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La liste des tomes


31 mai 1916. Après plus de deux ans d’attente et plusieurs occasions manquées, la Royal Navy anglaise, dont la Grand Fleet est commandée par le vice-amiral John Jellicoe et l'escadre des croiseurs de bataille par le vice-amiral David Beatty, contraint les Allemands à une grande confrontation navale en mer du Nord au large des côtes danoises du Jutland. L’amirauté britannique a fait le choix de privilégier dans les engagements la vitesse de déplacement et le tir rapide. Pour y répondre, le blindage des croiseurs de bataille, fer de lance de toute flotte, a été allégé. Le choix va s’avérer dramatique pour les navires de la Royal Navy dont les soutes débordent de cordite, un nouvel explosif d’une puissance alors jamais égalée. Trois croiseurs de bataille, dont Le HMS Invincible et son amiral Horace Hood, vont le payer chèrement. Il suffira d'une bordée d’obus allemands pour embraser les vaisseaux de guerre anglais et bouter le feu à la cordite avec les conséquences que l’on imagine aisément. Alors que la bataille entre les deux flottes ne fait rage que depuis peu, la Royal Navy perd trois de ses fleurons et plus de 3.000 hommes. Si victoire il y a, elle eut un goût amère, assurément… Jutland a été la dernière grande confrontation maritime de la Première Guerre Mondiale. Malgré leurs très lourdes pertes, supérieures aux allemands, les Anglais y réaffirmaient leur hégémonie maritime sur les mers du monde et l’Allemagne, trop consciente d’avoir échappée au désastre, décidait de confiner dans ses ports la plupart de ses navires
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31 mai 1916. Après plus de deux ans d’attente et plusieurs occasions manquées, la Royal Navy anglaise, dont la Grand Fleet est commandée par le vice-amiral John Jellicoe et l'escadre des croiseurs de bataille par le vice-amiral David Beatty, contraint les Allemands à une grande confrontation navale en mer du Nord au large des côtes danoises du Jutland. L’amirauté britannique a fait le choix de privilégier dans les engagements la vitesse de déplacement et le tir rapide. Pour y répondre, le blindage des croiseurs de bataille, fer de lance de toute flotte, a été allégé. Le choix va s’avérer dramatique pour les navires de la Royal Navy dont les soutes débordent de cordite, un nouvel explosif d’une puissance alors jamais égalée. Trois croiseurs de bataille, dont Le HMS Invincible et son amiral Horace Hood, vont le payer chèrement. Il suffira d'une bordée d’obus allemands pour embraser les vaisseaux de guerre anglais et bouter le feu à la cordite avec les conséquences que l’on imagine aisément. Alors que la bataille entre les deux flottes ne fait rage que depuis peu, la Royal Navy perd trois de ses fleurons et plus de 3.000 hommes. Si victoire il y a, elle eut un goût amère, assurément… Jutland a été la dernière grande confrontation maritime de la Première Guerre Mondiale. Malgré leurs très lourdes pertes, supérieures aux allemands, les Anglais y réaffirmaient leur hégémonie maritime sur les mers du monde et l’Allemagne, trop consciente d’avoir échappée au désastre, décidait de confiner dans ses ports la plupart de ses navires
1805. Napoléon Ier a le projet de mener la guerre sur les terres mêmes de son éternel ennemi. Un plan audacieux pour l’empereur, car s’il lui est simple de rassembler des troupes en nombre sur les côtes de la Manche, faut-il encore réussir débarrasser les eaux de cette dernière de toute présence de vaisseaux anglais, au risque sinon de voir son projet prendre l’eau. C’est au vice-amiral de Villeneuve que revient la tâche ardue d’attirer la Royal Navy loin de ses côtes pour libérer le passage. Malheureusement pour l’empereur, son plan échoue. Il doit faire lever le camp à ses troupes pour les envoyer à l’est de son empire où la guerre menace et la Royal Navy n’a pas été abusé. Pis, la flotte franco-espagnole commandée par de Villeneuve, pourchassée par Horatio Nelson, s’est réfugiée à Cadix. La confrontation semble inévitable car l’amiral français reçoit l’ordre d’appareiller, de forcer le blocus anglais et se rendre au large de l’Italie pour soutenir les troupes de l’Empereur. S’il ne s’exécute pas, c’est le limogeage et le déshonneur. Après bien des hésitations, le vice-amiral de Villeneuve ira à la rencontre de son destin, persuadé qu’il peut vaincre. Il connaît tout de Nelson, sa flotte est supérieure en nombre et ses vaisseaux n’ont rien à envier aux Anglais. Mais l’amiral français a oublié que la puissance d’une flotte ne se trouve pas que dans les canons et le gréement des vaisseaux... La bataille de Trafalgar deviendra ainsi la plus grande victoire de la Royal Navy et le pire affront pour la marine française.
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1805. Napoléon Ier a le projet de mener la guerre sur les terres mêmes de son éternel ennemi. Un plan audacieux pour l’empereur, car s’il lui est simple de rassembler des troupes en nombre sur les côtes de la Manche, faut-il encore réussir débarrasser les eaux de cette dernière de toute présence de vaisseaux anglais, au risque sinon de voir son projet prendre l’eau. C’est au vice-amiral de Villeneuve que revient la tâche ardue d’attirer la Royal Navy loin de ses côtes pour libérer le passage. Malheureusement pour l’empereur, son plan échoue. Il doit faire lever le camp à ses troupes pour les envoyer à l’est de son empire où la guerre menace et la Royal Navy n’a pas été abusé. Pis, la flotte franco-espagnole commandée par de Villeneuve, pourchassée par Horatio Nelson, s’est réfugiée à Cadix. La confrontation semble inévitable car l’amiral français reçoit l’ordre d’appareiller, de forcer le blocus anglais et se rendre au large de l’Italie pour soutenir les troupes de l’Empereur. S’il ne s’exécute pas, c’est le limogeage et le déshonneur. Après bien des hésitations, le vice-amiral de Villeneuve ira à la rencontre de son destin, persuadé qu’il peut vaincre. Il connaît tout de Nelson, sa flotte est supérieure en nombre et ses vaisseaux n’ont rien à envier aux Anglais. Mais l’amiral français a oublié que la puissance d’une flotte ne se trouve pas que dans les canons et le gréement des vaisseaux... La bataille de Trafalgar deviendra ainsi la plus grande victoire de la Royal Navy et le pire affront pour la marine française.
Fin du XVIIIe siècle. Alors que les colonies anglaises d’Amérique, excédées par l’intransigeance de la couronne à les taxer toujours davantage, rêvent de liberté, le royaume de France se décide à prendre part officiellement au conflit aux côtés des insurgés. Missionné pour harceler les anglais dans les Antilles, l’amiral de Grasse au commandement d’une imposante flotte de guerre est appelé en renfort pour aider l’armée de George Washington et le contingent français aux ordres de Rochambeau dans la guerre qu’ils mènent tous deux aux troupes anglaises sur le territoire américain. Ils ont réussi à encercler les forces du général anglais Cornwallis dans Yorktown. Une importante victoire semble à portée de main, pourvu seulement que les anglais ne reçoivent pas des renforts par la mer. Celui qui deviendra maître des eaux dans la baie de Chesapeake contribuera immanquablement à la défaite d’un des protagonistes, Anglais ou patriotes américains et français. Même si la bataille de Chesapeake ne sera pas une cuisante défaite pour la Royal Navy, elle marquera surtout un tournant dans la guerre qui se joue dans les colonies anglaises et contribuera à la victoire finale pour l’indépendance américaine.
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Fin du XVIIIe siècle. Alors que les colonies anglaises d’Amérique, excédées par l’intransigeance de la couronne à les taxer toujours davantage, rêvent de liberté, le royaume de France se décide à prendre part officiellement au conflit aux côtés des insurgés. Missionné pour harceler les anglais dans les Antilles, l’amiral de Grasse au commandement d’une imposante flotte de guerre est appelé en renfort pour aider l’armée de George Washington et le contingent français aux ordres de Rochambeau dans la guerre qu’ils mènent tous deux aux troupes anglaises sur le territoire américain. Ils ont réussi à encercler les forces du général anglais Cornwallis dans Yorktown. Une importante victoire semble à portée de main, pourvu seulement que les anglais ne reçoivent pas des renforts par la mer. Celui qui deviendra maître des eaux dans la baie de Chesapeake contribuera immanquablement à la défaite d’un des protagonistes, Anglais ou patriotes américains et français. Même si la bataille de Chesapeake ne sera pas une cuisante défaite pour la Royal Navy, elle marquera surtout un tournant dans la guerre qui se joue dans les colonies anglaises et contribuera à la victoire finale pour l’indépendance américaine.
L’union fait la force 1570. L’emprise ottomane s’étend sur tout le bassin méditerranéen. Une hégémonie qui finit par porter préjudice aux intérêts économiques des puissances chrétiennes. Lassé des razzias répétitives que pratiquent les turcs, le Pape Pie V mobilise sur le thème de la Croisade. La prise de Chypre, qui était une possession vénitienne, et le massacre de plus de 20 000 personnes finit de convaincre les puissances chrétiennes. L'Espagne, Venise, les États Pontificaux, la République de Gênes, le Duché de Savoie, l’Ordre Souverain Militaire Hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte vont ainsi former la Sainte Ligue. Près de 30 000 hommes et 208 navires en provenance de Messine se dirigent à la rencontre de la flotte turque forte de 47 000 hommes et 273 navires. Un combat sanglant et d’une ampleur démesurée se prépare... Première grande victoire des Chrétiens face à la marine ottomane, la bataille de Lépante a eu un retentissement considérable dans toute l’Europe, marquant la fin de l’expansionnisme turc. Certains historiens estiment qu’il s’agit de la bataille navale la plus importante de l’Histoire par ses conséquences.
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L’union fait la force 1570. L’emprise ottomane s’étend sur tout le bassin méditerranéen. Une hégémonie qui finit par porter préjudice aux intérêts économiques des puissances chrétiennes. Lassé des razzias répétitives que pratiquent les turcs, le Pape Pie V mobilise sur le thème de la Croisade. La prise de Chypre, qui était une possession vénitienne, et le massacre de plus de 20 000 personnes finit de convaincre les puissances chrétiennes. L'Espagne, Venise, les États Pontificaux, la République de Gênes, le Duché de Savoie, l’Ordre Souverain Militaire Hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte vont ainsi former la Sainte Ligue. Près de 30 000 hommes et 208 navires en provenance de Messine se dirigent à la rencontre de la flotte turque forte de 47 000 hommes et 273 navires. Un combat sanglant et d’une ampleur démesurée se prépare... Première grande victoire des Chrétiens face à la marine ottomane, la bataille de Lépante a eu un retentissement considérable dans toute l’Europe, marquant la fin de l’expansionnisme turc. Certains historiens estiment qu’il s’agit de la bataille navale la plus importante de l’Histoire par ses conséquences.
Chroniques d'un désastre annoncé En août 1904, au cours de la Guerre russo-japonaise, les troupes japonaises font le siège de Port-Arthur et les navires russes de l'escadre du Pacifique sont bloqués dans le port. Les russes décident alors d'envoyer une seconde flotte en soutien. Mais elle doit venir de la Baltique. Un long périple de près de huit mois. Quand enfin les proues des navires russes fendent les eaux au large de la Corée, il est trop tard, Port Arthur a capitulé. Les Russes décident alors de rejoindre le port de Vladivostok. Malheureusement, ils sont repérés par la flotte japonaise, plus expérimentée et mieux équipée...Défaite catastrophique pour la flotte russe qui perdra la quasi-totalité de ses navires, la bataille de Tsushima a eu, en plus de porter atteinte au prestige international de l'Empire russe, des conséquences sur la conception des vaisseaux de guerre futurs.
