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– Je crois qu’on n’en a pas besoin, tous les deux. Dis-moi, je voulais que tu viennes ici car j’ai quelque chose à te proposer, dit-il d’un air plus solennel.

Oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu, ça y est, c’est le moment.

– Je t’écoute, dis-je, avec un sourire un peu timide.

– Tu vas bientôt être diplômée, n’est-ce pas ? Et après ton diplôme, tu veux créer ta galerie en ligne ?

– Oui, réponds-je.

Mais je ne vois pas trop le rapport avec le mariage…

– Eh bien, hier, je suis passé à Brooklyn devant un espace à vendre, un endroit fabuleux, une ancienne usine réaménagée. C’est haut de plafond, c’est lumineux, c’est très bien placé. Cela ferait une galerie magnifique. Et je l’ai acheté. Pour que tu puisses ouvrir ta galerie.

Il m’annonce cela avec un grand sourire, et un regard plein d’enthousiasme. Douche froide. Douche glacée, même.

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Il a enlevé son trench, il porte un jean et un polo ajusté qui fait ressortir son torse musclé et ferme. Ce torse tatoué que j’ai caressé avec tellement de désir il y a si peu de temps. « En tant qu’ami »… Oui, c’est un ami généreux et charmant. Mais c’est aussi un ami que j’ai follement envie de voir nu et d’embrasser.

« Moi aussi Alistair, je suis heureuse. »

Ma voix trahit mon émotion, il faut que je me ressaisisse !

– Je vais me doucher et après on bouge ?

– Oui bien sûr, la salle de bains est la deuxième porte à droite, je t’ai mis des serviettes propres. Fais comme chez toi.

– Ok, alors si je fais comme chez moi, je vais chanter sous la douche et danser en petite culotte sur du Beyoncé !

– Seulement si je peux assister à ce spectacle, me répond-il avec un clin d’œil.

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– Tu veux bien venir prendre un café, que nous discutions un peu ? demande-t-il, visiblement ému.

– Oui bien sûr, répond Arthur, avec une voix timide.

– John, dit Alistair en se tournant vers son ami, merci. D’avoir cherché des infos sur Jared, d’avoir prévenu la police. Je t’appelle tout à l’heure.

– Tu peux aussi remercier Chloé, qui a eu la bonne idée de chercher l’adresse dans ton téléphone, répond John.

Alistair se tourne vers moi et plonge son regard, sombre et magnifique, dans le mien.

– Je sais que je suis avec une jeune femme très intelligente.

– Promis, c’est la première et dernière fois que je fouille dans ton téléphone, dis-je en souriant.

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– J’avais très envie de revivre notre rencontre, me souffle-t-il à l’oreille.

– Mais attends, je ne comprends pas, Alistair. Quand nous nous sommes rencontrés, que tu étais assis à côté de moi, on était en deuxième classe ! Donc parfois tu ne voyages pas en première, dis-je, assez fière de ma démonstration.

– Hum… non, dit-il, l’air un peu gêné.

– Mais si, on était en deuxième !

– Oui je sais, mais normalement je devais voyager en première.

– Mais alors pourquoi tu n'y étais pas ?

– J’étais assis à ma place, en première, puis j’ai aperçu à travers la vitre une jolie jeune femme aux taches de rousseur, qui courait pour ne pas rater son train, lance-t-il avec un grand sourire.

– Donc en fait ce n’était pas simplement le hasard, que tu sois assis à côté de moi ?

– Bien vu, Sherlock Holmes ! dit-il en riant.

– Et c’est seulement maintenant que tu me le dis ?

Je n’en reviens pas ! Je suis à la fois très surprise et très flattée.

–Tu imagines si ce jour-là j’étais arrivé en te disant: « j’ai vu que la place était libre, je me suis assis là, car je vous ai vu monter dans le train et vous ai trouvé très belle » ? Je serais passé pour un dragueur un peu lourd, non ?

– Oui c’est sûr, j’aurais peut-être pris un peu peur.

– Par chance il n’y avait personne assis à côté de toi. Sinon de toute façon je pense que je lui aurais demandé de changer de place.

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" - (...) Il y a tellement de couples qui se séparent au bout de deux, trois ans.

- Il y en a aussi qui s'aiment toute leur vie. Peut-être d'ailleurs parce qu'ils n'oublient jamais pourquoi et comment ils se sont rencontrés. "

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" La vie, ce sont des montagnes russes, me disait ma grand-mère anglaise. Soit tu paniques à chaque descente, soit tu décides de lever les bras en l'air et d'apprécier le manège. "

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«- Bonne nuit Alistair, dis-je dans un souffle.

– Bonne nuit Chloé, répond-il en me serrant avec tendresse. Merci d’être là, dans ma vie. »

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Je tremble d’émotion. Il prend ma main, et la serre fort. Il vient de dire qu’il m’aimait… Je plonge mon regard dans ses beaux yeux noirs.

– Moi aussi, Alistair, je t’aime…

Chloé, tu viens pour la première fois de ta vie de dire à un homme que tu l’aimes !

– Chloé, Chloé, Chloé, soupire-t-il en m’embrassant au creux de mon cou.

Submergée par la force et la beauté de cet instant, je sens les larmes me monter aux yeux.

Ne pleure pas, Chloé !

Trop tard, de petites larmes coulent sur mes joues, alors que je souris. Ce sont des larmes de joie. Alistair prend mon visage entre ses mains.

– Tu es super sexy, même avec ces larmes, c’est dingue ! dit-il en embrassant mes joues.

– Mais dans cinq minutes, je ressemble à un bébé panda, dis-je en riant.

Oui je l’aime. Il est beau, il est brillant, il est sensible, drôle et généreux, et il m’aime comme jamais personne ne m’a jamais aimée… Je me lève pour aller me rafraîchir dans la salle de bains. Après cette déclaration, j’ai besoin de souffler, de respirer un peu, et d’eau froide sur mon visage.

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Sur le tarmac je repère un avion avec écrit en gros dessus "Monroe". Mince alors, ce mec a un avion avec son nom dessus ! C'est fou ! Petite, j'avais écrit "Chloé" sur mon vélo, mais lui, il a un avion ...

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oémie est adorable, mais elle n’est pas objective, c’est une de mes meilleures amies. Je sens mon cœur battre fort. Ce mail m’a touchée. Quatre jours à New York… Je n’y suis jamais allée et j’en rêve ! Et quatre jours avec lui… Je repense à son beau regard noir, son torse tatoué, ses cheveux en bataille et ses bras musclés, et je sens des papillons au creux de mon ventre.

– Alors ? me relance Camille.

– Je crois que je vais dire oui, lancé-je dans un souffle.

– Champaaaagne, crie Noémie. Les filles, c’est ma tournée ! On va trinquer à Chloé et à sa folle vie !

Je souris. Quelle soirée ! En rentrant ce soir, je vais lui répondre. Je n'ai pas posé de jours de congés à l'agence depuis un moment, c'est l'occasion. Dans 24 heures, je suis à New York, dans les bras d’Alistair Monroe. Juste une fois, mais plusieurs fois... La chanson de Frank Sinatra me revient en mémoire :

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