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Le Fleuve - La série

  • Nombre de tomes :
  • 4
  • Nombre de lecteurs :
  • 12
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


Roman québécois Ce jour-là, du haut de la côte, on voyait le fleuve, majestueux, baigné de lumière scintillante, c’était une splendide journée d’été. C’était la marée basse. Ce jour-là, des enfants couraient sur le sable, revenant du large. Ils criaient comme des mouettes. Du haut de la côte, ça devait même être joli. On ne pouvait pas reconnaître la vérité de si loin. Ce n’était pourtant pas un jeu. Ils étaient affolés, les enfants. Ils étaient terrorisés. Pour les enfants de la meute, qui ont grandi sur la Côte-Nord, le fleuve est omniprésent ; il forme une toile de fond, un imaginaire, un décor dans lequel camper toutes les aventures, une inépuisable source d’émerveillement. Mais un jour cette force amie se transforme en monstre, emportant Roch, le grand frère adoré, l’avalant, le brisant, le noyant sous leurs yeux horrifiés. Un drame dont nul ne peut se remettre, surtout pas les parents. En attendant qu’on retrouve le corps, les petits seront dispersés. L’été qui s’annonce, bien qu’initiatique, sera un long chemin de croix. Entre la cueillette de fruits défendus, les excursions exaltantes dans la forêt bleue, les visites étonnées dans un sud aussi doux que le nord est rude et sauvage, se dessine le destin d’une famille marquée par la tragédie et la renaissance. Et celui d’une petite fille sauvée par une maîtresse d’école qui a « deux pierres précieuses à la place des yeux ». Femme de parole, l’auteure connaît tous les rouages du langage, ses moindres subtilités, ses résonances profondes. Elle nous offre un texte poétique d’une grande beauté, un chant pieux, une merveilleuse prière qui dit la douleur et la rédemption avec une justesse infinie.
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Description
Roman québécois Ce jour-là, du haut de la côte, on voyait le fleuve, majestueux, baigné de lumière scintillante, c’était une splendide journée d’été. C’était la marée basse. Ce jour-là, des enfants couraient sur le sable, revenant du large. Ils criaient comme des mouettes. Du haut de la côte, ça devait même être joli. On ne pouvait pas reconnaître la vérité de si loin. Ce n’était pourtant pas un jeu. Ils étaient affolés, les enfants. Ils étaient terrorisés. Pour les enfants de la meute, qui ont grandi sur la Côte-Nord, le fleuve est omniprésent ; il forme une toile de fond, un imaginaire, un décor dans lequel camper toutes les aventures, une inépuisable source d’émerveillement. Mais un jour cette force amie se transforme en monstre, emportant Roch, le grand frère adoré, l’avalant, le brisant, le noyant sous leurs yeux horrifiés. Un drame dont nul ne peut se remettre, surtout pas les parents. En attendant qu’on retrouve le corps, les petits seront dispersés. L’été qui s’annonce, bien qu’initiatique, sera un long chemin de croix. Entre la cueillette de fruits défendus, les excursions exaltantes dans la forêt bleue, les visites étonnées dans un sud aussi doux que le nord est rude et sauvage, se dessine le destin d’une famille marquée par la tragédie et la renaissance. Et celui d’une petite fille sauvée par une maîtresse d’école qui a « deux pierres précieuses à la place des yeux ». Femme de parole, l’auteure connaît tous les rouages du langage, ses moindres subtilités, ses résonances profondes. Elle nous offre un texte poétique d’une grande beauté, un chant pieux, une merveilleuse prière qui dit la douleur et la rédemption avec une justesse infinie.
Je me berce doucement dans la cabine, tenant le récepteur comme je tiendrais l’une de tes si belles mains. Je pense : je vais pouvoir respirer, elle me parle. Maman me parle. L’enfant du Fleuve a aujourd’hui vingt ans. Elle habite désormais la grande ville, fréquente l’université, a un amoureux, voyage à Paris. Mais c’est dans la maison familiale, sur la Côte-Nord, qu’elle court se réfugier chaque fois qu’elle le peut. Avec son regard de jeune femme libre, du moins en apparence, elle y observe sa mère, qui s’est sacrifiée pour sa famille, faisant une croix sur ses rêves, elle qui aurait tant aimé être « savante », visiter la France, peut-être même devenir peintre ; cette femme si différente, avec qui elle partage pourtant une blessure fondamentale… Dans Le fleuve, Sylvie Drapeau nous révélait son grand talent d’écrivaine. Cette suite, émouvante, magnifique, douloureuse, est débordante d’humanité.
