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Commentaires de livres appréciés par Sheo

Extraits de livres appréciés par Sheo

«Réussir sa vie, c'est plus important que de réussir dans la vie [...]»

Je veux des cheveux rose et mon Quaid Jackson à moi.

OK, je devrais m'arrêter là et vous laisser aller découvrir ce livre. Je devrais. Parce que je commence sérieusement à être à court d'arguments concernant Jay Crownover. Sachez que tout ce que je dirais dans cette review, je l'ai probablement déjà dit dans l'une de mes précédentes concernant l'auteure. Mais que voulez-vous? Je suis juste une fangirl qui adore se répéter.

Bien-sûr que j'avais hâte de me lancer dans ce second tome de la saga Clash/Saints of Denver. Et maintenant il me tarde de lire un autre roman de Jay. C'est comme ça. Tout avec cette auteure est addictive. Je parie que même les mails qu'elle écrit à son banquier sont génialement addictifs. ^^

Ξ Pas besoin d'utiliser des mots compliqués et de se lancer dans des descriptions longues comme pas possible pour écrire un récit qui vaut la peine d'être lu et surtout qui soit aimé. (Je suppose que je n'avais pas besoin de faire une phrase aussi longue non plus...)

Jay Crownover a quelque chose. Une plume simple mais définitivement hypnotique. Quelque chose qui me pousse à aimer chaque putain de mot qu'elle écrit. Même les plus cons. Qui a dit qu'il n'y a pas de beauté dans la simplicité?

En tout cas, je crois que ce n'est plus une surprise pour personne ayant déjà lu mes précédentes reviews sur les romans de Jay si je dis que j'en veux encore. Je crois que même si un jour elle se met à écrire des romances érotiques sur des aliens, je la lirais.

C'est pour vous dire à quel point je la suivrais partout. ^^

Ξ Bon, je ne suis pas spécialement fan d'érotisme. En général, ça me met un peu mal-à-l'aise. (C'est d'ailleurs bien ma seule gêne, lol.) Et je ne lis clairement pas les romans de Jay pour les scènes de cul, je tiens à préciser. Mais disons qu'elles ne me dérangent pas autant que celles d'autres auteurs... Parce que, c'est peut-être qu'une impression, mais Jay me donne la sensation qu'entre ses personnages, c'est plus que du sexe dans le moment. Vous voyez ce que je veux dire? Selon les auteurs qui se lancent dans la romance érotique, c'est que du sexe et c'est vulgaire. Chez Jay Crownover, c'est toujours du sexe mais on peut sentir l'amour qui passent entre les deux personnages...

Comment l'expliquer?

En tout cas, Jay Crownover a offert à Clash/Saints of Denver un second tome à la hauteur du premier et surtout à la hauteur de ses autres séries. On retrouve bien la patte de l'auteure, et ses petites habitudes. C'est addictive et désespérément romantique au final. Quand je veux une romance et une histoire dont je suis sûre de ne pas ressortir déçue, je me jette sur Jay... Non, je veux dire, je me jette sur ses romans. Enfin, vous avez compris. ;)

Ξ Si tu n'as pas de tatouage, alors tu n'es pas l'amour de ma vie. Si tu ne t'appelles pas Quaid Jackson, alors tu n'es pas l'amour de ma vie. Désolée, I'm picky. :p

La romance entre Quaid et Avett m'a plu dès le départ. J'étais pourtant un peu septique avant de commencer mais sérieux... C'est Jay Crownover. Déjà, pourquoi j'étais septique dans un premier temps? C'EST JAY!

Bref.

Je crois qu'on peut féliciter cette femme pour l'alchimie et l'amour qu'il y a entre les deux personnages. Je ne cherche pas du tout l'amour, je projette même de finir ma vie seule avec un ou deux chiens. Mais si jamais Quaid Jackson passe dans le coin, il est à moi. Et puis si jamais il n'y a pas de Quaid mais une relation dans ce genre-là, je ne dirais sûrement pas non. Comment résister?

Ξ Je n'ai aucun problème à l'idée que Quaid Jackson prenne ma défense. Parfois je me demande comment c'est possible d'être aussi sexy alors que d'un point de vue technique, Quaid Jackson est juste un tas de mots. Je viens de briser mon propre délire...

Cela dit, aussi cliché que ça soit, il y a plus à Quaid Jackson qu'un beau cul et une belle gueule. Même s'il a les bases du parfait cliché, il a une histoire touchante et un côté sérieusement adorable.

C'est simple, je l'aime. C'est un avocat d'enfer et un love interest à faire baver la plus lesbienne des filles. Je vous jure. (Et sûrement un très bon coup, mais n'entrons pas sur ce terrain-là, je vous prie.) ;)

Ξ Je trouve le prénom Avett à la fois étrangement charmant et très nase. Quel mélange génial!

Très sérieusement, je n'avais pas beaucoup d'espoir concernant Avett. Dans les précédents tomes où elle avait fait quelques apparitions, je ne la portais pas beaucoup dans mon cœur.

Et pourtant...

J'ai eu un gros coup de cœur pour ce personnage. J'ai adoré ce qu'a fait Jay Crownover avec cette fille aux cheveux rose. Avett Walker est un cocktail explosif et doux à la fois. Je l'ai trouvé touchante, attachante, rebelle et en même temps il y a une réelle insécurité qui lui tord l'estomac... elle est très réaliste et carrément géniale.

C'est tout ce que j'ai à dire.

Ξ En conclusion, je ne me lasserai jamais de Jay Crownover et de ses romans. Et à présent je sais ce que je vais faire de ma vie; me teindre les cheveux en rose et aller écrire mon casier judiciaire. (À prendre au second degrés. Je me sens déjà assez coupable quand je tue une araignée...)

«Les bêtises, Sprite, ça fait de belles histoires à raconter.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/08/28/passion-coupable-jay-crownover/
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date : 26-08-2017
«“Death is the mother of beauty,” said Henry.
“And what is beauty?”
“Terror.”»

(Une review très courte parce qu'honnêtement, que pouvais-je dire sur un tel roman? Pour comprendre l'amour que je lui porte, le mieux n'est pas de lire mon commentaire mais d'aller directement découvrir The Secret History.)

Vous m'avez perdue. The Secret History est un chef-d’œuvre. Je n'ai absolument aucun argument concernant ce roman. Je l'ai adoré et je n'ai plus aucun mot pour décrire ma passion pour TSH.

Je voulais lire The Secret History depuis des années. Sérieusement. Mais je dois bien admettre qu'il m'a fallu un long, très long, moment pour trouver le courage de me plonger dans cette lecture.

De ce que j'en avais déjà entendue, il ne m'était pas difficile de voir se profiler au loin mon prochain coup de cœur. Mais pas besoin d'être un génie pour savoir que ce n'est pas le genre de roman qu'on lit quand on veut une lecture légère et tout le blabla. Cela dit, c'était à 100% tout sauf ce à quoi je m'attendais. C'était encore mieux.

J'ai donc attendu le moment parfait pour lire The Secret History. Et l'attente valait clairement le coup. Puisque je vous présente aujourd'hui mon dernier coup de cœur en date.

〈 Avant tout, parlons de la plume de Donna Tartt. Avec une histoire aussi géniale, il fallait bien une plume extraordinaire. Pas de panique, Donna Tartt ne va pas vous décevoir. Sa plume est extraordinaire. Super addictive, descriptive sans être lourde et d'un ennui mortel et bien-sûr le talent des mots qui lui permet de nous transmettre l'atmosphère et les émotions des personnages sans efforts.

En bref, elle a toute les qualités requises pour vous faire tomber sous son charme. 〉

〈 Je ne sais pas si je peux vous faire un résumé de l'histoire qui lui rende justice. Je n'essaierai même pas. Sachez simplement que ce sombre récit nous fait découvrir un groupe d'étudiants qui suivent le même cours de Grec avec un professeur particulier qui n'accepte que très très peu d'étudiants.

The Secret History commence avec un meurtre. Dès le début on sait lequel des personnages va trouver la mort. Ce roman va nous mener à découvrir comment les choses se sont déroulées mais surtout pourquoi.

Et je ne peux pas en dire plus parce qu'à ce moment-là on entrerait dans les spoilers et ça gâcherait tout. Je crois qu'on peut mettre en place une seule et unique règle concernant The Secret History; restez vague. 〉

〈 «A cross between a student prince and Jack the Ripper»

Je suis amoureuse des personnages. Ils sont génialement complexes. Et carrément flippant en un sens (je ne peux pas expliquer comment). C'est le genre de personnes que vous ne pouvez pas approcher. Ils vous semblent irréels, comme un mirage. Sérieusement, je peux imaginer sans le moindre mal ce groupe faire son entrée au ralentit, avec classe et une aisance surnaturelle.

D'une manière que je ne peux pas vraiment expliquer, je me suis attachée aux personnages et je ne crois pas que je les oublierai de si tôt. Ils sont tout simplement fascinants. Mais sachez qu'ils ne sont pas des exemples à suivre. Moralement parlant, ils sont plutôt horribles. Ou tout-du-moins, pas le genre qu'on a envie de fréquenter.

Donna Tartt a su leur donner un côté unique, dérangeant, et étrangement humain qui m'a beaucoup plu. L'image qu'ils envoient est un sombre mélange que je vous laisse aller découvrir par vous-même. Sachez cependant que vous m'avez définitivement perdue et que ces personnages vous feront ressentir tout un tas d'émotions contradictoires.

Clairement, je crois que tout ce qui donne son brio au récit sont les personnages. 〉

En conclusion, The Secret History est un sombre classique à ne pas manquer. Un livre à dévorer au moins une fois dans sa vie. C'est un plaisir coupable et addictif auquel il ne faut simplement pas essayer de résister. Laissez-vous submerger par le récit de Donna Tartt sans crainte. Mais sachez tout-de-même que vous n'en ressortirez pas indemne.

«If we are strong enough in our souls we can rip away the veil and look that naked, terrible beauty right in the face; let God consume us, devour us, unstring our bones. Then spit us out reborn.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/08/26/the-secret-history-donna-tartt/
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date : 20-08-2017
«[...] sometimes you have to hurt people just to prove that you’re alive.»

C'est vrai qu'on ne choisit pas sa famille mais il y a tout-de-même des familles auxquelles il vaudrait mieux ne pas appartenir.

«Roanoke girls never last long around here. In the end, we either run or we die.»

En clair, être une fille Roanoke n'est pas une bonne idée. Et si vous en êtes une, vous n'avez que deux possibilités : fuyez ou mourrez.

Aucune famille n'est parfaite mais certaines sont à éviter de toute urgence. La famille Roanoke en l’occurrence possède un lourd secret qui vous fera frissonner... de dégoût.

Amy Engel est l'auteure de la duologie The Book Ivy que j'avais beaucoup aimé à l'époque où je l'ai lu. Et malgré cela, elle m'a beaucoup surprise avec The Roanoke Girls. On change de registre, et l'auteure nous offre un thriller palpitant.

Une atmosphère lourde et sombre, des personnages réalistes avec du poids, et un récit interdit et hypnotisant. The Roanoke Girls est à lire de toute urgence.

∇ Une histoire réaliste.

On va suivre Lane. Après le suicide de sa mère, elle est accueillie par ses grand-parents dans la grande propriété des Roanoke. Elle n'y restera qu'un été avant de partir pour Los Angeles. Dix ans plus tard, sa cousine Allegra est portée disparue et Lane est obligée de retourner dans le Kansas.

Le récit est divisé en deux parties, avant et après. Bon, pas besoin d'être un petit génie pour comprendre à quoi ces deux temps vont servir. Mais pour une raison qui m'échappe, je vais quand-même vous le dire. Avant retrace l'été durant lequel Lane s'est trouvée pour la première fois à Roanoke. Après nous fait suivre les évènements qui se déroulent dix ans plus tard lorsque la cousine de Lane disparaît.

Tout simplement.

Je crois qu'il est impératif de préciser que The Roanoke Girls est un roman qui traite de sujets tabous et délicats.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Tels que l'inceste, abus sexuels, suicides...
Donc si vous ne vous sentez pas à l'aise avec ces sujets, ou tout-du-moins si vous ne voulez pas en entendre parler, ou même quelque raison que ce soit, je vous déconseille cette lecture.

Cela dit, Amy Engel a fait un très bon travail avec The Roanoke Girls, je crois qu'il est important de le préciser. La seule chose que j'aurais à reprocher à cette lecture c'est certains passages un peu longs à mon goût.

∇ Amy Engel a une plume que j'ai bien aimé. Elle n'a aucun mal à rédiger un récit cohérent et avec une certaine profondeur. Sa plume est fluide et je l'ai même trouvée plutôt légère. Mais ce qui m'a le plus plu c'est le simple fait qu'elle soit parvenue à retransmettre l'atmosphère du roman ainsi que les émotions des personnages sans avoir besoin d'en faire des tonnes.

∇ J'ai bien aimé les personnages. Je ne me suis pas spécialement attachée à eux mais leur histoire m'a intéressée et surtout j'étais curieuse de découvrir leur façon de percevoir leur propre histoire et de voir quel genre de personnes ils sont devenus par rapport aux circonstances.

(Je me suis aussi pas mal "amusée" à refaire l'arbre généalogique de la famille Roanoke et d'y ajouter les détails sordides histoire d'y voir plus clair...)

J'ai bien aimé le personnage de Lane avec son côté sombre. C'est un personnage que j'ai trouvé réaliste et honnête en vue de l'histoire. Je ne m'y suis pas spécialement attachée mais il n'empêche que c'est un personnage solide.

Allegra est une fille que j'ai eu énormément de mal à apprécier, c'est un personnage qui m'a un peu agacée. Rien de plus.

Aussi charmante soit l'image d'un papi qui aime ses petites filles (dans le sens purement saint du terme), Yates Roanoke n'est clairement pas le genre de grand-père qu'on rêve d'avoir. Sauf si... vous avez un léger problème psychologique. Mais c'est une autre histoire.

En tout cas, ce n'est clairement pas un personnage que je porte dans mon cœur mais il avait un rôle important dans l'histoire et aussi écœurant puisse-t-il être, mon éternelle envie de comprendre chaque humain de cette foutue planète s'est beaucoup intéressée à ce personnage.

Concernant les autres personnages, ils m'ont plu mais sans plus. Voilà.

∇ Je ne suis pas spécialement fan de la romance de ce roman. Alors certes, elle apporte un peu de lumière dans ce sombre récit mais il n'empêche que je l'ai trouvé lourde et loin d'être plaisante.

Bah quoi? Il fallait bien que mon côté rabat-joie débarque tôt ou tard... ;)

∇ En conclusion, je recommande ce roman. Ça n'a malheureusement pas été un coup de cœur pour moi mais il n'empêche que c'est une très bonne histoire qui tient la route et qui a du sens. Cependant je doute que ce roman plaise à tout le monde. Certains se sentiront sûrement très mal-à-l'aise (ou autre) face aux thèmes dont traite The Roanoke Girls...

«Sometimes it's a revelation, even to me, how much more comfortable I am with cruelty than with kindness.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/08/20/the-roanoke-girls-amy-engel/
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date : 18-08-2017
J'ai bien cru que je ne lirais jamais ce septième opus de Saga. Bien heureusement, je l'ai lu. (Si jamais vous ne l'aviez pas deviner...) Autant que je vous annonce la couleur sans tarder : Saga est dévastatrice.

Et maintenant, je n'ai plus qu'à survivre en attendant la suite. Aïe.

Au passage, je ne suis toujours pas morte. Bien que pour le coup, c'était un peu un close call... mais on ne va pas chipoter. Je suis toujours en vie, et je suis toujours capable de lire. Mais je suis débordée. Sérieusement, quand est-ce que nos jours dureront plus longtemps que 24 heures?

BREF.

Saga, septième volume. Et au bout de sept foutus volumes, l'histoire est toujours aussi géniale, originale, drôle, décalée, et bien-sûr addictive. Je prends toujours autant de plaisir à découvrir chaque page et les aventures du groupe qui s'est formé depuis le premier volume.

*Attention, spoilers des premiers tomes*

Donc, l'aventure reprend plus ou moins là où le sixième tome nous a laissé. Et les choses vont plutôt bien... Enfin aussi bien qu'elles peuvent aller quand la majorité de l'univers veut votre peau, quoi. Mais Marko et Alana ne peuvent pas s'en foutre plus maintenant qu'ils ont retrouvés leur fille Hazel. Bref, le petit groupe fait gentiment chemin pour aller récupérer le fils de Prince Robot jusqu'au moment où leur... vaisseau? décide que c'est le moment parfait pour tomber en rade. Du coup pause pipi carburant sur Phang... et je vous laisse découvrir la suite par vous-même.

Un septième opus à la hauteur des précédents, quoi. Des imprévus, et une aventure mélangeant humour, esprit de famille, un peu d'action, et beaucoup d'espèces encore inconnues des scientifiques. Du pur Saga.

Oh, et sans oublier une fin qui vous donne envie de débarquer chez Brian K. Vaughan pour le secouer comme un prunier en le menaçant pour qu'il vous donne la suite immédiatement. Quelqu'un connaît son adresse?

Concernant les dessins, ai-je besoin de vous dire à quel point ils sont géniaux et que je les adore? Ils sont clairement dignes de l'histoire et je ne pourrais jamais me lasser de les regarder. Je les aime à ce point.

De plus, les palettes de couleurs sont parfaites. Elles collent vraiment à l'atmosphère de l'histoire et au vaste univers de Saga. Un délice pour les yeux, sérieux. Fiona Staples déchire.

Les dernières pages ont eu le mérite de m'avoir donné envie de les gribouiller (ouais, j'ai toujours cinq ans dans ma tête) parce que c'est pas juste un truc pareil.

Les personnages sont toujours aussi géniaux. Clairement. Et chacun est attachant à sa manière, ce qui est vraiment sympa à découvrir. Sans oublier que leur diversité et leur personnalité sont deux aspects de lecture vraiment rafraichissants. Rien que pour ça, si vous ne vous êtes toujours pas lancé, vous devez lire Saga.

Cela dit, je dois bien admettre que j'ai un coup de cœur pour les personnages de Prince Robot et Izabel.
Spoiler(cliquez pour révéler)
IZABEL!!!!! Elle est vraiment morte... genre morte morte... je vais faire une poupée vaudou de Brian K. Vaughan et lui faire subir les pires tortures du monde! On ne touche pas à Izabel!


En conclusion, ce volume sept est clairement le plus triste de Saga. Une vraie torture. Mais il est tout aussi génial que les tomes précédents. Maintenant si vous voulez bien m'excuser, je vais aller pleurer toutes les larmes de mon corps. Seule.

«In the beginning, love is mostly about lying to each other. It's like that in the end, too.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/08/17/saga-7-brian-k-vaughan-fiona-staples/
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date : 08-08-2017
«Maybe the world sometimes just swallows people up. Maybe people just get away.»

Devinez qui n'est pas morte! Moi. J'ai trois excellentes raisons d'avoir été absente ces dix derniers jours. 1. Une misérable panne de lecture. 2. Je travaille sur un projet qui me prend la plus grande partie de mon temps libre. 3. Je passe le reste de ce temps à regarder des films romantiques pour une raison qui m'échappe. Sérieusement, je suis allée jusqu'à regarder le remake de Dirty Dancing.

En tout cas, me revoilà après ma lecture de Little Monsters que j'ai dévoré. Ce livre n'est pas passé loin du coup de cœur et je vous le dis tout-de-suite : lisez-le!!!

[...] a new psychological thriller about appearances versus reality and the power of manipulation amongst teenage girls. ← Ai-je besoin de vous en dire plus? Litttle Monsters est véritablement tout ça. Et c'est un roman brillamment écrit.

♥ Kara Thomas a une plume que j'ai beaucoup aimé. Son récit est fluide et addictive. Mais ce qui m'a vraiment plu c'est la facilité qu'elle a d'entrer dans la peau de ses personnages pour leur donner des émotions et des pensées bourrées de réalisme. J'aiiiiime!

♥ En commençant cette lecture, j'étais d'humeur à mener l'enquête. Je venais juste de terminer le visionnage d'un documentaire de trois heures sur la mort de Jonbenet Ramsey en 1996 et je me suis dit que Little Monsters était une bonne façon de rester dans le thème... (Oui, mes journées sont passionnantes.)

Little Monsters est une sombre version de Mean Girls.

Lorsque Kacey débarque à Broken Falls, elle se lie vite d'amitié avec l'inséparable duo Bailey et Jade. Après une nuit en compagnie de Lauren, la demi-sœur de Kacey, durant laquelle les adolescentes décident d'invoquer l'esprit du légendaire fantôme de Broken Falls, les choses commencent à mal tourner. Effectivement, la nuit suivante Bailey disparaît. Et l'enquête pour savoir ce qui est arrivée à la jeune fille révèlera des secrets, des mensonges, des trahisons, et tous les faux-semblants que renferme le petit groupe.

Kara Thomas a fait un excellent travail avec ce récit. C'était sombre et intriguant, je ne me suis pas ennuyée et j'irai même jusqu'à dire que je me suis facilement plongée dans cette histoire où les apparences cachent d'inquiétantes réalités. L'auteure n'a pas hésité une seule seconde à nous montrer le pire de Broken Falls et les conséquences de la disparition de Bailey sur la communauté. Tout simplement génial.

♥ Les personnages sont géniaux eux aussi. Ils apportent beaucoup à l'histoire et Kara Thomas leur a donné un super développement. Ils sont complets et réalistes. Que demander de plus?

Le trio Bailey/Jade/Kacey est flippant. Ce n'est pas une amitié chaleureuse et je ne me représente clairement pas ces trois filles dans un câlin groupé. C'est plus le genre de relation basée sur les apparences, sur ce que l'une peut apportée à l'autre... Rien de très sain. Mais c'était très intéressant à découvrir, presque grisant. J'adore.

