Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 728
Membres
1 013 517

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:33:25+01:00

« Les gens préfèrent de loin un chef qui semble grand », écrivait Bialoveld, « à un chef qui l’est réellement. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:26:25+01:00

Il est encore en vie, ce vieux salaud.

— Mais il aurait bien besoin de repos, murmura Monza. Il lui faut un cercueil.

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:24:52+01:00

Si vous aviez vu le monde dans les rues d’Osprie après ma victoire lors de la bataille des Îles, jetant une multitude de fleurs en l’air… Ils étaient au moins deux fois plus nombreux. Il fallait être là !

— J’y étais, moi, dit Vitari. Ils étaient deux fois moins nombreux.

— Ça t’amuse de pisser sur mes rêves ?

— Un peu.

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:23:48+01:00

Selon les écritures kantiques, « quand Dieu veut punir un homme, il lui envoie des amis idiots et des ennemis malins. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:18:01+01:00

ce salaud manque de précision. C’est dangereux, le feu.

— C’est joli, le feu. On le prend.

— Mais il ne…

— Ah, l’interrompit Cosca, une main levée pour le faire taire.

— On devrait…

— Ah.

— Ne me dis pas…

— Ah, j’ai dit ! Tu n’as pas le mot « ah » dans ton pays ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:12:15+01:00

— S’ils se battent comme ils jouent, pas la peine de s’inquiéter.

— Ils jouent comme de la merde.

— Ils jouent comme des sauvages. Avec un peu de chance, ils se battent aussi comme ça.

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T14:01:29+01:00

les hommes comme vous, si toutefois on peut vous considérer humain, ne méritent que le mépris. L’empoisonneur est le pire des lâches.

— Il est quand même au-dessus de l’ivrogne ! rétorqua Morveer avec un petit sourire. Un tel gâchis de l’humanité évoquerait presque la pitié s’il n’était pas si repoussant. L’ivrogne est plus prévisible qu’un animal. Incapable de changer, tel le pigeon voyageur, il retourne immuablement à sa bouteille de vin. Elle seule lui permet de supporter la traînée de misère qu’il sème dans son sillage.

Il ne peut que suffoquer dans la sobriété, qui lui rappelle ses échecs passés et suscite de futures angoisses. C’est lui, le vrai lâche.

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T13:59:37+01:00

Je ne pourrais souffrir un tel déshonneur sur la conscience. C’est pourquoi j’ai appliqué un extrait de Fleur de Veuve sur vos bols. J’espère que vous savourez tous vos derniers instants avant l’agonie. (Six paires d’yeux sinistres le dévisagèrent.) Une plaisanterie, bien sûr, dit-il d’une voix rauque, comprenant soudain que sa tentative d’humour avait été un échec total.

— J’ai pris des coups de poing qui étaient plus drôles, commenta Vitari.

— L’humour d’empoisonneur, bougonna Cosca en lui jetant un regard assassin.

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T13:56:47+01:00

Je n’ai pas besoin d’un ivrogne.

Il transpirait dans le silence, tous les yeux rivés sur lui.

— Je ne suis pas un ivrogne, se défendit-il. J’aime juste le goût du vin. Je l’aime tellement que si je n’en bois pas un peu toutes les deux heures, je deviens très malade.

Afficher en entier
Extrait ajouté par mademoisellle 2018-12-25T13:52:23+01:00

— Pourquoi était-il en prison ?

— Il avait tué sa femme, l’avait découpée en rondelles et cuisinée en ragoût pour la manger.

Un silence autour de la table. Cosca s’éclaircit bruyamment la voix.

— Je suppose que ce ragoût n’est pas fait à partir d’une femme.

— Le boucher m’a dit que c’était de l’agneau, et je ne vois pas pourquoi il m’aurait menti, répondit Cordial en prenant sa fourchette. La viande humaine, ça coûte bien plus cher.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode