C'est le moment où je suis obligée de dire que j'ai glissé dans les escaliers quand j'ai vu mon père se ramener avec Prodigy (roman graphique) dans les mains en me disant "Aucun doute c'est pour toi."

La trilogie Legend est l'une de celles qui m'a le plus marqué, je crois. Je l'adore. Et bien-sûr, la redécouvrir avec des illustrations (aussi belles que celles-ci en plus) est un pur plaisir !

Je l'ai littéralement dévoré.

Prodidy est un second tome super et je suis toujours aussi émerveillée de pouvoir découvrir les romans de cette trilogie en images. Le premier tome m'avait énormément plu (aussi bien en roman qu'en roman graphique) et celui-ci m'amène au même résultat : je suis admirative et j'ai hâte de voir ce que donnera Champion en roman graphique (bien que je sois déjà certaine qu'il sera aussi géniale).

Il y a une chose que j'aimerais toujours à la folie dans cette trilogie ainsi que dans tous les autres romans de Marie Lu :
Cette merveilleuse impression d'être dans un jeu vidéo. Je ne sais pas s'il y a que moi qui ai cette impression mais en tout cas, je suis fan !
Et je suis aussi très contente que même avec les romans graphiques, j'ai toujours l'impression d'être transporté dans le monde des jeux vidéos.

En tout cas, tout ça pour dire que j'ai adoré ! Certes, l'histoire est la même mais le fait de la redécouvrir avec des illustrations lui donne un aspect nouveau que j'aime beaucoup.
Et j'ai déjà dit un truc dans le genre pour le roman graphique de Legend. ^^

Je recommande ces merveilleux bouquins. Que ce soit les romans ou ces merveilleux romans graphiques. Ils valent le détour, franchement.
Et si vous avez lu (et adoré) les romans mais que vous hésitez encore à vous lancer dans la découverte des romans graphiques, n'hésitez plus et replongez dans l'univers de June et Day ! C'est bonus pour les fans.

D'ailleurs, je pense que pour ceux qui, en règle générale, ne lisent pas de romans mais qui sont portés sur les comics, les BD et justement les romans graphiques, ça peut être supers ! Une chance de découvrir cette excellente trilogie. :)

C'est fou à quel point j'ai pas grand-chose à dire sur ce second tome de Girl Online.

Déjà, pour commencer, j'avais beaucoup aimé le premier tome. C'était pas de la grande littérature mais c'était mignon et sympa à lire. Mais à la fin du premier tome, il était clair pour moi que Girl Online n'avait aucunement besoin d'une suite. C'est pour quoi j'ai été surprise quand le second tome a été annoncé puis la raison pour laquelle j'ai mis tant de temps à lire ce livre.

Je vais aller droit au but : Je n'étais sincèrement pas convaincue par cette suite, avant-même de l'avoir lue. Je ne savais pas trop ce qu'il y avait à rajouter mais curieuse comme je suis, je me suis quand-même lancée dans cette lecture. Histoire de voir, on sait jamais !

Je suis déçue de ne pas avoir aimé ce deuxième tome autant que le premier. Je ne sais pas trop pourquoi, d'ailleurs. Ce qui n'est pas très objectif, je sais. Mais bon, c'est ainsi.
Si je suis honnêtement jusqu'au bout et même si ça me fait un peu mal de l'admettre, je l'ai trouvé plat, ce second tome. Il m'a fait ni chaud ni froid.
Je suis d'autant plus déçue parce que j'ai quand-même placé le premier tome en or lorsque je l'ai lu... Ça fait une certaine différence.

En fait, ce n'est pas tant que je n'ai pas aimé cette lecture. Girl Online : On tour est un second tome agréable, la plume de l'auteure est fluide. Les personnages sont parfois agaçants mais globalement ils sont attachants. Ce n'est pas une lecture prise de tête (ce qui ne me dérange absolument pas, je ne vois pas pourquoi ça me dérangerait, d'ailleurs). Même si ce second tome est clairement un niveau en dessous du premier, ce n'était pas non plus une lecture qui m'a donné envie de m'arracher les cheveux.

Non, en fait, mon problème avec ce roman est tout bête : je me suis ennuyée.

Je n'ai pas l'impression d'être objective du coup parce que je crois que c'est plus un ennui général. Je ne suis pas sûre que ça ait un réel rapport avec ma lecture.
Je crois que dans l'histoire de l'ennui dont je vous parle il y a un peu du livre et un peu de moi.
Ce qui fait que mon commentaire n'est clairement pas objectif parce que si je l'avais lu un autre jour, je l'aurais probablement mieux apprécier.
Enfin bon. De toute façon, je l'ai lu et voici mon avis.