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Chroniques d'un désastre annoncé En août 1904, au cours de la Guerre russo-japonaise, les troupes japonaises font le siège de Port-Arthur et les navires russes de l'escadre du Pacifique sont bloqués dans le port. Les russes décident alors d'envoyer une seconde flotte en soutien. Mais elle doit venir de la Baltique. Un long périple de près de huit mois. Quand enfin les proues des navires russes fendent les eaux au large de la Corée, il est trop tard, Port Arthur a capitulé. Les Russes décident alors de rejoindre le port de Vladivostok. Malheureusement, ils sont repérés par la flotte japonaise, plus expérimentée et mieux équipée...Défaite catastrophique pour la flotte russe qui perdra la quasi-totalité de ses navires, la bataille de Tsushima a eu, en plus de porter atteinte au prestige international de l'Empire russe, des conséquences sur la conception des vaisseaux de guerre futurs.
Depuis avril 1861, la guerre civile fait rage en Amérique. Les états confédérés du Sud s’opposent aux états unionistes du Nord. En l’absence d’une flotte digne de ce nom, l’armée sudiste fait preuve d’une extraordinaire ingéniosité. Transformant une frégate abandonnée par l’armée unioniste, l’USS Merrimack, les ingénieurs sudistes donnent naissance à l’un des premiers navires cuirassés de l’histoire : le CSS Virginia. Face au danger d’un tel vaisseau, le Nord se lance dans la construction d’un bâtiment qui sera encore plus révolutionnaire : le USS Monitor. La bataille de Hampton Roads sera la première et au demeurant seule confrontation entre ces deux navires. Il n’y aura ni gagnant ni perdant. Faute d’armes pouvant perforer les cuirasses d’acier qui protègent les navires, les protagonistes renonceront à poursuivre un combat sans issue. La bataille n’aura pas, non plus d’incidence sur le cours de la guerre. Néanmoins, l’affrontement marque un tournant dans la conception des marines de guerre. Un nouveau modèle de navire est né : le cuirassé. Il deviendra le seigneur des mers pendant près d’un siècle.
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Depuis avril 1861, la guerre civile fait rage en Amérique. Les états confédérés du Sud s’opposent aux états unionistes du Nord. En l’absence d’une flotte digne de ce nom, l’armée sudiste fait preuve d’une extraordinaire ingéniosité. Transformant une frégate abandonnée par l’armée unioniste, l’USS Merrimack, les ingénieurs sudistes donnent naissance à l’un des premiers navires cuirassés de l’histoire : le CSS Virginia. Face au danger d’un tel vaisseau, le Nord se lance dans la construction d’un bâtiment qui sera encore plus révolutionnaire : le USS Monitor. La bataille de Hampton Roads sera la première et au demeurant seule confrontation entre ces deux navires. Il n’y aura ni gagnant ni perdant. Faute d’armes pouvant perforer les cuirasses d’acier qui protègent les navires, les protagonistes renonceront à poursuivre un combat sans issue. La bataille n’aura pas, non plus d’incidence sur le cours de la guerre. Néanmoins, l’affrontement marque un tournant dans la conception des marines de guerre. Un nouveau modèle de navire est né : le cuirassé. Il deviendra le seigneur des mers pendant près d’un siècle.
Impitoyables, mais pas invincibles ! En janvier 1066, le roi d’Angleterre, Édouard le Confesseur, meurt. Il laisse le trône sans héritier direct. Harold II Godwinson, beau frère du roi décédé, est désigné comme nouveau roi. Malheureusement, aussitôt et au nom d’anciennes promesses, Harald III roi de Norvège se manifeste. Il estime que la couronne lui revient de plein droit et afin d’avoir l’assurance d’être entendu, il débarque en Angleterre à la tête d’une armée estimée à 10 000 hommes. Il n’est pas le seul à exiger la couronne anglaise. En Normandie, Guillaume le Bâtard, qui ne porte pas encore le nom plus avantageux de Guillaume le Conquérant, présente les mêmes exigences. La suite est connue. En l’espace d’une quinzaine de jours, l’armée saxonne de Harold II Godwinson est obligée de livrer deux batailles et de parcourir à pied plusieurs centaines de kilomètres. Si elle sort victorieuse de la première confrontation avec l’armée viking, trop confiante et arrogante, elle est défaite à la bataille d’Hastings, livrant le trône anglais à Guillaume le Conquérant. Quant aux Vikings, si terrifiants à bord de leur navire, ils doivent reconnaître qu’à terre, face à une armée bien menée, ils peuvent subir de cruelles défaites comme celle de la bataille de Stamford Bridge.
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Impitoyables, mais pas invincibles ! En janvier 1066, le roi d’Angleterre, Édouard le Confesseur, meurt. Il laisse le trône sans héritier direct. Harold II Godwinson, beau frère du roi décédé, est désigné comme nouveau roi. Malheureusement, aussitôt et au nom d’anciennes promesses, Harald III roi de Norvège se manifeste. Il estime que la couronne lui revient de plein droit et afin d’avoir l’assurance d’être entendu, il débarque en Angleterre à la tête d’une armée estimée à 10 000 hommes. Il n’est pas le seul à exiger la couronne anglaise. En Normandie, Guillaume le Bâtard, qui ne porte pas encore le nom plus avantageux de Guillaume le Conquérant, présente les mêmes exigences. La suite est connue. En l’espace d’une quinzaine de jours, l’armée saxonne de Harold II Godwinson est obligée de livrer deux batailles et de parcourir à pied plusieurs centaines de kilomètres. Si elle sort victorieuse de la première confrontation avec l’armée viking, trop confiante et arrogante, elle est défaite à la bataille d’Hastings, livrant le trône anglais à Guillaume le Conquérant. Quant aux Vikings, si terrifiants à bord de leur navire, ils doivent reconnaître qu’à terre, face à une armée bien menée, ils peuvent subir de cruelles défaites comme celle de la bataille de Stamford Bridge.