(♥ Quel fut mon bonheur en découvrant que Little Monsters ne comporte pas de romance! J'étais surtout heureuse de voir que Kara Thomas n'a pas joué la carte clichée de la demi-sœur qui tombe amoureuse du demi-frère et vice-versa. Ça aurait gâché ma lecture. Au lieu de ça, la relation de Kacey et Andrew est très fraternelle et j'avais envie de leur faire des câlins. Ou qu'ils me fassent des câlins. BREF, je voulais qu'on se fasse des câlins. -j'ai un problème avec les câlins aujourd'hui-)

♥ Je n'ai rien à dire concernant la fin. Sauf qu'elle était clairement à la hauteur du reste du récit. C'était plus ou moins ce que j'espérais et le tout m'a semblé cohérent et réaliste. Le seul petit point que j'aurais à reprocher est le fait que j'ai légèrement eu l'impression d'une conclusion trop rapide? Mais hormis ce point, tout est parfait.

♥ En conclusion, n'hésitez pas à plonger dans le sombre hiver de Broken Falls. Et laissez les pistes vous mener jusqu'à la vérité. Little Monsters est un pari réussi qui effectivement plaira sûrement aux fans de Pretty Little Liars.

(PS: Est-ce que ça se voit que je n'ai pas écrit de review depuis 10 foutus jours? Faut que je retrouve mes marques.)

«All the ghost stories got it wrong: evil isn’t a spirit or a monster or a ghost. It lives inside regular people, and it doesn’t know the difference between night and day.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/08/08/little-monsters-kara-thomas/
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«Odd how his grandmother seemed to rule Rhone's most recent dreams. Dreams of searing reckoning. Of blood and glory. Dreams of all that could never be.»

Bon, je dois admettre que je n'ai pas été convaincue par tous les auteurs et par chaque nouvelle. MAIS il n'empêche que j'ai beaucoup apprécié ma lecture. Because You Love to Hate Me est une bonne surprise.

"Leave it to the heroes to save the world--villains just want to rule the world." ← moi aussi je peux être méchante? J'adorerai être une méchante!

Vous avez de la chance, je suis de bonne humeur. Avec les R5 dans les oreilles, c'est facile. Du coup, j'aurais un mot gentil pour chaque nouvelle, même celles que je n'ai pas aimé.

∴ The Blood of Imuriv - Renée Ahdieh

C'était très court. Sérieusement, Renée! Mais il n'empêche que cette auteure a fait des miracles en si peu de pages. J'ai adoré. Ce qui ne fut pas vraiment surprenant puisque j'ai aimé chaque page écrite par Renée so far. C'est une auteure en qui j'ai pleinement confiance.

∴ Jack - Ameriie

Au final, même si j'ai dit que j'aurais un mot gentil pour tout le monde, est-ce que ça marche pour Ameriie? Le problème n'est pas que je n'ai jamais entendu parler de Ameriie auparavant. Le problème c'est que je ne suis simplement pas sûre d'avoir envie d'entendre parler d'elle dans le futur. (Oups, c'était pas gentil.)

∴ Gwen and Art and Lance - Soman Chainani

Comment dire? J'aime bien Soman Chainani et l'histoire qui lui a été attribuée lui convient parfaitement, je trouve. Cependant, je n'ai pas été en mesure de pleinement l'apprécier. Ce n'était pas horrible, simplement je n'arrivais pas à me prendre dedans et à véritablement m'y intéresser. Dommage.


∴ Shirley & Jim - Susan Dennard

J'avais hâte de découvrir la nouvelle de Susan Dennard. Et bien que je l'ai apprécié, ce n'est pas non plus une histoire que j'ai trouvé particulièrement géniale. WAIT, je devais être gentille. J'avais oublié. Je recommence. Susan Dennard n'a pas écrit ma nouvelle préférée de cette anthologie mais elle n'a pas non plus écrit la pire? C'était gentil, n'est-ce pas? ;)

∴ The Blessing of Little Wants - Sarah Enni

Qui est Sarah Enni? Aucune idée. Mais il faut à tout prix que tout le monde lise cette nouvelle, puisqu'elle est extra. L'histoire est carrément addictive et bien écrite. Une nouvelle bien menée qui mérite d'être lue malgré une fin un peu confuse.

∴ The Sea Witch - Marissa Meyer

Marissa Meyer m'a manqué. Et j'avais donc hâte de découvrir sa nouvelle. Si Heartless n'avait pas été un coup de cœur comme Les Chroniques Lunaires et que j'avais toujours un peu de mal à accepter cette déception, Marissa s'est largement rattrapée avec The Sea Witch.

∴ Beautiful Venom - Cindy Pon

Cindy Pon est une auteure qui m'intéresse beaucoup. Surtout après avoir lu Beautiful Venom. Je suis tombée sous le charme de sa plume et de son histoire. Je ne peux pas en dire plus, je vous invite simplement à aller lire cette nouvelle le plus vite possible.

∴ Death Knell - Victoria Schwab

OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. OMG. Je peux mourir en paix. J'admets que la principale raison pour laquelle j'ai lu Because You Love to Hate Me c'est Victoria Schwab. Je n'aurais jamais assez de cette auteure dans ma vie. Ou même dans une éternité entière. Victoria Schwab est géniale et elle le prouve une fois de plus avec Death Knell. Mon pauvre cœur en souffre encore.

∴ Marigold - Samantha Shannon

Marigold est une histoire que je n'ai pas adoré mais que j'ai tout-de-même sincèrement aimé. Samantha Shannon a fait un très bon travail avec cette nouvelle. S'il n'y avait pas eu ces quelques points noirs et le fait que j'ai eu du mal à vraiment me perdre dans le récit, aucun doute que Marigold aurait été un coup de cœur.

∴ You, You, It's All About You - Adam Silvera

Il faut vraiment que je lise les romans de Adam Silvera. Ce gars semble être une perle. Si tout ce qu'il écrit est aussi bon que cette nouvelle, il pourrait vite devenir l'un de mes auteurs favoris. You, You, It's All About You est parfaite. Je ne sais même pas quoi en dire tellement c'était impressionnant. WOW.

∴ Julian Breaks Every Rule - Andrew Smith

Andrew Smith... Andrew Smith... Andrew Smith... Son nom me dit quelque chose. ANDREW SMITH! Mais oui! Bien-sûr. Encore un auteur qui se doit de quitter ma PAL en urgence. Julian Breaks Every Rule a été une énorme surprise. Honnêtement, je ne m'y attendais pas. Cette histoire est dingue, farfelue, déjantée, tout ce que vous voulez. Mais surtout, elle est à lire à tout prix.

∴ Indigo and Shade - April Genevieve Tucholke

euh... Est-ce qu'il y a un mot en quelques lettres qui se situe entre bien et nul? NOPE. Je suis désolée mais non. Je n'ai pas du tout aimé cette nouvelle. En la lisant, j'avais juste très hâte qu'elle ne se termine. Tant pis pour la gentillesse.

∴ Sera - Nicola Yoon

Ma plus grosse surprise, c'est Nicola Yoon. J'ai lu et apprécié Everything, Everything de cette auteure. Mais je ne m'attendais pas à autant aimer Sera. C'est une nouvelle tout bonnement parfaite et l'une de mes préférées. Nicola Yoon m'a impressionnée. Tout simplement.

∴ La contribution des booktubers était intéressante à découvrir et je l'ai apprécié plus que prévu. Sérieusement, au départ j'étais très septique à l'idée.

∴ Je ne suis pas une grande fan de nouvelles, c'est toujours trop court à mon goût. D'où le fait qu'il s'agisse de nouvelles, cela dit. En tout cas, même s'il en y a deux ou trois qui ne m'ont pas plu, comme je l'ai dit plus haut Because You Love to Hate Me a tout-de-même été une très bonne surprise et c'est un roman dont je conseille la lecture. Il y a en a pour tous les goûts et ce livre réveillera votre amour pour les méchants. Ou peut-être même le méchant qui est en vous. Qui sait? ;)

En tout cas, je crois pouvoir dire que ce roman a tenu ses promesses.

«Villains, the deliciously wicked. We love to hate them and they hate to be loved, if only because being hated frees them from having to be good.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/07/29/because-you-love-to-hate-me-anthologie/
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date : 18-07-2017
«Don’t be so goddamn proper. Don’t be such a fucking saint.»

Je ne peux pas survivre à ce roman. En fait, je ne peux pas survivre à ma haine pour ce roman. Je le hais pour m'avoir tant passionnée. (Est-ce que ça a du sens?)

Si vous avez lu ma review de Stalking Jack the Ripper de Kerri Maniscalco, vous avez donc découvert ma passion pour le sujet. Eh bien, aujourd'hui avec ma review de The Black Dahlia de James Ellroy, je vous fait découvrir ma fascination concernant l'affaire du Dahlia Noir.

(Je suis dans une période où j'ai envie de regarder des films d'horreur et où je regarde une nouvelle fois les saisons d'American Horror Story donc c'est pas une grande surprise si j'ai fini par lire The Black Dahlia, n'est-ce pas?)

Mais avant d'entrer dans le vif du sujet, est-ce qu'on peut s'arrêter un instant sur la couverture? OMG. Je l'aime. Elle est glauque certes, mais je l'aime d'un amour fou.

Petit cours d'histoire dans... 3... 2... 1...

Le 15 Janvier 1947 à Los Angeles, le corps d'une jeune femme est retrouvé coupé en deux au niveau du bassin, elle a été vidée de son sang et son visage est mutilé. La jeune femme en question sera identifiée comme étant Elizabeth Short, elle avait vingt-deux ans et elle rêvait d'être actrice.

(Petit détail croustillant: Elizabeth Short a été vue pour la dernière fois quelques jours avant sa mort dans un hôtel de Los Angeles. Un hôtel qui vous évoquera peut-être quelque chose puisque la rumeur court qu'il s'agirait du Cecil Hotel qui est connu pour avoir abrité plusieurs faits divers dont la mort étrange de Elisa Lam en 2013. Et si vous suivez la série American Horror Story, la cinquième saison s'est inspirée de cet hôtel.)

Si le nom de Elizabeth Short ne vous dit rien, le surnom qui lui a été attribué par la suite vous semblera peut-être un peu familier. Effectivement, qui n'a jamais entendu parler de l'affaire du Dahlia Noir?

Ce meurtre sauvage a beaucoup fait parler de lui, réveillant des théories en tout genre, donnant naissance à des documentaires, des films, et des romans dont celui-ci. L'affaire du Dahlia Noir ne fut jamais élucidée puisque le tueur a pris soin de ne laisser aucune trace.

Peu après le meurtre d'Elizabeth Short, les enquêteurs ont cependant reçu une lettre anonyme avec laquelle sont joins les affaires de la victime (carte de sécurité sociale, etc...) et même si l'expéditeur leur promet qu'une lettre leur parviendra bientôt, elle ne vint jamais. (Ou du moins pas qu'on le sache.)

Bien-sûr, il y a eu des suspects dans cet affaire. Plus de cinquante personnes ont avoué être le tueur du Dahlia Noir mais encore à ce jour, aucune n'est considérée comme étant le meurtrier. (Même si George Hodel fut un suspect très sérieux.)

En tout cas, si l'affaire du Dahlia Noir vous intéresse, un tas de sites et de livres en parlent. Maintenant, passons à mon avis par rapport à ce roman.

The Black Dahlia écrit par James Ellroy est un excellent mélange de fiction et de faits réels. Et le tout est si réaliste que j'ai été à plusieurs reprises forcée de me rappeler que ce roman reste une œuvre de fiction.

Effectivement, James Ellroy ne s'emploie pas à nous pondre la solution au meurtre d'Elizabeth Short. N'oublions pas qu'en dehors de la mort d'Elizabeth Short et des circonstances de celle-ci, ce roman reste une fiction.

Cependant, il est clair que c'est un roman qui prend aux tripes. J'étais hypnotisée, il était hors de question que je ne finisse jamais ce roman, je voulais savoir jusqu'où l'auteur est allé et m'y rendre à mon tour.

James Ellroy a une plume qui convient parfaitement à l'atmosphère du roman et son récit est plutôt minutieux. C'est une sombre histoire, qui met du temps à réellement commencer, armez-vous de patience, mais qui vaut sincèrement la lecture. Ce livre est à lire au calme, pour ne louper aucun élément, pour bien tout comprendre, etc.

Au final, c'est un roman assez complexe et plutôt bien mené. L'histoire n'est pas farfelue comme j'en avais peur. James Ellroy nous embarque dans une enquête réfléchie et qui tient la route avec des personnages qui ne font pas tâche dans le décors.

Que demander de plus? J'ai véritablement aimé ma lecture. Je craignais d'être déçue mais bien heureusement, ça n'a pas été le cas. J'irai même jusqu'à dire que James Ellroy m'a surprise et je recommande ce roman pour ceux qui chercheraient un roman noir à dévorer.

Maintenant, je me tâte pour savoir si je regarde l'adaptation cinématographique ou non...

«Some people don’t respond to civility.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/07/18/the-black-dahlia-james-ellroy/
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«Perhaps I was born to be of two Colors.»

Je n'ai pas la moindre idée de ce que je vais écrire pour cette review. Mon cerveau est officiellement en vacances. C'est carrément un mystère que j'ai suivi Golden Son du début à la fin. ^^

Je serais tentée de juste vous parler de Sevro. Parce que Sevro est l'amour de ma vie. Mais je vais faire un effort et tenter de vous donner un avis complet. (Plus ou moins.)

Je ne vous dit même pas le nombre de chewing-gum à la fraise j'ai mâché comme une tarée en lisant Golden Son. Le pire, c'est que je n'aime même pas la fraise!!! (Je n'ai absolument pas de filtre.)

Je vous l'annonce; Pierce Brown est mon héro. Je sentais la panne de lecture lentement venir à moi et mon regard s'est posé sur Golden Son. Et je me suis dit 'J'ai rien à perdre. À part mon cœur, mais ce n'est qu'un détail.' Bon, je l'avoue. Ça ressemblait plutôt à 'Faites que j'en ressorte vivante.' ✓

Honnêtement, je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à lire ce deuxième opus. J'ai lu deux fois Red Rising et je l'ai adoré deux fois. OK, c'est pas vrai, je sais pourquoi je ne l'ai pas lu plus tôt : je. suis. une. trouillarde. Il y avait cette méchante petite voix qui ne ressemble en rien à la mienne dans ma tête qui me répétait qu'il y avait une chance sur deux pour que Golden Son ne soit pas à la hauteur de Red Rising.

Pff, ce bouquin est génial. Je l'ai adoré du début à la fin. Retrouver Darrow c'est un peu comme un plaisir coupable. Et je me sens si bien dans l'univers de Pierce Brown que je commence à m'inquiéter pour ma santé mentale.

× Pierce Brown a une plume que j'aime vraiment. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j'aime beaucoup sa façon d'écrire. C'est une plume descriptive avec laquelle notre imagination travaille à merveille pour visualiser l'univers, les personnages, et les scènes. Et puis parfois, il écrit des phrases chocs, fortes, le genre avec une grande part de réalité qu'on ne découvre qu'à l'instant où on la lit, et j'adore ce genre de citations.

Sans oublier que Pierce Brown a une plume qui convient parfaitement à la narration du personnage de Darrow. Il sait transmettre les pensées et les humeurs de ce personnage. Tout comme il sait transmettre les émotions et sentiments des autres, ainsi que l'atmosphère du récrit.

Bref, il a une plume parfaite, qui s'accorde à merveille à la personnalité de l'histoire.

× Les évènements de Golden Son se déroulent deux ans après ceux de Red Rising et se passent sur plusieurs mois. Honnêtement, avant de me lancer dans ma lecture cet élément me perturbait un peu. ^^ Mais au final, je l'ai beaucoup apprécié. Ça permet de découvrir comment ont évoluées les choses et d'éviter les moments inutiles. Et Pierce Brown a bien mis les choses en place.

Dans Golden Son, Darrow est donc âgé de vingt ans. (Uh, mon bébé faucheur a grandi!!!) Il est toujours un Or et il est un lancier de la maison Augustus. Il s'est adapté à son existence en tant qu'Or mais il n'a pas oublié qu'au fond de lui, il est toujours un Rouge et qu'il a une mission.

Une chose que j'adore par-dessus tout dans les romans de Pierce Brown c'est qu'à n'importe quel moment la situation peut changer du tout au tout et qu'on ne le voit jamais arriver. Et à chaque fois j'ai envie de courir me cacher pour ne pas assister à ça.

Je suis aussi une immense fan de l'univers créé par cet auteur. C'est un monde dans lequel je n'irai vivre pour rien au monde. C'est notre monde déjà bien merdique en merdique level ∞. (Et dans l'espace. Mais c'est qu'un détail, n'est-ce pas?)

Cela dit, bien-sûr que je me suis déjà demandée à quelle foutue couleur j'appartiendrais si jamais je me retrouvais dans un tel univers. Eh bien, je ne préfère pas savoir. Mais si ça ne dérange personne, je tiens à tout prix à éviter d'être une Rose. Je vous en supplie. Tout sauf ça.

× Les personnages jouent un grand rôle dans mon amour pour cette trilogie (so far). Qu'ils soient méchants ou gentils, chacun possède une part de complexité et est intéressant à découvrir. Ce sont des personnages complets avec des caractères plutôt réalistes. Et pour certains, ils sont même attachants! Chacun ayant une façon bien à lui d'atteindre votre pauvre petit cœur.

Mon personnage coup de cœur est clairement Sevro. Je l'aimais déjà beaucoup dans Red Rising mais il a carrément volé mon cœur dans Golden Son.

× Sans parler de la bromance Sevro/Darrow. Je vis pour les scènes entre ces deux-là.
He can't say any more because I'm hugging him and crying. I sob and hold on to him, shaking, scaring him. He doesn't move except to pat me on the head. All the weight falls from my shoulders. Someone knows. He knows and he's here. He knows and he came to help me. To help me. I can't stop shaking and saying thank you. Eo was right. I was right. "You are my friend," I tremble out like a child. It almost makes him cry seeing me this way.

Oh...

× Au niveau de la romance, je suis bien heureuse que Pierce Brown n'en fasse pas des tonnes et que la romance prenne le dessus sur toute l'intrigue. 1. parce que son intrigue vaut bien plus qu'une maudite romance et 2. parce qu'au moins quand il y a une scène qu'on peut (plus ou moins) désigner comme "romantique", c'est une bonne scène qui vaut clairement qu'on l'ait attendue.

Et même si j'adore Mustang et Darrow, je ne suis pas encore pleinement convaincue par leur "couple". Cela dit, je pourrais shiper (c'est horrible comme mot sérieux) n'importe qui avec Darrow du moment qu'il y a Darrow dans le lot. ^^

× Après une telle fin, je m'estime heureuse de ne pas avoir à attendre que Morning Star sorte (puisqu'il est déjà sorti il y a un moment) et je le suis d'autant plus que ce troisième tome m'attend gentiment dans ma PAL. Je ne résisterai pas bien longtemps avant d'aller me jeter dessus pour le dévorer.

× En putain de conclusion, Golden Son est un deuxième opus à la hauteur de Red Rising. Et n'oubliez pas de préparer vos petits cœurs parce qu'au rendez-vous (en plus de ce qu'offrait déjà Pierce Brown dans Red Rising) un tas de morts, de retournements de situations, et de révélations.

Golden Son a fait explosé mon monde. Mon pauvre monde...

«I will die. You will die. We will all die and the universe will carry on without care. All that we have is that shout into the wind - how we live. How we go. And how we stand before we fall.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/07/11/golden-son-pierce-brown/
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«We are doomed to be forever young.»

(J'admets que j'ai terminé ce livre hier mais que j'avais tout sauf le courage d'écrire une review. Au final, je ne peux rien offrir de plus qu'une courte review carrément nulle, sorry.)

J'aurais pu me perdre dans ce roman. Je m'y serais perdue et je n'aurais jamais retrouvé mon chemin. The Midnight Star est la conclusion que j'espérais. C'est la conclusion d'une trilogie qui a su me surprendre et s'emparer de mon pauvre cœur.

Donc, j'aurais voulu me perdre. Trouver mon chemin jusqu'aux Elites et rester avec eux. Parce que, putain, j'ai adoré cette trilogie.

Je crois que ce que j'aime le plus dans les romans écrits par Marie Lu, c'est à quel point je m'y croirais vraiment. ^^

∞ Parce que Marie Lu possède une de ces plumes qui vous emportent. Ce qu'elle écrit n'est pas juste lu. Les scènes vont se jouer sous vos yeux, les mots vont dessiner trait pour trait les personnages. Je ne sais pas comment l'expliquer mais en tout cas, j'adore ça. Et les univers qu'elle met en place sont géniaux. Je voudrais les visiter, y vivre un peu et un jour retrouver la réalité (peut-être). D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi mais je verrais bien les romans de Marie Lu sous forme de jeux vidéos. Ça serait dément. (Simple idée.)

∞ The Midnight Star est un roman que j'ai trouvé à la hauteur des deux premiers tomes. La fin de l'histoire d'Adelina et des Elites a été un véritable plaisir à suivre et j'aurais carrément aimé que ça ne se terminer jamais. En fait, je crois que j'aurais aimé au moins 100 pages de plus. Parce que 317 pages (si je me souviens bien) n'est clairement pas assez pour mon pauvre petit cœur.

Je n'étais pas prête. La fin est arrivée trop vite.

Cela dit, j'ai vraiment aimé le contenu de ce dernier tome. J'aime l'atmosphère sombre du récit. Il y a des moments vraiment dark et d'autres plutôt tristes et sérieusement, l'auteure n'a épargné aucun de mes sentiments. Mais j'aime le fait que ça ne donne pas du tout un fait effet trop sentimental à l'histoire, car ça m'aurait sérieusement gâché le plaisir. ^^

∞ Concernant la fin, Marie Lu m'a offert celle que j'espérais. Elle a écrit une excellente fin, qui convient parfaitement à l'histoire et aux personnages. Je me souviens parfaitement de la fin de Legend et ce qu'elle m'avait fait ressentir. Un mélange d'agonie et d'espoir. Un cœur lourd et léger à la fin. J'avais adoré ce sentiment et je suis ravie de l'avoir retrouvé avec la conclusion de The Young Elites.

J'aime les fins de Marie Lu. Parce qu'elles sont réalistes, elles ont du sens, et qu'elles sont tout simplement parfaites. Je suis sincèrement impatiente de découvrir sa prochaine fin.

∞ Ah, les personnages, je les adore. Tous autant qu'ils sont. J'aime le fait que chacun ait une part d'ombre en lui. Ils ont tous un petit côté anti-héros. Et malgré ça, je me suis attachée à eux. De Sergio à Magiano en passant par Violetta et Teren. Et sans oublier tous les autres.

