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Peter Quayle - La série

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La liste des tomes


La guerre parallèle... Dans l'ombre, deux agents britanniques livrent un combat sans merci contre l'ennemi. Tous les coups sont permis. Leurs missions les entraînent de Londres à Lisbonne, du Portugal à l'Irlande mais ils ne luttent pas contre un ennemi sans visage. Le leur en a un, et un nom : Hildebrand, le redoutable S.S. qui ne recule devant rien. Kane est implacable, mais moins que son coéquipier Guelvada, qui, lul, a un compte personnel à régler. Ernie Guelvada est Belge et sous des dehors nonchalants il, cache une résolution farouche. Source : Pocket
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Description
La guerre parallèle... Dans l'ombre, deux agents britanniques livrent un combat sans merci contre l'ennemi. Tous les coups sont permis. Leurs missions les entraînent de Londres à Lisbonne, du Portugal à l'Irlande mais ils ne luttent pas contre un ennemi sans visage. Le leur en a un, et un nom : Hildebrand, le redoutable S.S. qui ne recule devant rien. Kane est implacable, mais moins que son coéquipier Guelvada, qui, lul, a un compte personnel à régler. Ernie Guelvada est Belge et sous des dehors nonchalants il, cache une résolution farouche. Source : Pocket
" Je sais tout ce qui vous concerne. C'est mon métier d'être bien informé. Vous êtes dans une mauvaise passe. Le Conseil de Guerre vous attend, et vous aurez ensuite à faire face à un procès en justice civil. II est à peu près sûr que vous ne vous en tirerez pas à moins de deux ans de prison. " Occupons-nous de l'essentiel ! " Vous comparaîtrez devant le Conseil de Guerre pour un motif plus sensationnel et dramatique. - Pour lequel ? dit Fells. - Pour vol de documents militaires intéressant la défense nationale dans le but de les vendre à une puissance étrangère, dit Quayle aimablement. Vous serez reconnu coupable. Vous serez cassé et condamné à cinq ans de prison. Vous *purgerez la sentence en Angleterre, et on vous relâchera au bout de trois ou quatre semaines. Si vous me comprenez, vous sortirez par la porte de derrière, et, ajouta Quayle avec un rire sardonique, je serai là à vous attendre. Vous y êtes ? " Source : Presses de la cité
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" Je sais tout ce qui vous concerne. C'est mon métier d'être bien informé. Vous êtes dans une mauvaise passe. Le Conseil de Guerre vous attend, et vous aurez ensuite à faire face à un procès en justice civil. II est à peu près sûr que vous ne vous en tirerez pas à moins de deux ans de prison. " Occupons-nous de l'essentiel ! " Vous comparaîtrez devant le Conseil de Guerre pour un motif plus sensationnel et dramatique. - Pour lequel ? dit Fells. - Pour vol de documents militaires intéressant la défense nationale dans le but de les vendre à une puissance étrangère, dit Quayle aimablement. Vous serez reconnu coupable. Vous serez cassé et condamné à cinq ans de prison. Vous *purgerez la sentence en Angleterre, et on vous relâchera au bout de trois ou quatre semaines. Si vous me comprenez, vous sortirez par la porte de derrière, et, ajouta Quayle avec un rire sardonique, je serai là à vous attendre. Vous y êtes ? " Source : Presses de la cité
C'était de Londres que venaient les renseignements qui aboutissaient à l'extermination du réseau, de Londres où, malgré la guerre et les restrictions, malgré les bombardements et la peur, on trouvait encore de chouettes pépées, du whisky et des cigarettes. Le lecteur retrouvera avec joie le maître du suspense Peter Cheyney, dans un de ses meilleurs romans d'espionnage.
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C'était de Londres que venaient les renseignements qui aboutissaient à l'extermination du réseau, de Londres où, malgré la guerre et les restrictions, malgré les bombardements et la peur, on trouvait encore de chouettes pépées, du whisky et des cigarettes. Le lecteur retrouvera avec joie le maître du suspense Peter Cheyney, dans un de ses meilleurs romans d'espionnage.
II sortit le revolver. Elle le regarda, les yeux dilatés de terreur, les lèvres entrouvertes. Berg pressa la détente de l'automatique 45. La première balle se logea dans le coeur, la seconde en-dessous, la troisième au-dessus. Elle fit entendre un bizarre toussotement et s'écroula, masse inerte, au pied de l'arbre. Berg remit le revolver dans sa poche et regarda le cadavre que la pleine lune inondait de sa lueur blafarde. Puis il se dit tranquillement à lui-même: " Voilà c'est comme ça, la vie, mon vieux, oui, c'est comme ça que ça se passe. " Il sortit de l'ombre et marcha le long de la pelouse vers la porte où il avait rangé sa voiture. (Presses Pocket, 1971)
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II sortit le revolver. Elle le regarda, les yeux dilatés de terreur, les lèvres entrouvertes. Berg pressa la détente de l'automatique 45. La première balle se logea dans le coeur, la seconde en-dessous, la troisième au-dessus. Elle fit entendre un bizarre toussotement et s'écroula, masse inerte, au pied de l'arbre. Berg remit le revolver dans sa poche et regarda le cadavre que la pleine lune inondait de sa lueur blafarde. Puis il se dit tranquillement à lui-même: " Voilà c'est comme ça, la vie, mon vieux, oui, c'est comme ça que ça se passe. " Il sortit de l'ombre et marcha le long de la pelouse vers la porte où il avait rangé sa voiture. (Presses Pocket, 1971)
