Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 477
Membres
1 012 378

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Pierre Pacaud - La série

  • Nombre de tomes :
  • 4
  • Nombre de lecteurs :
  • 1
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


Pierre Pacaud et Renne Habert sont fiancés et vont se marier. Tout les destine l'un à l'autre. Ils sont du même petit village, le hameau des Cuves, suspendu au flanc de la montagne ; ils sont du même milieu paysan. Cependant, le destin s'en mêle et Pierre va rencontrer Annette Guillaumin, une jeune fille délurée et coquette, originaire de la vallée. Pour elle, il va quitter sa fiancée, sa colline, sa famille et suivre cette épouse toujours insatisfaite. Il sera employé dans la scierie de son beau-père, puis négociant en matériaux de construction. Mais il se rend vite compte que cette existence n'est faite pas pour lui. Et sa femme le trompe. Se sentant seul et incompris, il se lie d'amitié avec Josse le fils de ses voisins. Brève amitié, car Josse décède prématurément à la suite d'une maladie. Mais cette amitié permet à Pierre de faire la connaissance de Maïa, une femme libre et indépendante, propriétaire de Fleuriant, un grand domaine de quatre vingt hectares, dont il va devenir l'intendant. Il a fini par divorcer et Annette s'est remariée. Pierre va rester un an à Fleuriant , jusqu'au jour où il reçoit une dépêche lui apprenant l'état critique de son père. Il va alors quitter le domaine et retrouver le chemin qui mène aux Cuves, pour peu de temps, pense-t-il...C'est sans compter avec la déclaration de guerre. Pierre doit rejoindre immédiatement son affectation. (Source: Jean-Pierre Sacripanti)
Voir la fiche
Description
Pierre Pacaud et Renne Habert sont fiancés et vont se marier. Tout les destine l'un à l'autre. Ils sont du même petit village, le hameau des Cuves, suspendu au flanc de la montagne ; ils sont du même milieu paysan. Cependant, le destin s'en mêle et Pierre va rencontrer Annette Guillaumin, une jeune fille délurée et coquette, originaire de la vallée. Pour elle, il va quitter sa fiancée, sa colline, sa famille et suivre cette épouse toujours insatisfaite. Il sera employé dans la scierie de son beau-père, puis négociant en matériaux de construction. Mais il se rend vite compte que cette existence n'est faite pas pour lui. Et sa femme le trompe. Se sentant seul et incompris, il se lie d'amitié avec Josse le fils de ses voisins. Brève amitié, car Josse décède prématurément à la suite d'une maladie. Mais cette amitié permet à Pierre de faire la connaissance de Maïa, une femme libre et indépendante, propriétaire de Fleuriant, un grand domaine de quatre vingt hectares, dont il va devenir l'intendant. Il a fini par divorcer et Annette s'est remariée. Pierre va rester un an à Fleuriant , jusqu'au jour où il reçoit une dépêche lui apprenant l'état critique de son père. Il va alors quitter le domaine et retrouver le chemin qui mène aux Cuves, pour peu de temps, pense-t-il...C'est sans compter avec la déclaration de guerre. Pierre doit rejoindre immédiatement son affectation. (Source: Jean-Pierre Sacripanti)
Situés dans une cuvette naturelle, bien irriguée, les villages d'Arvillard, des Hauts Riviers et des Riviers d'Amont connaissent pour la dernière fois la ronde annuelle des saisons et vivent leur agonie. Car le site a été choisi par les pouvoirs publics pour y construire un imposant barrage qui fera bientôt de cette cuvette un vaste lac artificiel où seront noyés fermes, hameaux et villages. Mais il aura fallu d'abord en exproprier les habitants, moyennant une honnête compensation financière. Ceux qui sont les moins attachés aux lieux ont assez vite accepté de partir sans trop de regrets. Ce sont en majorité des commerçants. D'autres se résignent peu à peu à abandonner les terres que leurs aïeux ont travaillées et fait prospérer pendant des générations ; l'indemnisation qu'ils ont reçue est suffisante pour leur permettre d'acheter une autre ferme et recommencer une vie nouvelle sur des terres plus fertiles, plus faciles à travailler. Restent les irréductibles, ceux qui s'accrochent