien que mal à définir...
Traduit de l’anglais par Mathilde Montier.