Je trouve juste ça dommage. Voilà.

Il y a une part de moi qui aime beaucoup les histoires dans ce genre : simple, pas super originale mais où ça n'a aucune importance qui vous apporte un moment de détente... vous voyez ? Mais il y a une part de moi qui se dit que c'est trop simple et que du coup, ça me semble trop plat.
Je ne sais pas trop comment l'expliquer.

Enfin. Tout ça pour dire que je ressors de cette lecture déçue, malheureusement.
Après, j'ai entendu dire qu'il y aurait un troisième tome alors, je l'attends et je verrais bien s'il me redonne cette impression d'être une petite fangirl que m'avait donné le premier tome.

Affaire à suivre !

PhonePlay est un roman que j'ai bien apprécié et c'est une lecture assez rapide (puisque j'ai mis quatre heures). Mais j'ai des trucs à dire. De bonnes et de moins bonnes choses pour exposer mon avis.

C'est parti !

Premièrement, la plume de l'auteure est agréable à lire. L'auteure est jeune et pourtant ça ne l'empêche pas de fournir un bon travail d'écriture.

Ensuite, l'histoire n'est pas trop mal non plus. Elle est sympathique à découvrir, pas tellement prise de tête et c'est une lecture fluide. J'ai bien aimé l'idée du jeu même si je trouve toujours ça assez malsain et que le premier message m'a immédiatement fait penser "Psychopathe". Et du coup, j'ai pas trouvé ça très malin qu'elle lui réponde. Mais je me suis dit "C'est un livre, je ne vais pas chipoter là-dessus".

Spoiler(cliquez pour révéler)

Il y a quand-même eu dix-huit filles auparavant.
Je n'ai été tant étonnée que ça d'apprendre que Jamie (Lui, notre inconnu) est le frère jumeau de Matt. Par contre, des jumeaux qui ne s'aiment pas, je doute que ça court les rues. Je dis pas que ça existe pas. Rien n'est impossible !
J'ai trouvé ça dommage. J'ai été déçue. Pas que ça soit prévisible. Mais qu'ils soient jumeaux, qu'ils se ressemblent parce que j'aimais tellement pas Matt que ça a un peu déteint sur Jamie via la simple idée qu'ils se ressemblent.[/spoiler]

Mine de rien, l'intrigue n'est pas si bien menée que ça. Les révélations de la fin, c'est un peu comme si elle y avait pensé en même temps qu'elle écrivait et qu'elle tout inséré en se disant que ça passerait. Effectivement, ça passe. Mais au final, j'ai l'impression que ça ne colle pas. [spoiler]Comme par exemple le fait que Jamie soit déscolarisé (comme moi !) depuis deux ans alors qu'il disait depuis le début qu'il la voyait tous les jours au lycée. Le fait que lui et Matt n'aient pas la même date de naissance parce que Matt est né dans les dernières minutes d'un jour et que donc, Jamie est né dans les premières minutes du lendemain.[/spoiler] Ça m'a fait l'effet suivant : "J'ai fait de la couture parce qu'il y avait un trou à mon jean mais j'ai pas utilisé la bonne couleur pour le fil." Vous voyez ? ^^ Je ne sais pas comment l'expliquer autrement que par cette phrase débile.

Et puis, il faut bien avouer que c'est assez cliché comme bouquin... Aussi sympathique qu'il puisse être, ce n'est pas l'idée du siècle. Surtout question personnages. C'est vu et revu. Malheureusement.

Parce que j'aime bien les commentaires en vrac, je vais aussi avouer que je me suis un peu ennuyée, à certains moments. Probablement dû au fait qu'Alyssa ne cherche pas vraiment. Elle n'est pas très pressée de découvrir qui est son bel inconnu et donc elle met une plombe ! [spoiler]Surtout pour qu'au final, c'est lui qui vienne lui dire qui il est... [/spoiler]

Les personnages ne sont pas tellement attachants même si je les ai un minimum apprécié.

Notre inconnu aussi connu sous le pseudonyme Lui, a du charme. Enfin, tout le charme qu'il est possible d'avoir sans passer pour un gars avec un sérieux problème psychologique. Mais le fait qu'il n’interagisse dans l'histoire que via des SMS et qu'on ne sache pas qui il est jusqu'à la fin, ça l'a rendu distant et donc, je n'ai pas pu m'y attacher. Dommage. J'ai eu l'impression qu'il n'appartenait pas vraiment à l'histoire. Ce qui est assez bête quand j'y pense.
Aussi, j'ai eu un peu de mal à le cerner, à le comprendre. Jusqu'à la fin. Et la fin, c'était un peu trop tard.