Quand un corsaire donne ses lettres de noblesse à la Royale En ces dernières années du XVIIe siècle, la France est en guerre, une fois de plus, une fois encore. Sous le prétexte de renforcer les frontières de son royaume, Louis XIV a fait le choix d’une politique agressive qui a fini par exaspérer les grandes puissances européennes qui se sont liguées. Malheureusement, pour l’impétueux Roi Soleil, le conflit s’enlise et la situation devient embarrassante. Famines et épidémies se succèdent. Pis encore : on spécule sur les prix du blé et on met à mal l’économie du pays qui doit déjà supporter le coût de la guerre. Un véritable héros va alors éviter le naufrage : Jean Bart. Il était corsaire, le voilà maintenant officier de la Royale et l’un de ses plus mémorables faits d’armes reste à écrire. Il se déroulera en juin 1694 au large des côtes de la Hollande, à hauteur de l’île de Texel.
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Quand un corsaire donne ses lettres de noblesse à la Royale En ces dernières années du XVIIe siècle, la France est en guerre, une fois de plus, une fois encore. Sous le prétexte de renforcer les frontières de son royaume, Louis XIV a fait le choix d’une politique agressive qui a fini par exaspérer les grandes puissances européennes qui se sont liguées. Malheureusement, pour l’impétueux Roi Soleil, le conflit s’enlise et la situation devient embarrassante. Famines et épidémies se succèdent. Pis encore : on spécule sur les prix du blé et on met à mal l’économie du pays qui doit déjà supporter le coût de la guerre. Un véritable héros va alors éviter le naufrage : Jean Bart. Il était corsaire, le voilà maintenant officier de la Royale et l’un de ses plus mémorables faits d’armes reste à écrire. Il se déroulera en juin 1694 au large des côtes de la Hollande, à hauteur de l’île de Texel.
Le tournant de la guerre dans le Pacifique Depuis le 1er septembre 1939, la guerre fait rage. Elle s’est répandue comme le faisait la peste noire au Moyen-Âge, contaminant tous les êtres et toutes les terres. Une abjecte pandémie que rien ne semble pouvoir entraver. Même les États-Unis d’Amérique ont été avalés par la déferlante guerrière qui embrase le monde. Mal préparée et sous armée, la première puissance industrielle du monde est au bord du gouffre quand, en juin 1942, va se dérouler, au beau milieu du Pacifique, sur le minuscule atoll perdu de Midway, la plus extraordinaire bataille aéronavale de l’histoire.
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Le tournant de la guerre dans le Pacifique Depuis le 1er septembre 1939, la guerre fait rage. Elle s’est répandue comme le faisait la peste noire au Moyen-Âge, contaminant tous les êtres et toutes les terres. Une abjecte pandémie que rien ne semble pouvoir entraver. Même les États-Unis d’Amérique ont été avalés par la déferlante guerrière qui embrase le monde. Mal préparée et sous armée, la première puissance industrielle du monde est au bord du gouffre quand, en juin 1942, va se dérouler, au beau milieu du Pacifique, sur le minuscule atoll perdu de Midway, la plus extraordinaire bataille aéronavale de l’histoire.
Un détroit comme tombeau des rêves de conquête. Depuis plusieurs décennies l’empire perse tente de soumettre à son autorité l’ensemble des cités grecques. Des campagnes militaires successives apportent alternativement joies et défaites. Si une partie de la Grèce a fait allégeance, que certains états grecs ont choisis la neutralité, les puissantes cités du sud avec Athènes, Corinthe, Olympie ou encore Sparte refusent obstinément la soumission. En 480 av. JC, après plus de quatre années de minutieux préparatifs, le roi perse Xerxès Ier se lance dans une nouvelle expédition. Une expédition guerrière titanesque que rien ne semble en mesure d’arrêter. Mais tout comme dans la mythologie grecque avec son héros légendaire Achille, la puissante armée perse a son talon : sa morgue. Persuadé que toutes les victoires sont par avance acquises, la flotte achéménide ne percevra que trop tard l’embuscade tendue par les Grecs. Les eaux du détroit de Salamine seront le tombeau de leur rêve de conquête...
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Un détroit comme tombeau des rêves de conquête. Depuis plusieurs décennies l’empire perse tente de soumettre à son autorité l’ensemble des cités grecques. Des campagnes militaires successives apportent alternativement joies et défaites. Si une partie de la Grèce a fait allégeance, que certains états grecs ont choisis la neutralité, les puissantes cités du sud avec Athènes, Corinthe, Olympie ou encore Sparte refusent obstinément la soumission. En 480 av. JC, après plus de quatre années de minutieux préparatifs, le roi perse Xerxès Ier se lance dans une nouvelle expédition. Une expédition guerrière titanesque que rien ne semble en mesure d’arrêter. Mais tout comme dans la mythologie grecque avec son héros légendaire Achille, la puissante armée perse a son talon : sa morgue. Persuadé que toutes les victoires sont par avance acquises, la flotte achéménide ne percevra que trop tard l’embuscade tendue par les Grecs. Les eaux du détroit de Salamine seront le tombeau de leur rêve de conquête...
Quand un amiral devient une légende 1598. Voilà six ans que dure la guerre opposant l’empire japonais de Hideyoshi Toyotomi à l’alliance formée entre la Chine des Ming et la Corée des Chosôn. Six années d’innombrables batailles et de paix éphémères. Mais Hideyoshi décède emporté par la maladie et le Japon sombre immanquablement dans des querelles internes de succession pour reprendre la régence du pays. Dès lors, de nombreux daimyos sont de moins en moins convaincus de la pertinence des combats en Corée et selon leur alliance, ils vont progressivement retirer leurs hommes du sol coréen. Mais une retraite ne peut s’improviser. Les Coréens et leurs alliés chinois ont soif de victoires. Quant aux Japonais, leur orgueil leur impose de quitter le pays avec les apparats du vainqueur et non avec ceux du pleutre qui fuit la bataille. C’est alors qu’un amiral coréen va démontrer toute sa science de le guerre navale pour infliger aux légendaires samouraïs l’une de leur plus cinglante défaite. Yi Sun sin rentrera pour toujours dans l’histoire mais y perdra la vie, tout comme, quelques siècles plus tard, un certain Horatio Nelson.
