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Gilbert Woodbrooke, fétichiste anglais bien connu des beautés asiatiques, est parti à Tôkyô où l'on expose ses images de jeunes Nippones en uniforme de la dernière guerre. Ses fantasmes l'entraînent bien malgré lui du côté des redoutables mafias d'extrême droite. On ne se refait pas. Woodbrooke gaffe avec la même frénésie qu'il photographie ces femmes qu'il adore. Lui qui croyait tout connaître du Japon et des Japonaises va découvrir une autre réalité : celle des yakuzas, ces samouraïs en complet veston qui ne badinent pas avec le code d'honneur et ne supportent pas qu'on se moque d'eux...
Gilbert Woodbrooke, fétichiste anglais bien connu des beautés asiatiques, est parti à Tôkyô où l'on expose ses images de jeunes Nippones en uniforme de la dernière guerre. Ses fantasmes l'entraînent bien malgré lui du côté des redoutables mafias d'extrême droite. On ne se refait pas. Woodbrooke gaffe avec la même frénésie qu'il photographie ces femmes qu'il adore. Lui qui croyait tout connaître du Japon et des Japonaises va découvrir une autre réalité : celle des yakuzas, ces samouraïs en complet veston qui ne badinent pas avec le code d'honneur et ne supportent pas qu'on se moque d'eux...
Le photographe fétichiste anglais Gilbert Woodbrooke accompagne au Japon le réalisateur Bertie Myers. Les deux hommes sont chargés de réaliser un documentaire sur l'amour des animaux chez les Japonais. Première escale : l'île de Kyushu où réside le docteur Akimitsu Ibusé, vétérinaire réputé fondateur de Love Pets'Heaven. À peine débarqués, ils peuvent filmer la crémation d'un chat et donner rendez-vous aux deux jeunes personnes qui assistaient à la cérémonie. Puis Bertie le dragueur se fait mordre par un jeune doberman qu'on abat sur le champ. Cela n'empêche pas l'encombrant réalisateur de retrouver les jeunes étudiantes nippones quelques heures plus tard dans une boîte où leur comportement sans retenue déclenche la colère de quelques membres de la pègre avant que le tout dégénère en pugilat. Ayant perdu pas mal de yens dans cette affaire, les deux Anglais poursuivent leur film mais, au cours de leurs tribulations, ils vont croiser la secte Aum qui a prévu de déclencher un gigantesque attentat au gaz mortel dans le métro de Tokyo.
Reprenant la formule qui a fait le succès de Un été japonais, Romain Slocombe plonge son personnage dans des aventures tragi-comiques permettant d'appréhender quelques réalités du Japon moderne où l'on retrouve avec plaisir plusieurs personnages apparus dans le premier épisode. Avec plus de 700 pages, ce roman est le plus volumineux publié par la Série noire. --Claude Mesplède
Le photographe fétichiste anglais Gilbert Woodbrooke accompagne au Japon le réalisateur Bertie Myers. Les deux hommes sont chargés de réaliser un documentaire sur l'amour des animaux chez les Japonais. Première escale : l'île de Kyushu où réside le docteur Akimitsu Ibusé, vétérinaire réputé fondateur de Love Pets'Heaven. À peine débarqués, ils peuvent filmer la crémation d'un chat et donner rendez-vous aux deux jeunes personnes qui assistaient à la cérémonie. Puis Bertie le dragueur se fait mordre par un jeune doberman qu'on abat sur le champ. Cela n'empêche pas l'encombrant réalisateur de retrouver les jeunes étudiantes nippones quelques heures plus tard dans une boîte où leur comportement sans retenue déclenche la colère de quelques membres de la pègre avant que le tout dégénère en pugilat. Ayant perdu pas mal de yens dans cette affaire, les deux Anglais poursuivent leur film mais, au cours de leurs tribulations, ils vont croiser la secte Aum qui a prévu de déclencher un gigantesque attentat au gaz mortel dans le métro de Tokyo.
