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Les Cités intérieures - La série

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La liste des tomes


Anaïs Nin ne pensait pas devoir jamais sa célébrité à son extraordinaire Journal : celui-ci devait simplement l'aider, selon elle, à prendre conscience de ce qu'elle voulait être, de ce qu'elle était et de ce qu'elle souhaitait devenir : un écrivain reconnu avec une oeuvre véritable, entre autres, une série de romans dont le titre serait Les Cités intérieures, celles qui se situent au-delà des apparences, de l'autre côté du miroir. C'est le premier de ces cinq romans publiés entre 1946 et 1961, que nous offrons ici à la curiosité du lecteur. On y découvre Lillian, Djuna et Sabina, trois amies inséparables, reflets de l'auteur, et que l'on retrouvera dans les récits suivants, Anaïs tente, dit-elle, de traiter à travers ses héroïnes, des négations, du dédale et de la complexité de la nature féminine. Elle rejette déjà le mariage et la maternité et s'aventure dans les moindres du désir, de la passion amoureuse, et de la tendresse aussi, sans pour autant être jamais satisfaite Source : Stock
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Anaïs Nin ne pensait pas devoir jamais sa célébrité à son extraordinaire Journal : celui-ci devait simplement l'aider, selon elle, à prendre conscience de ce qu'elle voulait être, de ce qu'elle était et de ce qu'elle souhaitait devenir : un écrivain reconnu avec une oeuvre véritable, entre autres, une série de romans dont le titre serait Les Cités intérieures, celles qui se situent au-delà des apparences, de l'autre côté du miroir. C'est le premier de ces cinq romans publiés entre 1946 et 1961, que nous offrons ici à la curiosité du lecteur. On y découvre Lillian, Djuna et Sabina, trois amies inséparables, reflets de l'auteur, et que l'on retrouvera dans les récits suivants, Anaïs tente, dit-elle, de traiter à travers ses héroïnes, des négations, du dédale et de la complexité de la nature féminine. Elle rejette déjà le mariage et la maternité et s'aventure dans les moindres du désir, de la passion amoureuse, et de la tendresse aussi, sans pour autant être jamais satisfaite Source : Stock
Voici le deuxième volet des Cités intérieures, cette série de cinq romans dont Anaïs espérant qu'elle lui vaudrait d'être reconnue comme un écrivain avec une oeuvre véritable. Elle ne pensait pas en effet devoir jamais sa célébrité à son extraordinaire Journal. C'est à Djuna, l'un des trois personnages derrière lesquels elle se cache, qu'Anaïs confie ici le rôle principal. Djuna à la double personnalité, rêvant dès l'enfance de celui qui viendra mettre fin à sa solitude mais ne rencontrant au début que ces Enfants de l'Albatros", des rêveurs que leurs trop grandes ailes empêchent de marcherà quand ils ne fuient pas tout simplement les femmes. Ce n'est que beaucoup plus tard, à la maturité, que Djuna connaîtra un amour fou avec le jeune Paul, qui aura le courage de forcer les interdits.
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Voici le deuxième volet des Cités intérieures, cette série de cinq romans dont Anaïs espérant qu'elle lui vaudrait d'être reconnue comme un écrivain avec une oeuvre véritable. Elle ne pensait pas en effet devoir jamais sa célébrité à son extraordinaire Journal. C'est à Djuna, l'un des trois personnages derrière lesquels elle se cache, qu'Anaïs confie ici le rôle principal. Djuna à la double personnalité, rêvant dès l'enfance de celui qui viendra mettre fin à sa solitude mais ne rencontrant au début que ces Enfants de l'Albatros", des rêveurs que leurs trop grandes ailes empêchent de marcherà quand ils ne fuient pas tout simplement les femmes. Ce n'est que beaucoup plus tard, à la maturité, que Djuna connaîtra un amour fou avec le jeune Paul, qui aura le courage de forcer les interdits.
Troisième volet des Cités Intérieures, inspiré directement par la vie d'Anaïs Nin à Paris avant 1938, écrit plus de dix ans après, Les chambres du coeur témoigne de la volonté de l'auteur de poursuivre son oeuvre romanesque en dépit de l'incompréhension rencontrée jusqu'alors. Comme dans les enfants de l'Albatros, Anaïs fait de Djuna son alter ego le portrait dans un miroir qui sans doute lui permettra de mieux prendre les distances qu'elle entend avoir avec ce que fut la réalité. Mais elle fait aussi resurgir Sabina, déjà vue dans les romans précédents, quand le personnage de Djuna ne suffit plus à la représenter. Elle évoque à travers ses différents personnages féminins la femme multiple qu'elle est elle-même. Les chambres du coeur illustre surtout la magie du sexe et du corps et de l'âme, et l'attirance des contraires. Minutieusement, Anaïs nous montre la dégradation d'un amour jusqu'à un dénouement final au fil de l'eau plus rêvé que réel...