Ce sont des personnages géniaux, complets et avec une touche de complexité. Des personnages qui valent sincèrement la découverte. Et que j'ai beaucoup aimé suivre durant trois tomes.

Adelina Amouteru, le Loup Blanc, est l'anti-héroïne par excellence. Et c'est l'un de mes personnages préférés, de tous les romans que j'ai pu lire et que je lirai dans le futur. Marie Lu a fait de ce personnage quelque chose de sombre et de lumineux à la fois. Adelina est une jeune fille qui a été forgée par la peur. Alors elle devient une reine qui dirige son royaume avec la peur et la souffrance. C'est une fille qui s'est perdue dans les ténèbres, qui n'a pas agis pour la justice mais pour la vengeance et le pouvoir.

Dans une autre vie, Adelina aurait sûrement été quelqu'un de bon, mais dans cette vie, elle le Loup Blanc, une tisseuse d'illusions, une reine de la peur... Et pourtant anti-héros ou non, je ne pouvais que m'attacher à ce personnage et l'aimer jusqu'à la fin. (Voilà, c'était ma déclaration d'amour à Adelina Amouteru.)

∞ En conclusion, encore une superbe trilogie de la part de cette auteure. Après Legend, Marie Lu a mis la barre plus haute avec The Young Elites et elle a réussi à faire de cette histoire une expérience unique dont j'ai savouré chaque page. Alors je suppose qu'il est l'heure de leur dire au-revoir... Et je retrouverai Marie Lu avec plaisir dans une nouvelle aventure, dans une prochaine fin.

∼[...] He waits until exactly midnight, when the newest constellation in the sky blinks into existence. If you are very quiet and do not look away, you may see the brightest star in the constellation glow steadily brigther. It brightens until it overwhelms every other star in the sky, brightens until it seems to touch the ground, and then the glow is gone, and in its place is a girl.∼

«Someday, when I am nothing but dust and wind, what tale will they tell about me?»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/07/08/the-midnight-star-marie-lu/
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«In this forest, there is no place to hide.»

J'ai un crush sur Okami. Je pense qu'il est important que je vous le dise immédiatement.

Il est aussi important que je vous l'annonce : J'ai ADORÉ ce livre! Sincèrement, je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas lu plus tôt... ah si, je sais. Je ne suis pas superficielle (vraiment?) mais est-ce que je suis la seule qui n'aime pas la couverture?

Honnêtement, je ne m'attendais pas à aimer Flame in the Mist autant que j'ai aimé The Wrath and the Dawn (voir plus). Et pour ceux qui, comme moi, ont entendu dire que c'est une réécriture de Mulan, sachez que ce roman est une histoire à part entière et non pas une simple réécriture, je dirais. Bien que du coup j'arrête pas de penser à Mulan (comme en témoignera cette review), le seul véritable point commun entre Mulan et Flame in the Mist c'est le fait que l'héroïne se tire en douce et s'habille en mec dans un but précis.

Je n'aurais pas dû oublier que c'est Renée Ahdieh. Cette auteure a le don de me faire sentir à mon aise. Dans chacun de ses romans, je me sens comme à la maison. Et j'adore cette sensation, bien-sûr.

◊ Renée Ahdieh m'avait déjà donné un aperçu de sa superbe plume via sa première duologie. Flame in the Mist n'a fait que me confirmer mon avis sur la merveilleuse façon que cette femme a d'écrire. C'est une plume entraînante avec des tournures de phrases poétiques. Le récit est tout bonnement passionnant. Je fais à présent pleinement confiance au talent de cette auteure, je dois bien admettre qu'elle assure!

◊ Alors que Mariko est en chemin pour aller rencontre son fiancé, son convoi est attaqué par le Black Clan (un groupe de voleurs et de tueurs franchement sympas) et Mariko est l'unique survivante de cette attaque. Elle va donc décider de se déguiser en homme pour infiltrer les rangs du Black Clan et tenter de découvrir qui a essayé de la tuer, pourquoi, et bien-sûr pour se venger sinon ce n'est pas drôle. Cependant, Mariko va prendre ses marques au sein du groupe où elle va enfin être reconnue pour ses compétences et non pas être jugée incapable de si ou de ça juste parce qu'elle est née avec le "mauvais" truc entre les jambes. (J'adore écrire des résumés nuls.)

L'histoire est addictive. Je l'ai dévoré comme un pancake aux pépites de chocolat. (Précis, n'est-ce pas?) Renée Ahdieh a écrit le parfait mélange avec au rendez-vous une intrigue trépidante, des secrets, des révélations, romance (bien-sûr) et j'en passe. L'auteure ne nous laisse pas le temps de nous ennuyer et c'est avec grand plaisir que j'ai suivi cette aventure.

◊ Bon, je suppose que ce n'est pas une grande surprise si je vous dit que j'ai adoré le world building. Si? L'univers dans lequel se déroule l'histoire s'inspire de la culture japonaise (si je ne dis pas de conneries) et même si ce n'est pas ce que je préfère habituellement, j'ai beaucoup apprécié ce que j'ai découvert. C'était rafraichissant et les décors décrits m'ont énormément plu! On ne peut pas faire mieux, question dépaysement. (Que voulez-vous, quand on lit, on voyage.)

Ah et je ne vais pas me priver de faire un petit point spécial sur le Black Clan. Comme je l'ai dit plus haut, c'est un groupe de gars dont la principale activité est le vol. Et je ne m'attendais sincèrement pas à les aimer. MAIS, en découvrant le groupe via Mariko, on se rend compte que les choses sont bien plus complexes que ce le reste du monde prétend et du coup, dans un autre monde, dans une autre vie, dans un autre univers, j'espère que je fais partie du Black Clan. ^^

Oh, et le campement des ces hors-la-loi se trouve dans une sombre forêt avec des arbres mangeurs d'hommes. J'adore. ♥

◊ Les personnages sont géniaux. Clairement à la hauteur du reste du roman. Ils sont complets avec un brin de complexité et bien-sûr ils sont attachants. Que puis-je demander de plus? J'ai adoré découvrir les nouveaux personnages de Renée Ahdieh, qu'ils soient principaux ou secondaires.

J'ai beaucoup aimé Mariko. Ce n'est pas le genre d'héroïne qui prend des décisions idiotes ou qui perd de vue son objectif à la vue du premier beau mec. Elle est intelligente, elle est pleine de ressource, et elle a une véritable force d'esprit. (Merci Renée A. de ne pas avoir donné vie à une héroïne qui me donne envie de lui enfoncer la tête dans un mur.)

Okami est le genre de personnage qui m'attire immédiatement et sans le moindre effort. S'il était réel et que je le croisais dans la rue, je m’évanouirai. J'adore la personnalité et le caractère de Okami. Il est assez mystérieux et complexe et au final, je n'étais jamais sûre de la façon dont il allait se comporter d'une scène à une autre et j'ai beaucoup aimé ça. Il est aussi bien doux et protecteur que fort et menaçant. Le mélange parfait, je suis aux anges.

Ren est un personnage secondaire. Mais je suis tombée amoureuse de lui. Même si j'ai un crush sur Okami, je le laisse à Mariko et je prends Ren. #renismine

◊ Avec des relations amoureuses comme celle-ci, je pourrais très vite reprendre goût à la romance. J'ai adoré la relation de Mariko et Okami. La dynamique entre les deux m'a énormément plu, il y a une véritable alchimie entre eux - chaque scène entre eux est faite d'étincelles. (Oh et parfois l'étincelle en question s’enflamme. ♥)

Je les ship grave! Pas d'insta-love, une romance qui se développe doucement mais (très) sûrement... Je ne peux qu'approuver. De plus, j'aime sincèrement l'idée que Okami se soit senti attiré par Mariko avant-même de savoir qu'elle est une fille. Ça rend le tout tellement plus magique et crédible. J'aurais sincèrement été déçue s'il avait commencé à avoir des sentiments pour elle uniquement après découvert ce qui se cachait sous son kosode (c'est entre autre très ressemblant au kimono mais c'est plus court. Eh ouais, j'ai appris mes leçons. ;)). ^^

◊ Il y a autre chose que j'ai beaucoup aimé par rapport à Flame in the Mist. (Quelque chose que j'appréciais déjà dans l'esprit de Mulan.) Via le personnage de Mariko (principalement) Renée Ahdieh fait passer un message très important selon moi. Ce message étant qu'être une femme ne signifie pas qu'on est moins capable de faire ce qu'un homme est jugé d'office capable de faire. (Wow, ça c'est de la phrase. Je ne suis même pas sûre que ça soit clair. ^^)

◊ En conclusion, Flame in the Mist est un roman que je conseille vivement puisque c'est un coup de cœur. J'ai adoré ma lecture de la première à la dernière ligne et il me tarde de pouvoir découvrir la suite. (Faites que le temps passe vite, merci.)

◊ (Petite parenthèse.) Ce n'est pas quelque chose que j'ai l'habitude de montrer, d’ordinaire je garde cette partie de ma lecture pour moi. Sauf pour My Lady Jane (remember?) mais bon. J'aime commenter quelques citations et je n'ai pas pu m'en empêcher.

«Never doubt. Never fear. Never overthink.» ← omg, Jay Kristoff sort de ce corps!

«Be as swift as the wind. As silent as the forest. As fierce as the fire. As unshakable as the mountain. And you can do anything...» ← Oui bah, avant de pouvoir faire n'importe quoi, tu dois quand-même être "as swift as the wind et tout le blabla". Autrement dit, il va falloir que tu te casse le cul ma petite.

«I believe the stars align so souls can find one another. Whether they are meant to be souls in love or souls in life remains to be seen.» ← *sifflement admirateur*

«To me, you are magic.» ← Je fonds comme la cire d'une bougie sous la flamme.

«If I am marching to my death, then I will march to it as a girl. Without fear.» ← On dirait moi au début de mes règles, jusqu'à ce que la douleur me mène à me rouler en boule dans mon lit en priant que le monde s'écroule sur ma tête.

«The stars could fall - the moon could crash from the heavens - and Mariko could not care.» ←↑oui c'est ce que je disais.

«"Are you ever angry you were born a woman?"
"I've never been angry to have been born a woman. There have been times I've been angry at how the world treats us."» ← J’approuve.

(Et maintenant j'arrive plus à me sortir la chance "Comme un homme" de la tête. arrhh! Oh, je sens que je vais finir ma soirée en écoutant des chansons Disney moi. ^^)

«Control is an illusion. Expectations will not rule my days. Not anymore.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/07/05/flame-in-the-mist-renee-ahdieh/
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«It's beginning to feel like he's shuffling his way through the seven deadly sins, in ascending order of my favourites.»

Suivez Monty, Percy, et Felicity dans leur folle aventure à travers l'Europe. Qui est sincèrement folle.

The Gentleman's Guide to Vice and Virtue est l'un des romans que j'attendais le plus cette année. Et il ne m'a donc pas fallu longtemps avant de me plonger dans cette lecture.

Je dois admettre que j'attendais un gros coup de cœur et que ce n'est pas le cas. Cela dit, The Gentleman's Guide to Vice and Virtue n'en reste pas moins un roman que j'ai adoré du début à la fin!

JE NE SAIS PAS QUOI VOUS DIRE!!! Je sèche complètement pour cette review. J'ai juste envie d'avoir The Lady's guide to petticoats and piracy entre mes mains, parce que si ce livre-là était super, je suis sûre que son roman compagnon (ça a clairement plus de gueule en anglais) le sera au moins autant! Et puis, rien que les titres j'adore.

Bref.

♣ Au 18e siècle, Henry «Monty» Montague part accompagné de son meilleur ami Percy et de sa petite sœur Felicity pour une année durant laquelle il visitera les plus grandes villes d'Europe, dans l'optique de rentrer chez lui douze mois plus tard prêt à hériter des biens de son père. Mais les choses ne vont pas se passer comme prévues et ce qui devait être un «Grand Tour» des plus banals se transforme en véritable aventure durant laquelle le trio sera pourchassé, se retrouvera au cœur d'une drôle d'histoire, et croisera la route de pirates.

Je vous avais bien dit que c'était une folle aventure...

Après ce résumé catastrophique que je vous ai fait, laissez-moi vous dire que j'ai adoré l'histoire. Je ne l'ai pas aimé parce qu'elle est parfaite ou que c'est la meilleure histoire que j'ai lu de toute ma vie. Mais tout simplement parce qu'elle est addictive, drôle, rafraîchissante, et parce qu'il y a un tas d'éléments vraiment intéressants à découvrir.

Il y a principalement trois sujets qui sont évoqués dans ce roman, que j'ai trouvé intéressants dans contexte et que l'auteure a bien su intégrer à l'histoire. Ces sujets étant l'homophobie, le racisme, et un thème bien moins abordé de manière générale, l'épilepsie (et si vous vous demandez ce que l'épilepsie vient foutre dans l'histoire, attendez un peu que je vous explique).

Ces trois sujets sont des sujets délicats à l'époque. Effectivement, question sexualité, le fait d'aimer ou de simplement prendre du plaisir avec les personnes du même sexe n'était pas vu comme naturel. (Si aujourd'hui il y a encore de l'homophobie dans notre société alors qu'être gay est bien naturel -si,si-, imaginez un peu ce que c'était à l'époque.) L'homophobie c'est surtout (majoritairement) l'idée que s'il y a deux sexes existants ce n'est pas pour aller fricoter avec quelqu'un qui a pareil que toi entre les jambes. Sérieux les gars, faut vraiment s'intéresser à la science. Juste parce que tout ne s'explique par des "Il est possédé par un vile démon". Aussi, il faut savoir que s'il existe un point A, il y aura forcément un point B quelque part, vous me suivez? (Pour ceux qui n'auraient pas suivi, l'idée c'est que chaque mot a son antonyme: Chaud-Froid, et tout le blabla. Donc techniquement si l'hétérosexualité existe, il est logique que l'homosexualité existe aussi. Je pourrais continuer ainsi pour le reste de la communauté LGBT+ et vous donnez des "explications" pour les cas """entre-deux"" tel que la bisexualité mais je crois que vous avez compris.)

Concernant le racisme, je ne crois pas avoir quoi que ce soit à vous apprendre. Donc j'en resterais là. Mais comme je le disais plus haut, qu'est-ce que c'est le problème avec l'épilepsie? L'un des personnages du roman souffre d'épilepsie, qui de manière simple et claire se traduit par des crises durant lesquelles la personne va convulser. Je ne vais pas vous faire un cours de médecine mais à l'époque l’épilepsie était très mal comprise et la société a fini par foutre le problème sur le dos d'un démon pas très sympa, comme c'était de coutume à l'époque si j'ose dire. Alors personne ne criait sur tous les toits qu'il était épileptique et certains finissaient des asiles pour ça. Voilà.

«I don’t think I have to be well to be happy.»

Bref, tout ça pour dire que c'était vraiment intéressant à découvrir et que rien que pour ça, je vous conseille d'aller lire The Gentleman's Guide to Vice and Virtue et d'aller jusqu'au bout car à la fin du livre, Mackenzi Lee prend le temps de vous expliquer toutes ces choses en détails, ce qui est très appréciable. Ou ce que mon cerveau bouffe-tout a beaucoup apprécié, en tout cas.

♣ La plume de Mackenzi Lee est légère et entraînante. Il n'est pas difficile de se laisser emporter par le récit de l'auteure et de se perdre dans l'histoire. Mackenzi Lee possède le genre de plume qui ne nous donne aucun mal à visualiser les scènes, ce qui est très agréable.

Bref, tout pour plaire! Il n'y a pas grand-chose de plus à dire dessus. Sa plume a été pour moi un coup de foudre. Comment on dit déjà? Love at first line.

«On the morning we are to leave for our Grand Tour of the Continent, I wake in bed beside Percy. For a disorienting moment, it's unclear whether we've slept together or simply slept together.»

♣ Les personnages sont probablement le point fort de ce roman, puisqu'ils sont tout bêtement géniaux. Je les ai adoré. Chacun est différent, chacun apporte sa petite touche personnelle à l'histoire et notre trio est vraiment attachant.

Monty. Mon dieu, Monty. Ce gars est simplement parfait. Enfin... On se comprend. Henry Montague est bisexuel, a un penchant pour l'alcool, et plus ou moins pour tout ce qu'il est conseillé d'aimer. Et le pire dans l'histoire, c'est qu'il ne s'en cache pas. Mais Monty est drôle et attachant et il est bien plus que sa mauvaise réputation. Il est hors de question de détester Monty, tout le doit aimer Monty. Moi, j'aime Monty.

Percy c'est mon amoureux. Enfin, Percy serait mon amoureux s'il n'était pas gay et amoureux de Monty. Mais ce n'est qu'un détail. N'est-ce pas?

Percy c'est un peu le personnage qui a tiré le gros lot. Il est gay, il a la peau assez sombre pour être traité comme de la merde les trois quart du temps, et il épileptique. Clairement, pour les plus croyants de l'époque, Percy est le diable en personne. Mais le vrai Percy est attachant, doux et gentil mais n'hésite pas à se battre pour ceux qu'il aime, et moi je l'aime d'amour. Et il m'aimerait aussi s'il n'était pas gay, c'est clair. ;)

Felicity est la petite sœur de Monty. Et je suis amoureuse d'elle, OK? Elle passe la moitié du bouquin à lire (notre point commun n°1) et l'autre moitié à prouver qu'être une fille ne l'empêche pas de pouvoir sauver les fesses de tout le monde si nécessaire. Elle a une passion pour la médecine et je suis presque sûre qu'elle est asexuelle (presque sûre, cependant je doute qu'elle soit aromantique. À voir.) (point commun n°2). J'ai vraiment très très très très très très très très très très très très très très très très très hâte de la retrouver dans The Lady's guide to petticoats and piracy.

♣ La romance m'a énormément plu. Monty et Percy sont meilleurs amis depuis des années. Alors forcément, c'est un peu gênant quand les sentiments amicaux changent en sentiments amoureux entre deux garçons, encore plus pour l'époque. Il y a toujours la peur de gâcher une superbe amitié si jamais les sentiments ne sont pas réciproques.

Monty et Percy (aka Mercy please) sont super mignons ensemble. Il y a une véritable complicité entre eux et j'aurais voulu encore plus de scènes entre eux, juste par gourmandise. Je les ship à mort, merci bien.

«It’s impossible to explain how you can love someone so much that it’s difficult to be around him. And with Percy sitting there, half in shadow, his hair loose and his long legs and those eyes I could have lived and died in, it feels like there’s a space inside me that is so bright it burns.»

Cadeau.

«“If you go behind my back, I swear to God, I’ll skin you alive—”
“I won’t—”
“—murder you, then alchemically raise you from the dead so I can murder you again—”»

♣ J'ai trouvé la fin un peu abrupte (du coup je fais moi-même un changement de sujet un peu abrupte, c'est vrai). Même si ça n'en reste pas moins la fin qu'il me fallait pour ce roman. J'aurais simplement préféré que Mackenzi Lee prenne un peu plus son temps mais au-delà de ça, c'est une fin très satisfaisante et qui convient parfaitement à ce que j'attendais de The Gentleman's Guide to Vice and Virtue.

♣ En conclusion, The Gentleman's Guide to Vice and Virtue est un super roman qui mêle histoire, romance, et aventure à la perfection! Et n'oublions pas les pirates. Monty vous fera rire, Felicity sera votre ticket vers la survie si jamais vous avez dans l'optique de faire votre propre Grand Tour, et Percy fera fondre votre pauvre petit cœur.

«"We're not courting trouble," I say. "Flirting with it, at most."»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/07/02/the-gentlemans-guide-to-vice-and-virtue-mackenzi-lee/
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«the dream chooses the dreamer, not the other way around.»

Je commence à penser que Laini Taylor a un problème avec le bleu. Après les cheveux de Karou, c'est au tour de la peau de Sarai (et de tout "godspawn") d'être bleue.

OK, je ne sais pas par quoi commencer. Je suis partagée, en fait. Je veux dire, j'ai beaucoup aimé ma lecture de Strange the Dreamer. J'irai même jusqu'à dire que j'ai adoré ce livre.

But.

Certains petits éléments de ce roman m'ont un peu freinée. Cela dit, Strange the Dreamer s'en sort avec un joli 9/10 donc je suppose que ce n'était pas si freinant que ça... (Ce que je viens de dire est à peine français.)

∞ Je vais commencer par parler de la plume de Laini Taylor. Honnêtement, j'aime vraiment la plume de cette auteure. C'est comme lire un rêve peuplé de créatures mythiques et de monstres. C'est vraiment magique. Laini Taylor a un véritable don pour écrire et vous faire rêver chaque scène.

Cela dit, parfois les descriptions de cette auteure sont trop longues et donc trop lourdes. Ce qui est sincèrement dommage puisque autrement, je n'ai rien à lui reprocher et tout à lui envier.

En tout cas, Laini Taylor a une plume unique qui vous donnera envie de lui écrire des poèmes. ^^

∞ «On the second Sabbat of Twelfthmoon, in the city of Weep, a girl fell from the sky. Her skin was blue, her blood was red.» ← Vous m'avez perdu à ce moment-là, dès les premières lignes. Et je dois bien admettre que ça a été ma scène préférée du roman. (Oui, j'adore quand les personnages dégringolent du ciel. Souvenez-vous de The Thousandth Floor?)

Bref, waouh. Je me demande comment un être humain peut écrire mais surtout imaginer une telle histoire. C'est sûrement les cheveux roses, si vous voulez mon avis. ;)

Strange the Dreamer raconte l'histoire de Lazlo Strange, un orphelin qui se passionne depuis son enfance pour la ville perdue de Weep. Et lorsqu'il est donné à Lazlo la chance d'aller chercher les réponses à toutes ses questions à Weep elle-même, le jeune libraire part vivre une folle aventure qui va au-delà de ses rêves les plus fous.

Honnêtement, l'histoire est superbe. Le scénario tient la route du début à la fin, et Laini Taylor a réussi à me maintenir captivée, fascinée, et passionnée. C'est une histoire unique, qui mine-de-rien fait passer un message fort.

Parce que Strange the Dreamer ce n'est pas seulement l'histoire de Lazlo. C'est l'histoire de ces adolescents qui sont obligés de vivre cachés à cause des erreurs de leur parents alors que les actes de nos parents ne devraient jamais nous définir.