Reprenant la formule qui a fait le succès de Un été japonais, Romain Slocombe plonge son personnage dans des aventures tragi-comiques permettant d'appréhender quelques réalités du Japon moderne où l'on retrouve avec plaisir plusieurs personnages apparus dans le premier épisode. Avec plus de 700 pages, ce roman est le plus volumineux publié par la Série noire. --Claude Mesplède
Gilbert Woodbrooke, le photographe fétichiste anglais bien connu, débarque à Tôkyô fin octobre pour rencontrer un réalisateur de vidéos pornos mettant en scène des lycéennes. À Shinjuku, on exhume de mystérieux crânes révolvérisés, sciés ou calcinés - ce qui dérange considérablement certaines personnes d'extrême-droite. Les jeunes Japonaises pètent les plombs, tandis que ressurgissent les fantômes d'un passé monstrueux... Happy Halloween, mister Woodbrooke !
(Source : Gallimard)
Gilbert Woodbrooke, le photographe fétichiste anglais bien connu, débarque à Tôkyô fin octobre pour rencontrer un réalisateur de vidéos pornos mettant en scène des lycéennes. À Shinjuku, on exhume de mystérieux crânes révolvérisés, sciés ou calcinés - ce qui dérange considérablement certaines personnes d'extrême-droite. Les jeunes Japonaises pètent les plombs, tandis que ressurgissent les fantômes d'un passé monstrueux... Happy Halloween, mister Woodbrooke !
(Source : Gallimard)
Gilbert Woodbrooke, photographe obsédé par les jeunes Nippones en uniforme, s'envole pour l'île de Hokkaidô, au nord du Japon, afin de négocier une précieuse statuette de Gauguin appartenant à son galeriste escroc, l'inévitable Julius B. Hacker. L'acheteur potentiel est un richissime patron d'industrie, ancien officier des forces d'occupation en Chine, lié à l'extrême droite et aux yakuzas. Négligeant tous les avertissements, Woodbrooke se laisse peu à peu enfermer dans un huis-clos terrifiant qui le précipite à la rencontre de son propre passé on retrouve, échappée d'un asile psychiatrique, la jeune Kikuyo d'Averse d'automne - et de l'Histoire la plus noire du Japon : le " viol de Nankin ", en 1937, où périrent près de 200 000 soldats et civils chinois. Ce quatrième épisode de La Crucifixion en jaune, sur fond désolé d'hiver sibérien, achève l'odyssée extrême-orientale de l'insouciant Woodbrooke qui, contraint d'affronter les dégâts de ses précédents voyages, voit sa promenade hygiénique d'artiste fétichiste virer inexorablement au chemin de croix.
(Source : Fayard)
Gilbert Woodbrooke, photographe obsédé par les jeunes Nippones en uniforme, s'envole pour l'île de Hokkaidô, au nord du Japon, afin de négocier une précieuse statuette de Gauguin appartenant à son galeriste escroc, l'inévitable Julius B. Hacker. L'acheteur potentiel est un richissime patron d'industrie, ancien officier des forces d'occupation en Chine, lié à l'extrême droite et aux yakuzas. Négligeant tous les avertissements, Woodbrooke se laisse peu à peu enfermer dans un huis-clos terrifiant qui le précipite à la rencontre de son propre passé on retrouve, échappée d'un asile psychiatrique, la jeune Kikuyo d'Averse d'automne - et de l'Histoire la plus noire du Japon : le " viol de Nankin ", en 1937, où périrent près de 200 000 soldats et civils chinois. Ce quatrième épisode de La Crucifixion en jaune, sur fond désolé d'hiver sibérien, achève l'odyssée extrême-orientale de l'insouciant Woodbrooke qui, contraint d'affronter les dégâts de ses précédents voyages, voit sa promenade hygiénique d'artiste fétichiste virer inexorablement au chemin de croix.
(Source : Fayard)