- Vous mentez, madame, dit-il avec un sourire. Nous allons vous rafraîchir la mémoire. J'ai appris que sous l'effet d'une forte douleur on dit toujours la vérité. Il regarda sa complice. - Quoi ? demanda celle-ci. Il lui tendit sa cigarette à demi consumée. - La cigarette, dit-il. Pas trop vite, ni trop fort. C'est un excellent moyen avec les femmes. Elle prit la cigarette, alla se placer devant Tanga. - Tu ne veux pas parler.... salope ? - Non, dit Tanga. La femme avança la main, ouvrit largement la blouse et posa le bout de la cigarette sur la chair. - Cela te plaît, petite Française ? Un gémissement passa entre les dents serrées de la suppliciée. - Halte, dit-il doucement. Donnez-lui quelques secondes pour réfléchir. Puis recommencez. - C'est juste, dit la femme. Madame la comtesse veut réfléchir. La première brûlure est supportable. La seconde est plus dure. La troisième... À la quatrième, vous parlerez, soyez-en sûre. Tanga se taisait. À la cinquième brûlure, elle éclata en sanglots. À la sixième...
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- Vous mentez, madame, dit-il avec un sourire. Nous allons vous rafraîchir la mémoire. J'ai appris que sous l'effet d'une forte douleur on dit toujours la vérité. Il regarda sa complice. - Quoi ? demanda celle-ci. Il lui tendit sa cigarette à demi consumée. - La cigarette, dit-il. Pas trop vite, ni trop fort. C'est un excellent moyen avec les femmes. Elle prit la cigarette, alla se placer devant Tanga. - Tu ne veux pas parler.... salope ? - Non, dit Tanga. La femme avança la main, ouvrit largement la blouse et posa le bout de la cigarette sur la chair. - Cela te plaît, petite Française ? Un gémissement passa entre les dents serrées de la suppliciée. - Halte, dit-il doucement. Donnez-lui quelques secondes pour réfléchir. Puis recommencez. - C'est juste, dit la femme. Madame la comtesse veut réfléchir. La première brûlure est supportable. La seconde est plus dure. La troisième... À la quatrième, vous parlerez, soyez-en sûre. Tanga se taisait. À la cinquième brûlure, elle éclata en sanglots. À la sixième...
Il poussa un soupir. Deux listes encore. L'une contenait dix-sept noms, l'autre quatre seulement. En tout, vingt et un. On avait établi avec grand soin ces deux listes en utilisant les renseignements de tous les services alliés, immédiatement après la guerre. On les avait transmises aux bureaux américains de Nuremberg, où elles avaient disparu sans laisser de traces. Deux bouts de papier révélant l'identité de vingt et un personnages recherchés pour toutes sortes de crimes. Vingt et un individus qui se cachaient, on ne savait où, et qui pourraient fort bien reprendre quelque jour leurs activités vraiment très spéciales dans le but de susciter quelques nouveaux troubles.
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Il poussa un soupir. Deux listes encore. L'une contenait dix-sept noms, l'autre quatre seulement. En tout, vingt et un. On avait établi avec grand soin ces deux listes en utilisant les renseignements de tous les services alliés, immédiatement après la guerre. On les avait transmises aux bureaux américains de Nuremberg, où elles avaient disparu sans laisser de traces. Deux bouts de papier révélant l'identité de vingt et un personnages recherchés pour toutes sortes de crimes. Vingt et un individus qui se cachaient, on ne savait où, et qui pourraient fort bien reprendre quelque jour leurs activités vraiment très spéciales dans le but de susciter quelques nouveaux troubles.
Le requin plongea, mordit à l'hameçon attaché au bout de la ligne que tenait Sandford. - Il est pépère, celui-là, murmura-t-il en se penchant en avant. Une brusque secousse de la ligne l'arracha de son siège. Il se retrouva à genoux sur le pontage l'air abasourdi, tenant toujours la ligne. Il essaya de se relever, mais déjà la ligne se tendait à nouveau l'entraînait dans la mer. - Bon Dieu ! râla Mellin d'une voix qui se bloquait dans sa gorge. Il courut vers l'arrière du bateau et s'agenouilla regardant dans l'eau, d'où s'éleva à ce moment un cri atroce. Il y eut un bref tourbillon d'écume, puis une silence total se fit. Mellin, blême, se retourna pour voir Jock, qui rallumait placidement une cigarette. - C'est ce qui s'appelle se faire torcher sans bavures, bredouilla Mellin, dont le corps n'était qu'un ruissellement de sueur glacée. Il s'était même pas attaché à son siège, ce sac à vin ! C'est vrai que ça aurait pas changé grand-chose. Il y avait pas besoin de requin pour faire péter ces courroies: un bébé sardine aurait suffi, au bout de la ligne.
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Le requin plongea, mordit à l'hameçon attaché au bout de la ligne que tenait Sandford. - Il est pépère, celui-là, murmura-t-il en se penchant en avant. Une brusque secousse de la ligne l'arracha de son siège. Il se retrouva à genoux sur le pontage l'air abasourdi, tenant toujours la ligne. Il essaya de se relever, mais déjà la ligne se tendait à nouveau l'entraînait dans la mer. - Bon Dieu ! râla Mellin d'une voix qui se bloquait dans sa gorge. Il courut vers l'arrière du bateau et s'agenouilla regardant dans l'eau, d'où s'éleva à ce moment un cri atroce. Il y eut un bref tourbillon d'écume, puis une silence total se fit. Mellin, blême, se retourna pour voir Jock, qui rallumait placidement une cigarette. - C'est ce qui s'appelle se faire torcher sans bavures, bredouilla Mellin, dont le corps n'était qu'un ruissellement de sueur glacée. Il s'était même pas attaché à son siège, ce sac à vin ! C'est vrai que ça aurait pas changé grand-chose. Il y avait pas besoin de requin pour faire péter ces courroies: un bébé sardine aurait suffi, au bout de la ligne.

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