à leur bien, à la ferme ancestrale, à ces arpents de mauvaise terre, dont ils ont réussi à tirer, bon an mal an, leur subsistance, à ces lieux où sont liés les souvenirs de tant d'existences, de tant d'êtres chers qui s'y sont succédé. Ceux-là vont tout tenter pour échapper à la douloureuse échéance. Mais en vain. Et pour quelques uns, les conséquences en seront dramatiques. Ils se sont heurtés à la pugnacité de Philippe Baratié, l'ingénieur maître d'œuvre du barrage, un homme dur et sans pitié, orgueilleux et ambitieux, qui, au nom du progrès et de son intérêt personnel, entend mener à son terme cette entreprise qui sera le couronnement de sa carrière et de son existence. Il reste sourd et indifférent aux plaintes et aux souffrances des malheureux qui essaient de l'apitoyer. Et il parvient à régler les conflits et les grèves suscités chez les ouvriers par des anarchistes qui tenteront de faire sauter le barrage. Après trois ans, l'ouvrage est maintenant achevé. Face à la montée inéluctable des eaux, les habitants ont fini par se soumettre et sont partis ; sauf un, tout aussi orgueilleux et obstiné que son ennemi l'ingénieur Baratié. Il s'est juré de ne pas céder, de ne pas abandonner son beau et vaste domaine, auquel il est viscéralement attaché. Mais rien ne peut arrêter la crue des eaux décuplée par de violents orages. Et cet homme rude sera vaincu, emporté par la vague du progrès qui sacrifie l'individu à la collectivité. Révoltée par la dureté de son père, la jeune Stéphane, fille de Baratié, a fui le domicile familial. La guerre avec l'Allemagne a éclaté. Un soir où Stéphane s'attarde dans un bar de Marseille, elle y fait la connaissance d'un jeune soldat qui se nomme Pierre Pacaud. Elle refuse ses avances et ils vont se perdre de vue. (Source : Jean-Pierre Sacripanti )
Voir la fiche
Description
Situés dans une cuvette naturelle, bien irriguée, les villages d'Arvillard, des Hauts Riviers et des Riviers d'Amont connaissent pour la dernière fois la ronde annuelle des saisons et vivent leur agonie. Car le site a été choisi par les pouvoirs publics pour y construire un imposant barrage qui fera bientôt de cette cuvette un vaste lac artificiel où seront noyés fermes, hameaux et villages. Mais il aura fallu d'abord en exproprier les habitants, moyennant une honnête compensation financière. Ceux qui sont les moins attachés aux lieux ont assez vite accepté de partir sans trop de regrets. Ce sont en majorité des commerçants. D'autres se résignent peu à peu à abandonner les terres que leurs aïeux ont travaillées et fait prospérer pendant des générations ; l'indemnisation qu'ils ont reçue est suffisante pour leur permettre d'acheter une autre ferme et recommencer une vie nouvelle sur des terres plus fertiles, plus faciles à travailler. Restent les irréductibles, ceux qui s'accrochent à leur bien, à la ferme ancestrale, à ces arpents de mauvaise terre, dont ils ont réussi à tirer, bon an mal an, leur subsistance, à ces lieux où sont liés les souvenirs de tant d'existences, de tant d'êtres chers qui s'y sont succédé. Ceux-là vont tout tenter pour échapper à la douloureuse échéance. Mais en vain. Et pour quelques uns, les conséquences en seront dramatiques. Ils se sont heurtés à la pugnacité de Philippe Baratié, l'ingénieur maître d'œuvre du barrage, un homme dur et sans pitié, orgueilleux et ambitieux, qui, au nom du progrès et de son intérêt personnel, entend mener à son terme cette entreprise qui sera le couronnement de sa carrière et de son existence. Il reste sourd et indifférent aux plaintes et aux souffrances des malheureux qui essaient de l'apitoyer. Et il parvient à régler les conflits et les grèves suscités chez les ouvriers par des anarchistes qui tenteront de faire sauter le barrage. Après trois ans, l'ouvrage est maintenant achevé. Face à la montée inéluctable des eaux, les habitants ont fini par se soumettre et sont partis ; sauf un, tout aussi orgueilleux et obstiné que son ennemi l'ingénieur Baratié. Il s'est juré de ne pas céder, de ne pas abandonner son beau et vaste domaine, auquel il est viscéralement attaché. Mais rien ne peut arrêter la crue des eaux décuplée par de violents orages. Et cet homme rude sera vaincu, emporté par la vague du progrès qui sacrifie l'individu à la collectivité. Révoltée par la dureté de son père, la jeune Stéphane, fille de Baratié, a fui le domicile familial. La guerre avec l'Allemagne a éclaté. Un soir où Stéphane s'attarde dans un bar de Marseille, elle y fait la connaissance d'un jeune soldat qui se nomme Pierre Pacaud. Elle refuse ses avances et ils vont se perdre de vue. (Source : Jean-Pierre Sacripanti )
