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Les Malaussène - La série

  • Nombre de tomes :
  • 9
  • Nombre de lecteurs :
  • 2185
  • Classée dans le top séries Booknode :
  • # 878
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


Amazon.fr Benjamin Malaussène a un drôle de métier : bouc émissaire au service réclamations d'un grand magasin parisien où il est chargé d'apitoyer les clients grincheux. Une bombe, puis deux, explosent dans le magasin. Benjamin est le suspect numéro un de cette vague d'attentats aveugles. Attentats ? Aveugles ? Et s'il n'y avait que ça ! Quand on est l'aîné, il faut aussi survivre aux tribulations de sa tumultueuse famille : la douce Clara qui photographie comme elle respire, Thérèse l'extralucide, Louna l'amoureuse, Jérémy le curieux, le Petit rêveur, la maman et ses amants... Le tout sous les yeux de Julius, le chien épileptique, et de Tante Julia, journaliste volcanique. Quel cirque ! Avec ce premier tome des aventures de Malaussène, on plonge avec bonheur dans un univers baroque. Pennac multiplie les personnages secondaires, les digressions. Ça grouille comme dans une fourmilière. Le rire n'est jamais loin des larmes, le sordide côtoie le sublime. --Bruno Ménard Quatrième de couverture Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël. Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire). Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné. Pourquoi moi ? Je dois avoir un don... --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
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Description
Amazon.fr Benjamin Malaussène a un drôle de métier : bouc émissaire au service réclamations d'un grand magasin parisien où il est chargé d'apitoyer les clients grincheux. Une bombe, puis deux, explosent dans le magasin. Benjamin est le suspect numéro un de cette vague d'attentats aveugles. Attentats ? Aveugles ? Et s'il n'y avait que ça ! Quand on est l'aîné, il faut aussi survivre aux tribulations de sa tumultueuse famille : la douce Clara qui photographie comme elle respire, Thérèse l'extralucide, Louna l'amoureuse, Jérémy le curieux, le Petit rêveur, la maman et ses amants... Le tout sous les yeux de Julius, le chien épileptique, et de Tante Julia, journaliste volcanique. Quel cirque ! Avec ce premier tome des aventures de Malaussène, on plonge avec bonheur dans un univers baroque. Pennac multiplie les personnages secondaires, les digressions. Ça grouille comme dans une fourmilière. Le rire n'est jamais loin des larmes, le sordide côtoie le sublime. --Bruno Ménard Quatrième de couverture Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël. Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire). Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné. Pourquoi moi ? Je dois avoir un don... --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
A Belleville, un mystérieux tueur égorge les grand-mères à coups de rasoir. Désormais, celles-ci ne se promènent plus sans un revolver dans leur sac à main, tandis que les grand-pères esseulés se droguent pour échapper à leur ennui et mélancolie. Mais il y a aussi Benjamin Malaussène, grand frère responsable de ses huit petits frères et sœurs ainsi que de sa mère, encore enceinte, et de tous les grand-pères les plus accros aux petites gélules blanches de la ville pour les aider à s’en sortir. Quant à lui, le jeune homme, amoureux de Julia, la belle journaliste, est Bouc émissaire aux éditions du talion. Gentil, fidèle et attentionné, on ne peut que l’aimer. Et pourtant, il est le coupable idéel pour tous les flics de la ville. Mais comme dit sa patronne, il est "fait pour être bouc-émissaire" !
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A Belleville, un mystérieux tueur égorge les grand-mères à coups de rasoir. Désormais, celles-ci ne se promènent plus sans un revolver dans leur sac à main, tandis que les grand-pères esseulés se droguent pour échapper à leur ennui et mélancolie. Mais il y a aussi Benjamin Malaussène, grand frère responsable de ses huit petits frères et sœurs ainsi que de sa mère, encore enceinte, et de tous les grand-pères les plus accros aux petites gélules blanches de la ville pour les aider à s’en sortir. Quant à lui, le jeune homme, amoureux de Julia, la belle journaliste, est Bouc émissaire aux éditions du talion. Gentil, fidèle et attentionné, on ne peut que l’aimer. Et pourtant, il est le coupable idéel pour tous les flics de la ville. Mais comme dit sa patronne, il est "fait pour être bouc-émissaire" !
