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" Tu es différente, Lucy. Quand je te disais que tu étais ma bulle d'air, c'est le cas. Tu es aussi un rayon de soleil qui chasse mes angoisses et mes doutes. Je me sens fort à tes côtés. "

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– Qu’est-ce que tu fais ? me demande Arthur, surpris.

– Je te fais découvrir de nouvelles choses !

J’attache le bandeau. Je le regarde : il est très séduisant ainsi ! Je me penche sur son torse. À mon tour de le goûter… Sa peau est douce et savoureuse. Sa musculature, tellement sexy ! Je l’embrasse, descends un peu plus vers son sexe bandant puis remonte plus haut.

– Tu me rends dingue, murmure-t-il.

– C’est le but, lui dis-je avec ravissement.

Je me cambre pour embrasser son sexe. Il ne me voit pas mais frôle mon visage et mes cheveux avec ses mains. Mes baisers deviennent plus pressants, plus rapides. Je prends son sexe dans ma bouche et le lèche avec délice. J’aime l’idée qu’il ne me voie pas mais qu’il ressente encore plus mes gestes amoureux. Je prends son sexe d’une main pour accompagner le mouvement sensuel de va-et-vient de mes lèvres. Son corps se crispe, il renverse son visage en arrière.

– Lucy... dit-il dans un halètement.

– Viens, mon amour, murmuré-je, observant avec joie son plaisir montant.

Je le vois froncer les sourcils et je sens ses jambes se tendre. Dans un cri, il jouit, avec magnificence. Je suis heureuse, touchée, d’être la spectatrice de ce plaisir. Il enlève le bandeau et me regarde avec intensité.

– Je n’ai jamais vécu ça, dit-il, troublé.

Il a un air si sexy !

– Il faudra que l’on pense, lors de notre nuit de noces, à prendre ce bandeau, dis-je, amusée.

– Je crois que te voir simplement avec une robe de mariée, à mes côtés, suffira à me rendre fou de désir, me répond-il.

– Alors, des menottes ? proposé-je en riant.

– Pourquoi pas, répond-il sérieusement. Mais alors des menottes de luxe ! Tu mérites… le meilleur.

Je pose mon visage sur son épaule. Je me sens transportée de bonheur. Je veux passer le reste de ma vie avec cet homme fabuleux. Je ne crains pas les années qui vont passer : notre désir, je le crois, est insatiable…

– À quoi tu penses ? me demande Arthur.

– Au bonheur, lui réponds-je.

Il se penche vers moi pour m’embrasser.

– Je vais chercher du champagne, on va trinquer à ce bonheur, dit-il avant de se lever.

J’observe son dos tatoué, ses fesses musclées, sous la lumière du feu, dans cette pièce magnifique et luxueuse. Lorsqu’il revient vers moi, il ramasse le bandeau.

– Tu peux le remettre ? me demande-t-il, avec un air mystérieux.

– Mais, tu veux que l’on… dis-je, surprise.

Il veut qu’on refasse l’amour, là, maintenant ?

– Non, dit-il avec un sourire. Mais en fait j’avais acheté ce bandeau pour tout autre chose.

Je ne comprends toujours pas, mais je me prête au jeu. Il attache avec délicatesse le bandeau, je suis de nouveau plongée dans le noir. Je me demande bien ce qu’il prépare.

– Je plaisantais, pour les menottes, lui dis-je en souriant.

Il ne parle plus. Je sens sa présence non loin de moi. Mais que fait-il ?

– Tu peux détacher le bandeau à présent, murmure-t-il d’une voix suave.

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– Tu aimes ? me demande-t-il d’une voix chargée de désir.

– Oui, c’est parfait, lui dis-je, mais… Tu as été masseur professionnel, ou quoi ?

– Non. Mais je dois être inspiré…

Je ne sais plus si j’ai envie qu’il continue ou qu’au contraire il cesse son petit jeu pour prendre possession de mon corps, m’étreindre vraiment et apaiser la faim qu’il fait grandir en moi. Arthur penche son buste pour embrasser ma nuque et je le sens contre mon dos. Sa peau, chaude, se mêle à la mienne, légèrement huilée. Je rouvre les yeux et constate l’évidence de son désir tendu à travers la toile en lin de son pantalon.

J'ai tellement envie de lui !

– Je peux enlever cette jolie culotte ? me murmure-t-il.

J’acquiesce en remontant imperceptiblement les hanches pour l’aider. Passant ses mains sous mon ventre pour faire glisser le satin, il frôle délibérément mon sexe de ses doigts. À ce nouvel affront, une onde de désir me parcourt le corps.