En ce qui concerne le personnage d'Alyssa, je ne l'ai pas spécialement aimé. Peut-être parce que j'essayais trop de m'identifier à son personnage justement parce que je n'agirais comme elle si j'étais dans sa situation.
Je l'ai trouvé fade. Le genre qui se la joue blasée alors qu'elle aurait tout pour ne pas l'être. Et j'avoue que le fait qu'elle fume m'a dérangé. Une clope par-ci, par-là, je m'en fiche. Mais là, j'ai simplement trouvé qu'elle fumait trop. C'est peut-être qu'un détail mais je suis du genre à faire attention aux détails.
En plus, elle m'a agacé à certains moments. Pour différentes raisons, souvent par rapport aux réactions qu'elle pouvait avoir. Ou alors au manque de réaction. C'est possible, aussi.
Enfin bref, je n'ai pas accrochée à ce personnage. Dommage.

En ce qui concerne les autres personnages, ils sont très secondaires. Je dirais même qu'ils passent carrément en arrière plan.
Sauf Matt. Et Matt, je ne l'ai pas du tout aimé. Je vais être grossière et je m'en excuse mais pour moi c'est ce que j'appelle littéralement un enculé. Il me donnait envie de lui mettre mon poing dans la figure, et je ne suis pas quelqu'un de violent, d'ordinaire.

Au niveau de la romance, on est reste dans les bonnes vieilles bases. Autant dire que l'auteure n'a pas vraiment pris de risques. Ce qui, en soi, n'est pas gênant. Mais du coup, c'est un histoire d'amour un peu fade, creuse. Je n'ai rien ressenti de particulier.

En ce qui concerne la fin, je l'ai trouvé un peu longue. Et au final, je me suis dit (j'avoue) : "Tout ça pour ça ?"
[spoiler]Jamie (Lui, notre Inconnu) et Aly finissent ensemble. Comme on pouvait s'en douter. Sauf qu'ils décident de garder leur relation secrète. Ce qui fait au final qu'on n'a tellement avancé depuis le début...

En conclusion, je n'attendais pas grand-chose de cette lecture, donc je ne suis pas déçue. Mais je ne vais pas mentir : ça n'est pas la lecture du siècle. J'ai trouvé le tout un peu trop plat. Je n'aime pas dire ça (surtout que c'est un peu ma troisième "mauvaise" critique en quelques jours seulement -quelle chieuse, je suis !-) mais au final, ce roman aurait dû rester sur Wattpad.
Oh mon dieu, je suis méchante ! J'en reviens pas de dire ça.
Ce que je veux, c'est que certes Morgane Bicail a écrit une jolie petite histoire lue par beaucoup de monde (apparemment) et elle a de la chance d'être éditée. C'est super pour elle. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a probablement d'autres histoires qui valent d'avantage le coup sur Wattpad. Je suis désolée, sincèrement.
Je ne dis pas ça pour être méchante même si ça l'est sûrement.
Elle est jeune, elle aura tout le temps qu'il faut pour devenir une grande auteure. Pour l'instant, ça me fait simplement penser à toutes les fictions que j'ai lu sur skyrock.com quand j'avais douze ans. ^^ C'est cool mais ça ne vaut pas non plus une édition.
Je suis désolée.

Après, peut-être qu'un jour elle écrira des livres de dingue ! Pour l'instant, ça n'a pas marché pour moi. Je dis pas que j'ai détesté. Simplement, je reste sur ma position : c'était bien mais c'était sans réelle émotion, c'était vide.

Travis est un petit miracle. En quelque sorte. Atteint d'une leucémie incurable à l'âge de seize ans, les médecins lui proposent une idée folle : cryogéniser sa tête. Eh ouais, vous avez bien compris. Laisser son corps mourir et garder sa tête dans un congélateur jusqu'à trouver un autre corps... ou un truc dans le genre.

Cinq ans après cela, c'est le jour J ! Travis Ray Coates se réveille. Nouveau corps, nouvelle vie ? Sauf que cinq années après avoir atteint l'âge de seize ans, Travis a toujours seize ans. Alors que le reste du monde a vieilli de cinq ans durant tout le temps que sa tête a passé dans un congélateur de l'hôpital.