Après Au bonheur des ogres et La Fée carabine, Daniel Pennac nous offre quelques heures de bonheur supplémentaires en donnant une suite aux aventures de la tribu de Belleville : elle nous envahit comme une drogue et on a de la chance si l'on parvient à s'en tenir à une seule lecture ! On murmure même que certains lecteurs lisent en boucle la saga en attendant la suite : heureusement qu'elle ne tarde jamais trop longtemps... Merci Monsieur Malaussène ! Karla Manuele " - L'amour, Malaussène, je vous propose l'amour !" L'amour ? J'ai Julie, j'ai Louna, j'ai Thérèse, j'ai Clara, Verdun, le petit et Jérémy. J'ai Julius et j'ai Belleville... " - Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la botte ; c'est l'amour avec un grand A que je vous offre : tout l'amour du monde !" Aussi incroyable que ce la puisse paraître, j'ai accepté. J'ai eu tort. Transformé en objet d'adoration universelle par la reine Zabo, éditeur de génie, Benjamin Malaussène va payer au prix fort toutes les passions déchaînées par la parution d'un best-seller dont il est censé être l'auteur. Vol de manusmcrit, vengeance, passion de l'écriture, frénésie des lecteurs, ébullition éditoriale, délires publicitaires, la petite marchande de prose est un feu d'artifice tiré à la gloire du roman. De tous les romans.
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Après Au bonheur des ogres et La Fée carabine, Daniel Pennac nous offre quelques heures de bonheur supplémentaires en donnant une suite aux aventures de la tribu de Belleville : elle nous envahit comme une drogue et on a de la chance si l'on parvient à s'en tenir à une seule lecture ! On murmure même que certains lecteurs lisent en boucle la saga en attendant la suite : heureusement qu'elle ne tarde jamais trop longtemps... Merci Monsieur Malaussène ! Karla Manuele " - L'amour, Malaussène, je vous propose l'amour !" L'amour ? J'ai Julie, j'ai Louna, j'ai Thérèse, j'ai Clara, Verdun, le petit et Jérémy. J'ai Julius et j'ai Belleville... " - Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la botte ; c'est l'amour avec un grand A que je vous offre : tout l'amour du monde !" Aussi incroyable que ce la puisse paraître, j'ai accepté. J'ai eu tort. Transformé en objet d'adoration universelle par la reine Zabo, éditeur de génie, Benjamin Malaussène va payer au prix fort toutes les passions déchaînées par la parution d'un best-seller dont il est censé être l'auteur. Vol de manusmcrit, vengeance, passion de l'écriture, frénésie des lecteurs, ébullition éditoriale, délires publicitaires, la petite marchande de prose est un feu d'artifice tiré à la gloire du roman. De tous les romans.
Et si pour une fois, la tribu Malaussène s'agrandissait par le fils, et non par la mère ? Et si Malaussène, rescapé, recousu, réanimé d'un précédent épisode (La Petite Marchande De Prose) décidait de sauter le pas avec sa Julie d'amour, revenue elle aussi d'encore plus loin (La Fée carabine) ? C'est vrai que d'habitude, dans la tribu, on fête une naissance à chaque fois que la mère est amoureuse : elle part vivre son amour loin des yeux mais jamais loin du coeur, et puis elle "réapparaît", enceinte, pour repartir sitôt le petit nouveau bien arrivé. Mais cette fois, elle est revenue toute seule, désemparée et muette. Alors, c'est au tour de Ben de prendre la relève. Sauf qu'évidemment, à Belleville, ça ne peut pas se passer aussi simplement : sinon on ne serait pas chez les Malaussène... Pour la quatrième fois, Pennac nous fait la grâce de redonner vie à son héros, et comme les enfants quand Ben leur raconte des histoires, on se surprend presque à crier "la suite, la suite !".
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Et si pour une fois, la tribu Malaussène s'agrandissait par le fils, et non par la mère ? Et si Malaussène, rescapé, recousu, réanimé d'un précédent épisode (La Petite Marchande De Prose) décidait de sauter le pas avec sa Julie d'amour, revenue elle aussi d'encore plus loin (La Fée carabine) ? C'est vrai que d'habitude, dans la tribu, on fête une naissance à chaque fois que la mère est amoureuse : elle part vivre son amour loin des yeux mais jamais loin du coeur, et puis elle "réapparaît", enceinte, pour repartir sitôt le petit nouveau bien arrivé. Mais cette fois, elle est revenue toute seule, désemparée et muette. Alors, c'est au tour de Ben de prendre la relève. Sauf qu'évidemment, à Belleville, ça ne peut pas se passer aussi simplement : sinon on ne serait pas chez les Malaussène... Pour la quatrième fois, Pennac nous fait la grâce de redonner vie à son héros, et comme les enfants quand Ben leur raconte des histoires, on se surprend presque à crier "la suite, la suite !".