∞ Le world building est aussi époustouflant que l'histoire. Sincèrement, je rêverai de visiter Weep. Que ça soit le véritable Weep et le Weep des rêves de Lazlo. En fait, je veux bien visiter la tête de Laini Taylor. Parce qu'il n'y aucun doute; elle doit cacher bien des mondes fascinants et magnifiques dans sa tête rose.^^
En tout cas, c'est magique. (Littéralement.)

∞ Passons aux personnages.

Déjà, pour commencer: Lazlo. Les gars, Lazlo Strange est le genre de gars qui lit en marchant et fonce dans les murs. Un livre de conte de fées lui ai tombé dessus et lui a cassé le nez. Si ça, ce n'est pas l'homme de mes rêves, je ne sais pas ce que ce que c'est. ^^ Bref, j'ai adoré Lazlo. Il est attachant, doux, juste, il a un grand cœur, et en même temps il a une force en lui. Et comme Laini ne manque pas de nous le rappeler, Lazlo Strange est un rêveur. Et il n'y a rien de mieux qu'un rêveur pour faire avancer les choses.

Saraï, Ruby, Feral, Sparrow, et Minya sont des schtroumpfs. Non, des na'vis. Toujours pas? Bref, ils sont bleus. Et ils sont géniaux.

Saraï est un personnage que j'ai beaucoup aimé. Pas seulement parce qu'elle est l'un des personnages principaux. Mais parce qu'elle est attachante et que c'est un personnage bien plus complexe qu'il paraît. Elle est la bienvenue dans mes cauchemars, quand elle veut! (Et dans mes rêves, aussi.)

J'adore Feral. Non, laissez-moi vous reformuler ça. Je suis folle de Feral. Je ne sais pas pourquoi mais il m'est impossible de résister à ce beau gosse bleu.

Ruby!! Omg. Je vous ferez bien un jeu de mot vraiment nase dans le genre Ruby est explosive ou un truc dans le genre, mais j'ai un minimum de dignité. ^^ Cela dit, j'ai adoré ce personnage. Justement parce que je ne suis jamais sûre de comment me sentir face à elle. Elle est imprévisible, c'est une véritable déesse. Mon pauvre petit cœur ne peut pas survivre aux flammes de Ruby.

Sparrow, c'est la douceur née de brutalité et cruauté. Alors, sincèrement, comment ne pas aimer ce personnage? Si j'ai besoin d'un câlin, j'irai sûrement me réfugier dans les bras de Sparrow.

Minya est maléfique. Et je ne sais pas trop ce que ça dit sur moi mais je l'ai adoré!!! Minya est la plus âgée du groupe, elle a la vingtaine et pourtant pour une raison qui nous échappe, elle a gardé l'apparence d'une enfant de six ans. Ce qui la rend encore plus terrifiante! Elle contrôle les fantômes, en plus. Clairement, cette fille est le diable incarné. J'ai hâte de la retrouver dans le prochain tome, et peut-être qu'on découvrira pourquoi elle n'a pas changée.

Après il y a les personnages comme Eril-Fane (the Godslayer) que j'ai adoré. Véritablement, chaque personnage est intéressant à découvrir et je les ai tous beaucoup aimé. Qu'ils aient un bon ou un mauvais rôle dans l'histoire, ils sont excellents.

∞ Si vous me connaissez un peu, vous savez que je ne suis pas toujours une romantique. Et même que je suis carrément une chieuse qui n'est jamais contente quand il s'agit de romance.

Eh bien, laissez-moi vous dire que j'ai adoré la romance entre Saraï et Lazlo. Parce que, mine-de-rien, je suis un pauvre petit être humain avec un petit cœur tout fragile. Et comment résister à une histoire d'amour aussi romantique?! COMMENT?

Bon, c'est vrai que j'ai trouvé que leur romance faisait un peu "insta-love". Mais je suis prête à oublier ce détail tellement le reste est magnifique. Je les ship. #Salzo ou #Laraï (je ne sais, à vous de choisir).

«Here at last were her real arms, and they would never hold him. Her real lips, and they would never kiss him.» ← Ça devrait être interdit d'écrire des phrases aussi poétiques, romantique et briseuses de cœurs. Non mais, sérieusement. J'ai fait un rêve génial la nuit derrière, et mon cœur était moins brisé quand je me suis réveillée que lorsque j'ai lu ça. (C'est limite français, là. Je me fais pitié, moi-même.)

Ah, et il faut que je vous parle d'un autre couple. Même si techniquement couple n'est pas le mot le mieux choisi pour les définir. Mais IL FAUT que je vous parle de Ruby et Feral. Ils ont volé mon cœur. Ruby y a mis le feu et Feral a éteint ce feu mais il était trop tard, il ne reste à présent de mon cœur que des cendres. Merci, les gars.

∞ LA FIN. Est-ce qu'on peut parler de cette fin? Je ne méritais pas d'être laissée comme ça, toute pantelante et perdue. Qu'est-ce que je vais faire de ma vie, maintenant? Il me faut le second tome. Pourquoi je l'ai lu? J'aurais pu attendre, un peu, histoire de ne pas souffrir mais non, bien-sûr il fallait que je me torture parce que ça semblait tellement être une meilleure idée!

∞ En conclusion, je suis morte. Je suis un fantôme qui va aller hanter Laini Taylor. Oh, ou alors je peux trouver Laini Taylor et lire au-dessus de son épaule pendant qu'elle écrit The Muse of Nightmares... hm, quelle merveilleuse idée. ;)

PS: Pour le coup, j'aimerai bien être bleue, moi aussi.

«I think you're a fairy tale. I think you're magical, and brave, and exquisite. And I hope you'll let me be in your story.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/29/strange-the-dreamer-laini-taylor/
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«Pretending a monster wasn't there didn't make it go away.»

L'histoire nous a offert quelques fascinants mystères. Et je vous donne trois indices pour que vous deviniez de quel mystère je vais parler aujourd'hui; 1. Whitechapel 2. 1888 3. Tueur en série. Qu'est-ce que ça vous évoque? Jack l'Éventreur.

Ce tueur en série est l'un des plus grands mystères de l'histoire puisque encore aujourd'hui personne ne connaît sa véritable identité. Dommage que les morts ne parlent pas, les victimes de ce tueur nous auraient été d'une grande aide! «the dead speak to those who listen.» Ah, désolée tonton Jonathan, autant pour moi. ;)

(Il y a eu un bon nombre de suspects mais il y a plus de chances pour que Jack Jack ait tranquillement fait ses petits meurtres en se foutant de la gueule de Scotland Yard qu'autre chose. Les chances qu'il fasse seulement partie de la liste des suspects sont minces, si vous voulez mon humble avis.)

Entre 1888 et 1891 ont lieu onze meurtres dans le quartier londonien de Whitechapel mais seuls cinq de ces meurtres sont officiellement attribués au tueur en série Jack the Ripper (parce que ça a clairement plus de gueule que Jack l'Éventreur même si ça veut dire la même chose). Donc techniquement si on oublie les six meurtres dont on n'est absolument pas sûr qu'il soit l'auteur, Jack the Ripper a agit de Août 1888 à Novembre de la même année. D'ailleurs, étant du genre à farfouiller un peu partout dès qu'un sujet m'intéresse, j'ai quelques théories sur ce fameux tueur (et elles tiennent bien la route) et j'en ai tellement parler à ma mère un matin qu'elle s'est endormie sur mon lit. (C'était pourtant très intéressant.) En tout cas, Jack aurait fait un carton au Cluedo.

Bref, pour en revenir aux faits, officiellement Jack the Ripper a pour mode opératoire de trancher la gorge de ses victimes et de leur ouvrir l'abdomen. Cependant, il a aussi mutilé ses victimes de manière de plus en plus barbare, sa dernière victime (canonique aka la dernière victime dont on est aussi sûr que possible qu'il l'a tué -cette phrase est difficilement française-) ayant été amputée de son cœur qui n'a jamais été retrouvé. (C'est le moment où vous me remercier pour ce joli détail et où vous réalisez que s'ennuyer à trois heures du matin peut mener loin.)

Honnêtement, il y a un tas de théories sur qui était véritablement Jack the Ripper (même la reine Victoria avait sa théorie), il y en a qui tiennent la route et d'autres qui sont tout bonnement farfelues. Et il y en aura encore bien d'autres qui vont probablement me maintenir éveillée durant plusieurs nuits. En tout cas, à la base, je n'étais pas là pour vous faire un cours d'histoire macabre mais plutôt pour vous parler du roman Stalking Jack the Ripper de Kerri Maniscalco. Si, ceci est une review, qui l'eut cru? ^^

Stalking Jack the Ripper est donc le roman qui m'a fascinée ces quelques dernières heures. Et c'est une fiction. Je répète, c'est une fiction. (Même Assassin's Creed a sa version de Jack the Ripper, please.) Ça me semble important de le préciser avant que des personnes connaissant le sujet viennent crier "Oh mon dieu! Quelle insulte, Jack l'Éventreur n'est pas cet homme!". Non, tout le monde sait que l'homme qui se révèlera être Jack the Ripper dans l'histoire n'est pas véritablement le tueur légendaire puisqu'il n'a jamais été démasqué, et l'auteure ne prétend pas avoir soulevé le mystère. Elle s'est contentée d'emprunter cet homme et sa macabre histoire pour l'intégrer à une œuvre de fiction dans laquelle le personnage de Audrey Rose Wadsworth, une jeune fille de dix-sept ans à l'époque des faits, décide de mener l'enquête. Et avant d'entrer dans le vif du sujet, laissez-moi vous dire à quel point cette fiction est intelligemment écrite!

J'ai eu mes propres petites théories sur le personnage qu'a choisi l'auteure pour incarner Jack the Ripper. Et il faut que je vous dise, je le savais! Non, très honnêtement, j'avais soupçonné le personnage en question au début mais je l'ai vite mis de côté alors quand il s'est avéré que ma première intuition avait été la bonne, j'ai reçu une véritable claque dans la gueule. Pardonnez mon vocabulaire mais même si je l'avais suspecté au premier coup d’œil, ça ne m'a pas empêché de tomber sur le cul quand la vérité a éclaté. Jack the Ripper a une tête d'innocent et en même temps, ça saute tellement aux yeux qu'on se demande comment on a pu passer à côté.

Kerri Maniscalco a choisi l'une des théories les plus populaires (et réalistes) pour sa fiction et cette théorie, bien que n'étant pas ma préférée, a très bien servi son roman. (Et je ne préciserais pas de quelle théorie il s'agit au risque de vous spoiler. On ne sait jamais que des petits malins passent par là!) L'auteure a su lui donner du sens et mon âme de fan d'histoire et trucs morbides a adoré!

En tout cas, il est clair que Kerri Maniscalco connaît son sujet. Et chaque liberté prise dans le but de la rendre cette fiction cohérente et réaliste vaut sincèrement le détour puisque l'auteur change certains faits de manière intelligente.

OK, que serait une histoire sur Jack the Ripper sans "Dear Boss" et "From Hell"? Ce que je vais dire est horrible, mais je pourrais lire la lettre "Dear Boss" chaque soir avant d'aller me coucher tellement elle me fascine. Et j'étais bien heureuse de découvrir que Kerri Maniscalco n'avait pas oublié ces fameuses lettres (supposément) écrient par Jack the Ripper, lui-même. OMG, mon âme de fan est carrément aux anges.

Bref, vous l'aurez compris au niveau de l'histoire, je suis carrément satisfaite. J'ai passé un excellent moment, plongée dans les sombres affaires de Whitechapel et dans une sinistre version de Londres.

Maintenant, au niveau des personnages... JE LES AI ADORÉ!!! Je veux dire, ça ne me dérange pas de travailler sur n'importe quel horrible meurtre si ça signifie que j'aurais mon propre Thomas Cresswell. ^^

Les personnages sont intelligents et intelligemment écrits. Ils ont leur part de complexité, ils sont complets, ils sont cohérents et réalistes, ils sont tout bonnement parfaits. Et mieux encore, ils collent parfaitement à l'atmosphère du roman! *soupir admiratif*

En plus, ils font des autopsies! omg. Si je n'avais pas envie de vomir chaque fois que je vois du sang, j'aurais fait des études pour devenir médecin légiste. Malheureusement, mon estomac ne le supporterait pas et je suis bien plus attirée par les stylos que les scalpels.

Bref, j'ai adoré les personnages. Tous ceux qu'on a l'occasion de rencontrer dans ce roman possédait quelque chose qui me plaisait. J'ai adoré Nathaniel (mon frère est passé à un cheveux de s'appeler comme ça, jusqu'à ce que mes parents décident de juste l'appeler Nathan). J'ai adoré tonton Jonathan. J'ai adoré Audrey Rose. Et j'ai, bien-sûr, adoré Thomas.

Oh! et bien-sûr, la romance. Bien que j'ai tendance à avoir un problème avec la romance depuis le début de l'année, Kerri Maniscalco m'a conquise. Je suis tombée sous le charme de la relation entre Thomas et Audrey Rose. Sérieusement. Ces deux-là forment un duo d'enfer et leurs interactions sont géniales! #inlove

“Dear Wadsworth. Your association with me is growing more beneficial by the hour. Your intelligence is quite… attractive,” Thomas said, raising his brows suggestively and taking in my newly plaited hair. “Let’s have some wine and dance inappropriately. You’ve already dressed the part for me—let’s take advantage.” Vous comprenez?

Au final, autant dire que tout m'a plu. Stalking Jack the Ripper est un énorme coup de cœur! Donc, forcément, c'est un roman que je recommande pleinement. En plus, avec tel un objet livre, comment résister? À certains débuts de chapitre vous retrouverez des photographies qui vous permettront de vraiment vous mettre dans le bain. (Enfin, ça c'est pour la version vo, je ne sais pas pour la version vf, vous m'excuserez.) Et si vous voulez tout savoir, j'adooooooooooore les instruments médicaux au dos du bouquin. Ça réveille tout mon enthousiasme! ;)

En conclusion, Stalking Jack the Ripper est une lecture addictive, un voyage dans le temps vous ramenant à l'époque où le célèbre Jack l'Éventreur terrorisait Whitechapel. Un roman qu'il vous sera difficile d'oublier tant vous aimerez chaque page. Un grand bravo à Kerri Maniscalco que j'ai hâte de retrouver sur les traces de Dracula. Ça promet de saigner! (Je ne sais pas d'où je la sors celle-là.)

«There’s nothing better than a little danger dashed with some romance.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/25/stalking-jack-the-ripper-kerri-maniscalco/
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«Si tu refuses d'aimer, tu n'auras pas de chagrin, mais pas de bonheur non plus.»

(Courte review, parce qu'il fait bien trop chaud pour que j'ai la force d'en écrire une longue et parce que je n'ai pas grand-chose à dire, honnêtement.)

Promis, après celui-ci je change de registre. J'ai lu des romances tout au long du mois de Juin. J'étais tellement stressée et épuisée par les examens que j'étais incapable de me plonger dans autre chose que des romances (quelques unes érotiques, shut!). Mais j'admets que je commence sérieusement à avoir ma dose de bisous dans le cou et de je t'aime murmurés à l'oreille. Et de drames, parce les romances sans drame particulier à un moment donné, c'est pas drôle.

BREF.

Ce premier tome d'une nouvelle saga de Jay Crownover est à la hauteur des romans de cette auteure. Donc vous vous doutez bien qu'en bonne fan, je l'ai beaucoup aimé!

L'histoire de Sayer et Zeb est la première de la série spin-off de Marked Men - Saints of Denver (ou Clash). Et Jay commence avec une histoire forte et addictive qui vous donnera irrésistiblement envie de recevoir des bisous dans le cou. (D'un point de vue totalement innocent, bien-sûr. ;))

Clash - passion brûlante est légèrement différent de ce que Jay Crownover nous a offert avec les Marked Men, et cela en bien. Effectivement, les scènes de sexe sont moins nombreuses, à mon avis. Et ça n'est pas pour me déplaire. ^^ L'histoire qui entoure les personnages est plus difficile, plus approfondie. Au final, on se rend compte que l'auteure a évoluée depuis Rule & co (nos beaux tatoués).

Le récit est donc plus mature, je dirais. Mais toujours aussi addictif, toujours autant Jay avec ses moments touchants et ses moments coquins. Je n'ai donc véritablement pas grand-chose à dire.

L'unique détail que j'aurais à reprocher à cette lecture, c'est quelques passages un peu long. Mais hormis ça, j'ai passé un très bon moment à découvrir la passion de Zeb et Sayer.

Les personnages sont excellents. Depuis leur rencontre dans le cinquième tome (Rowdy) des Marked Men, j'avais sincèrement hâte de les découvrir dans leur propre histoire. Chacun avait quelque chose que j'avais envie de découvrir chez lui. Et je n'ai pas été déçue!

Sayer est une fille à première vue froide, une reine des glaces. C'est la parfaite avocate dans le droit de la famille, qui contrôle tout et ne dérape pas. Jusqu'au jour où elle rencontre Zeb.

J'ai trouvé intéressant à découvrir le fait que Sayer soit celle qui ait du mal avec les relations amoureuses. Dans les romans de ce genre, c'est le mec qui a tendance à être posté à ce rôle. Donc, ça changeait un peu.

Au-delà de ça, c'est un personnage que j'ai beaucoup apprécié et auquel je me suis attachée. Tout simplement parce qu'il y a plus à découvrir en dessous de la couche de glace.

Zebulon Fuller. (Si, Zebulon comme l'explorateur.) Ce mec est génial, il a toutes les qualités requises pour être un mec bien. Alors oui, un jour il a fait une connerie. Une bêtise qu'on lui pardonne volontiers dans la mesure où il défendait sa sœur contre son mec qui aimait la frapper. Mais dans tous les cas, j'ai adoré ce personnage.

Dans ce tome-ci, Zeb apprend qu'il a un fils de cinq ans. La mère du garçon (Hyde) est morte et il se retrouve sans famille. Alors avec l'aide de Sayer, Zeb s'engage dans une longue procédure pour obtenir la garde de son fils.

J'ai adoré Hyde qui est un petit garçon adorable et j'ai adoré sa relation avec les personnes qui l'entourent mais surtout avec Zeb. Ces deux-là sont parfaits l'un pour l'autre.

Quant à la romance entre Zeb et Sayer, si j'ai du mal avec les romances en général, à chaque fois que Jay Crownover en écrit une, je tombe follement amoureuse à mon tour. La relation de Zeb et Sayer n'est pas facile et parfois on a envie de secouer Sayer mais c'est une superbe romance que j'ai suivi avec plaisir.

Alors oui, ce premier tome des Saints of Denver (parce que ça sonne bien mieux que Clash) met en scène les personnages secondaires qui avait fait leur apparition à un moment ou autre de la série Marked Men. Mais bien-sûr, Jay n'oublie pas nos bébés! On revoit certains d'entre eux et d'autres sont évoqués. L'histoire change mais au fond on se rend compte que c'est toujours la même (ce que je viens de dire est contradictoire, je sais) et ça réconfortera sûrement ceux qui n'avaient absolument aucune envie de quitter notre bande de tatoués préférée.

En conclusion, je pense sincèrement que les Saints of Denver est une série spin-off à la hauteur de Marked Men. En tout cas, Passion Brûlante (titre horrible) l'est et il me tarde de découvrir le prochain tome (dès que j'aurais surmonté mon overdose de romance).

«Parfois, tu dois souffrir pour ceux que tu aimes, et laisser un peu de toi dans l'histoire.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/22/passion-brulante-jay-crownover/
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«Il y a des gens qui ratent, et des gens qui sont ratés»

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... Quoi? C'est pas la bonne histoire?

J'arrive pas à croire que les Marked Men, c'est fini. Ah, je vais pleurer. Je vais pleurer comme un bébé. Heureusement qu'il y a la saga des Saints of Denver/Clash. OMFG, j'ai besoin de lire cette saga. (Et je vais le faire, c'est clair.)

Je ne sais pas quoi dire. Je n'ai pas de mots. Les Marked Men sont mes amours et savoir qu'après six tomes c'est la fin, que des années ont passées (dans l'histoire) depuis le premier tome, ça me donne envie de pleeeeeureeeer.

Je l'ai déjà dit mais je me sens comme une maman qui voit ses enfants prendre leur envole. C'est HORRIBLE! Et merveilleux, cela va de soit.

C'est incroyable la façon dont je me suis attachée aux personnages et à l'histoire de chacun. Et ce dernier tome a lui aussi eu son lot d'émotions, pour tous les couples. Et surtout pour moooiiii! *pleure like a big baby* Sérieux, est-ce que Jay pense un peu à moi et à mon petit cœur? Mon paaaauvre petit cœur?

Les fins c'est horrible. Bon, il y a des fins vraiment géniales. Genre la fin d'un examen de sciences à huit heures du matin un lundi (n'est-ce pas?). Quand arrive la fin, c'est le bonheur pur! Mais quand c'est la fin d'une telle aventure avec des moments sexy et des tatouages, des mecs canons et des filles dont on aimerait prendre la place et qu'on aimerait clairement être, c'est horrible. Alors voilà, je le dit, la fin de Marked Men est horrible. (Elle est géniale mais c'est horrible -dans le bon sens du terme si c'est possible-.)

Je vous préviens tout-de-suite si jamais vous ne l'aviez pas encore remarquer, ce n'est pas en lisant mes reviews sur les bouquins de Jay Crownover que vous découvrirez un avis objectif. Cette femme me retourne le cerveau, je l'adore, alors comment être objective? Je veux juste mettre des cœurs partout et lui construire un vrai temple de déesse. (Mon cerveau est parti en vacances, merci.)

Asa est un tome enivrant. Non, laissez-moi reformuler ça. Asa est un homme enivrant. Voilà, c'est beaucoup mieux. Et avec lui, j'ai frôlé la crise cardiaque plus que je ne veux bien l'admettre. Qu'est-ce je vous disais? MON PAUVRE PETIT CŒUR!!!

J'ai adoré ce sixième tome autant que j'ai adoré les cinq précédents. Je peux donc officiellement vous dire que Marked Men est une saga New Adult qui vaut la peine d'être lue.