– Je vais remettre de l’huile, me nargue-t-il un peu plus.

Quelques gouttes tombent sur mes fesses nues. Puis, de ses deux mains, il reprend ses caresses toujours plus envoûtantes, palpant le rebondi et traçant des cercles sur mon corps. Quand il écarte légèrement mes cuisses pour insinuer ses doigts entre mes jambes, j’obéis, docile, et le souffle court. Sa deuxième main passe sous mon ventre et je me cambre, lui offrant l’accès à ma féminité, excitée par son exploration de plus en plus érotique. Il me frôle, se promène mais sans atteindre mon sexe. Deuxième soupir. C’est tellement bon. Bientôt sa bouche vient rejoindre le massage qui n’en est plus un et parsème des baisers sur mes jambes, mes reins. Centimètre par centimètre, il se rapproche jusqu’à atteindre la limite entre mes cuisses et mes fesses. Cette frontière, si sensible.

Fini le jeu du kiné et de la patiente...

Nous ne sommes plus que deux corps impatients... Je sens son souffle, chaud, au creux de mon entrejambe. Je pousse un petit gémissement de plaisir en ouvrant un peu plus mes cuisses et en relevant le bassin. Encouragé, il vient se placer entre mes jambes pour poursuivre ses baisers plus aisément. Sa langue effleure légèrement mon intimité déjà humide. Je me cambre pour qu’il aille encore plus loin mais il s’arrête… Ma tête plongée dans l’oreiller, je me retiens de crier de protestation. Je me sens à sa merci. Nue, désirable, désirée.

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Bon, ce n’est pas le tout, mais en parlant de désir, il faut que je me prépare. Normalement, je le revois ce soir et je veux me faire belle. Même s’il m’adore en nuisette ou en baskets, j’ai plutôt envie d’être sexy pour lui. Robe noire en satin obligatoire ! Alors que je sors de ma douche, je reçois un texto.

[Hello Princesse. Un carrosse viendra vous chercher à 19 heures en bas de chez vous. Hâte de te revoir, de t’embrasser, de te caresser, de t’enlacer, de… Tu vois ce que je veux dire ?]

Ces mots provoquent des frissons au creux de mon ventre. C’est fou, depuis notre rencontre, ça me fait ça ! Est-ce que ça va s’arrêter un jour ? Je ne l’espère pas, je ne le pense pas. Je lui réponds.

[Je revêts donc une tenue appropriée. À tout de suite, cher Prince Charmant. Oui, je crois deviner tes pensées, car j’ai les mêmes désirs.]

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Il me regarde, ému, et troublé.

– Je vais m’occuper du problème de Fred. Tu peux m'envoyer le message, avec le numéro ?

Je sors mon téléphone et transfère le texto.

– Je ne veux pas que tu pâtisses de cette histoire, poursuit-il. Ma vie a été compliquée, mais ce n’est pas à toi d’en faire les frais !

– La vie n’est simple pour personne, lui dis-je, pour le rassurer.

Je ne sais pas pourquoi, je suis prête à lui raconter l’épisode de Jack. Une confidence en amenant une autre…

– Comment ça ? me demande Arthur, curieux.

– J’ai fait souffrir mon ex, Jack, et je m’en veux encore terriblement On était en couple depuis le lycée. C’était comme une « évidence » qu’on allait passer notre vie ensemble. Enfin… une évidence pour notre entourage. J’étais amoureuse, ou en tout cas je le croyais… au départ. On était jeune et petit à petit on a changé. Lui s’est dirigé vers des études de commerce, moi la mode. Il ne comprenait pas du tout mon univers, et moi le sien m’ennuyait profondément. Il voulait devenir riche, comme son père. L’art ne l’intéressait pas, au mieux il pensait que c’était une lubie, que ça me passerait. J’étais aveuglée par ce que je pensais être le bonheur, alors quand il m’a demandé en mariage, j’ai dit oui, sans réfléchir. Après tout, mon père et mes copines me disaient que j’avais de la chance, que j’allais me marier avec quelqu’un qui avait une carrière prometteuse. Mais tout au fond de moi je savais que je faisais une erreur.

– Donc tu t’es mariée ? me demande Arthur, surpris.

– Non ! C’est ça le truc. J’ai annulé le mariage une semaine avant…

– Comme dans les films ?