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Quand un amiral devient une légende 1598. Voilà six ans que dure la guerre opposant l’empire japonais de Hideyoshi Toyotomi à l’alliance formée entre la Chine des Ming et la Corée des Chosôn. Six années d’innombrables batailles et de paix éphémères. Mais Hideyoshi décède emporté par la maladie et le Japon sombre immanquablement dans des querelles internes de succession pour reprendre la régence du pays. Dès lors, de nombreux daimyos sont de moins en moins convaincus de la pertinence des combats en Corée et selon leur alliance, ils vont progressivement retirer leurs hommes du sol coréen. Mais une retraite ne peut s’improviser. Les Coréens et leurs alliés chinois ont soif de victoires. Quant aux Japonais, leur orgueil leur impose de quitter le pays avec les apparats du vainqueur et non avec ceux du pleutre qui fuit la bataille. C’est alors qu’un amiral coréen va démontrer toute sa science de le guerre navale pour infliger aux légendaires samouraïs l’une de leur plus cinglante défaite. Yi Sun sin rentrera pour toujours dans l’histoire mais y perdra la vie, tout comme, quelques siècles plus tard, un certain Horatio Nelson.
Les derniers jours d’un géant Nous sommes le 24 mai 1941. La guerre embrase le monde depuis plus d’un an. L’Allemagne nazie et l’Italie fasciste se sont alliées pour étendre sur toute l’Europe et davantage leurs visions funestes et abjectes. Les grandes démocraties, qui pourtant semblaient puissantes, n’en finissent pas de reculer. Quelque part dans les eaux glacées, entre les terres du Groenland et celles d’Islande, quatre redoutables vaisseaux s’affrontent dans un déluge de feu et d’acier. Parmi eux, le Bismarck, fleuron de la marine allemande, fait montre de sa toute-puissance et coule le HMS Hood britannique. Ivre de vengeance, la Royal Navy mobilise une véritable armée navale pour intercepter l’impétueux cuirassé allemand avec comme seul mot d’ordre : le couler ! Une course folle s’engage car le titan allemand a été blessé dans la confrontation et il cherche à rejoindre les côtes françaises pour se réparer.
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Les derniers jours d’un géant Nous sommes le 24 mai 1941. La guerre embrase le monde depuis plus d’un an. L’Allemagne nazie et l’Italie fasciste se sont alliées pour étendre sur toute l’Europe et davantage leurs visions funestes et abjectes. Les grandes démocraties, qui pourtant semblaient puissantes, n’en finissent pas de reculer. Quelque part dans les eaux glacées, entre les terres du Groenland et celles d’Islande, quatre redoutables vaisseaux s’affrontent dans un déluge de feu et d’acier. Parmi eux, le Bismarck, fleuron de la marine allemande, fait montre de sa toute-puissance et coule le HMS Hood britannique. Ivre de vengeance, la Royal Navy mobilise une véritable armée navale pour intercepter l’impétueux cuirassé allemand avec comme seul mot d’ordre : le couler ! Une course folle s’engage car le titan allemand a été blessé dans la confrontation et il cherche à rejoindre les côtes françaises pour se réparer.
An 44 avant J. C., l’assassinat de Jules César fait tomber la république romaine dans une guerre civile qui perdurera quatorze années. L’une des dernières confrontations oppose les forces navales d’Octave à celles de Marc-Antoine allié à Cléopâtre. En apparence, les forces coalisées de Marc Antoine et de Cléopâtre sont supérieures à celles de l’arrogant Octave. Mais le décor est parfois trompeur. Fatiguée par la guerre, démoralisée par un long hivernage, l’armée de Marc-Antoine est en proie à des dissensions à l’heure de la confrontation. La bataille que ses hommes s’amènent à livrer déterminera l’avenir de tous avec des enjeux bien plus importants que celle d’une simple tragédie romantique.
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An 44 avant J. C., l’assassinat de Jules César fait tomber la république romaine dans une guerre civile qui perdurera quatorze années. L’une des dernières confrontations oppose les forces navales d’Octave à celles de Marc-Antoine allié à Cléopâtre. En apparence, les forces coalisées de Marc Antoine et de Cléopâtre sont supérieures à celles de l’arrogant Octave. Mais le décor est parfois trompeur. Fatiguée par la guerre, démoralisée par un long hivernage, l’armée de Marc-Antoine est en proie à des dissensions à l’heure de la confrontation. La bataille que ses hommes s’amènent à livrer déterminera l’avenir de tous avec des enjeux bien plus importants que celle d’une simple tragédie romantique.
Depuis 1688, la France est empêtrée dans la guerre de la Ligue d'Augsbourg. Une large coalition s'est dressée contre les ambitions d'expansion territoriale de Louis XIV. C'est dans ce contexte qu'en 1692, le Roi-Soleil décide d'apporter son aide au Roi catholique déchu James II pour reprendre le trône d'Angleterre. Le plan est audacieux: s'assurer du contrôle des eaux de la Manche afin de faciliter la traversée d'une armée. Malheureusement, poussée par un roi impatient, la flotte française appareille incomplète. Le vice-amiral de Tourville avait reçu ses ordres: "Appareillez coûte que coûte et affrontez l'ennemi, qu'importe sa taille." Au XVIIe siècle, on ne discute pas les ordres, d'autant plus quand ils sont de la main du roi, et ce même si au large croise une flotte ennemie deux fois plus importante.