En fait, chaque roman de Jay Crownover vaut le détour. Cette auteure écrit de supers romans, des romances que je ne me lasse jamais d'aimer (et je ne suis pas facile à satisfaire question romance) et des histoires aussi addictives que des drogues. Je bénie le jour où je me suis intéressée à cette auteure. :)

Ce que j'aime par-dessus tout ce sont les personnages. Durant six tomes, on a suivi douze personnes (ce qui plutôt énorme en fait) et j'adore chacun d'entre eux. J'ai adoré leur évolution, j'ai adoré la vie qu'ils ont construit et la famille qu'ils forment. Je doute fort que ça court les rues ce genre de groupe soudé et unis contre tout. Mais si un jour j'en croise un, j'espère que ça sera pour en faire partie. (Je l'ai dit dans ma review de Rowdy, je veux que Jay m'écrive une histoire avec un mec canon et tatoué, merci. ^^)

C'est clair qu'ils vont me manquer. Mais je garde en tête que 1. si jamais je suis trop en manque d'eux, je peux toujours relire la saga. (Le bonheur d'un lecteur.) Et 2. les Saints of Denver/Clash sont des romans qui mettent en scènes des personnages secondaires de Marked Men donc on aura sûrement des nouvelles de mes bébés! Oui, ce sont MES bébés. Et je ne partage pas. ;)

BREF, pour en revenir à Asa (review bordélique) j'ai adoré ce tome. Et j'ai adoré ce personnage. Il m'intriguait depuis son apparition dans la saga. Je voulais le découvrir en profondeur. Je voulais savoir ce qui se cachait derrière le rôle qu'il joue et découvrir qui est vraiment Asa avec son accent du Kentucky. Et ce que j'ai découvert m'a vraiment et sincèrement plu.

Concernant son histoire avec Royal, je ne pouvais qu'aimer. Tout simplement. Il y a un mélange de force et de vulnérabilité dans leur relation. Je ne sais pas comment l'expliquer mais j'ai apprécié cet équilibre, je trouve qu'il leur va bien.

Nous arrivons donc à la fin. Et Jay Crownover nous a offert une fin digne des Marked Men. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... Et Louan pleura jusqu'à la fin de ses jours.

Je vais m'arrêter là. Parce que cette review est nulle. Parce qu'il faut que j'aille lire le premier tome des Saints of Denver/Clash. Je suis d'humeur à craquer sur un barbu avec des airs de bucheron moi... Pas vous? (Et parce que je ne sais vraiment pas quoi dire, en vrai. ^^ Mais shut! ne le dites à personne.)

«Nous étions marqués et nous avions été marqués de façon inoubliable et éternelle. Nous étions tous devenus des hommes meilleurs. Des hommes marqués.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/19/asa-jay-crownover/
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«Tu ne peux pas reculer simplement parce que tu n’aimes pas ce qui se cache dans l’ombre alors que c’est toi qui allumes la lumière.»

Ah, Rowdy. J'espère qu'il existe vraiment un mec comme lui quelque part dans le monde. Juste parce qu'il a un style d'enfer et que j'adorerai voir ça. ^^

Alors voilà, un autre Marked Man parmi les Marked Men. Et j'adore toujours autant. Sérieusement, quand j'ai besoin d'une lecture pleine d'amour et sans prise de tête, Jay Crownover est l'auteure de mes rêves. Et dans le cas présent, les Marked Men sont de véritables fantasmes. (Ne dites à pas à ma mère que j'ai dit ça. ;))

Pouvons-nous nous arrêter quelques instants sur la couverture VF? Putain, je l'aime d'amour fou celle-là. J'adore les couleurs et les tatouaaaages du mec. omg, j'ai l'impression que je vais défaillir tellement je les trouve canons! (Je parle uniquement des tatouages, OK? ;))

Il faut que je fasse une confession. J'ai deux plaisirs coupables dans la vie: Nickelback et les romans de Jay Crownover. Et en lisant Rowdy, j'ai combiné les deux. J'ai lu l'histoire de Salem et Rowdy en écoutant le dernier album de Nickelback. C'était une journée d'enfer! ^^ Voilà pour la partie confession/je raconte ma vie, merci d'avoir lu.

Je me sens toujours super émotionnelle de retrouver les Marked Men et de découvrir les nouveautés de leur existence. Putain, ça me donne envie de pleurer comme un bébé!! *pleure comme un bébé*

Bon, du coup vous vous doutez que j'ai aimé Rowdy (adopte-moi mec!) et que j'ai adoré retrouver Rule (mon amour #1), Jet (je tuerai pour voir Jet dans un de ses jeans ultra serrés), Rome (mon amour #2), et Nash (mon bébé!). Un délice! J'ai aussi deux nouveaux amours, c'est officiel, faites place à Asa et Zeb!! OMG, j'ai hâte de les découvrir dans leur propre histoire!

Honnêtement, je ne sais pas quoi dire. J'ai juste envie de me rouler en boule à attendre qu'une étoile filante passe et que je fasse un vœu. Bien-sûr, mon vœu serait de devenir un personnage de l'un des univers de Jay Crownover, je veux mon nom associé à un ténébreux au cœur tendre, pleeeeease.

Je dois bien admettre que j'ai oublié ce que je voulais écrire en deux secondes de temps. Merde.

BREF. Je dois des excuses à mon cœur pour la souffrance que je lui cause en lisant de tels romans. Et de ne pas avoir trouvé le Marked Man de sa vie. Sorry. Mais sérieusement, après je m'étonne de trouver les mecs nuls mais c'est de la faute de Jay! C'est elle qui a décidé de bousiller toutes mes chances avec des personnes réelles en donnant vie à de tels perles. huuuuuuuuuuuuuuuh *pleure désespérément*

Ne vous ai-je pas dit? Je suis faible. Ou plutôt, Jay Crownover me rend faible et du coup impossible de 1. résister aux personnages et 2. résister à la romance. IMPOSSIBLE. Alors vous êtes bien-sûr très surpris d'apprendre que j'ai fondu, je me suis transformée en flaque, je me suis évaporée, en découvrant le couple Rowdy/Salem!

Leur histoire m'a beaucoup intéressée et il y avait (comme toujours) des moments qui me tordaient l'estomac et je ne peux que remercier Jay et bénir le jour où elle a décidé qu'elle écrirait sur des sexys qui font bavé toutes les filles, même celles comme moi qui ne bavent pas d'ordinaire (ou presque pas). Bravo, Jayjay.

Bref, tout ça pour dire que oui, Salem et Rowdy rejoignent la liste de mes ships. Et si vous voulez savoir, chaque couple que présente cette auteure est un ship. Même les couples qui ne sont pas encore couples. Eh ouais, j'anticipe, je suis prête pour les prochains. Je suis impatiente même!

Ce cinquième tome m'a démolie, tout simplement. Un nouveau couple, une nouvelle histoire. Je me suis rendue compte du temps passé (dans l'histoire) depuis le premier tome et comment les choses ont évoluées et ça m'a rendue toute émotive! On a de nouveaux personnages, et les anciens ont fait du chemin, et ahrr mon pauvre cœur ne peut le supporter! Où est passé le temps où Rule baisait tout ce qui bougeait?! *mouin mouin mouin mouin* C'est bizarre mais je me sens comme une mère poule qui réalise que ses bébés ont grandis! ^^

Cette review ne contiendra aucun spoiler, bien que ça ne soit pas l'envie qui manque mais je connais les petits malins qui cliquent sur le lien du spoiler sans avoir lu le livre et ça, C'EST HORS DE QUESTION. Les petits malins vont devoir lire Rowdy et s'accrocher à leur pauvre petit cœur car Jay Crownover ne nous épargne pas. Bien à vous, une lectrice avec le cœur en vrac, justement.

Puis-je m'arrêter là? C'est de la torture de parler de mes amours!!!!! Surtout que la fin qui n'est pas vraiment la fin car ce n'est jamais la fin quand Jay Crownover continue (entre autre) l'histoire dans une autre série (que je lirai vous le savez bien) mais QUAND-MÊME!

Alors oui, je m'arrête là. En plus, admettons que cette review est surtout un grand blabla. C'est moi qui pleure mon amour pour les Marked Men sans plus aucune objectivité. Mais c'est peut-être justement ça qui montre à quel point je les aime ces mecs marqués!

Au fait, vous n'entendrez plus parler de moi avant que j'ai lu Asa. Cela dit, il est probable que ça arrive très très tôt donc je reviens bientôt! ;)

PS: je vais écrire une lettre à Jay Crownover pour qu'elle écrive un tome sur moi et un des gars qu'elle dessine tranquillement dans sa tête pendant qu'elle me torture avec tous les autres. ^^ (Je déconne à peine.)

«On peut savoir une chose, Rowdy, mais notre cœur peut s’accrocher à une autre.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/16/rowdy-jay-crownover/
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date : 15-06-2017
«"Everybody's got secrets," he says. "Right?"»

(Une courte review parce que les examens m'épuisent et qu'écrire est actuellement mon pire cauchemar. ^^)

One of Us is Lying c'est ce qui arrive quand The Breakfast Club est témoin d'un meurtre alors qu'ils sont censés écrire une putain de dissertation.

J'ai beaucoup aimé ma lecture mais j'ai eu un mal fou à réellement m'y intéresser. Parce que je suis le genre de personne qui ruine un moment de suspens en disant "c'est lui le tueur" et en ayant raison.

Louan: 1 TBC OOUIL: 0

C'est donc le Samedi 24 Mars 1984. Non, mauvais sénar! c'est le Lundi 24 Septembre 2017 (ou 2016 pour ce que ça change). À Shermer High School... Toujours pas? Le lycée de Bayview High accueille cinq élèves en détention. Bon OK, techniquement c'est M. Vernon. Désolée, je ne m'y fais pas. C'est M. Avery qui accueille les élèves mais on va pas chipoter. Si? Bref, cinq élèves entrent en colle et seuls quatre d'entre eux en ressortiront (vivants). Et si vous vous posez la question, non ils n'ont pas écrit cette foutue dissert'!

"The Breakfast Club meets Pretty Little Liars" Moi je dis que ça donne tout de suite envie. En tous cas, ça m'a intrigué. Et pour une fois, c'est plutôt vrai. Après la mort Simon (don't worry, c'est pas un spoiler), le tueur de ce dernier poste des petits messages histoire de bien faire comprendre à tout le monde qu'il ne regrette rien, blablabla.

⇒ One of Us is Lying est donc une histoire que j'ai véritablement su apprécier. Malgré un léger manque d'intérêt par moments (et parce qu'aucune surprise ne m'a été offerte), Karen M. McManus a écrit un roman solide et une histoire intéressante qui a tout pour plaire. Un thriller YA qui a répondu à mes attentes sans réel problème.

⇒ Au niveau de la plume rien à signaler! L'auteure écrit de manière simple mais agréable et fluide. Malgré certains passages que j'ai trouvé un peu long, globalement tout glisse parfaitement; Karen M. McManus ne donne ni trop ni pas assez.

⇒ De manière globale, les personnages de OOUIL sont bons et solides eux aussi. Et ils sont réalistes malgré leur côté cliché. Oui, c'est un peu contradictoire mais vous devrez vous en contenter! Parce qu'être un stéréotype ne signifie pas que vous êtes irréaliste. Si, si. Et durant votre lecture, vous découvrirez que ces personnages ne sont pas que les étiquettes qui leur sont collées au front.

Bronwyn est le cerveau. Nate est le criminel. Addy est la reine de beauté. Cooper est l’athlète. Et si vous confiez vos secrets à Simon (le mort. Bah quoi?), il les révèlera à tout le monde via son appli.

Chacun est intéressant à découvrir, chacun ayant un rôle social (et autre) différent. Les personnages de Karen M. McManus ont leurs différences et leurs points communs, mais dans tous les cas, ils valent le détour.

C'est tout ce que je vous dirais, je vous laisse allez découvrir le reste par vous-même (parce que j'admets avoir une flemme incroyable de développer ce point).

⇒ En conclusion, One of Us is Lying est un roman solide que je me dois de recommander aux fans de The Breakfast Club parce que la vibe est là et que le tout modernisé est vraiment bon. Je verrai bien ce bouquin adapter au cinéma. Une adaptation réussie, on s'entend. En tous cas, j'ai passé un bon moment à lire OOSIL entre deux longues périodes de révision. (Quand je pense que je n'ai lu que trois livres pour le moment en Juin, ça me donne envie de maudire l'académie, sérieux. Les gars, vous êtes en train de bousiller mon rythme de lecture, merde!)

Oh! et maintenant j'ai la chanson du film dans la tête! ♫Don't you forget about me/Don't don't don't don't/Don't you forget about me♫

«Things'll get worse before they get better.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/15/one-of-us-is-lying-karen-m-mcmanus/
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«I want to see the stars die.»

"Is it too much to ask that no one speak to me in the morning?" ← ce moment où je comprends que Eliza est mon âme sœur. ;)

Francesca Zappia intègre définitivement la liste de ces auteurs desquels j'attendrai chaque nouveau roman avec impatience. Après Made You Up, elle revient avec Eliza and Her Monsters et moi, Louan, je ne réponds plus de rien. amen.

j'ai. adoré. ce. bouquin.

Que puis-je vous dire? Avant tout. → Je veux lire Children of Hypnos. OMG. Ça m'a l'air dément!

Cela dit, place aux choses sérieuses.
Eliza - plus connue sous le nom de LadyConstellation est la créatrice anonyme du grand succès de webcomic Monstrous Sea. Et alors qu'elle rencontre Wallace, le garçon qui écrit les meilleures fanfictions sur MS, Eliza se rend compte qu'en dehors du monde virtuel dans lequel elle vit la majorité du temps, il y a aussi un monde (bien réel) qui mérite (peut-être) d'être découvert.

Cette histoire est tout ce dont j'avais besoin, 1. parce que ma vie est actuellement un mal de crâne parce que je suis en plein dans les examens (vous aussi?) 2. ça me rappelle cette époque où j'écrivais moi-même des fanfictions (et où les examens n'existaient pas encore dans ma vie). #nostalgie

• Bon, comme je l'ai dit, j'ai adoré l'histoire. Cependant, j'ai eu quelques petits (tout petits) soucis avec Eliza and Her Monsters. Parce que non, rien n'est parfait.

Déjà, j'ai eu un peu de mal à me lancer. Question, addictivité, je dois admettre que ça dépendait les moments. Certaines scènes étaient addictives et certaines autres ne l'étaient pas du tout. Sadly.

• Francesca Zappia a cependant une plume que j'apprécie, comme je l'appréciais déjà à ma lecture de Made You Up (qui avait été un gros coup de cœur). Tout simplement, cette auteure a une plume simple qui m'apaise (dit comme ça j'ai l'air pathétique, je sais) et je ne sais pas, je l'aime c'est tout.

• Place à présent aux personnages! Je fais toujours très attention aux personnages. Ces petits gars sont de véritables crash tests. Globalement, les personnages de Eliza and Her Monsters sont très bons. Ils sont réalistes et plutôt agréable à découvrir/suivre. Je les ai donc aimé et pour la majorité, je m'y suis même attachée.

♦ Je ne vais pas être très objective (quand suis-je objective de toute façon, hein?), Eliza et moi avons BEAUCOUP (oui c'est-à-dire vie sociale quasi inexistante -pas aussi nul qu'il n'y paraît-, anxiété, et tout le blabla) en commun donc j'ai ressenti une certaine sympathie à son égard. Au final, je me suis attachée à cette fille. Parce que je pouvais comprendre son comportement.

♦ Wallace est un personnage que j'ai apprécié, sympa à découvrir et à côtoyer dans un livre. J'adore le fait qu'il ne parle pas souvent, même si la raison est triste. J'ai eu un coup de cœur pour le fait que Wallace écrit. Parce qu'étant quelqu'un qui écrit depuis l'âge de dix ans et ayant commencé avec des fanfictions, ça m'a fait quelque chose en commun avec lui et c'est toujours plaisant d'avoir des points commun avec un personnage.

Cela dit, Wallace m'a plu. Il est sympa et mignon. Mais l'une de ces réactions vers la fin du roman (je n'en dirais pas plus dessus) m'a paru très égoïste et déplacée en vue de la situation à ce moment-là. Cela a donc un peu entaché l'image que j'avais de lui.

♦ Je voulais aussi faire un petit point sur la famille d'Eliza. Les parents d'Eliza veulent sans aucun doute bien faire et on n'a pas non plus de doute quant au fait que ce sont de bons parents. Je les ai donc apprécié, malgré quelques moments où je les trouvé un peu trop envahissant dans la vie de leur fille. Mais je peux aussi comprendre qu'ils aient envie de passer plus de temps avec elle et qu'ils s'inquiètent. J'apprécie que ce sont des parents qui essaient au maximum d'être présents.

J'ai beaucoup aimé les petits frères d'Eliza, Sully et Church. Ce sont des garçons supers et même s'ils sont secondaires, je les ai adoré et je m'y suis attachée. Je me sentais désolée pour eux qu'Eliza ne prête pas beaucoup (voir pas du tout) d'attention à ce qu'ils aiment etc. Ils sont tout simplement attendrissants, j'avais envie de leur faire des câlins. ^^

• Passons à la romance. Ah, la romance... Je me répète sûrement mais la romance et moi ne sommes pas vraiment les meilleures amies du monde. Ne vous méprenez pas, j'ai apprécié la romance entre Wallace et Eliza. C'était mignon, avec des moments craquants et d'autres gênants dans un sens que j'aime beaucoup. Mais il m'a manqué quelque chose pour que j'adore leur relation et donc je ne peux dire que je suis leur fan numéro 1 et que je les ship à mort. ^^ Cependant, je les trouve bien ensemble donc ce n'est pas une mauvaise romance, c'est clair.

• Avant d'aller à la conclusion de cette review, il faut ABSOLUMENT que je vous parle des illustrations peuplant les pages de ce roman. Ces illustrations qui nous présentent par vagues Monstrous Sea sont géniales et elles complètement Eliza and Her Monsters à merveille! Je les ai adoré!

• Viens enfin la conclusion. Donc, en conclusion, Eliza and Her Monsters est un roman que j'ai adoré. J'ai passé un très bon moment de lecture et tous les fans de romance contemporaine (et même ceux qui n'en sont pas fans) sont priés d'aller lire ce roman. Merci.

«There are monsters in the sea.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/11/eliza-and-her-monsters-francesca-zappia/
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«Love just makes idiots of people.»

OK, When Dimple Met Rishi est le premier livre que je lis en dix jours (j'ai eu un passage à vide question lecture et j'ai l'impression d'avoir perdu la main). Je suis donc bien heureuse qu'il m'ait plu.

C'est un roman tout en sourires et smileys avec des cœurs dans les yeux. Une comédie romantique qui vaut clairement le détour, un contemporain qui a l'effet d'une bouffée d'air frais!

J'ai adoré.

J'ai tout adoré. Et je l'adorais déjà à la première ligne. Alors pourquoi ne pas lui avoir donné un 10/10? Tout simplement parce que j'ai un grand mal à donner une note maximale à un roman contemporain en général, car il n'y a pas spécialement de suspens, pas besoin de world building, etc. Alors disons que ceci est la meilleure note que je puisse donner à une romance contemporaine. Surtout à une romance, d'ailleurs. :D

Sandhya Menon nous mène donc à la rencontre de Dimple Shah et Rishi Patel dont les parents sont nés en Inde et sont très attachés aux traditions. Ces mêmes parents décident d'arranger un mariage entre Dimple et Rishi. Et si Rishi a l'âme d'un romantique et que les traditions sont importantes à ses yeux, Dimple voit les choses d'un autre œil et refuse catégoriquement un mariage arrangé. Avec qui que ce soit.

Les choses ne sont donc pas gagnées d'avance. Et quand Dimple rencontre Rishi, elle lui fait immédiatement comprendre que ce mariage n'est pas près d'arriver.

× Bref, comme vous l'aurez donc sûrement compris, j'ai beaucoup aimé la romance dans When Dimple Met Rishi. Sachez que je suis une vraie chieuse en ce qui concerne la romance, dans le genre jamais contente. Eh bien, Dimple et Rishi m'ont conquise!

Déjà parce que je n'avais encore jamais un roman où les deux personnages principaux sont censés se marier. Et surtout parce que Dimple et Rishi ne tombent pas amoureux et n'entrent pas dans une relation amoureuse dans la seconde qui suit leur rencontre. Au contraire, ils deviennent avant toute chose amis. Ils laissent les choses évoluées entre eux et c'était super agréable et mignon à découvrir.

Clairement la romance entre ces deux personnages est très bien mise en place et très bien développée. C'est deux amis avec le cœur qui s'emballent et de douces étincelles qui crépitent entre eux.

× Si j'ai aimé la romance, il y a de grandes chances pour que j'ai aimé les personnages de Rishi et Dimple. Mais avant de parler d'eux, je tiens à faire un rapide point sur les personnages secondaires. Tout ça pour dire que je les ai beaucoup aimé, que ça soit Ashish, les parents de Dimple, ou même Celia.

J'ai adoré Dimple. C'est une jeune femme avec du caractère, qui sait ce qu'elle veut et qui est déterminée à faire de ses rêves des réalités. Je l'ai trouvé attachante et j'ai apprécié le fait qu'elle soit le genre de fille qui se préfère sans artifices.

Rishi n'est pas autre chose qu'adorable. Sérieusement, comment ne pas rêver d'un tel garçon? Il est drôle et intentionné, il est sûr de lui d'une manière apaisante et pourtant il a ces moments de timidités, il est rationnel et rassurant, et il n'a pas peur de se battre pour ceux qu'il aime. Rishi Patel est une perle.

× When Dimple Met Rishi est un roman très addictive avec ses moments cute et ses moments hilarants sans oublier les moments sérieux et ceux qui débordent d'émotion. Sandhya Menon n'en a loupé aucun.

× Et en parlant de Sandhya Menon, la plume de cette auteure est très agréable à lire. C'est fluide et vous n'aurez aucun mal à vous plonger dans l'histoire. Tout comme vous n'aurez aucun problème à visualiser les scènes et à ressentir les émotions avec les personnages.