Dur de recommencer une vie avec ce genre d'histoire ? Difficile à gérer ? Comment reprendre le cours d'une vie normale quand la situation n'a rien de normale ? Quand tous ceux que vous avez connu ont avancé, vieilli et que vous, vous êtes resté le même ? Au détail près que votre corps n'est pas le votre ? Qu'il ne vous reste de votre ancienne vie plus que votre tête ? Et la vie amoureuse dans tout ça ? Eh bien, c'est Travis qui vous le fait découvrir dans À la Poursuite de ma Vie.

(En vérité, c'est John Corey Whaley mais ne chipotons pas là-dessus, vous aviez compris l'idée !)

J'ai envie de vous dire que cette lecture n'est pas le genre "prise de tête" mais j'ai comme l'impression que ça serait déplacé. Donc, je vais juste dire que c'est une lecture que j'ai bien apprécié. Et sans prise de tête. Mais sans plus.

Il y a deux raisons à mon "sans plus" qui doit sûrement donner à certaines personnes l'envie de hurler. J'aime pas dire "sans plus" surtout quand je pense au travail qu'on doit fournir pour écrire et éditer un roman.

Pourquoi "sans plus" alors ?
1. Parce qu'aussi bien que semblait ce livre, je l'ai apprécié mais ça a été une déception. Je m'attendais à quelque chose de grandiose ! Et je ne l'ai pas eu. Vous savez, c'est comme quand vous êtes petit et que vous trouvez votre papa super grand et super fort. Et là, vous grandissez et papa ne fait qu'un mètre soixante-quinze et il a un peu de bidon... ^^

2. J'ai comme l'impression que c'est la période de l'année que j'aime le moins : celle où j'ai un mal fou à me plonger dans mes lectures et où je ne sais pas les apprécier à leur juste valeur.

Voilà, pourquoi "sans plus".

J'ai bien consciente de ne pas me montrer très objective alors, je vais faire de mon mieux pour me rattraper.

1. J'ai adoré l'idée. Mais le contenu du livre n'y était pas. (Comme je l'ai dit plus haut.)

2. La plume de l'auteur est légère et elle vous pousse à aller jusqu'au bout : même quand l'envie vous manque un peu.

3. Contre toute attente, les personnages ne sont pas mauvais. J'ai même réussi à m'y attacher. Un tout petit peu. Mais c'est déjà mieux que rien ! Même si Travis m'a agacé par moments.

4. Je m'attendais à ce qu'on parle d'amour et de cet expérience à la fois bizarre et extraordinaire qu'a vécu Travis Ray Coates : parce que c'est ce que semblait me dire ce foutu résumé ! Sauf que, comme quoi faut pas se fier aux résumés, ces deux sujets ne sont pas les sujets principaux de ce roman (bien qu'ils soient évoqués et qu'ils aient leur place). Et c'est peut-être de là que vient ma déception d'ailleurs. Quand je me fais des idées sur un livre (très mauvaise idée de se faire des idées, d'ailleurs), quand il s'avère que je me suis trompée sur toute la ligne c'est la déception assurée. Ma faute !

5. Malgré ça, À la Poursuite de ma Vie reste un roman à lire, un roman qui vous dévoile une petite leçon de vie. Donc ce n'est pas trop mal.

6. Le problème dans tout ça, c'est que je me suis ennuyée. J'ai eu l'impression qu'on allait aussi devoir me cryogéniser ma tête parce que mon corps se mourrait d'ennui (mauvaise blague). J'aime pas dire que je me suis ennuyée mais je ne vais pas le cacher ! Et je trouve ça, sincèrement dommage.

En conclusion, c'est un livre qui avait beaucoup de potentiel à mes yeux. Finalement, c'est une déception. Mais pour finir sur une note joyeuse et pas trop mauvaise, je vais vous dire un truc débile : Pour pouvoir savourer les bonnes lectures, il faut essuyer de belles déceptions. (Louan la philosophe à deux balles).

J'avais hâte de découvrir Miss Dumplin. J'avais même hésité à le lire en VO. Au final, je me retrouve déçue par cette lecture. Peut-être que j'en attendais trop...

L'idée de départ est très bonne, elle me plaisait beaucoup. Et la couverture (bien que je n'y accorde pas énormément d'importance) a beau être simple, elle est aussi très jolie. Alors, je ne sais pas, je pensais sincèrement que l'histoire serait à la hauteur.

Je vais commencer par parler de la plume de Julie Murphy. Elle est simple, ce qui est une bonne chose selon moi. Mais j'avais l'impression qu'elle pesait une tonne (sans jeu de mot douteux) et que c'était un peu parler pour rien dire. Ce qui est vraiment dommage.

Concernant l'histoire, bien qu'elle soit bien menée et que l'idée de départ me plaise, je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Je ne vais pas dire que je me suis ennuyée ou quoi que ce soit dans le genre. Le truc, c'est que ce livre ne m'a fait ni chaud ni froid. Il m'a laissé complètement indifférente.

La romance aurait pu être bonne. S'il n'y avait pas ce triangle amoureux mal placé. Je veux dire, au début du livre Willowdean nous fait comprendre que les garçons ne sortent pas avec elle parce qu'elle est grosse. Et puis Bo arrive. Et ensuite c'est au tour de Mitch. Ça ne fait pas très réaliste. Même si elle avait eu un corps de Barbie.
En plus de cela, j'ai eu l'impression que Will se servait de Mitch. Et qu'en ce qui concernait Bo elle ne savait pas trop ce qu'elle voulait.
La romance n'est pas plus développée que ça. Ce qui, en soit n'est pas gênant, mais au final, j'ai l'impression qu'avec une romance telle que celle-ci, ce roman est incomplet.

Concernant les personnages, je n'ai rien ressenti à leur égard. Aucun attachement.
Les personnages secondaires sont plats. Et les personnages principaux auraient pu avoir des qualités s'ils ne m'avaient pas semblé aussi plats, à leur tour.

Mitch aurait pu être un personnage attachant. C'est un gentil garçon. Mais je l'ai trouvé d'un ennuie mortel.

Bo aurait pu avoir du charme. D'ailleurs à plusieurs reprises j'ai eu l'impression qu'il allait enfin me faire craquer... mais non. Il me semble à des années lumières. Trop loin pour que je puisse le toucher, pour que je puisse m'y attacher.

Quant à Willowdean, c'est le genre de personnage que j'aurais pu adorer. Si elle ne m'avait pas tant agacé. Je ne pourrais même pas l'expliquer, ce qui fait que mon avis n'est pas très objectif mais tant pis.

Je pense que Dumplin aurait pu être un excellent roman qui aurait envoyé un très bon message. D'ailleurs, ça marche probablement pour certains. J'aime l'idée que même en étant ronde ou en ayant un quelconque "défaut", on puisse quand-même être beau, ce genre de choses.
Mais ça n'a pas marché pour moi parce que j'ai l'impression que l'auteure n'a pas cherché à développer tout ça, qu'elle est restée sur une surface plate et au final, j'ai l'impression que tout ça est bien incomplet.

Je ne suis pas du genre à faire de mauvaises critiques. Et je n'irais pas jusqu'à dire que je n'ai pas aimé ce roman. Je l'ai trouvé agréable à lire, un passe-temps, mais sans plus.
Dommage.

J'ai entendu dire qu'il y aurait un second tome. Donc lorsqu'il paraîtra, je le lirais. Parce que j'aimerais voir si ce sentiment d'incomplet pourrait être repoussé par une suite.

Affaire à suivre !

Amy Harmon c'est Nos Faces Cachées, c'est L'infini + Un ! Amy Harmon c'est mon sans faute et je ne pouvais donc pas passée à côté de La Loi Du Cœur. Impossible. Même si une part de moi sentait que je n'en ressortirais pas indemne, que j'y laisserais un peu de mon cœur. Putain, même en étant certaine que ce roman briserait probablement mon cœur, je n'ai pas pu résister à l'appel de la loi du cœur. Foutu cœur, qu'est-ce que je t'aime des fois !

J'adore Amy Harmon. C'est toujours une certitude pour moi, je sais avant même de commencer que je vais aimer ce que je vais découvrir. Même quand ce n'est pas une douce caresse, quand ça fait mal. Elle fait un travail d'artiste, de maître avec ses beaux mots, ses belles histoires et tout ce qui les compose.

Je suis toujours émerveillée face à la plume de cette auteure. Elle rend tout tellement beau et tellement poignant. C'est comme si elle te mettait son livre entre les mains en te disant "Regarde la vérité en face, vois ce que la vie peut réserver. Tu crois que ça fait juste mal ou que ça fait juste un bien fou ? Moi, je te montre que quelque soit le temps qu'il fait, la couleur du ciel, la vie est belle d'un millier de façons différentes. Je te le montre mais il n'en tient qu'à toi de le voir." Et mon dieu, j'aime tellement la façon dont elle le montre, j'aime tellement le voir qu'à chacun de ses romans, je prie pour que ça ne s'arrête jamais, pour que ça dure toujours.

Quand on dit que toutes les bonnes choses ont une fin, La loi du cœur en est l'exemple parfait. Ou peut-être que c'est simplement Amy Harmon qui en est l'exemple parfait. Sûrement les deux.