Le matin, Le Petit a décrété : - Je veux mon papa. Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs. Après deux jours de jeûne Le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette : - Je veux mon papa. Quatrième de couverture
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Le matin, Le Petit a décrété : - Je veux mon papa. Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs. Après deux jours de jeûne Le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette : - Je veux mon papa. Quatrième de couverture
Éditeur : Gallimard 1998 «Faut-il faire des enfants dans le monde où nous sommes ?. Le Divin Parano mérite-t-il qu'on ajoute à son oeuvre ?. Ai-je le droit d'enclencher un destin ?. Ne sais-je point que mettre une vie en marche c'est lancer la mort à ses trousses ?. Pouvons-nous courir le risque de nous ressembler ?...». Enceint, Malaussène.A qui se confier dans cet état ?. Au nouveau venu, évidemment. Tout le monde vous le dira : il faut leur parler avant l'atterrissage.Mais voilà que le nouveau venu prend la parole à son tour :. «Père, quand vous serez passé par ce que j'ai vécu avant de naître, vous pourrez l'ouvrir !» Ce qui nous donne les 1550 pages de la saga Malaussène concentrées en une seule conversation où Benjamin joue tous les rôles, sans trop savoir, comme d'habitude, quel est le sien.«Ça... On ne peut pas dire que j'ai une grossesse exemplaire.».
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Éditeur : Gallimard 1998 «Faut-il faire des enfants dans le monde où nous sommes ?. Le Divin Parano mérite-t-il qu'on ajoute à son oeuvre ?. Ai-je le droit d'enclencher un destin ?. Ne sais-je point que mettre une vie en marche c'est lancer la mort à ses trousses ?. Pouvons-nous courir le risque de nous ressembler ?...». Enceint, Malaussène.A qui se confier dans cet état ?. Au nouveau venu, évidemment. Tout le monde vous le dira : il faut leur parler avant l'atterrissage.Mais voilà que le nouveau venu prend la parole à son tour :. «Père, quand vous serez passé par ce que j'ai vécu avant de naître, vous pourrez l'ouvrir !» Ce qui nous donne les 1550 pages de la saga Malaussène concentrées en une seule conversation où Benjamin joue tous les rôles, sans trop savoir, comme d'habitude, quel est le sien.«Ça... On ne peut pas dire que j'ai une grossesse exemplaire.».
La tribu Malaussène et ses proches ont le regret de vous annoncer le mariage de Thérèse Malaussène avec le comte Marie-Colbert de Roberval, conseiller référendaire de première classe. Cet avis tient lieu d'invitation.
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La tribu Malaussène et ses proches ont le regret de vous annoncer le mariage de Thérèse Malaussène avec le comte Marie-Colbert de Roberval, conseiller référendaire de première classe. Cet avis tient lieu d'invitation.
«Ma plus jeune sœur Verdun est née toute hurlante dans La Fée Carabine, mon neveu C’Est Un Ange est né orphelin dans La petite marchande de prose, mon fils Monsieur Malaussène est né de deux mères dans le roman qui porte son nom, ma nièce Maracuja est née de deux pères dans Aux fruits de la passion. Les voici adultes dans un monde on ne peut plus explosif, où ça mitraille à tout va, où l’on kidnappe l’affairiste Georges Lapietà, où Police et Justice marchent la main dans la main sans perdre une occasion de se faire des croche-pieds, où la Reine Zabo, éditrice avisée, règne sur un cheptel d’écrivains addicts à la vérité vraie quand tout le monde ment à tout le monde. Tout le monde sauf moi, bien sûr. Moi, pour ne pas changer, je morfle.» Benjamin Malaussène. (Source : Gallimard)
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«Ma plus jeune sœur Verdun est née toute hurlante dans La Fée Carabine, mon neveu C’Est Un Ange est né orphelin dans La petite marchande de prose, mon fils Monsieur Malaussène est né de deux mères dans le roman qui porte son nom, ma nièce Maracuja est née de deux pères dans Aux fruits de la passion. Les voici adultes dans un monde on ne peut plus explosif, où ça mitraille à tout va, où l’on kidnappe l’affairiste Georges Lapietà, où Police et Justice marchent la main dans la main sans perdre une occasion de se faire des croche-pieds, où la Reine Zabo, éditrice avisée, règne sur un cheptel d’écrivains addicts à la vérité vraie quand tout le monde ment à tout le monde. Tout le monde sauf moi, bien sûr. Moi, pour ne pas changer, je morfle.» Benjamin Malaussène. (Source : Gallimard)
« Je ne savais pas que les enfants avaient failli se faire tuer dans le volume précédent. Quand j’ai appris que c’était Pépère qui avait fait le coup, j’ai pigé un truc : qui ne connaît pas Pépère ne sait pas de quoi l’être humain est capable. » Benjamin Malaussène
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« Je ne savais pas que les enfants avaient failli se faire tuer dans le volume précédent. Quand j’ai appris que c’était Pépère qui avait fait le coup, j’ai pigé un truc : qui ne connaît pas Pépère ne sait pas de quoi l’être humain est capable. » Benjamin Malaussène

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