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Troisième volet des Cités Intérieures, inspiré directement par la vie d'Anaïs Nin à Paris avant 1938, écrit plus de dix ans après, Les chambres du coeur témoigne de la volonté de l'auteur de poursuivre son oeuvre romanesque en dépit de l'incompréhension rencontrée jusqu'alors. Comme dans les enfants de l'Albatros, Anaïs fait de Djuna son alter ego le portrait dans un miroir qui sans doute lui permettra de mieux prendre les distances qu'elle entend avoir avec ce que fut la réalité. Mais elle fait aussi resurgir Sabina, déjà vue dans les romans précédents, quand le personnage de Djuna ne suffit plus à la représenter. Elle évoque à travers ses différents personnages féminins la femme multiple qu'elle est elle-même. Les chambres du coeur illustre surtout la magie du sexe et du corps et de l'âme, et l'attirance des contraires. Minutieusement, Anaïs nous montre la dégradation d'un amour jusqu'à un dénouement final au fil de l'eau plus rêvé que réel...
Ce livre nous transporte dans le New York des années quarante et témoigne de l'ambition littéraire d'Anaïs Nin qui souhaitait être reconnue comme romancière à part entière. Sabina, jeune comédienne fragile et névrosée, mène une double vie amoureuse. Mais après chacune de ses aventures, elle revient vers son mari, reconnaissante et apaisée. Le lecteur averti reconnaîtra en Alan, Hugo, le mari d'Anaïs, en Jay Henry Miller, et il n'est pas interdit de voir dans le détecteur de mensonges un portrait d'Otto Rank, son psychanalyste. Car c'est toute l'ambiguïté de Sabina qui revendique sa liberté et celle de toutes les femmes que d'être hantée par la culpabilité et l'angoisse. Auto-analyse et confession d'une femme narcissique et tourmentée, cette espionne dans la maison de l'amour est le quatrième volet des Cités intérieures, publié en 1978.
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Ce livre nous transporte dans le New York des années quarante et témoigne de l'ambition littéraire d'Anaïs Nin qui souhaitait être reconnue comme romancière à part entière. Sabina, jeune comédienne fragile et névrosée, mène une double vie amoureuse. Mais après chacune de ses aventures, elle revient vers son mari, reconnaissante et apaisée. Le lecteur averti reconnaîtra en Alan, Hugo, le mari d'Anaïs, en Jay Henry Miller, et il n'est pas interdit de voir dans le détecteur de mensonges un portrait d'Otto Rank, son psychanalyste. Car c'est toute l'ambiguïté de Sabina qui revendique sa liberté et celle de toutes les femmes que d'être hantée par la culpabilité et l'angoisse. Auto-analyse et confession d'une femme narcissique et tourmentée, cette espionne dans la maison de l'amour est le quatrième volet des Cités intérieures, publié en 1978.
Si on veut bien considérer le "Journal" comme une sorte de coquille dans laquelle Anaïs Nin rassemble les jours comme ils passent, les romans qu'elle en tire peuvent apparaître comme une spirale de temps et d'espace sous une forme plus littéraire, moins spontanée, mais plus signifiante. Elle a donc voulu reprendre le fil d'Ariane pour aller jusqu'au fond du labyrinthe intérieur et affronter le Minotaure. Sachant qu'elle en est au dernier volet des "Cités intérieures", en même temps que sa vie a franchi un tournant décisif, elle veut faire le point. Elle avait jusqu'alors craint de s'aventurer dans les labyrinthes de son passé, elle avait "peur de rencontrer le Minotaure et de se faire dévorer", mais avec le séjour à Golconda, elle a trouvé les forces qui lui permettent de le regarder en face. Il ressemble à quelqu'un qu'elle connaît, ce n'est pas un monstre, c'est un reflet, le reflet d'une femme démasquée, Lillian en personne, cette partie d'elle-même qu'elle avait jusqu'à présent ignorée, qu'elle rencontre enfin, et qui, en fait, avait dicté sa vie. (Source : Stock)
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Si on veut bien considérer le "Journal" comme une sorte de coquille dans laquelle Anaïs Nin rassemble les jours comme ils passent, les romans qu'elle en tire peuvent apparaître comme une spirale de temps et d'espace sous une forme plus littéraire, moins spontanée, mais plus signifiante. Elle a donc voulu reprendre le fil d'Ariane pour aller jusqu'au fond du labyrinthe intérieur et affronter le Minotaure. Sachant qu'elle en est au dernier volet des "Cités intérieures", en même temps que sa vie a franchi un tournant décisif, elle veut faire le point. Elle avait jusqu'alors craint de s'aventurer dans les labyrinthes de son passé, elle avait "peur de rencontrer le Minotaure et de se faire dévorer", mais avec le séjour à Golconda, elle a trouvé les forces qui lui permettent de le regarder en face. Il ressemble à quelqu'un qu'elle connaît, ce n'est pas un monstre, c'est un reflet, le reflet d'une femme démasquée, Lillian en personne, cette partie d'elle-même qu'elle avait jusqu'à présent ignorée, qu'elle rencontre enfin, et qui, en fait, avait dicté sa vie. (Source : Stock)

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