Je suis tombée amoureuse de La Loi du Cœur dès le départ. Comme une évidence, comme si de tous les chemins que j'aurais pu prendre dans la vie, ce livre était ma destination finale, même si la vie n'est pas finie. Ah, je n'arrive pas à le formuler clairement ou sans passer pour une folle ! Mais il est clair que je suis raide dingue de ce livre.

J'ai rarement lu une histoire aussi fascinante. Une histoire qui fait battre mon cœur fort et rapidement. Tant que le monde entier aurait pu le sentir et l'entendre. Une histoire qui semble m'attraper par la main et ne plus jamais vouloir me lâcher. C'est une belle histoire. Tellement. Belle et forte. Authentique.

Et avec une belle histoire viennent de beaux personnages. Magnifiques. Avec tant d'humanité, tellement vrais. C'est des personnages avec des cœurs qui battent, si vite et si fort qu'on pourrait les entendre à travers les pages, via les mots. Et je suis tombée un million de fois amoureuses d'eux. À l'infini.

J'ai tout d'abord adoré Georgie. Je ne sais même pas si je pourrais l'expliquer. Au premier coup d’œil, elle est banale. C'est une fille de la cambrousse, une jolie blonde comme il en existe sûrement des tonnes dans le monde. Et pourtant, il y a quelque chose chez elle qui me rappelle quelque chose qu'on ne peut toucher et quelque chose de solide, tellement tangible. Elle est attachante parce qu'elle croit en Moïse et parce qu'elle met tout son cœur dans l'amour qu'elle lui porte.

Et Moïse... Il est beaucoup de choses. Mais par-dessus tout il est fascinant, talentueux, à mi-chemin entre la folie et le génie. Il est doux et brutal. Et même s'il ferait tout son possible pour vous faire fuir, pour que vous ne l'aimiez pas et qu'il ne vous aime pas en retour, vous vous attachez à lui quand-même. Comme si votre vie en dépendait. Tant pis s'il vous repousse. C'est un aimant auquel Georgie s'est accrochée et qu'elle n'a pas lâché. Même quand il le voulait. Et contre toute attente, une part de lui s'est accrochée à elle aussi fort qu'elle s'accrochait à lui. Et je l'ai trouvé tellement touchant, avec ses peintures et son âme. Attachant avec son art et la personne qu'il est.

Les personnages secondaires sont très bons, chacun dans le rôle qu'il joue. L'arrière-grand-mère de Moïse, Kathleen (ou GG) est attachante, elle me donnait envie de m'asseoir à côté d'elle et de l'écouter parler pendant des heures. Je n'ai pas spécialement d'avis sur les parents de Georgie. Disons que ce sont des parents. ^^ Tag est un gars attachant, avec un certain charme, je l'ai adoré ! Je n'ai pas aimé Jacob Dawson, dès le départ. Je ne le sentais pas, celui-là ! Et puis, il y a Éli. Un rayon de soleil. Chaleureux, brillant, beau comme un ange.

Je vais vous faire une confession. Avant de commencer, cette histoire, j'étais terrifiée par ce que j'allais y trouver. Et ça a duré pendant un bout de temps. Jusqu'à ce que les pièces du puzzle de cette histoire trouvent leur place dans ma tête. Malgré cette peur, j'ai adoré chaque mot que j'ai lu. Je devais simplement le préciser. Au début, j'étais terrifiée et à la fin, j'étais tellement soulagée. Parce qu'une fois que le puzzle est complet, terminé et encore plus beaux que lorsque les pièces étaient toutes mélangées, eh bien tout prend simplement son sens.

La Loi du Cœur, de quoi ça parle ? Je pourrais dire que c'est une histoire d'amour et m'arrêter là. Sauf que ça va sérieusement au-delà de ça. Tellement au-delà. Et je ne suis pas sûre qu'on puisse vraiment mettre des mots dessus. C'est pourquoi, je vous recommande simplement de lire. Même si avec La Loi du Cœur, vous ne lisez pas : vous êtes aspiré dans l'histoire et vous ne cessez de la vivre qu'une fois le dernier mot passé sous vos yeux, lu et vécu.

Spoiler(cliquez pour révéler)

Cette histoire, c'est Avant et Après. Avant : quand ils ont dix-huit et dix-sept ans. Qu'ils s'aiment mais s'éloignent. Après : c'est sept ans plus tard, quand leur chemins se recroisent pour s'emmêler à nouveau et ne jamais plus se séparer. L'histoire est guidée par la vie et la mort. La façon dont Amy Harmon évoque le sujet est d'une beauté incroyable.