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Depuis 1688, la France est empêtrée dans la guerre de la Ligue d'Augsbourg. Une large coalition s'est dressée contre les ambitions d'expansion territoriale de Louis XIV. C'est dans ce contexte qu'en 1692, le Roi-Soleil décide d'apporter son aide au Roi catholique déchu James II pour reprendre le trône d'Angleterre. Le plan est audacieux: s'assurer du contrôle des eaux de la Manche afin de faciliter la traversée d'une armée. Malheureusement, poussée par un roi impatient, la flotte française appareille incomplète. Le vice-amiral de Tourville avait reçu ses ordres: "Appareillez coûte que coûte et affrontez l'ennemi, qu'importe sa taille." Au XVIIe siècle, on ne discute pas les ordres, d'autant plus quand ils sont de la main du roi, et ce même si au large croise une flotte ennemie deux fois plus importante.
L'histoire du bailli de Suffren. Pierre André de Suffren est de ces marins qui connaissent tardivement les honneurs et la reconnaissance. Pourtant, l’homme peut se targuer très jeune de tout connaître de la mer et de l’art de la guerre. Mais corpulent, mal soigné, à l’humeur capricieuse et au déplaisant franc-parler, Pierre André de Suffren ne sait pas se faire apprécier en des temps où il faut se montrer courtois et déraisonnablement flatteur. C’est la guerre d’indépendance aux États-Unis qui permet à l’impétueux officier de marine d’enfin démontrer ses talents. Alors que les affrontements aux Amériques perdurent depuis 1775, Louis XVI décide de porter le désordre dans les affaires anglaises aux Indes orientales. Une guerre ne peut se mener sans argent et le commerce avec les Indes remplit les caisses anglaises. Larguant les amarres en mars 1781 pour les eaux de l’océan Indien, Suffren écrit qu’il saisira toute opportunité pour enfin fouler les chemins de la gloire.
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L'histoire du bailli de Suffren. Pierre André de Suffren est de ces marins qui connaissent tardivement les honneurs et la reconnaissance. Pourtant, l’homme peut se targuer très jeune de tout connaître de la mer et de l’art de la guerre. Mais corpulent, mal soigné, à l’humeur capricieuse et au déplaisant franc-parler, Pierre André de Suffren ne sait pas se faire apprécier en des temps où il faut se montrer courtois et déraisonnablement flatteur. C’est la guerre d’indépendance aux États-Unis qui permet à l’impétueux officier de marine d’enfin démontrer ses talents. Alors que les affrontements aux Amériques perdurent depuis 1775, Louis XVI décide de porter le désordre dans les affaires anglaises aux Indes orientales. Une guerre ne peut se mener sans argent et le commerce avec les Indes remplit les caisses anglaises. Larguant les amarres en mars 1781 pour les eaux de l’océan Indien, Suffren écrit qu’il saisira toute opportunité pour enfin fouler les chemins de la gloire.
Quand une reine protestante défie la papauté. À la fin du XVIe siècle, alors que l’homme se lance à la découverte du monde, sur le vieux continent, deux royaumes se déchirent au nom de la foi. Le très catholique roi d'Espagne Philippe II ne supporte plus l’impertinence d’une Angleterre qui s’est défaite de l’autorité papale depuis le schisme anglican. Partout où le royaume ibérique a des intérêts dans le commerce, l’Angleterre d’Élisabeth Ire s’emploie à les contester. Las de voir son hégémonie s’effriter, le roi d’Espagne élabore le plan audacieux d’envahir l’Angleterre pour placer sur le trône un roi catholique. Philippe II a pour lui la puissance maritime et militaire, Élisabeth Ire n’a que le courage de ses marins émérites comme Francis Drake. Le destin de l’Angleterre va ainsi se jouer sur les eaux tumultueuses d’une mer étroite au large des côtes de Flandre dans les premiers jours d’un mois d’août de 1588.
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Quand une reine protestante défie la papauté. À la fin du XVIe siècle, alors que l’homme se lance à la découverte du monde, sur le vieux continent, deux royaumes se déchirent au nom de la foi. Le très catholique roi d'Espagne Philippe II ne supporte plus l’impertinence d’une Angleterre qui s’est défaite de l’autorité papale depuis le schisme anglican. Partout où le royaume ibérique a des intérêts dans le commerce, l’Angleterre d’Élisabeth Ire s’emploie à les contester. Las de voir son hégémonie s’effriter, le roi d’Espagne élabore le plan audacieux d’envahir l’Angleterre pour placer sur le trône un roi catholique. Philippe II a pour lui la puissance maritime et militaire, Élisabeth Ire n’a que le courage de ses marins émérites comme Francis Drake. Le destin de l’Angleterre va ainsi se jouer sur les eaux tumultueuses d’une mer étroite au large des côtes de Flandre dans les premiers jours d’un mois d’août de 1588.
La plus grande bataille navale de l’histoire. En 1944, les victoires des Alliés sur les forces de l’Axe s’enchainent. Dans le Pacifique, les îles Mariannes sont reprises par l’armée Américaine et la voie vers une attaque massive du Japon est ouverte. Pour finir d’acculer l’armée impériale, les américains décident d’envahir au préalable les philippines afin de couper les routes d’approvisionnement et de s’approprier les aérodromes terrestres. Située au centre de l’archipel des Philippines, Leyte est la première île concernée par l’attaque. La volonté de l’emporter des américains est à la hauteur des moyens engagés. L’armada déployée est la plus imposante de tous les temps. Mais c’était sans compter sur l’extrême détermination des japonaises qui vont réunir toutes leurs forces dans une manœuvre désespérée. Reprenant des mots rentrés dans l’histoire, on aurait pu écrire que la fortune a souri aux audacieux et la victoire est venue couronner leurs efforts héroïques, car malgré le déséquilibre flagrant des forces, l’issue de la bataille demeura un temps incertain. Heureusement pour la destinée du monde, l’audace nippone et le recourt « officiel » pour la première fois aux kamikazes ne permettront pas de renverser la donne. La victoire sera à nouveau pour les alliés.