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Je me berce doucement dans la cabine, tenant le récepteur comme je tiendrais l’une de tes si belles mains. Je pense : je vais pouvoir respirer, elle me parle. Maman me parle. L’enfant du Fleuve a aujourd’hui vingt ans. Elle habite désormais la grande ville, fréquente l’université, a un amoureux, voyage à Paris. Mais c’est dans la maison familiale, sur la Côte-Nord, qu’elle court se réfugier chaque fois qu’elle le peut. Avec son regard de jeune femme libre, du moins en apparence, elle y observe sa mère, qui s’est sacrifiée pour sa famille, faisant une croix sur ses rêves, elle qui aurait tant aimé être « savante », visiter la France, peut-être même devenir peintre ; cette femme si différente, avec qui elle partage pourtant une blessure fondamentale… Dans Le fleuve, Sylvie Drapeau nous révélait son grand talent d’écrivaine. Cette suite, émouvante, magnifique, douloureuse, est débordante d’humanité.
Parti de la Côte-Nord rejoindre ses soeurs et étudier à l'université, Richard, le petit dernier, le frère adoré, se met à agir de façon de plus en plus étrange. Alerté, la meute se rallie, l'entoure d'amour. Mais rien n'y fait. Un jour, il avoue l'impensable : des gens s'adressent à lui dans sa tête. Il n'est plus seul à l'intérieur. Commence alors la descente aux enfers.
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Description
Parti de la Côte-Nord rejoindre ses soeurs et étudier à l'université, Richard, le petit dernier, le frère adoré, se met à agir de façon de plus en plus étrange. Alerté, la meute se rallie, l'entoure d'amour. Mais rien n'y fait. Un jour, il avoue l'impensable : des gens s'adressent à lui dans sa tête. Il n'est plus seul à l'intérieur. Commence alors la descente aux enfers.
Quatrième tome d’une tétralogie amorcée en 2015, La terre marque la fin d’une histoire inoubliable. Celle d’une famille de la Côte-Nord hantée par les tragédies. Celle d’une femme qui doit apprendre à apprivoiser « ses morts » si elle ne veut pas se perdre. Celle d’une « meute » abîmée mais indestructible, soudée à tout jamais par les liens du sang. Après avoir assisté, impuissante, à la noyade de son frère aîné (Le fleuve), être devenue adulte alors que sa mère déclinait (Le ciel) et mère à son tour pendant le délire de son frère (L’enfer), voilà que la narratrice voit sa vie lui échapper au même moment où sa sœur aînée, l’autre artiste de la fratrie, s’écroule, terrassée par une explosion de vaisseaux sanguins dans son cerveau. Ce pourrait être une histoire triste, noire, désespérée. Mais c’est plein de couleurs et d’espoir. Écrit avec une sensibilité portée par chacun de ses mots, La terre met un point final à une série d’une grande beauté.
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Description
Quatrième tome d’une tétralogie amorcée en 2015, La terre marque la fin d’une histoire inoubliable. Celle d’une famille de la Côte-Nord hantée par les tragédies. Celle d’une femme qui doit apprendre à apprivoiser « ses morts » si elle ne veut pas se perdre. Celle d’une « meute » abîmée mais indestructible, soudée à tout jamais par les liens du sang. Après avoir assisté, impuissante, à la noyade de son frère aîné (Le fleuve), être devenue adulte alors que sa mère déclinait (Le ciel) et mère à son tour pendant le délire de son frère (L’enfer), voilà que la narratrice voit sa vie lui échapper au même moment où sa sœur aînée, l’autre artiste de la fratrie, s’écroule, terrassée par une explosion de vaisseaux sanguins dans son cerveau. Ce pourrait être une histoire triste, noire, désespérée. Mais c’est plein de couleurs et d’espoir. Écrit avec une sensibilité portée par chacun de ses mots, La terre met un point final à une série d’une grande beauté.

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