Dans la première partie (Avant), on voit comment les choses commencent entre Moïse et Georgie. On apprend à les connaître. Dans la seconde partie (Après), on les connaît mais on les redécouvre parce qu'ils ont évolué, sept années sont passées. Et quelque chose relie Avant et Après : Éli. Dans Avant, Moïse et Georgie ont fait un enfant. Un petit garçon. À la fin d'Avant, Moïse est parti. Loin, loin, loin. Sans savoir que Georgie attendait son enfant. Quand ils se retrouvent, sept ans plus tard, c'est parce qu'Éli apparaît à Moïse. Comme tellement de morts l'ont fait ! Le petit garçon qui avait à l'époque quatre ans est mort et ainsi Moïse découvre en rassemblant les images que lui envoie Eli que c'est Georgie sa mère. En allant au cimetière et en trouvant la tombe du petit, et en calculant les dates Moïse découvre qu'il était le père.
La confrontation entre Georgie et lui est intense, d'ailleurs. Et le moment où Georgie raconte à Moïse comment leur fils est mort, c'est tellement tragique, triste et émouvant.

Par la suite, c'est le petit garçon qui réunit les parents. Comme Moïse peut voir Éli, celui-ci l'aide à montrer son amour à Georgie.

Mais pas que ! Éli, c'est un peu la pièce la plus importante, celle qui complète le puzzle et lui donne tout son sens.

Depuis des années, des filles blondes, à peu-près du même âge, toutes venues de petits bleds paumés de l'Utah (et des environs) disparaissent durant une période de quinze jours au mois de Juillet. Dans la partie Avant, Georgie (qui est blonde) est à deux doigts de se faire enlever quand Moïse débarque et la sauve. Il faut savoir que Moïse ne voit les fantômes que s'il est entré en contact avec quelqu'un de leur entourage. Donc si Moïse peut voir certaines des filles qui ont été enlevées, c'est qu'il est entré en contact avec leur meurtrier. Il faut aussi savoir qu'en général, les fantômes tournent autour de leur proches parce qu'ils sont inquiets, ou parce que ces derniers sont en danger, etc... Aussi, lorsqu'Éli montre ses souvenirs à Moïse il lui montre souvent Calico, son cheval préféré. Plus tard, Moïse se rend compte que Calico est marqué d'un A rouge, comme celui que montrait Molly (une des victimes de ce mystérieux tueur en série avec un profil de victimes loin d'être aléatoire). Il découvre que le cheval a été acheté à Jacob Dawson, le shérif et que celui-ci n'apprécie pas vraiment Moïse. Il essaie d'ailleurs de le faire accuser. Dawson est donc bel et bien le meurtrier. Et c'est ce qu'Éli essayait de leur faire comprendre depuis le début.
Sauf qu'il est un peu trop tard. Dawson et Moïse s'affrontent. Jacob Dawson meurt et Moïse frôle la mort. De ce fait, il voit Éli, il le prend dans ses bras et il est repart vers Georgie. Il pouvait pas l'abandonner une deuxième fois. Ouf!

Enfin, tout ça pour dire que cette histoire est parfaitement bien menée et extrêmement bien scénarisée.[/spoiler]

Quant à la fin, c'est celle que j'espérais. Le genre qui vous donne ce merveilleux sentiment que vous avez accompli quelque chose en lisant ce bouquin. Je ne saurais sûrement pas l'expliquer. Mais je l'ai adoré autant que j'ai adoré le reste de La Loi du Cœur. [spoiler]Moïse et Georgie sont mariés et ils ont un enfant, une petite fille qu'ils appellent Kathleen (pour GG). Quand ils disent que Kathleen a le sourire de son grand-frère (Éli), Moïse voit le sourire d'Éli, l'espace d'une seconde, d'un flash. Et la petite aussi semble l'avoir vu. Merveilleux !

Moïse est un artiste; talentueux, quand tu lui mets de quoi peindre entre les mains, les chef-d’œuvres poussent comme de jolies petites fleurs. Et Amy Harmon est l'artiste qui a dessiné Moïse, Georgie et toute leur histoire. Et si vous ne l'avez toujours pas découverte, n'hésitez plus et foncez !

C'est donc une histoire d'Avant, d'Après et de Toujours. :)

Je crois que ce roman a fait le rôle qui lui était destiné, dès le départ. Je viens de le terminer et deux secondes plus tôt, je me disais encore qu'il manquait quelque chose. Mais là, même si je pense toujours qu'il manquait quelque chose, je pense aussi qu'il a joué le rôle qu'il devait jouer, simplement.