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La plus grande bataille navale de l’histoire. En 1944, les victoires des Alliés sur les forces de l’Axe s’enchainent. Dans le Pacifique, les îles Mariannes sont reprises par l’armée Américaine et la voie vers une attaque massive du Japon est ouverte. Pour finir d’acculer l’armée impériale, les américains décident d’envahir au préalable les philippines afin de couper les routes d’approvisionnement et de s’approprier les aérodromes terrestres. Située au centre de l’archipel des Philippines, Leyte est la première île concernée par l’attaque. La volonté de l’emporter des américains est à la hauteur des moyens engagés. L’armada déployée est la plus imposante de tous les temps. Mais c’était sans compter sur l’extrême détermination des japonaises qui vont réunir toutes leurs forces dans une manœuvre désespérée. Reprenant des mots rentrés dans l’histoire, on aurait pu écrire que la fortune a souri aux audacieux et la victoire est venue couronner leurs efforts héroïques, car malgré le déséquilibre flagrant des forces, l’issue de la bataille demeura un temps incertain. Heureusement pour la destinée du monde, l’audace nippone et le recourt « officiel » pour la première fois aux kamikazes ne permettront pas de renverser la donne. La victoire sera à nouveau pour les alliés.
La dernière armada du XXe siècle pour la reconquête d’un archipel perdu. En 1981, une nouvelle junte militaire succède à une précédente en Argentine sous fond de crise financière. Une junte qui dès lors est confrontée au mécontentement et au risque évident d’une insurrection. C’est alors qu’un archipel situé à 200 milles nautiques des côtes revient en mémoire. Les Falklands, un territoire anglais de quelques kilomètres carrés peuplé de 700 000 moutons et d’un millier d’âmes, va devenir une cause nationale. L’Argentine conteste la souveraineté des Falklands depuis de nombreuses années et davantage. D’ailleurs, épisodiquement, quelques menaces, des mots un peu plus fort que les autres ont été prononcés. Des gesticulations politiques pour se donner bonne conscience. Mais dans ces premiers mois de l’année 1982, la junte militaire fait le choix de reprendre par la force ce qu’elle considère comme sien ! À l’évidence, tout semble bon aux militaires argentins pour raviver la fierté nationale afin de faire oublier le marasme économique ! Mais est-il réellement prudent de s’attaquer à la quatrième puissance militaire mondiale avec sa légendaire Royal Navy ? Raconté autant du point de vue des Anglais que de celui des Argentins, ce nouveau titre de la collection des « Grandes Batailles Navales » raconte la dernière grande confrontation maritime du XXe siècle. Un récit perdu dans l’immensité de l’Océan Atlantique, ancré dans le contexte tendu de la Guerre Froide.
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La dernière armada du XXe siècle pour la reconquête d’un archipel perdu. En 1981, une nouvelle junte militaire succède à une précédente en Argentine sous fond de crise financière. Une junte qui dès lors est confrontée au mécontentement et au risque évident d’une insurrection. C’est alors qu’un archipel situé à 200 milles nautiques des côtes revient en mémoire. Les Falklands, un territoire anglais de quelques kilomètres carrés peuplé de 700 000 moutons et d’un millier d’âmes, va devenir une cause nationale. L’Argentine conteste la souveraineté des Falklands depuis de nombreuses années et davantage. D’ailleurs, épisodiquement, quelques menaces, des mots un peu plus fort que les autres ont été prononcés. Des gesticulations politiques pour se donner bonne conscience. Mais dans ces premiers mois de l’année 1982, la junte militaire fait le choix de reprendre par la force ce qu’elle considère comme sien ! À l’évidence, tout semble bon aux militaires argentins pour raviver la fierté nationale afin de faire oublier le marasme économique ! Mais est-il réellement prudent de s’attaquer à la quatrième puissance militaire mondiale avec sa légendaire Royal Navy ? Raconté autant du point de vue des Anglais que de celui des Argentins, ce nouveau titre de la collection des « Grandes Batailles Navales » raconte la dernière grande confrontation maritime du XXe siècle. Un récit perdu dans l’immensité de l’Océan Atlantique, ancré dans le contexte tendu de la Guerre Froide.
Une défaite historique pour la flotte française … En ce milieu du XVIIIe siècle le Saint Empire ne cesse plus de s’effondrer, rongé par d’incessantes guerres intestines. Des guerres qui se sont malheureusement conclues par des traités de paix a la rédaction imparfaite. Alors quand dans les premiers jours de l’année 1754, des soldats anglais et français se disputent aux Amériques pour quelques arpents de terre, le monde s’embrase à nouveau et dans un triste jeu de domino infernal, la guerre de Sept Ans éclate. En 1759, parce que le conflit s’enlise, le royaume de France de Louis XV rêve de prendre l’ascendant sur son éternel ennemi anglais en élaborant un audacieux plan d’invasion. Mais l’audace peut-elle suffire quand le commandement d’une marine est entre les mains de personnages de peu de valeur et qu’il faudra affronter la première puissance maritime du monde ? La réponse sera donnée quelques mois plus tard au large des côtes de la Bretagne. La Bataille des Cardinaux sera une humiliante défaite pour la Royale française.
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Une défaite historique pour la flotte française … En ce milieu du XVIIIe siècle le Saint Empire ne cesse plus de s’effondrer, rongé par d’incessantes guerres intestines. Des guerres qui se sont malheureusement conclues par des traités de paix a la rédaction imparfaite. Alors quand dans les premiers jours de l’année 1754, des soldats anglais et français se disputent aux Amériques pour quelques arpents de terre, le monde s’embrase à nouveau et dans un triste jeu de domino infernal, la guerre de Sept Ans éclate. En 1759, parce que le conflit s’enlise, le royaume de France de Louis XV rêve de prendre l’ascendant sur son éternel ennemi anglais en élaborant un audacieux plan d’invasion. Mais l’audace peut-elle suffire quand le commandement d’une marine est entre les mains de personnages de peu de valeur et qu’il faudra affronter la première puissance maritime du monde ? La réponse sera donnée quelques mois plus tard au large des côtes de la Bretagne. La Bataille des Cardinaux sera une humiliante défaite pour la Royale française.