– Comme dans les films. Sauf que j’ai vécu dans la vraie vie la tristesse de Jack. Il a été super blessé. Ça se comprend !

– Il t’en veut ? me demande Arthur.

– Au début oui il était très en colère. Mais il a compris petit à petit que nous aurions fait une belle erreur de jeunesse, en nous mariant. Il n’empêche que je culpabilise encore, lui confié-je avec tristesse. Je me dis que je fais souffrir les gens autour de moi…

Arthur sourit. Ce n’est pourtant pas très drôle, ce que je viens de raconter !

– Pourquoi ce sourire ? lui demandé-je, agacée.

– Eh bien, après ce que tu viens de me raconter, je me dis qu’avec notre passé, et nos angoisses, on était faits pour se rencontrer !

Je lui réponds en souriant également. Et me sens soulagée que ma confidence ne l’ait pas fait flipper !

Enfin je crois...

– Tu ne vas donc pas partir en courant ? lui demandé-je, avec un air à moitié sérieux, à moitié dans la plaisanterie.

– Non. Je reste ici. Je suis heureux que tu m'aies raconté ton passé. Et je n'aurais pas aimé, bien sûr, être à la place de ton ex. Mais tu as aussi pensé à ton avenir, à ton bonheur, et au sien, en faisant ce choix. Et je te trouve courageuse. Que dirais-tu si nous mangions ces plats avant qu’ils soient complètement froids, et si nous allions boire un dernier verre sur le toit de l’hôtel pour se détendre ? me propose Arthur.

– Je dis que c’est une excellente idée, lui réponds-je, heureuse.

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– Dans quelle ville atterrissons-nous, déjà ? demandé-je sur un ton détaché à l’hôtesse, comme si je voyageais tous les jours en jet privé.

– Ankara, mademoiselle, me répond-elle.

La Turquie ! Il m’emmène en week-end en Turquie ! Je suis tellement heureuse, je n’y suis jamais allée. Mais, ayant un instinct de survie très développé, je fais une recherche rapide sur Google avec mon smartphone : « sports extrêmes Turquie ». Ah, mais oui, il y en a plein.

Zut. Je suis mal barrée.

Lorsque j’arrive dans le salon VIP, j’aperçois Arthur, de dos, au comptoir. Il est absolument craquant. Pantalon en lin beige, chemise courte en lin blanche, grand foulard bleu marine autour du cou. Baroudeur et chic à la fois… La classe absolue ! Je me sens sur un petit nuage : c'est moi qu'il attend, là ! Je n'en reviens toujours pas. Je me sens tellement chanceuse. Et étonnée aussi. Qu'est-ce que j'ai de plus que les autres pour qu'il s'intéresse ainsi à moi et qu'il m'invite en week-end ? Comme s’il avait un sixième sens, il se retourne vers moi alors que je le rejoins et me lance un grand sourire. Sourire qui me fait de nouveau chanceler sur mes talons. Car oui, j’ai pris des baskets dans mon sac, mais je porte tout de même des chaussures compensées d’été !

– Tu es là ! me lance-t-il, heureux.

– Mais oui, tu avais peur que je ne vienne pas ? lui réponds-je, amusée.

– Je ne sais pas, oui, enfin… bref, je suis ravi que tu sois là, répond-il timidement, en fronçant légèrement les sourcils.

S’il commence à faire ce visage de « serial tombeur », le week-end est prometteur !

J’hésite à l’embrasser. Ça fait très « voyage en amoureux » si je le fais. En même temps, on n’est pas vraiment des potes. Les amis ne s’embrassent pas et ne font pas l’amour ! Je décide de m’approcher de lui en lui faisant un petit signe affectueux de la main. Ni trop froid, ni trop proche… Lui s'approche de moi de plus en plus près. À tel point que je peux presque sentir la chaleur de son corps. Je sens qu'il a envie de m'embrasser, mais qu'il se retient. Il semble que l'on est tous les deux dans le même bateau...

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J’observe, de la terrasse, Chloé, installée dans le salon super design de son loft. Elle a l’air tellement heureuse ! Grâce à Alistair, et grâce aussi à son talent et à son travail, elle ouvre une galerie d’art à Brooklyn. C’est pour cet événement que je suis venue à New York. Sa mère, Maggie, et le petit ami de celle-ci ont fait le vol Londres-New York avec moi. Et – surprise – Alistair avait aussi invité Camille et Émilie, nos copines parisiennes. Ces deux filles sont géniales. Chloé me les a présentées quand elle les a rencontrées, pendant ses études à Paris, et ça a tout de suite collé entre nous. Avec Noémie, le troisième mousquetaire, qui est déjà à New York, on est au complet. Girls power !

– C’est magnifique ici, Chloé ! m’exclamé-je en la rejoignant.

– Oui, l’appart est très beau, et la vue… Je ne m’en lasse pas, répond-elle avec un grand sourire.

– Tu as de la chance de vivre ici. Et aussi de m’avoir comme amie, dis-je avec un clin d’œil.

– Que veux-tu dire ?

– Souviens-toi que c’est moi qui t’ai encouragée à le retrouver dans ce bar chic, à Londres ! Si vous vous mariez, je veux être témoin.

Je réalise, au moment où je prononce cette phrase que je viens de faire une bourde. Une de mes spécialités, avec le gâteau au chocolat…

Je dois vraiment apprendre à tourner ma langue sept fois dans ma bouche !

Quand Alistair, il y a quelques semaines, lui a demandé de venir la rejoindre, très vite, car il avait quelque chose d’important à lui dire, on s’était monté la tête toutes les deux. On était persuadées qu’il allait la demander en mariage… Mais non. C’était pour lui proposer de créer la galerie de Brooklyn. Oups. Chloé avait été vexée sur le coup, mais je lui avais dit qu’avec sa peur légendaire de l’engagement, c’était normal qu’il soit prudent. Il est super amoureux et n’a pas envie qu’elle dise « non » à une telle demande. Chloé ne semble pas blessée par ma maladresse, et me parle avec enthousiasme de la galerie, et du premier artiste qu’elle expose, le frère d’Alistair, Arthur, alias Geronimo. On sonne à la porte. Chloé va ouvrir. J’écoute de loin, la conversation.

– Quand on parle du loup ! On parlait de toi, Arthur !

– Je ne te dérange pas ? L'autre jour, j'ai laissé du matériel de graff ici. Je suis passé le récupérer, pour ce soir.

– Pas de problème. Je suis avec Lucy, ma meilleure amie. Viens, je vais te la présenter.

Je me lève du canapé, et vois le fameux Arthur s’approcher de moi pour me serrer la main. Pendant une demi-seconde, je me retrouve figée sur place. Marc Jacobs serait rentré dans cette pièce pour me dire « Lucy, je veux travailler avec vous », je serais restée tout autant abasourdie. Cet homme est absolument magnifique. Et sexy. Il ressemble bien sûr à son frère jumeau, Alistair. Mais avec sa barbe de trois jours, son teint hâlé, son jean un peu moulant et son tee-shirt blanc, il fait beaucoup plus « bad boy ». J’en vois tous les jours, dans la mode, des hommes sexy, mais là, il a quelque chose de… magnétique. Son jumeau, Alistair, ne m'a jamais fait cet effet-là. C'est fou...

– Lucy, je te présente Arthur, le frère d’Alistair, mais aussi le grand artiste Geronimo qui expose ce soir, lance Chloé.

– Enchantée, réponds-je.

C’est quoi cette voix toute timide ?

D’habitude je suis pleine d’assurance et de confiance en moi. Pourquoi est-ce que j'emploie ce ton d’adolescente de 14 ans ? Pour cacher mon trouble, je lui serre la main. Un frisson parcourt tout mon corps. Moi qui suis d’habitude si à l’aise sur mes stilettos de douze centimètres, je me sens légèrement chanceler. Nous restons l’un en face de l’autre, les yeux dans les yeux pendant quelques secondes qui m’apparaissent être des heures. Son regard, mon Dieu… Sombre, mystérieux, profond… Il ne dit rien non plus et se contente de me regarder. J’ai l’impression qu’il me déshabille rien qu’avec son regard. Un effeuillage léger, sensuel, qui me fait sentir comme la femme la plus désirable du monde…

Je dois me ressaisir !

J'ai l’air d’une cruche, là. Or il ne me semble pas en être une ! Je crois que Chloé nous a parlé, mais je n’en suis pas sûre. Elle s’est éclipsée dans la chambre. Je décide de me mettre une petite claque – mentalement bien sûr – et de retrouver mes esprits. Nous nous asseyons tous les deux sur le grand sofa d’Alistair.

– Ravie de vous rencontrer, Geronimo… ou Arthur ? Comment dois-je vous appeler ?

– Appelez-moi Arthur, je vous en prie, répond-il d’une voix douce et pénétrante à la fois.

Ok, si sa voix est tout aussi sexy que son apparence, je suis mal barrée !

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