× Aussi, je tiens à saluer le fait que Sandhy Menon ait mis la culture indienne en avant et qu'elle s'y soit tenue du début à la fin. Mais surtout qu'elle nous l'ait montré du point de vue de Rishi et de celui de Dimple qui nous permettent de voir les différences et les similitudes de leur avis. (Tiens, ça faisait longtemps que je n'avais pas galérer à m'expliquer...)

× En conclusion, When Dimple Met Rishi est un super roman. Je ne peux qu'en recommander la lecture à tous ceux qui recherchent une lecture légère, romantique, hilarante et addictive en plus de ça. Clairement, je lirais le prochain roman de cette auteure sans hésiter!

«This is our life. We get to decide the rules. We get to say what goes and what stays, what matters and what doesn’t.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/06/09/when-dimple-met-rishi-sandhya-menon/
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date : 31-05-2017
«Ce monde est plein de déceptions pour ceux qui veulent seulement rêver.»

"Suffocant" tu l'as dit. Ce tome est suffocant. Dans le genre je me noie sans eau, j'étouffe même avec un masque à oxygène collé à la tronche. Suffocant. Phobos³ c'est comme un coup de poing dans l'estomac qui vous oblige à haleter dans l'espoir que ça fera revenir l'air dans vos poumons plus vite.

Riez, levez les yeux au ciel, n'importe quoi mais sachez que j'étais terrifiée à l'idée de lire ce troisième tome. Et en même temps, j'avais hâte de m'y plonger.

Avant toute chose, arrêtons-nous cinq petites secondes sur la couverture. OMG, je l'adore. (Voilà, cinq petites secondes, même pas.)

Bon, je commence par quoi? Phobos³ fait 620 pages, je dois bien avoir quelque chose à dire, n'est-ce pas? Eh bien, déjà je crois que c'est mon tome préféré. Si! Je sais que beaucoup l'ont trouvé en-dessous des autres tomes mais pleeeease, Phobos³ est une perle. La note que je donne à ce tome-ci n'est pas plus élevée que ma note donnée au premier tome et au tome zéro. Parce que ce troisième tome n'est pas forcément mieux que ceux-là. C'est juste celui que j'ai préféré, ok? (Est-ce que ça a du sens?)

bref. Retour sur Mars avec les pionniers qui ont dû faire face à de belles désillusions depuis le premier tome. Honnêtement, je craignais que Victor Dixen me brise tellement le cœur que celui-ci se réduirait à des particules si fines qu'on aurait clairement pu dire qu'il avait été désintégré. (Ouais, à ce point.) Heureusement, mon cœur est toujours dans ma poitrine et bien entier. Bonne nouvelle, non? Cela dit, ça ne signifie pas que je n'ai pas souffert!

Il faut que je vous dise: Ce n'est pas parce que coloniser Mars semble possible que c'est une bonne idée!! Encore mieux, c'est pas parce que ça semble être une bonne idée que ça l'est vraiment! Regardez donc où en sont nos pionniers ou encore souvenez-vous de Mark Watney!!!

BREF.

Les pionniers. Six couples qui se sont jurés amour et fidélité jusqu'à la fin de leurs jours (sur Mars) au cours de Phobos². Eh bien, autant vous le dire tout-de-suite, Phobos³ c'est l'épreuve qui remettra en cause l'amour des couples et la coalition du groupe. Mais bien-sûr, les choses sont toujours plus difficiles que prévues. Et Victor Dixen n'a pas oublié le sens du mot "difficile". Certains secrets éclateront, certains duos imploseront, et certaines choses dégénéreront. Bref, Mars n'en laissera aucun s'en sortir indemne.

Il n'y a pas grand-chose que j'ai à dire que je n'ai pas déjà dit d'une manière ou d'une autre dans mes précédentes reviews concernant les premiers tomes. Mais je vais rapidement refaire un point dessus:

♦ La plume de Victor Dixen, qui est toujours aussi bonne. Je me répète mais je trouve sa plume entraînante, descriptive et plutôt riche sans pour autant être lourde. De plus, on sent que Victor D. connaît son sujet.

♦ La présentation du roman - les schémas et tout ce qui s'en suit, que puis-je vous en dire? J'adore toujours autant. C'est un aspect de ma lecture qui m'a un peu déstabilisée au début (en lisant le premier tome) mais je suis venue à adorer ça et sans ces schémas, l'expérience de Phobos ne serait pas la même, c'est sûr.

♦ Quant aux personnages, je les adore. Je sais bien qu'à dire ce n'est pas très original mais j'adore les personnages auxquels Victor D. a donné vie. Ils ne sont pas parfaits, chacun ayant ses foutus défauts mais c'est ce qui les rend si bons; ils sont réalistes.

D'ailleurs, j'ai fait ma propre liste de cœur. ^^
Prétendants:
1. Mozart
2. Kenji
3. Marcus
4. Alexeï
5. Samson
6. Tao

Prétendantes:
1. Léonor
2. Kelly
3. Safia
4. Liz
5. Kris
6. Fangfang

Cela dit, je ne vais pas parler de chaque personnage un par un (ça prendrait un temps fou). Simplement, je vais parler de quelques uns d'entre eux qui ont littéralement provoqué un tsunami dans tout mon corps.

Mozart a commis quelques erreurs depuis le début de la saga et durant Phobos³, c'est vrai. Mais quoi qu'il advienne, j'adooooore Mozart. Je l'ai toujours beaucoup aimé mais depuis que j'ai lu les Origines en Avril dernier, c'est vraiment l'un de mes personnages préférés. Donc sa simple présence provoquait une vague si puissante que je ne pouvais que tomber un peu plus pour ce personnage. (Ouais.)

Ah, Kenji mon phobique préféré. Durant ma lecture de Phobos³ je me suis rendue compte que j'avais toujours un mal fou à cerner ce personnage. Et surtout qu'à chacune de ses paroles, de ses actions, une part de moi n'était jamais étonnée puisque c'est Kenji alors qu'en même temps, je m'émerveillais devant chacun de ses gestes. (Ouais.)

Marcus me laisse sans mot. À chaque fois que j'avais l'impression de savoir à quoi m'en tenir avec ce personnage, il me montrait une nouvelle facette de sa personnalité et j'étais à nouveau perdue (dans le bon sens du terme). Au final, c'est juste un personnage que j'aime de tout mon cœur, et qui méritait beaucoup mieux. Et en même temps, c'est bête mais tout ce qu'il a fait, tout ce qu'il lui est arrivé, ça n'étonnera personne parce que c'est Marcus. (Ouais, c'est mon nouvel argument 'c'est truc-truc'.)

Concernant Alexeï, je ne sais pas. Ce gars est une grande-gueule, et il est parfois un peu extrême. Mais il y a toujours ce je-ne-sais-quoi chez lui qui me mène à l'adorer même quand il me donne envie de le frapper à mort. (Ouais.)

Kris est un personnage que j'ai toujours beaucoup aimé. C'est la douceur de Phobos. La douce brise à côté de la Grande Tempête. Cependant, dans Phobos³ elle m'a donné envie de la gifler, de la secouer, n'importe quoi si ça pouvait l'aider à se reprendre. Ouais, Kris est un personnage qui pour le coup m'a agacée. Et je ne sais pas si je me sentirais mieux par rapport à ce point quand je lirai le quatrième tome. Cependant, après la fin que Victor Dixen nous offre pour Phobos³, je ne sais pas si j'ai envie de la prendre dans mes bras et de la serrer très fort ou si j'ai envie de lui coller mon poing dans la figure et de lui arracher ses foutues tresses. Sûrement un peu des deux. (Ouais.) (Putain, depuis quand je dis 'ouais' à chaque fin de paragraphe, moi?)

♦ Phobos³ c'est aussi le tome où on "rencontre" les pionniers de la saison 2 du programme Genesis. En gros, on découvre leur profil. Still, j'étais vraiment curieuse de savoir quels étaient les profils choisis et je dois admettre que Victor Dixen a bien géré les choses. Alors, ai-je envie que dans le tome quatre on découvre ces nouveaux pionniers plus en profondeur? Je ne dis pas non à cela mais si l'auteur décide de ne pas le faire, je ne m'en plaindrai pas.

♦ Bon, inutile de vous dire que OUI, il y a de la romance dans Phobos puisque c'est l'histoire de douze personnes qui se rendent sur Mars dans l'optique de coloniser la planète. OK, les chances pour que six mecs et six filles réussissent à tomber amoureux ne sont pas énormément, ça ne signifie pas pour autant qu'il n'y a pas de romance. D'ailleurs, concernant Phobos tout-du-moins, on peut aussi parler d'amitié amoureuse donc voilà.

Vous vous attendez à ce que mon côté rabat-joie débarque pour vous dire "NON à la romance!" Eh bien, inutile d'attendre plus longtemps. Je vous l'annonce, j'aime la romance dans Phobos (qu'importe le tome mais concernant Phobos³ aucun problème non plus). Ce que j'aime dans la romance que propose cette saga c'est que même si on reste via certaines situations dans des romances de bases, eh bien les relations amoureuses (ou non) entre les personnages sont très bien développées, elles sont cohérentes et réalistes, ET elles ne prennent pas toute la place donc si jamais vous n'êtes pas un immense fan de romance, no problem.

Plus particulièrement, la romance dans Phobos³ m'a plu puisque les couples vont faire face à des épreuves qu'ils n'avaient pas prévues, à des vérités qu'ils ne pensaient pas entendre et forcément, ça rend les choses plus intéressantes et ça nous évite de tomber dans un train-train chiant à mourir.

♦ Globalement l'histoire de Phobos³ est addictive, passionnante et toujours aussi bien menée. SAUF deux/trois légers problèmes. 1. Le début était un peu lent. Par extension le passage véritablement lent de ce tome-ci c'est le procès de Marcus. Attention, spoilers de Phobos²!! À la fin de Phobos² Marcus révélait à Léo qu'il avait connaissance du Rapport Noé depuis le début et qu'au final il les a tous laissé courir à leur mort sans rien dire. Du coup les onze autres pionniers décident de le juger comme à un véritable procès, etc. Sérieusement, en fait, ils avaient juste envie de jouer les avocats. Puisque sur 620 pages on aurait pu en gagner au moins une centaine s'ils s'étaient contentés de lever la main et de voter au lieu d'avoir un avocat général, un greffier et tout le blabla. Je ne dis pas que j'ai détesté cette partie (pas du tout) mais c'était un peu trop "tirer par les cheveux". 2. Il y a d'autres petits points par-ci par-là qui entrent dans la même catégorie et que je n'évoquerai pas plus en détails parce que je me répèterai et que je risquerai de vous spoiler. Mais l'idée est là; certains passages étaient trop longs pour le résultat final et un peu exagérés.

♦ Le tome zéro aka Phobos Origines est évoqué d'une façon très intelligente dans Phobos³. (Ouais.) Sincèrement, je n'y aurais pas pensé. Les Origines est un tome qui raconte l'histoire des prétendants (comment, pourquoi, quand, etc) sous forme de documentaire. En gros. Eh bien, il se trouve que si vous voulez que votre lecture de Phobos³ soit véritablement complète, vous allez sûrement devoir lire les Origines. La chaîne Genesis diffuse le documentaire sur chaque prétendant quand un trou dans le programme est à bouché. (Je ne sais pas comment l'expliquer correctement.) Donc les spectateurs voient les premières minutes (les lecteurs lisent les premiers paragraphes) et s'ils veulent voir la suite ils doivent devenir membre premium. Ce qui fait que si vous n'avez pas encore lu Origines mais que vous avez déjà découvert Phobos³ pour connaître la suite du profil de Mozart, celui de Tao, de Samson, et des autres, vous devrez donc lire Phobos Origines. Voilà.

♦ La fin de Phobos³ est horrible (dans le bon sens du terme, ouais). Les rebondissements s'enchaînent et reprendre son souffle est une tâche difficile mais ça vaut clairement l'asphyxie. Et honnêtement, mon pauvre cœur. Il a morflé.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Bilan : ◊ Kenji (présumé) mort. (mon bébé!!!!) ◊ Kelly malade. ◊ Marcus mort (j'ai versé une petite larme). ◊ Kris a pété une durite et elle est enceinte (amen). ◊ Alexeï... mort. (Si! J'arrive toujours pas à y croire et j'ai eu envie de pleurer toutes les larmes de mon corps jusqu'à ce que je me dessèche.) ◊ Harmony est un clone... WHAT?! ◊ Serena McBitch est dans la mede (enfin!!!)

Ça va? Vous tenez le coup?

♦ Des questions? Oui, j'en ai quelques unes. Et j'espère sincèrement qu'elles trouveront leur réponse dans le quatrième opus de Phobos. Autrement, je serai sincèrement déçue. Cela dit, à l'instant précis je vendrai ma mère (désolée maman) pour connaître les réponses à ces questions. (Mais comme je tiens quand-même à ma mère, je vais juste attendre sagement.)

♦ En conclusion, Phobos³ est un coup de cœur. C'est troisième opus réussi avec une histoire toujours aussi bien menée et addictive, des rebondissements, des surprises, et des retournements de situations qui valent clairement (et douloureusement) la découverte. À présent, j'attends le quatrième (et dernier?) tome avec une grande hâte (et une grande appréhension aussi).

«De toutes les voiles dont disposent les humains pour naviguer au gré de l’existence, celles du cœur sont les plus difficiles à orienter, et peut-être même est-ce impossible.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/30/phobos%c2%b3-victor-dixen/
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«'I've had crushes on twenty-six people, twenty-five of whom are not Lin-Manuel Miranda»

«I'm on the toilet at the 9:30 Club and I'm wondering how mermaids pee.» Oui, moi aussi. Enfin, moi aussi je me demande comment les sirènes pissent. Sérieux. COMMENT?!

J'avais besoin de deux choses:

1. une romance que j'aimerai d'amour. ✓

2. un bouquin qui m'aiderait à me remettre du dernier épisode de la saison 4 de The 100. ✓

The Upside of Unrequited m'a donné tout ce dont j'avais besoin, et même plus. Alors je vous présente officiellement mon nouveau crush.

Si vous êtes déjà tombé pour Simon et Blue, vous tomberez sûrement aussi pour Molly et Reid. Très sûrement. Parce que Becky Albertalli sait comment vous faire tomber qu'importe qui vous êtes; que vous soyez gay ou hétéro (ou autre), que vous soyez maigre ou gros (ou entre les deux), que vous soyez blanc ou noir (ou métisse), que vous soyez discret ou bruyant... qu'importe, Becky Albertalli nous rappelle que ça ne fait pas la moindre différence, on aime tous de la même manière; avec des cœurs dans les yeux, la gorge nouée, et des papillons dans l'estomac. #beyourself

OK, tout ça pour dire que j'adooooooooooooooooore Becky et ses romans. #inlove #depuisquandjutilisedeshashtags

DONC. The Upside of Unrequited suit Molly Peskin-Suso (la cousine de Abby Suso que vous connaissez peut-être via Simon vs. the Homo Sapiens Agenda) qui a connu vingt-six crushes mais n'a jamais eu de petit-ami. C'est clair, Molly est incollable quand il s'agit de craquer sur un mec (dans son cas) et de décider qu'il est préférable de le garder pour soi. Mais alors, qu'en était-il d'avoir un copain? Molly meurt d'envie de connaître ça. Sa sœur jumelle Cassie connaît ça, son amie Olivia connaît ça, sa cousine Abby connaît ça... bref, Molly est la seule à ne pas connaître ça. Jusqu'à Will. (Oups, je voulais dire) Reid.

◊ Bon, ça ne vous surprendra peut-être pas mais j'ai adoré les personnages. Ils sont attachants et réalistes, et drôles, et tout ce que vous voulez dans la mesure où c'est gentil. ^^ Et il n'est pas difficile de se retrouver à travers un personnage, quel qu'il soit.

Molly est une adolescente avec des rondeurs. Ce qui ne l'empêche pas d'être jolie et de se sentir bien (la plupart du temps) dans sa peau. C'est une personne très anxieuse, au point d'avoir un traitement (#sœursdemedocs), ce qui ne l'empêche pas d'être drôle et irrémédiablement attachante. Molly a un cœur en or et une âme d'artiste et je l'ai adoré. C'est une de ces personnes simples, qui n'usent pas des artifices et qui n'en sont que plus belles, vous voyez? (le retour du "vous voyez?")

Reid (de la Terre du Milieu). omg. Vous me croyez si je vous dis que je suis tombée amoureuse de Reid dès sa première apparition et que par-la-suite je ne vivais plus que pour une scène avec lui? Eh bien, croyez-le ou non mais c'est vrai. Reid n'est pas un golden boy, et vous avez plus de chances de le croiser dans une cuisine que dans une salle de sport. ENFIN! C'est si rare les gars (dans les romans) qui sont beaux sans ressembler à des mecs tout droit sortis de photoshop. #reidestparfait #reiddelaterredumilieu #fautquejarrêteavecleshashtags

◊ La romance entre Molly et Reid est super mignonne! Et elle leur correspond vraiment. (uh. Quel argument.) J'aime comment les choses se déroulent entre eux, comment leur relation évolue et tout ça. (aka je ne sais pas vraiment quoi dire mais je vous donne l'impression que je sais, coup classique) J'aime leur complicité et il ne m'a pas fallu longtemps pour les ajouter à la liste de tous mes ships (je tiens vraiment une liste).

◊ Becky Albertalli a une plume que j'aime beaucoup. Non seulement parce qu'elle est fluide et claire mais en plus parce que cette auteure ne se contente pas seulement de raconter une histoire. Elle n'entre pas dans les clichés habituels, elle n'a pas peur de nous faire rencontrer des personnages réalistes et par-dessous tout elle y met du cœur.
Becky Albertalli me fait ressentir de ces trucs! Sincèrement, c'est assez rare que j'ai envie de pleurer quand un personnage a envie de pleurer, que j'ai envie de lever les yeux en même temps qu'un personnage, que je ris avec un personnage, etc. Et j'ai adoré l'effet que ça a fait à mon estomac. J'ai l'impression que ça fait bien trop longtemps que ça ne m'étais pas arrivée.

◊ Becky Albertalli est de ces auteurs qui soutiennent la communauté LGBT+ et qui le font à la perfection. Je soutiens la communauté LGBT+ et j'appartiens à la communauté LGBT+ alors quand Becky Albertalli écrit une histoire sur une fille dont la jumelle est lesbienne dont la petite amie est désignée comme pansexuelle (personne qui peut ressentir de l'attirance sexuelle/émotionnelle/blablabla pour une autre personne quelle que soit son sexe et son genre -femme/homme/sans genre/trans/autre-) et qui a deux mères, je suis conquise. Je peux clairement mourir en paix.

◊ Oh et, il y a Simon dans The Upside of Unrequited. OK, une scène et demi. Mais quand-même!

◊ Pourquoi pas 10/10? Je suis une rabat-joie. Et J'AIME être une rabat-joie. Mais ce n'est pas parce que je suis une rabat-joie que je n'ai pas donné 10/10 à The Upside of Unrequited même si ce livre est (presque) parfait. Il y a deux raisons à cela:

1. j'ai eu du mal à me lancer dans cette lecture. Avant que je me lance véritablement dans cette lecture, j'avais déjà essayé de lire ce roman. OK, j'ai lu vingt pages et je me suis arrêtée. Mais j'avais tellement peur que The Upside of Unrequited ne soit pas à la hauteur de mes attentes, qu'il ne soit pas à la hauteur de Simon vs. the Homo Sapiens Agenda que les vingts premières pages m'ont été gâchées et je ressens le besoin de prendre ça en compte. (Je suis une rabat-joie, souvenez-vous.)

2. ce livre a une note de 9/10. Ça signifie que si un jour je décide de le relire, il y a de grandes chances pour que je lui donne finalement le 10/10 qu'il mérite amplement.

◊ En conclusion, j'ai adoré ma lecture de The Upside of Unrequited qui est donc un coup de cœur et j'ai hâte de lire le prochain roman de Becky Albertalli. Tout simplement parce que j'adore son travail. The Upside of Unrequited est un roman qui ne manque pas de moments touchants, drôles, et j'en passe. C'est une lecture addictive et réaliste. C'était génial.

PS: Vous voulez savoir pourquoi il m'a fallu autant de temps (trois heures) pour écrire cette review? Non? Tant pis, je vous le dis quand-même. Entre deux paragraphes, je regardais des vidéos de Bellarke (Bellamy/Clarke - The 100) parce que je ne me remettrai jamais du final de la saison 4 et que la saison 5 me semble bien trop loin. Voilà, vous connaissez à présent ma faiblesse. #fangirl #bellarke #ineedseasonfivenow

«I don’t entirely understand how anyone gets a boyfriend. Or a girlfriend. It just seems like the most impossible odds. You have to have a crush on the exact right person at the exact right moment. And they have to like you back. A perfect alignment of feelings and circumstances. It’s almost unfathomable that it happens as often as it does.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/26/the-upside-of-unrequited-becky-albertalli/
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date : 19-05-2017
«"No one finds the love of their life while they're a teenager."
"You haven't read any YA novels recently, have you?"»

Alors comme ça je suis la seule dont le cerveau n'a pas crié GAYS quand j'ai lu le synopsis? Où est donc passé mon super sens de la déduction?! Et bien-sûr, je n'ai pas eu la merveilleuse idée de regarder les thèmes. Mais quelle bonheur j'ai ressenti lorsque j'ai enfin découvert que The Love Interest avait une romance M/M!

J'étais encore plus emballée par cette lecture que je l'ai bien aimé mais sans plus. AÏE.

Il n'en faut pas plus pour détruire mon monde. Aussi motivée étais-je à adorer cette lecture, tous mes efforts étaient vains. Je reste à la case où je l'apprécie juste beaucoup. C'est le genre de lecture limite bof que je vais oublier trèèèèèèès rapidement. (Mais au moins je lui ai donné la moyenne.)

♥ Une compagnie secrète a pour agents des adolescents appelés les Love Interests. Leur mission est de séduire une personne qui a le potentiel de devenir une personnalité importante de la société dans un futur proche. Les Love Interests sont divisés en deux simples catégories : les Bons et les Mauvais. Caden est un Bon, c'est le garçon gentil et mignon. Dylan est un Mauvais, le bad boy. Leur mission est de séduire Juliette. Et sans même le savoir, la jeune fille a le destin des deux Love Interests entre les mains. Car celui dont elle ne tombera pas amoureuse est destiné à mourir.

Clairement, ça a l'air cool, n'est-ce pas? L'idée est très bonne et Cale Dietrich a tenu ses promesses concernant l'histoire. Cependant, le récit m'a semblé être interminable (et certains points étaient un peu illogiques mais je dis ça je dis rien). Ce roman fait 373 pages et j'ai pourtant eu l'impression qu'il faisait le triple.

Ce n'est pas que je n'ai pas aimé l'histoire. Le véritable problème est que je n'ai pas réussi à pleinement m'investir dans le récit et par conséquent, il y a un tas de moments durant lesquels je me suis ennuyée.

Je suis donc déçue et franchement triste de ne pas avoir aimé ce livre puisque c'était l'une de mes lectures les plus attendues de cette année 2017.

Donc, en résumé, histoire bonne mais récit d'un ennui dépressif. C'est un nouveau concept de lecture, pour ma part.

Ce que j'entends par "histoire bonne"? Non, parce que je tiens à préciser. L'histoire est bonne. Pas exceptionnelle, pas d'une originalité de malade, pas inoubliable, juste ce qu'il faut pour que j'en apprécie les scènes et que je puisse la déclarer comme étant bonne. OK, j'admets que cette partie était inutile.

♥ Moi et la contradiction:

× Euh, déjà parlons des dialogues. Certains dialogues n'étaient absolument pas réalistes. Ils sonnaient même faux. Mais il y a des dialogues que j'ai adoré, qui m'ont apportés des émotions et qui se sont installés dans mon estomac.

× Il y a certaines scènes qui étaient mal amenées. Aïe. Parfois c'était tellement cliché que ça me donnait envie de lever les yeux au ciel. Genre le moment où la fille se fait mal, elle saigne et le gars enlève son t-shirt pour arrêté le saignement. Non mais WHAT?! Je ne peux pas adhérer à ça. NOPE. Cependant, il y avait des scènes où mon pauvre petit cœur ne pouvait que succomber.

× Alors oui, comme je l'ai dit plus haut, il y a des moments où je m'ennuyais à mourir mais il y a bien aussi quelques moments où jamais je n'aurais pu m'ennuyer un seul instant.

♥ Mais voilà, comme je l'ai dit plus haut certains points du récit étaient illogiques ou simplement pas vraiment cohérents. Et même si je comprends que via les Love Interests Bons et Mauvais l'auteur se moque (un peu) des stéréotypes YA/NA, ça reste un cliché un peu chiant et SURTOUT, je regrette qu'on n'ait pas d'explication quant à la façon dont les Bons et les Mauvais sont choisis. Parce que soyons clairs, Caden est un mauvais Bon et Dylan est mauvais Mauvais. Sérieux, les mecs.

Et je ne veux surtout pas jouer les rabat-joie mais JE SUIS une rabat-joie alors : 1. je trouve qu'envoyer deux gars (ou filles) pour une seule personne et tuer celui qui est rejeté à la fin est un peu excessif. mourir. pour. rien. n'a jamais eu autant de sens. OK, je n'étais peut-être pas la seule à le penser. ;) 2. Je comprends qu'on envoie un bad-boy et un prince charmant aux airs de bon samaritain parce que c'est un cliché qu'on adore rejouer encore et encore et qu'on sait jamais vraiment quel gars plaira à la fille, blablabla. PAUSE. Et le juste milieu, alors? Qu'est-il arrivé au juste milieu? Si j'étais Juliette (dieu merci, je ne suis pas Juliette) je ne choisirai aucun des deux. Je me connais suffisamment pour savoir que les bad-boys fanent vite à mes yeux et que les princes charmants me donnent envie de m'arracher les yeux, donc. Je suis très juste milieu. C'est pourquoi je suis bien heureuse de ne pas vivre dans ce livre. EN PLUS... non, j'ai pas d'autre argument, en fait. ^^

♥ BREF. Passons aux personnages du coup. On a compris, à première vue Dylan et Caden sont de véritables clichés sur pattes. Heureusement, Cale Dietrich ne s'est pas contenté que de ça. THANKS. Quand ils ne jouent à qui sera le meilleur cliché et aura la fille, ils sont plutôt... plats. Je comprends que ces mecs aient grandis avec pour seule otique de réussir leur boulot ou de mourir mais ça ne les empêchait pas d'avoir un minimum de personnalité, si? Ils ont les réactions de bases mais c'est tout. Il n'y a pas grand-chose de plus. C'est embarrassant. ^^

Ils ont cependant un petit côté attachant. Mais toujours embarrassant. En tout cas, les deux m'ont fait le même effet. Je suis sûre que sans les prénoms, je ne faisais pas la distinction entre eux. Sérieusement. J'abuse pas, même pas un peu. Sans leur prénom, que ça soit Dylan qui fasse telle ou telle chose ou Caden qui ait telle ou telle réaction, je n'aurais pas pu dire qui est qui et qui fait quoi. C'est dommage. (Je dirais juste que ces garçons ne savent pas encore qui ils sont véritablement et qu'ils se cherchent? ^^)

Les autres personnages avaient peu d'intérêt. Même Juliette n'était pas spécialement intéressante et parfois je la trouvais même très agaçante.

♥ La romance. Forcément le titre du bouquin étant The Love Interest, ça aurait été très con qu'il n'y ait pas de romance. C'est le moment où je vous dit si mon anti-romance s'est activée ou non. Eh bien, non. OMG, j'ai aimé cette romance.

De base, je ne dis pas non à une romance gay. Parce que j'ai la cause LGBT+ dans la peau et que je fangirl plus facilement sur les romances gays que les romances hétéros. Je mets un peu de piment dans ma vie, comme ça. ^^ Mais j'ai trouvé que la romance entre Dylan et Caden mignonne. Ils ne sont pas censés s'aimer, ils n'avaient même pas conscience qu'ils pouvaient aimer des garçons avant de tomber amoureux l'un de l'autre et je ne sais pas, les moments entre eux sont tout simplement électriques. Il y a un petit côté innocent et sexy dans leur relation que je ne sais pas expliquer mais qui m'a plu.

Je ne les ship pas spécialement mais je ne peux pas nier: j'ai beaucoup aimé leur relation et la façon dont elle a été développé au cours de The Love Interest.

ET PUIS deux mecs qui doivent séduire la même fille et qui se trouvent à tomber amoureux l'un de l'autre, quelles étaient les chances? ;)

♥ Précisions: je n'ai rien à dire sur la plume de Cale Dietrich. Rien. du. tout.

♥ La fin a eu plus ou moins le même goût que le reste du roman. Cependant, il y a eu une petite étincelle qui m'a menée à l'apprécier un peu plus que tout le reste du bouquin et à regretter que l'auteur n'ait pas usé de cette petite étincelle plus tôt. En tout cas, c'est une fin satisfaisante, celle à laquelle je m'attendais pas parce qu'elle est prévisible (elle l'est) mais parce que c'est la conclusion que je voulais pour cette histoire. Voilà.

En conclusion, The Love Interest est une déception pour moi. Il y a eu des bons éléments et d'autres moins bons. Je vais mettre ça sur le compte que c'est le premier roman de cet auteur et qu'il doit peut-être encore trouver son chemin. En tout cas, il a de bonnes idées et un véritable potentiel. Je retiens son nom et je lirais son prochain roman parce que quelque chose me pousse à croire en son talent, quelque chose me pousse à croire qu'un jour il écrira une perle.

«Anyway, isn't it pretty normal for a straight girl to fall for a gay guy? All the sitcoms treat it like a rite of passage, something all girls must go through.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/19/the-love-interest-cale-dietrich/
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«I live in a world where shadows have teeth.»

YES!! Enfin, enfin!!! Un livre sans romance. Autant vous prévenir tout de suite. Ces derniers temps j'ai un GROS problème de romance. Je les trouve insipides ou au moins je trouve toujours quelque chose qui me déplait.

Eh bien avec This Savage Song le problème est vite réglé: pas de romance donc pas de Louan qui joue la rabat-joie.

Ou presque.

Bref, je tenais à commencer par ça. Et maintenant je vais vous expliquer pourquoi selon moi This Savage Song mérite largement son 9/10 mais pourquoi je ne lui ai pas donné la note maximale. (Parce que j'ai envie. De vous le dire, pas de lui donner la note maximale.)

∇ This Savage Song est un roman de Victoria Schwab ou l'auteure de la trilogie Shade of Magic, donc c'est déjà un excellent point dans la mesure où cette trilogie est une tuerie!

∇ "Sin City PLUS Romeo and Juliet MINUS romance PLUS monsters."

Kate est humaine, August est un monstre. Ils vivent à Verity, un territoire divisé en deux - le nord est dirigé par Callum Harker le père de Kate et le sud est dirigé par Henry Flynn le père adoptif d'August. Concrètement, les deux adolescents ne devraient pas avoir la moindre chance de se connaître dans la mesure où ils sont "ennemis" et pourtant ils vont se lier d'une amitié interdite.

Donc clairement, c'est bel et bien Roméo & Juliette sauf qu'au lieu de vivre un amour impossible et déprimant, Kate et August vont vivre une amitié pour le moins inattendue et interdite dans un monde où les monstres naissent de véritables actes de violence (des actes criminels quoi) (littéralement, sérieux) et où les humains ne sortent plus à la nuit tombée dans l'espoir de ne jamais avoir à faire face à l'un d'eux.

Une lecture d'enfer, quoi.

∇ Premier point que j'ai adoré: les personnages. Sérieusement, je crois que je vais tomber amoureuse de chaque personnage que cette auteure décidera de créer.

Δ Kate est géniale. Au début on dirait juste une adolescente rebelle qui se prend pour la princesse de la délinquance. Mais en vérité il y a une part d'elle qui essaie d'être la fille de son père (qui n'est pourtant pas franchement un modèle à suivre), et elle se retrouve à être mi-monstre mi-humain (au sens figuré du terme, techniquement elle est totalement humaine). En tout cas, je l'ai trouvé badass, déterminée, et loin d'être stupide.

Δ August est un monstre qui a un véritable désire d'être humain. D'autant plus qu'il appartient à l'espèce - les Sunai qui justement ressemblent à peu de choses près aux humains.

Je l'ai trouvé vraiment intéressant à découvrir et au final c'est un personnage que j'ai adoré. Tout bêtement.

Δ Kate et August cherchent tous les deux le bon équilibre entre leur côté humain et leur côté monstre. Cela fait d'eux des personnages imparfaits donc réalistes, et attachants d'une manière qui leur est propre.

∇ This Savage Song est donc un roman qui met en avant l'amitié entre deux personnages et autant dire que j'ai adoré le duo que propose Victoria Schwab. C'est aussi plutôt rafraîchissant de découvrir un roman où il n'y a pas de sentiment amoureux entre les protagonistes. Ça change un peu de ce qu'on a l'habitude de voir et qui ne nous surprend plus.

∇ Il y a donc DES MONSTRES dans ce bouquin. J'adooooooooooooooore les monstres et ayant adorer ceux de This Savage Song, je me dois d'en parler.

Il y a trois espèces de monstres, ce qui n'est ni trop ni trop peu. Ça nous permet de bien retenir qui fait quoi et de ne pas finir avec une tonne d'informations qu'on ne saurait plus placer.

Δ Les Corsai ou si les ombres avaient des dents. Ils se nourrissent de chair et d'os. Et naissent d'actes violents.

Δ Les Malchai ou ceux qui ressemblent plutôt à des cadavres. Ils se nourrissent de sang mais ne sont pas des vampires. Ouais. Les Malchai naissent de meurtres. Sympa, n'est-ce pas?

Δ Les Sunai sont plus rares puisqu'ils naissent d'horribles moments (les massacres par exemple), et ils ressemblent à des humains. Ils se nourrissent des âmes des pêcheurs (meurtriers, etc) et ont besoin de la musique pour ça - August se sert d'un violon. La musique qu'ils font est lié à ce qu'ils ont entendu lors de leur naissance. Ou un truc comme ça.

Bref, tout ça pour dire que je les adore. Ils sont un peu inquiétants (quand-même) mais je suis fan. Et puis j'aime beaucoup l'idée de comment ils viennent au monde. Je trouve que ça dégage une certaine classe. ;)

∇ L'univers qu'a créé Victoria Schwab est tout simplement fascinant et assez complet. Il a un vrai petit côté sombre, dystopique, mais croyez-le ou non, je me sentais comme chez moi! Ou au moins depuis notre pauvre petit monde en sécurité depuis ma terrasse au soleil, je m'y sentais comme chez moi. ^^

∇ Je n'ai rien de spécial à dire sur la plume de Victoria Schwab. Je l'aime beaucoup, c'est tout. Elle est fluide et entraînante. Et puis, il est toujours très simple de visualiser les scènes dont elle parle. C'est ce qui s'appelle écrire avec un talent naturel. En plus, elle sait mettre en place l'atmosphère de l'histoire à la perfection.

∇ Alors pourquoi ne pas avoir donné 10/10 à cette lecture si tout semble m'avoir plu? Eh bien, même s'il est vrai que tout m'a plu. Il y a tout-de-même un léger détail que je trouve sincèrement dommage. Ce détail n'a pas gâché ma lecture mais quand-même. L'intrigue. Δ L'intrigue. L'intrigue. L'intrigue. Ce n'était pas vraiment une intrigue de dingue et ce n'est pas comme si le tout était bourré d'action. Ça ne me dérange pas. Mais parfois j'avais l'impression qu'il n'y avait simplement pas d'intrigue. Au final, je ne suis toujours pas sûre qu'il y en ait véritablement une. Enfin si, mais... AHR!!!! Je n'arrive pas à expliquer mon de vue. Mais si vous avez lu ce roman, vous comprenez peut-être où je veux en venir. Disons que c'était une intrigue assez simple dans le fond et pas spécialement toujours mise en avant. VOILÀ.

∇ En conclusion, Victoria Schwab a signé un autre diamant brute dont j'ai hâte de découvrir la suite. J'ai trouvé cette lecture fascinante et addictive, ce qui me pousse officiellement à me dire qu'il faut VRAIMENT que je lise Vicious cette auteure.

This Savage Song est le roman qui vous prouvera qu'être un monstre ne fait pas forcément de vous une personne monstrueuse et qu'un être humain peut renfermer un monstre. (OK, j'avais écrit mieux sur mon brouillon mais je l'ai supprimé par erreur et du coup, c'est tout ce que vous aurez. ^^)

«Corsai, Corsai,
tooth and claw,
Shadow and bone
will eat you raw.
Malchai, Malchai,
sharp and sly,
Smile and bite
and drink you dry.
Sunai, Sunai,
eyes like coal,
Sing you a song
and steal your soul.
Monsters, monsters,
big and small,
They're gonna come
and eat you all.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/17/this-savage-song-victoria-schwab/
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«We will occasionally remind each other that what we think to be our greatest weakness can sometimes be our biggest strength.»

Petit trou de mémoire : Qu'est-ce que je faisais de ma vie avant ACOWAR déjà?

J'ai besoin de boire un truc. «A bottle of wine. "It's fine if you drink directly from it", was all Mor said.» Je me contenterai d'un coca, merci.

Oh. Je ne sais pas quoi vous dire. J'ai le cœur brisé. En un million de petits morceaux qu'un milliard d'années ne pourraient réparer.

Et maintenant, je ne sais absolument pas quoi faire. Est-ce que je ris? Est-ce que je pleure? Est-ce que je me roule par-terre? JE NE SAIS PAS.

Petit conseil pour survivre à Sarah J. Maas: ACCEPTEZ VOTRE DESTIN, VOUS ALLEZ MORFLER. AGONISER.

Alors pour la petite histoire, je ne me suis pas autorisée à lire plus de 100 pages par jour pour faire durer ma lecture sans pour autant finir frustrée. ^^ Et je n'ai dit nulle part, à personne, que j'étais en train de lire ACOWAR. Pourquoi? C'était entre Sarah J. Maas et moi. Je ne voulais personne entre deux. Et je voulais pouvoir pleurer toutes les larmes de mon corps en paix. Merci.

Je ne sais pas quoi vous dire. Sarah J. Maas ne me déçoit jamais. Elle me fait souffrir, oui. Elle me fait rire, oui. Elle me fait pleurer, oui. Elle me fait, oui vous avez compris. Mais jamais elle ne me déçoit.
En gros, je viens de me faire tabasser par 699 pages et j'en veux encore.

«There are more tales to be told in the land of Prythian... The series will continue in 2018.» Ta gueule. Ta gueule et donne-moi le quatrième tome! Par pitié, je ne survivrai pas jusque 2018. Je serais gentille. Avec Tamlin. (uh.)
Ah oui aussi, j'ai eu des envies de meurtres en lisant ACOWAR. Coucou TamTam!
Spoiler(cliquez pour révéler)
Quoi que j'admets que je lui pardonne, un peu. Pour le «Be happy, Feyre.»[/spoiler]

Est-ce que je dois vous préciser que ACOWAR est fabuleux ou est-ce que vous l'aviez déjà compris? Non parce que ça ne me dérange PAS DU TOUT de vous le dire encore et encore.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
ACOWAR est fabuleux.
J'ai tout aimé. Du début à la fin. Des surprises à la Sarah J. Maas jusqu'au plus petit détail. Qui n'est jamais véritablement un détail avec SJM quand on y pense. Je l'ai appris à la dure, maintenant je me méfie. ;)

Comme à chaque fois que je lis un bouquin -et surtout un livre de Sarah- j'ouvre un traitement de texte où j'écris tout ce dont je veux me souvenir, mes réactions, mes pensées, etc pour pouvoir au final fournir un commentaire plus ou moins complet. Eh bien, mon traitement de texte pour ACOWAR c'est le livre, réécrit à la sauce Louan avec des insultes et des OMFG un peu partout. Voilà.

J'ai même fait un tableau avec tous mes ships de la série qui dit si les deux personnages sont en couple et mates, en couple mais pas mates, mates mais pas en couple, etc. Ça ne sert à rien, mais j'avais besoin de faire ce tableau.
Et le temps qu'on en parle, Azriel is mine. C'est mon mate, je le sens! ^^ Du coup, je me ship avec lui. Soyons fous. #Lazriel

Donc l'histoire était géniale. Avec des moments franchement comiques, des moments romantiques, des moments badass, et j'en passe. Clairement, ACOWAR ne nous laisse pas une seconde pour reprendre notre souffle.

Je n'essaierai même pas de vous faire un résumé. Je me connais. Il va faire cinq pages (précis) et il n'y aura que des spoilers. Donc. Mieux vaut pour vous que je ne le fasse pas. Ça serait tellement dommage de vous gâcher toutes les surprises, tous les rebondissements, tous les retournements de situations, toutes les révélations, tout. N'est-ce pas?

Cependant, je tiens juste à préciser que je me casse. Je fais ma valise et je pars pour Velaris. Ras-le-cul de ce monde pourri. À moi la Court des Rêves!

Maintenant, place aux PERSONNAGES. Inutile de vous dire que je les adore, bien-sûr. OK. Il faut que je le dise: Je les adoooooooooooooooooooooooooooore!

Azriel. Comme vous l'avez sûrement compris: je l'aime d'un amour fou. C'est l'anti-social (psychiatriquement parlant il n'est pas antisocial mais bon) le plus mignon et sexy que je connaisse. Je vous assure qu'il est fait pour moi. Et j'ai savouré chacune des scènes où il était présent.

Morrigan. Mor, c'est Mor. Elle est belle, intelligente, et on était au courant qu'elle était badass. Mais dans ACOWAR elle nous le prouve et j'ai adoré.

Amren. C'est un personnage que j'ai toujours beaucoup aimé. Mais j'avais l'impression que par rapport aux autres personnages, elle restait assez inaccessible (ce qui faisait partie de son rôle). Dans ACOWAR, on la découvre un peu plus en profondeur et je ne pouvais qu'adorer. Maintenant, j'en veux plus. Toujours plus. Je n'aurais jamais assez d'Amren.

Feyre. Je trouve qu'elle a bien évolué depuis le premier tome. C'est une héroïne que j'aime beaucoup et un personnage auquel je me suis indéniablement attachée.

Rhysand. "Ah, Rhys", soupira-t-elle d'un ton rêveur.

Nesta. Mon modèle dans la vie c'est Nesta. Je veux être forte comme Nesta. Froide comme Nesta. Belle comme Nesta. Badass comme Nesta. Sauvage comme Nesta. Tout comme Nesta. Cette fille ferait même peur à la mort. Je suis sa fan numéro 1. ;)

Elain. Eh, bien. J'admets que j'ai eu envie de la secouer pendant une bonne partie du livre. Elle m'agaçait! Heureusement, arrivé la fin elle a commencé à s'éveiller comme une jolie fleur qui éclot et j'ai compris que ça faisait partie de son personnage et ce que j'ai ensuite découvert m'a vraiment plu. ^^

Lucien. J'étais plus que ravie de le retrouver. Lucien aura toujours une énorme place dans mon cœur et j'approuve les choix qu'il a fait dans ACOWAR. Et je crois qu'ils m'ont même fait l'aimer encore plus. Mais je n'ai pas encore eu assez de lui. J'en veux pluuuuuuuus!

Cassian. Cassian. Je ne sais pas quoi vous dire. Il est parfait. Un véritable rayon de soleil qui vous donne envie de fermer les yeux et de savourer sa présence, sa chaleur... *in love*

Et puis il y a tout un tas d'autres personnages que j'ai adoré. Le Suriel (Ah, celui-là. Un rêveur.) [spoiler]On a enfin l'occasion de rencontrer Myriam et Drakon qui sont extraordinaires.[/spoiler] Il y a Jurian (si, si, je l'ai adoré.) Et puis, il y a Varian qui est un véritable coup de cœur pour moi. Et aussi Vassa (un nouveau personnage). Etc.

Un livre de Sarah J. Maas sans personnages géniaux, sans problèmes qui vous font frôler la crise cardiaque, et sans romances qui vous font hyperventiler, ce n'est pas du Sarah J. Maas.

ROMANCES.

Les romances de Sarah me font désespérée. Elles font de moi la personne la plus désespérée et romantique (berk) du monde! Mais qu'est-ce que je les aime! De Feyre et Rhys jusqu'à Cassian et Nesta en passant par Amren et Varian. Please, épargnez-moi. Mon pauvre petit cœur...
[spoiler]Pour ce qui est du couple Elain/Lucien, je suis contente que Sarah n'ait pas décidé que parce qu'ils sont mates ils s'aiment directement. Lucien désire bel et bien Elain, et il aimerait vraiment apprendre à la connaître, etc. Mais du côté d'Elain, c'est bien plus compliqué. Et à la fin d'ACOWAR ils ne sont toujours pas en couple.

Du côté de Azriel et Mor, Sarah nous a offert une belle surprise à laquelle je ne m'attendais pas. du. tout. Effectivement lors d'une conversation, Mor avoue à Feyre qu'elle aime le sexe avec les mâles et les femelles mais que d'un point de vue romantique, elle préfère les femmes. OMG! J'ai cru que je ne m'en remettrai pas. Je suis sincèrement heureuse que Sarah ait pris ce chemin-là. Mor a véritablement une histoire touchante. Mais j'admets qu'en l'apprenant, je lui en ai voulu un peu. Parce que ça fait 500 putains d'années qu'elle connaît les sentiments d'Azriel et qu'elle ne lui a jamais dit. Cependant, je comprends pourquoi et je pense qu'Azriel s'en doute d'une manière ou d'une autre. Tout ce que j'espère c'est que lorsqu'elle sera prête à l'avouer aux autres (pas dans 500 ans please) elle prendra Az à part et lui dira en premier. Il mérite au moins ça. Et j'espère qu'ils trouveront tous les deux la personne dont ils ont besoin et qu'ils méritent.[/spoiler]

BROMANCES.

«You belong to all of us, and we belong to you.»
Comme si j'allais louper une occasion de parler bromance. Non mais pour qui vous me prenez? ^^ Bon, c'est pas comme si j'avais plein de trucs à dire. Honnêtement, l'amitié n'a pas vraiment d'importance dans ma vie personnelle et j'ai parfois du mal à même apprécier une amitié dans un roman. Avant Sarah, je ne connaissais même pas le terme "bromance". Et justement Sarah J. Maas présente des amitiés fortes et sincères qui me plaisent énormément, qui me font autant fangirler (toujours pas grammaticalement correct, quand est-ce qu'on l'ajoute au dictionnaire celui-là?) que les romances. Sarah nous offre le genre d'amitié où on s'accepte les uns les autres avec nos points communs et nos différences, les choix qu'on fait et ceux qu'on ne fait pas, des amitiés qui se rapprochent d'avantage d'une famille sur laquelle on peut compter même dans les moments les plus difficiles et pour qui on ferait n'importe quel sacrifice.
«Our family - our court. The Court of Dreams.»
Entre Rhys, Cassian, Mor, Az, Amren, et Feyre, on a le droit à une belle brochette de bromances. Et j'adore quand les garçons s'appellent des frères avec un véritablement sentiment d'attendrissement. Vous voyez où je veux en venir?
«The great joy and honor of my life has been to know you. To call you my family.»

LA FIN.

La fin est tout ce que j'attendais. Tout en émotions et sourires idiots de ma part. Et je ne sais sincèrement pas quoi vous dire.

Un tas d'évènements se déroulent à la fin. Des évènements qui m'ont fait passée par toutes les émotions possibles et imaginables. Des moments qui m'ont fait désespérée, rire, simplement sourire, ou même pleurer. Un peu. Et même des moments qui m'ont amenés un petit peu de paix intérieure.

À la fin, il y a toujours ce silence. Quand vous venez juste de lire le dernier mot et que l'espace d'une seconde votre monde arrête de tourner. Une fraction de seconde pendant laquelle vous êtes perdu, où vous ne savez pas quoi faire. C'est une seconde douce et brutale. Et ACOWAR me l'a donné. Sarah J. Maas me l'a donné. Merci, Sarah.

Maintenant, je n'ai plus qu'à attendre 2018. Je vais me torturer l'esprit jusqu'en 2018. Pauvre petit cerveau... OMG. Je ne sais pas si je survivrai jusque-là! Avant de l'avoir entre les mains, il y a le titre qui sera révélé, le synopsis, et la couverture. Et déjà rien que d'attendre ces petits moments va être une torture. En tout cas, j'ai besoin d'un synopsis. Vite. Au moins pour savoir! Parce que là, on ne sait rien. du. tout. sur le quatrième tome. C'est l'horreur! ^^

Aussi, j'admets avoir une liste de ce que j'espère voir dans les prochains tome. Je n'ai pas pu m'en empêcher. Voici cette liste : [spoiler]∴Je veux découvrir le fils de Feyre et Rhys (celui dont le Carver prenait les traits aux yeux de Feyre). Mais je ne sais pas encore si je veux le voir enfant ou au début de l'âge adulte.

∴ Je veux plus de Cassian et Nesta. Parce qu'à la fin de ACOWAR ils ont certes des sentiments l'un pour l'autre mais il n'y aucune officialisation ni rien qui nous dit qu'ils soient en couple. Je voudrais donc les découvrir sous le point de vue de Nesta ou de Cassian, comme dans Wings and Embers (nouvelle à la fin d'une édition spéciale de ACOMAF). Et puis, je serai curieuse de découvrir s'ils sont mates ou non. Et si c'est le cas, quand le mating bond m'a se déclencher, etc. Et si ce n'est pas le cas, est-ce que ça les dérangerait d'être ensemble en pensant qu'il y a sûrement quelqu'un quelque part qui est leur mate, etc. Tant de questions. ^^

∴ Pareil concernant Varian et Amren. Surtout qu'après la fin de ACOWAR Amren est à présent une High Fae à part entière donc. Et simplement, je voudrais voir d'avantage de ces deux-là. Leur retrouvailles à la fin page 556/557 étaient délicieuses. ♥

∴ Je voudrais en savoir plus sur Eris, l'héritier de la Court de l'Automne. Parce qu'il m'intrigue et que je pense que c'est un personnage que je pourrais véritablement aimé. J'aimerai donc que Sarah se penche sur beau Eris.

∴ Lucien et Elain? À la fin de ACOWAR Elain semblait seulement commencer à faire un pas vers Lucien et j'aimerai vraiment voir leur relation se développer. Elain va finir par définitivement faire le deuil de sa vie d'humaine et de son ex-fiancé humain. Et je pense qu'ensuite elle pourra véritablement avancer vers Lucien qui n'attend que ça. Désespérément. ^^

∴ Je veux découvrir d'avantage de Vassa, qui était l'une des six reines humaines. Cette reine évoquée dans ACOMAF mais qu'on n'avait pas encore eu l'occasion de rencontre avant la fin de ACOWAR. Elle est sous l'emprise d'une malédiction et retenue captive sur le continent par un mystérieux lord. J'aimerai en savoir plus sur sa malédiction; pourquoi elle l'a reçue et comment elle va la briser. Je voudrais savoir qui est ce fameux lord... Et puis, Vassa a proposé une place à Jurian à sa court (quand elle se sera débarasser de son lord et de sa malédiction, je suppose) alors j'aimerai les découvrir tous les deux. Voir une alliance se former entre Vassa et Jurian. Ce qui permettrait de retrouver Jurian (que j'aime beaucoup). Alors pourquoi pas?

∴ Pour finir, je voudrais voir quand et comment Mor va annoncer à Azriel (et aux autres) sa préférence pour les femmes. Je voudrais la voir dans une romance F/F. Et du côté de Azriel, je voudrais qu'il ait une nouvelle histoire d'amour. Qu'il rencontre quelqu'un qui l'aime comme il le mérite. Parce qu'il le mérite. J'arrête pas de me dire que leur mate respectif est quelque part et je voudrais les voir découvrir le mating bond et tomber amoureux de quelqu'un de nouveau...

Je sais, ça fait beaucoup. Mais je croise les doigts pour que Sarah cale tous ça dans les prochains tomes. Je lui fais confiance. :)

Alors voilà, je crois que c'est tout, je m'arrête là. Waouh. En conclusion, ACOWAR est un troisième tome génial, addictif, et un énorme coup de cœur. C'est la fin de l'histoire de Feyre et Rhysand mais pas la fin de la saga ACOTAR. Ce qui fait que j'ai leur cœur seulement à moitié brisé, en fait. ;)

«I'll see you on the other side.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/12/a-court-of-wings-and-ruin-sarah-j-maas/
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date : 05-05-2017
«It’s terrifying to realize your own decisions are shaping your destiny.»

The Diabolic n'est pas une déception à proprement parler puisque je n'avais aucune attente en me lançant dans cette lecture. Cela dit, j'avais lu beaucoup de bonnes choses sur ce roman alors j'imaginais que ce livre serait bien mieux que ce que j'ai finalement découvert.

J'ai tout-de-même vraiment apprécié ma lecture. Car The Diabolic est le genre de roman que je me plais à lire même si d'un point de vue critique, je n'en suis pas une immense fan.

Honnêtement, je ne sais si ce que je viens de dire est véritablement clair. Je m'explique : vous savez ce genre de livre qui n'a pas sa place dans votre cœur et dont vous oublierez l'existence à peine la dernière page lue mais qui sur le moment vous a apporté un véritable plaisir? Eh bien, The Diabolic entre dans cette catégorie de lecture. Une catégorie qu'aucun livre n'avait intégré dans ma vie de lectrice depuis un sacré bout de temps!

∇ Dans un monde futuriste, il y a les Diabolics; des êtres créés pour protéger la personne à laquelle ils sont assignés. Nemesis est une Diabolic au service de Sidonia qui est la fille d'un sénateur (galactique). Et lorsque l'Empereur ordonne la présence de Sidonia à sa cour pour faire d'elle un otage (car son papa n'a pas été super malin), Nemesis fait ce qu'elle sait faire de mieux : elle protège Sidonia en se faisant passer pour la jeune fille.

Entre amitié, romance, politique et j'en passe, The Diabolic est un roman de science-fiction plutôt addictif. Bien que pas super original et sans réelle surprise.

∇ Je ne vais pas vous dire que j'ai adoré l'intrigue. Parce que ce n'est pas vraiment le cas. Je l'ai trouvé assez simple et prévisible. Cependant, je ne dirais pas non plus que c'est la pire intrigue jamais écrite. Parce que ce n'est pas le cas. ^^

∇ Au niveau de la plume de S.J. Kincaid, j'admets ne pas vraiment y avoir fait attention. Je peux cependant vous dire qu'elle est fluide et bien détaillée sans être lourdement chiante. C'est déjà ça, n'est-ce pas? ;)

∇ J'ai beaucoup aimé les personnages de Nemesis et Tyrus.

Δ Nemesis est badass et n'agit pas stupidement. Donc rien que ça, c'est une bonne chose. De plus, je l'ai trouvé attachante. Nemesis est clairement le cliché de l'humanoïde censé être dépourvu d'émotions qui va finalement découvrir qu'il est capable de ressentir de l'amour, etc. Ce n'est pas une idée franchement innovante. Mais K.J. Kincaid a réussi à la mettre en place de manière à ce que je n'ai pas envie de lever les yeux au ciel. Aussi, j'aime le fait qu'elle n'oublie cependant pas sa nature de Diabolic et ses instincts tel que celui de protéger Sidonia.
Nemesis est dangereuse. Et en même temps, il y a quelque chose de vulnérable en elle qui la rend indéniablement humaine.

Δ Quant à Tyrus, c'est un personnage très intéressant à découvrir. Il est l'héritier de l'Empire (galactique) et sincèrement, je n'aurais pas pu lui résister, même si j'avais essayé. Je n'en dirais pas plus simplement pour vous laisser le plaisir de le découvrir par vous-même mais sachez au moins qu'au départ, j'étais persuadée que rien ne pourrait me faire aimer ce personnage. #nesousestimezpastyrus

∇Δ J'ai cependant beaucoup moins aimé Sidonia. La vraie. On ne la voit pas énormément et bien heureusement parce que je l'ai trouvé légèrement agaçante et plutôt pot-de-colle. ^^ Son destin ne m'a pas spécialement étonnée ou même fait quoi que ce soit. C'est un personnage qui n'avait aucun réel intérêt selon moi.

∇ The Diabolic contient de la romance. Eh ouais. J'avoue que je ne savais pas qu'il y aurait de la romance avant que ma lecture me le fasse gentiment découvrir. C'est une romance classique, pas spécialement waouh, mais que j'ai tout-de-même aimé découvrir. Je l'ai trouvé divertissante et loin d'être désagréable. Même si j'ai eu l'impression qu'elle prenait un peu trop de place dans l'histoire... #jamaiscontente

∇ La fin m'a satisfaite. Et The Diabolic peut clairement être lu comme un standalone bien que deux autres tomes soient prévus. Après je ne sais pas si ce seront des suites ou de simples tomes compagnons donc.

En tout cas, la fin est à la hauteur du reste du roman. Bien que peut-être un peu simplette et rapide mais ce n'est pas ce que je qualifierais de mauvaise fin.

En conclusion, The Diabolic est une bonne lecture mais sans plus. Une découverte agréable, un roman qui fait passer le temps. Ce livre a tout ce qu'il faut pour être lu et apprécié. Il y a juste un petit manque d'intérêt pour l'intrigue qui n'est pas grandiose pour ma part.

«A Diabolic is ruthless. A Diabolic is powerful. A Diabolic has a single task: Kill in order to protect the person you've been created for.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/05/the-diabolic-s-j-kincaid/
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«Never fear. Never flinch. And never, ever forget.»

Nevernight n'a pas été écrit pour les âmes sensibles. Et heureusement pour ma petite personne, je n'en suis pas une. Il aurait vraiment été regrettable de passer à côté d'une telle perle.

Je peux être vulgaire? Jay Kristoff ne se prive pas alors je crois que ce commentaire peut être vulgaire. Histoire d'être un minimum à sa hauteur?

OK.

Alors.

ARRH!

Je n'y arrive pas. Je ne trouve pas un gros mot qui soit à la hauteur de Nevernight. ^^

Vous avez remarqué que je ne sais pas quoi dire, n'est-ce pas?

Nevernight est une tuerie.

Littéralement.

Et bien-sûr, moi âme insensible, j'ai adoré!!!!

Résumé de Nevernight en une longue phrase mais une phrase quand-même:
Mia veut venger sa famille et pour cela rien de mieux que d'intégrer le Poudlard des assassins (The Red Church), où les cours donnés sont différents de ceux que Harry Potter suivait mais tout aussi fascinants, si vous aimez prendre des bains de sang. ;)

Alors? Vous êtes tentés?

Oui, donc, Nevernight est sanglant. Et pas que! Jay Kristoff n'a eu peur de rien en écrivant ce roman.

Et on l'en remercie de tout notre cœur parce que c'est SPLENDIDE.

D'ailleurs, en parlant de Jay Kirstoff et de Nevernight, cette plume!! OMFG.

Bien que j'ai eu besoin d'une cinquantaine de pages pour m'y adapter, je ne peux nier que cet auteur a une plume de dingue et qui mérite vraiment d'être lue.

Alors pour vous expliquer un peu, Jay Kristoff est un professionnel de la description parfaite. C'est-à-dire qu'il va vous donner absolument (ab-so-lu-ment) tous (tous!) les éléments dont vous avez besoin pour visualiser une scène, un personnage, ou autre avec des mots triés sur le volet sans que le tout soit lourd et d'un ennui insupportable.

Sa plume a parfois un côté poétique, ce qui est assez délirant dans un roman où trancher des gorges est un passe-temps. C'est intense, aucun problème pour ressentir les émotions des personnages ou l'atmosphère du moment. Pff! Je ne sais même pas quoi vous dire qui puisse vous faire comprendre mon amour pour sa plume.

...

Maintenant que j'y pense.

À la page 16 de ma copie (signée par l'auteur, j'en fais ma nouvelle fierté♥) j'ai écrit (détendez-vous, je l'ai écrit sur un post-it que j'ai ensuite collé à la page) «Ces mots s'immiscent en vous comme un froid glacial que vous accueillez à bras ouverts.» Oui 1. je me sentais d'humeur à écrire une phrase soit-disant super profonde, et 2. je n'étais qu'à la page 16 et j'aimais déjà Nevernight. Si ça ce n'est pas un coup de cœur! ♥

De manière générale, Nevernight est un roman bien complet.

→ Le scénario est addictif, cohérent, et imprévisible. L'auteur ne nous donne pas une seconde pour nous ennuyer, les rebondissements et retournements de situations sont bien présents et j'en passe. Autant dire que ça vaut carrément la découverte.

→ Le world building est intéressant et ne laisse la place à aucune question sans réponse. J'ai beaucoup aimé ce que j'en ai découvert. Et c'est peut-être bête mais j'adore le fait qu'il y ait trois soleils et que le temps passe autrement - j'admets que je pourrais pas l'expliquer mais si vous avez lu Nevernight vous comprenez sûrement où je veux en venir. Et si vous ne vous êtes toujours pas lancé et donc que vous ne voyez pas où je veux en venir, eh bien vous n'avez qu'à aller lire Nevernight. ;)

The Red Church est un endroit qui m'a fascinée. Honnêtement, je ne suis pas sûre que j'y mettrai les pieds, pas pour tout l'or du monde, mais si jamais vous avez le goût du danger (et le mot est faible), TRC pourrait être votre prochaine destination de vacances!

Avant de me lancer dans les personnages, je veux parler romance. Si vous êtes un romantique ou si au moins vous cherchez une romance, Nevernight n'est pas fait pour vous. Je veux dire, concernant Mia et Tric, il y a bien des sentiments entre eux mais ils n'y pensent pratiquement pas et n'en parlent pas du tout entre eux. Ce n'est une romance à proprement parler. En gros, ils couchent ensemble, rien de plus. Du sexe, donc.

Cela dit, je suis bien heureuse qu'il n'y ait pas de romance à proprement parler et que nos personnages s'en tiennent au sexe. Hello, ce sont des assassins; ils tranchent des gorges comme vous vous feriez une partie de bonne paye (qui joue encore à la bonne paye?). Alors honnêtement, la romance ferait tâche dans le décor. Alors que le sexe, ça leur donne un côté humain mais pas assez pour qu'on se dise qu'ils ont un putain de cœur qui bat dans leur poitrine. Vous voyez où je veux en venir?

Maintenant, passons aux personnages que j'ai tout bonnement adoré! Autant les méchants que les... est-ce qu'on vraiment parler de gentils? Non parce que c'est pas que je tienne absolument à vous le rappeler mais ILS TRANCHENT DES GORGES. Ils sont dans une "école" où on apprend à tuer, à séduire pour tuer, à empoisonner, etc. Donc. Disons qu'il y a les méchants et ceux qui sont gentils à la manière Nevernight, OK?

Bref, tout ça pour dire que je les ai trouvé géniaux. Qu'ils fassent partie des personnages principaux ou secondaires.

Je me dois, en premier lieu, de parler de Mister Kindly. Parce que ce chat-qui-n'en-est-pas-un est l'amour de ma vie. Je vous jure s'il était humain, je lui demanderai de m'épouser. Si, à ce point!

OMFG il ferait un humain super sexy dans le genre sombre et mystérieux... Je suis prise de regrets, là.

Mister Kindly (le-chat-qui-n'en-est-pas-un) est génial, vous l'avez compris. Et SURTOUT il a une répartie que j'adooooooooooooooooore! meow

Mia. Mia. Mia.
J'ai adoré Mia. Quelle surprise! Elle n'est pas véritablement méchante. Mais en vue des circonstances qui l'ont amenées jusque-là on ne pas non plus prétendre que c'est un ange.

Cela dit, je l'ai trouvé badass, intelligente, et un brin attachante. Chacune de ses réactions, de ses actions, de ses pensées, etc. était en accord avec l'image que je me faisais d'elle avant de me lancer dans Nevernight. C'est une adolescente (16 ans) qui n'a pas froid aux yeux et qui ne recule devant aucun obstacle.

Ah, Tric. Lui aussi il est génial et une part de moi aurait aimé le voir encore plus.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Malheureusement on n'en aura pas l'occasion puisqu'il est MORT. *pleure toutes les larmes de son corps.*En tout cas, c'est un personnage que j'ai beaucoup aimé découvrir et qui a su me plaire dès sa première apparition.[/spoiler]

Concrètement, chaque personnage m'a laissé une impression différente mais chacun est mortel. Tiens, tiens. #pasfaitexprès

[spoiler]Cependant, il y a un personnage plus que les autres que j'aurais aimé découvrir d'avantage parce qu'il m'a marqué lors de ses apparitions; c'est Lord Cassius/The Black Prince/Lord of Blades. OMG. Je ne sais pas pourquoi mais du peu qu'on peut voir de lui dans Nevernight, je suis sa fan numéro 1. Et sa mort m'a donné les larmes aux yeux!


Bref, je crois que vous avez compris mon avis sur les personnages.

Arrivée moins d'une cinquantaine de pages de la fin, mon cœur a morflé. Jay Kristoff nous offre une fin explosive avec de nouveaux rebondissements, des révélations, etc. Et même si les centaines de pages précédentes semblaient nous y préparer, je doute qu'on puisse être prêt pour un tel final!

C'est donc une excellente conclusion avec un arrière goût de torture; j'avais envie de tuer des personnages fictifs et en même temps j'étais tentée d'aller me rouler en boule dans mon lit sous ma couverture et attendre jusqu'à ce que je m'en sois totalement remise. Ce qui prendra du temps.

En conclusion, Nevernight est un gros coup de cœur. Ou un bon coup de poignard. À voir. Je ne sais pas ce que ça fait de moi mais j'ai adoré. ;)

Bien-sûr, inutile de préciser que si vous êtes sensible à la violence, au sexe, ou quoi que ce soit dans le genre, je ne vous conseille pas de lire ce roman. En revanche si aucun de cela ne vous dérange, foncez!

Une dernière précision, si vous n'êtes pas un habitué des lectures VO (dans le cas présent l'anglais), inutile de commencer l'expérience par Nevernight. Ou du moins, je ne vous le conseille pas. Il faut avoir un très bon vocabulaire autrement, on se perd dans les descriptions, etc. Après bien-sûr, ce n'est qu'un conseil.

Maintenant, je n'ai qu'à attendre Septembre prochain pour Godsgrave. Juste assez de temps pour m'y préparer!

«When all is blood, blood is all.»

https://theblacksunshineblog.wordpress.com/2017/05/03/nevernight-jay-kristoff/
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