Malgré la grande différence d'âge qui les sépare, Pierre et Maïa - qui pourrait être sa mère - vivent le plus parfait amour et connaissent un bonheur idéal dans la belle propriété de Fleuriant, que Maïa possède sur la Côte d'Azur, non loin de Saint-Raphaël. Survient la deuxième guerre mondiale. Mobilisé, Pierre est affecté dans un camp de regroupement, à Laghet, dans l'arrière pays niçois. Malgré cela, les deux amants vont tout faire pour entretenir la flamme de leurs sentiments. Ils se revoient le plus souvent possible, soit à Laghet, soit à Nice, dans des conditions difficiles, pour des rencontres brèves et incertaines. Mais ce que leur différence d'âge n'avait pas pu faire, l'éloignement, la séparation et l'absence vont le réussir : incrédules, impuissants et désespérés, Pierre et Maïa voient leur bel amour décroître et tiédir peu à peu, jusqu'à finir par s'éteindre. Une fois la tourmente passée et leur liberté retrouvée, pourront-ils s'engager, chacun de leur côté, dans une voie nouvelle, pour une autre chance de bonheur ? Dans ce roman, Thyde Monnier prononce un violent réquisitoire contre la guerre, qui, à des fins douteuses, suscite la haine entre les nations et les peuples, sépare ceux qui s'aiment, tue les pères, les fils, les maris ; et contre l'armée, qui transforme les hommes en une soldatesque vile, bestiale et sanguinaire. " …depuis des siècles et des siècles, comme c'est fatiguant ce mouvement de vague qui avance et qui recule ! Ces armées qui envahissent ! Qui triomphent ! Qui brûlent ! Qui violent ! Qui tuent ! Puis qui reculent ! …Qui sont brûlées ! Décimées ! Qui sèment la mort et puis la subissent !...Ces hommes qui toujours toujours, ont besoin des biens du voisin ! Et ça s'appelle " L'espace vital " et " Les minorités opprimées " et l'expansion coloniale… " (Source : Jean-Pierre Sacripanti. )
Voir la fiche
Description
Malgré la grande différence d'âge qui les sépare, Pierre et Maïa - qui pourrait être sa mère - vivent le plus parfait amour et connaissent un bonheur idéal dans la belle propriété de Fleuriant, que Maïa possède sur la Côte d'Azur, non loin de Saint-Raphaël. Survient la deuxième guerre mondiale. Mobilisé, Pierre est affecté dans un camp de regroupement, à Laghet, dans l'arrière pays niçois. Malgré cela, les deux amants vont tout faire pour entretenir la flamme de leurs sentiments. Ils se revoient le plus souvent possible, soit à Laghet, soit à Nice, dans des conditions difficiles, pour des rencontres brèves et incertaines. Mais ce que leur différence d'âge n'avait pas pu faire, l'éloignement, la séparation et l'absence vont le réussir : incrédules, impuissants et désespérés, Pierre et Maïa voient leur bel amour décroître et tiédir peu à peu, jusqu'à finir par s'éteindre. Une fois la tourmente passée et leur liberté retrouvée, pourront-ils s'engager, chacun de leur côté, dans une voie nouvelle, pour une autre chance de bonheur ? Dans ce roman, Thyde Monnier prononce un violent réquisitoire contre la guerre, qui, à des fins douteuses, suscite la haine entre les nations et les peuples, sépare ceux qui s'aiment, tue les pères, les fils, les maris ; et contre l'armée, qui transforme les hommes en une soldatesque vile, bestiale et sanguinaire. " …depuis des siècles et des siècles, comme c'est fatiguant ce mouvement de vague qui avance et qui recule ! Ces armées qui envahissent ! Qui triomphent ! Qui brûlent ! Qui violent ! Qui tuent ! Puis qui reculent ! …Qui sont brûlées ! Décimées ! Qui sèment la mort et puis la subissent !...Ces hommes qui toujours toujours, ont besoin des biens du voisin ! Et ça s'appelle " L'espace vital " et " Les minorités opprimées " et l'expansion coloniale… " (Source : Jean-Pierre Sacripanti. )