L’enjeu : la couronne d’Angleterre. Avec l’année 1215 éclate en Angleterre ce que les historiens dénomment la « guerre des barons ». La noblesse anglaise fatiguée d’un roi méprisant se révolte. Il faut dire que le roi John d’Angleterre, francisé Jean sans Terre, n’a eu aucun scrupule à renier des engagements tout en faisant porter la charge financière de ses déboires militaires à ses vassaux. Profitant des désordres anglais, la couronne française, avec l’aval d’une papauté sournoise, s’empresse de venir soutenir les révoltés, qui, en échange, s’engagent à céder le trône d’Angleterre. La campagne menée par le prince Louis, fils du roi français Philippe II Auguste, sera un temps victorieuse, Louis s’autoproclamant même à Londres Roi d’Angleterre. Mais les morts successives du pape et de John d’Angleterre changent soudainement la donne. Le saint siège souhaite la paix et la noblesse anglaise ne voit plus de pertinence à lever les armes contre leur jeune roi Henri qui consent de surcroît à entendre leurs revendications. Le pouvoir du prince français est fragilisé et ce dernier doit tout mettre en œuvre pour recevoir des renforts. C’est de Calais que viendra l’aide. Un long cortège de navires appareille ainsi aux premières lueurs du 24 août 1217. Une traversée de la Manche qui, en apparence, ne présente aucun risque ! Que peuvent bien faire les quelques navires anglais rassemblés contre l’imposante flotte française ? D'autant plus en des temps où seul compte le nombre dans des combats généralement limités à de sanglants corps à corps ?
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L’enjeu : la couronne d’Angleterre. Avec l’année 1215 éclate en Angleterre ce que les historiens dénomment la « guerre des barons ». La noblesse anglaise fatiguée d’un roi méprisant se révolte. Il faut dire que le roi John d’Angleterre, francisé Jean sans Terre, n’a eu aucun scrupule à renier des engagements tout en faisant porter la charge financière de ses déboires militaires à ses vassaux. Profitant des désordres anglais, la couronne française, avec l’aval d’une papauté sournoise, s’empresse de venir soutenir les révoltés, qui, en échange, s’engagent à céder le trône d’Angleterre. La campagne menée par le prince Louis, fils du roi français Philippe II Auguste, sera un temps victorieuse, Louis s’autoproclamant même à Londres Roi d’Angleterre. Mais les morts successives du pape et de John d’Angleterre changent soudainement la donne. Le saint siège souhaite la paix et la noblesse anglaise ne voit plus de pertinence à lever les armes contre leur jeune roi Henri qui consent de surcroît à entendre leurs revendications. Le pouvoir du prince français est fragilisé et ce dernier doit tout mettre en œuvre pour recevoir des renforts. C’est de Calais que viendra l’aide. Un long cortège de navires appareille ainsi aux premières lueurs du 24 août 1217. Une traversée de la Manche qui, en apparence, ne présente aucun risque ! Que peuvent bien faire les quelques navires anglais rassemblés contre l’imposante flotte française ? D'autant plus en des temps où seul compte le nombre dans des combats généralement limités à de sanglants corps à corps ?
Le plus sulfureux des conflits Les premiers contacts avec l’Empire Céleste remontent à l’Antiquité. Pour autant, l’imposante nation va demeurer longtemps hermétique. La Chine autosuffisante ne voyant pas d’intérêt dans les relations avec l’étranger. Mais tout cela ne dure qu’un temps. Les puissantes compagnies maritimes européennes et plus particulièrement anglaises savent faire entendre leur voix à l’Empire du Milieu. Avec le XVIIIe siècle, on commence avec le commerce du thé avant d’imposer celui de l’opium, bien plus lucratif. Pis, la corruption devient la règle et l’opiacé importé massivement cause des ravages dans la population chinoise. L’empereur n’a comme autre choix que d’en interdire l’importation. Une décision qui va naturellement déplaire. Et dans des temps où l’on n’hésite pas à menacer l’autre avec ses armes pour imposer sa politique, la première puissance mondiale ne va pas longtemps tergiverser. Une première confrontation se tiendra entre 1839 et 1842. Le Royaume-Uni en sortira grand vainqueur en imposant à la Chine affaiblie d’innombrables concessions. Et l’appétit occidental n’a alors plus de limites. D’autres nations se joignent au festin impudique à l’image de la France et des États-Unis d’Amérique. Mais à force de profiter, on alimente les rancœurs et une nouvelle guerre devient inéluctable.
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Le plus sulfureux des conflits Les premiers contacts avec l’Empire Céleste remontent à l’Antiquité. Pour autant, l’imposante nation va demeurer longtemps hermétique. La Chine autosuffisante ne voyant pas d’intérêt dans les relations avec l’étranger. Mais tout cela ne dure qu’un temps. Les puissantes compagnies maritimes européennes et plus particulièrement anglaises savent faire entendre leur voix à l’Empire du Milieu. Avec le XVIIIe siècle, on commence avec le commerce du thé avant d’imposer celui de l’opium, bien plus lucratif. Pis, la corruption devient la règle et l’opiacé importé massivement cause des ravages dans la population chinoise. L’empereur n’a comme autre choix que d’en interdire l’importation. Une décision qui va naturellement déplaire. Et dans des temps où l’on n’hésite pas à menacer l’autre avec ses armes pour imposer sa politique, la première puissance mondiale ne va pas longtemps tergiverser. Une première confrontation se tiendra entre 1839 et 1842. Le Royaume-Uni en sortira grand vainqueur en imposant à la Chine affaiblie d’innombrables concessions. Et l’appétit occidental n’a alors plus de limites. D’autres nations se joignent au festin impudique à l’image de la France et des États-Unis d’Amérique. Mais à force de profiter, on alimente les rancœurs et une nouvelle guerre devient inéluctable.

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