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Il est une évidence : l’histoire de l’Afrique constitue le plus gros mensonge civilisationnel des plus criminogènes qui ait existé. Elle avait été sciemment falsifiée pour des raisons économiques et culturelles, philosophiques et religieuses, dès l’exploration européenne du continent africain commencée avec les Grecs anciens et les Romains. Certes, l’histoire de l’Afrique est faite de personnalités fortes mais sanguinaires et souvent au service des puissances extracontinentales dont les actes, meurtriers et inhumains, doivent inciter à refuser de sombrer dans l’obscurantisme et dans l’asservissement. Ils doivent plutôt pousser les futures générations à souhaiter davantage une Afrique meilleure et plus éclairée sur les plans matériel, économique, social, spirituel, politique...
Mais l’histoire de l’Afrique est avant tout l’œuvre des personnalités exceptionnelles dont les actions, les convictions et les principes, ainsi que les rêves, ont respectivement façonné les différentes époques dans le but de baliser le chemin qu’emprunteraient les futures générations.
Gens d’armes, guerriers, conquérants et résistants à la colonisation, messianistes, prophètes et hommes d’église, panafricanistes et acteurs politiques en vue des indépendances, intellectuels et militants révolutionnaires..., ils ont souvent connu une mort tragique. Mais, passés à la postérité, ils représentent des modèles auxquels doivent se référer les Africains – l’objectif consistant à renouer avec les gloires étatiques de jadis afin de faire triompher un autre modèle de société.
Il est une évidence : l’histoire de l’Afrique constitue le plus gros mensonge civilisationnel des plus criminogènes qui ait existé. Elle avait été sciemment falsifiée pour des raisons économiques et culturelles, philosophiques et religieuses, dès l’exploration européenne du continent africain commencée avec les Grecs anciens et les Romains. Certes, l’histoire de l’Afrique est faite de personnalités fortes mais sanguinaires et souvent au service des puissances extracontinentales dont les actes, meurtriers et inhumains, doivent inciter à refuser de sombrer dans l’obscurantisme et dans l’asservissement. Ils doivent plutôt pousser les futures générations à souhaiter davantage une Afrique meilleure et plus éclairée sur les plans matériel, économique, social, spirituel, politique...
Mais l’histoire de l’Afrique est avant tout l’œuvre des personnalités exceptionnelles dont les actions, les convictions et les principes, ainsi que les rêves, ont respectivement façonné les différentes époques dans le but de baliser le chemin qu’emprunteraient les futures générations.
Gens d’armes, guerriers, conquérants et résistants à la colonisation, messianistes, prophètes et hommes d’église, panafricanistes et acteurs politiques en vue des indépendances, intellectuels et militants révolutionnaires..., ils ont souvent connu une mort tragique. Mais, passés à la postérité, ils représentent des modèles auxquels doivent se référer les Africains – l’objectif consistant à renouer avec les gloires étatiques de jadis afin de faire triompher un autre modèle de société.
Il est une évidence : l’histoire de l’Afrique constitue le plus gros mensonge civilisationnel des plus criminogènes qui ait existé. Elle avait été sciemment falsifiée pour des raisons économiques et culturelles, philosophiques et religieuses, dès l’exploration européenne du continent africain commencée par les Grecs anciens et les Romains.
Certes, l’histoire de l’Afrique est faite de personnalités fortes mais sanguinaires et souvent au service des puissances extracontinentales dont les actes, meurtriers et inhumains, doivent inciter à refuser de sombrer dans l’obscurantisme et dans l’asservissement. Ils doivent plutôt pousser les futures générations à souhaiter davantage une Afrique meilleure et plus éclairée sur les plans matériel, économique, social, spirituel, politique…
Mais l’histoire de l’Afrique est avant tout l’œuvre des personnalités exceptionnelles dont les actions, les convictions et les principes, ainsi que les rêves, ont respectivement façonné les différentes époques dans le but de baliser le chemin qu’emprunteraient les futures générations. Gens d’armes, guerriers, conquérants et résistants à la colonisation, messianistes, prophètes et hommes d’Église, panafricanistes et acteurs politiques en vue des indépendances, intellectuels et militants révolutionnaires…, ils ont souvent connu une mort tragique. Mais, passés à la postérité, ils représentent des modèles auxquels doivent se référer les Africains – l’objectif consistant à renouer avec les gloires étatiques de jadis afin de faire triompher un autre modèle de société.
Du point de vue culturel, l’Afrique subsaharienne ne doit en principe avoir aucun complexe au regard d’autres continents de la planète. Encore faut-il que les Africains et leurs descendants s’imprègnent davantage de la diversité de leurs philosophies et cultures, les assument et les intègrent dans les politiques relatives au développement de leurs pays.
Il est une évidence : l’histoire de l’Afrique constitue le plus gros mensonge civilisationnel des plus criminogènes qui ait existé. Elle avait été sciemment falsifiée pour des raisons économiques et culturelles, philosophiques et religieuses, dès l’exploration européenne du continent africain commencée par les Grecs anciens et les Romains.
Certes, l’histoire de l’Afrique est faite de personnalités fortes mais sanguinaires et souvent au service des puissances extracontinentales dont les actes, meurtriers et inhumains, doivent inciter à refuser de sombrer dans l’obscurantisme et dans l’asservissement. Ils doivent plutôt pousser les futures générations à souhaiter davantage une Afrique meilleure et plus éclairée sur les plans matériel, économique, social, spirituel, politique…
Mais l’histoire de l’Afrique est avant tout l’œuvre des personnalités exceptionnelles dont les actions, les convictions et les principes, ainsi que les rêves, ont respectivement façonné les différentes époques dans le but de baliser le chemin qu’emprunteraient les futures générations. Gens d’armes, guerriers, conquérants et résistants à la colonisation, messianistes, prophètes et hommes d’Église, panafricanistes et acteurs politiques en vue des indépendances, intellectuels et militants révolutionnaires…, ils ont souvent connu une mort tragique. Mais, passés à la postérité, ils représentent des modèles auxquels doivent se référer les Africains – l’objectif consistant à renouer avec les gloires étatiques de jadis afin de faire triompher un autre modèle de société.
Du point de vue culturel, l’Afrique subsaharienne ne doit en principe avoir aucun complexe au regard d’autres continents de la planète. Encore faut-il que les Africains et leurs descendants s’imprègnent davantage de la diversité de leurs philosophies et cultures, les assument et les intègrent dans les politiques relatives au développement de leurs pays.
Dans cet ouvrage, le passé éclaire le présent dans l’optique de dessiner les lignes du futur. De plus, la compréhension de l’Histoire est un facteur déterminant en vue de la construction en toute connaissance de cause. S’appuyant à juste titre sur le symbolique miroir indispensable à l’introspection, l’auteur déterre avec parcimonie une immense richesse. Ce patrimoine culturel et historique est composé d’une grande diversité de héros, de guerriers, de résistants, d’artistes, d’auteurs, de sportifs ayant marqué l’Afrique par leur courage, leur plume, leur action politique, leur prouesse musicale, leur engagement sociétal, leur capacité intellectuelle, leur apport culturel, leur exploit sportif… Des hommes vaillants et des femmes ingénieuses qui, à n’en pas douter, serviront des modèles en vue d’une extrospection sur la base d’une vision non pessimiste.
De Soundiata Keïta à Nelson Mandela sans oublier Chaka Zulu, de Seydou Badian à Cheikh Anta Diop, d’Eusebio à Pierre Ndaye Mutumbula Mulamba en passant par Robert Mensah, du Grand Maître Franco Luambo Makiadi à Anikulapo Fela Kuti, de Kimpa Vita à la reine Pokou, de Miriam Makeba à Abeti Masikini en s’attardant sur Bella Bellow et Cesária Évora, de la reine Ranavalona Ière à Wangari Maathai, de Nzinga Mbandi à Manthatisi via Ntebogang Ratshosa et Labotsibeni Gwamile Mdluli, ainsi que Mbuya Nehanda, de Jomo Kenyatta à Samora Machel, en s’attardant sur Patrice Lumumba…, cet ouvrage est une invitation à la vraie découverte d’un continent aux immenses potentialités, ainsi qu’à l’avenir vivable et viable.
Dans cet ouvrage, le passé éclaire le présent dans l’optique de dessiner les lignes du futur. De plus, la compréhension de l’Histoire est un facteur déterminant en vue de la construction en toute connaissance de cause. S’appuyant à juste titre sur le symbolique miroir indispensable à l’introspection, l’auteur déterre avec parcimonie une immense richesse. Ce patrimoine culturel et historique est composé d’une grande diversité de héros, de guerriers, de résistants, d’artistes, d’auteurs, de sportifs ayant marqué l’Afrique par leur courage, leur plume, leur action politique, leur prouesse musicale, leur engagement sociétal, leur capacité intellectuelle, leur apport culturel, leur exploit sportif… Des hommes vaillants et des femmes ingénieuses qui, à n’en pas douter, serviront des modèles en vue d’une extrospection sur la base d’une vision non pessimiste.
De Soundiata Keïta à Nelson Mandela sans oublier Chaka Zulu, de Seydou Badian à Cheikh Anta Diop, d’Eusebio à Pierre Ndaye Mutumbula Mulamba en passant par Robert Mensah, du Grand Maître Franco Luambo Makiadi à Anikulapo Fela Kuti, de Kimpa Vita à la reine Pokou, de Miriam Makeba à Abeti Masikini en s’attardant sur Bella Bellow et Cesária Évora, de la reine Ranavalona Ière à Wangari Maathai, de Nzinga Mbandi à Manthatisi via Ntebogang Ratshosa et Labotsibeni Gwamile Mdluli, ainsi que Mbuya Nehanda, de Jomo Kenyatta à Samora Machel, en s’attardant sur Patrice Lumumba…, cet ouvrage est une invitation à la vraie découverte d’un continent aux immenses potentialités, ainsi qu’à l’avenir vivable et viable.