Le " largo " est ce temps musical ample et lent, qui exprime souvent un apaisement un peu mélancolique. Pour Maïa, il symbolise la sérénité que l'âge lui a apporté après les grands mouvements qui ont bouleversé son existence de femme ardente et passionnée. Elle s'est mariée avec son voisin, Anthony Paban, un homme de son âge, depuis longtemps amoureux d'elle. Et s'il lui arrive encore de penser à Pierre, c'est avec un certain détachement non dépourvu d'amertume, car elle lui pardonne mal de l'avoir trompée et abandonnée. Maïa et Anthony ont chacun perdu leurs belles propriétés voisines, détruites par les bombardements. Mais ils espèrent être dédommagés et pouvoir reconstruire au moins celle de Fleuriant. En attendant, ils vivent heureux dans la modeste demeure des gardiens et s'emploient à restituer patiemment, au beau parc qui les entoure, sa magnificence d'antan. De son côté, après une longue période de précarité, Pierre a retrouvé Stéphane, cette jeune femme qu'il avait déjà rencontrée dans un bar et perdue de vue. Il découvre qu'elle est la nièce de Maïa. Les deux jeunes gens se plaisent et s'apportent réciproquement l'équilibre et l'amour. Ils se marient et Pierre devient un précieux collaborateur pour le père de Stéphane, l'ingénieur Baratié qui a œuvré à la construction du barrage d'Arvillard et qui commence à vieillir. Le couple mène une vie paisible et rangée. Mais cette existence trop bourgeoise ne convient pas à la jeune femme, idéaliste et libertaire, qui voudrait vivre seule avec son mari, loin de ce père dominateur. Satisfait de son sort, Pierre, qui se sent enfin devenu quelqu'un, ne partage ni ses idées, ni ses aspirations. Après une tentative d'émancipation qui tourne mal, Stéphane disparaît sans que l'on sache ce qu'elle est devenue. Peut-être est-elle allée se réfugier chez sa tante Maïa qui, seule, pourra la comprendre, tant leurs personnalités se ressemblent. (Source : Jean-Pierre Sacripanti. )
Voir la fiche
Description
Le " largo " est ce temps musical ample et lent, qui exprime souvent un apaisement un peu mélancolique. Pour Maïa, il symbolise la sérénité que l'âge lui a apporté après les grands mouvements qui ont bouleversé son existence de femme ardente et passionnée. Elle s'est mariée avec son voisin, Anthony Paban, un homme de son âge, depuis longtemps amoureux d'elle. Et s'il lui arrive encore de penser à Pierre, c'est avec un certain détachement non dépourvu d'amertume, car elle lui pardonne mal de l'avoir trompée et abandonnée. Maïa et Anthony ont chacun perdu leurs belles propriétés voisines, détruites par les bombardements. Mais ils espèrent être dédommagés et pouvoir reconstruire au moins celle de Fleuriant. En attendant, ils vivent heureux dans la modeste demeure des gardiens et s'emploient à restituer patiemment, au beau parc qui les entoure, sa magnificence d'antan. De son côté, après une longue période de précarité, Pierre a retrouvé Stéphane, cette jeune femme qu'il avait déjà rencontrée dans un bar et perdue de vue. Il découvre qu'elle est la nièce de Maïa. Les deux jeunes gens se plaisent et s'apportent réciproquement l'équilibre et l'amour. Ils se marient et Pierre devient un précieux collaborateur pour le père de Stéphane, l'ingénieur Baratié qui a œuvré à la construction du barrage d'Arvillard et qui commence à vieillir. Le couple mène une vie paisible et rangée. Mais cette existence trop bourgeoise ne convient pas à la jeune femme, idéaliste et libertaire, qui voudrait vivre seule avec son mari, loin de ce père dominateur. Satisfait de son sort, Pierre, qui se sent enfin devenu quelqu'un, ne partage ni ses idées, ni ses aspirations. Après une tentative d'émancipation qui tourne mal, Stéphane disparaît sans que l'on sache ce qu'elle est devenue. Peut-être est-elle allée se réfugier chez sa tante Maïa qui, seule, pourra la comprendre, tant leurs personnalités se ressemblent. (Source : Jean-Pierre Sacripanti. )

Commentaires



Séries du même auteur



Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode