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La géographie est une science mouvante et vivante, en perpétuelle évolution, comme le sont les montagnes. L’homme a eu la chance d’apparaître au plus bel âge de la Terre, celui où ses montagnes sont encore belles, hautes, couvertes de neiges qui dispensent partout des eaux limpides, des vallées fertiles, des forêts touffues.
Car il n’y a pas toujours eu des montagnes sur la Terre, et il n’y en aura peut-être pas toujours. Les montagnes naissent et meurent… Parfois, un volcan naît, une île surgit quelque part dans le Pacifique, un pan de montagne glisse et recouvre une vallée, une montagne s’effrite, un lac se comble, et tous ces indices, pour qui sait observer, portent témoignage d’une force créatrice et destructrice incessante.
Aussi, cet ouvrage n’est-il pas uniquement une encyclopédie de l’alpinisme, mais une étude plus générale sur les montagnes, grâce auxquelles l’homme a pu vivre, se développer dans sa forme sociale actuelle, et prospérer
La géographie est une science mouvante et vivante, en perpétuelle évolution, comme le sont les montagnes. L’homme a eu la chance d’apparaître au plus bel âge de la Terre, celui où ses montagnes sont encore belles, hautes, couvertes de neiges qui dispensent partout des eaux limpides, des vallées fertiles, des forêts touffues.
Car il n’y a pas toujours eu des montagnes sur la Terre, et il n’y en aura peut-être pas toujours. Les montagnes naissent et meurent… Parfois, un volcan naît, une île surgit quelque part dans le Pacifique, un pan de montagne glisse et recouvre une vallée, une montagne s’effrite, un lac se comble, et tous ces indices, pour qui sait observer, portent témoignage d’une force créatrice et destructrice incessante.
Aussi, cet ouvrage n’est-il pas uniquement une encyclopédie de l’alpinisme, mais une étude plus générale sur les montagnes, grâce auxquelles l’homme a pu vivre, se développer dans sa forme sociale actuelle, et prospérer
Les montagnes sont les cathédrales de la Terre. L’homme a tout oublié du passé : les siècles d’isolement et d’obscurité, le monde clos des vallées perdues, le climat rigoureux, l’absence de ressources. Il aura suffi d’une centaine d’années pour que la montagne, qui était hostile, lui apporte tout : l’énergie de ses eaux, les richesses du sous-sol, et cette nouvelle forme d’apport et d’économie que sont le tourisme d’été et d’hiver. Par la montagne, l’homme a pu quêter la beauté, trouver le repos de l’âme dans l’action physique salutaire, s’évader des termitières métropolitaines, comprendre la poésie du silence retrouvé.
Les montagnes sont les cathédrales de la Terre. L’homme a tout oublié du passé : les siècles d’isolement et d’obscurité, le monde clos des vallées perdues, le climat rigoureux, l’absence de ressources. Il aura suffi d’une centaine d’années pour que la montagne, qui était hostile, lui apporte tout : l’énergie de ses eaux, les richesses du sous-sol, et cette nouvelle forme d’apport et d’économie que sont le tourisme d’été et d’hiver. Par la montagne, l’homme a pu quêter la beauté, trouver le repos de l’âme dans l’action physique salutaire, s’évader des termitières métropolitaines, comprendre la poésie du silence retrouvé.