En commençant Sing, je voulais une lecture sans prise de tête. Parce que ces temps-ci, j'ai la sensation qu'il n'y a que des prises de têtes dans ma vie. Alors, je me suis dit "Et si je me fondais dans la peau d'une popstar en quête de normalité qui n'a pas de chance en amour ?" Et je l'ai fait, je me suis lancée.

Verdict ? J'ai trouvé Sing vraiment bon. Ce n'est pas la lecture de l'année, pas un coup de cœur. Mais ça ne l'empêche pas d'être un roman relaxant, rapide à lire, léger et mignon. J'ai passé un très bon moment, de ceux qui me donnent l'impression d'être loin en vacances là où tout est aussi léger que les nuages. Ça fait du bien, des fois !

L'histoire est assez simple mais elle est franchement sympa à découvrir. La plume de Vivi Greene est fluide et entraînante. Et tout comme la couverture, je trouve que cette lecture respire la bonne humeur et la légèreté. C'est peut-être qu'une impression mais j'ai beaucoup apprécié !

En plus de cela, les personnages sont très attachants ! Quand je lis des livres de ce genre, je me base surtout sur les personnages. L'histoire restant basique, je tiens à ce que les personnages me fassent ressentir quelque chose de positif pour pouvoir dire que j'ai aimé. Et c'est le cas des personnages de Sing. Ils m'ont plu, je me suis attachée à eux comme s'ils étaient mes amis.

Lily Ross, notre personnage principale, est une chanteuse. Je ne suis pas une grande fan des personnages principaux qui sont célèbres en général. J'ai tendance à les trouver fades. Pourtant, Lily n'est pas fade. Elle est douce, sincère, attachante et du coup, je l'ai trouvé jolie. Bien que je l'ai trouvé un peu immature parfois, je n'ai pas cessé de l'adorer.

Noah est un personnage très attachant et je l'ai adoré par sa personnalité. J'ai trouvé qu'il avait du charme, je l'ai trouvé doux et solide à la fois. Je suis tombée sous le charme et je m'y suis sincèrement attachée.

Je crois que c'est une erreur de traduction mais on est passé de Noel à Noah. Dans la version VO, Noah s'appelle en vérité Noel. Ce n'est qu'un détail mais j'avais besoin de le dire. ^^

Je me suis bien-sûr attachée à Sammy et Tess. Ce sont de bonnes amies, de celles qu'on voudrait garder auprès de soi toute sa vie. Et j'ai beaucoup aimé Maya aussi. Avec son yoga, rien que de l'imaginer, je me sentais détendue ! Jed ne m'a pas particulièrement plu mais je ne l'ai pas détesté comme je m'y attendais au départ. Et je me suis franchement attachée à Sidney. Elle donne envie de l'écouter pendant des heures en souriant comme une idiote, de la prendre dans ses bras, ce genre de trucs...

La romance de Sing est très jolie, douce (comme le reste du livre en fait) et elle vous donne envie d'un câlin groupé (je ne sais pas pourquoi). Je l'ai vraiment bien aimé. Noah et Lily sont vraiment mignons.

J'aurais pu mettre Sing en or. Vivi Greene a écrit une très jolie histoire avec de supers personnages et le ton de tout ça est très plaisant. Il n'y a que des points positifs dans cette histoire ! Mais hormis quelques pincements au cœur dans les moments un peu tristounets, je n'ai rien ressenti de spécial et même si j'ai beaucoup aimé la fin, j'ai une impression d'inachevé. C'est la raison pour laquelle je mets Sing en argent.

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Ma impression d'inachevé est surtout portée sur la relation de Noah et Lily. J'ai l'impression qu'il manque quelque chose et ça terni un peu le sourire qui s'est dessiné sur mes lèvres à la fin.

En conclusion, Sing est une lecture que j'ai bien aimé. Si vous cherchez un roman pour les vacances d'été qui approchent à grand pas (si vous n'êtes pas déjà en vacances), n'hésitez pas ! De plus, je me dis que ce roman ferait un bon film pour adolescentes. ^^ Je ne suis pas du genre à être super emballée par les adaptations de romans au cinéma et je n'encourage pas une adaptation de Sing en particulier mais l'idée, l'atmosphère et tout ça de ce roman m'ont donné l'impression de regarder un film pour adolescentes que j'adore regarder en pleine nuit quand je me sens un peu déprimée mais de le regarder avec des mots.
Je crois que c'est le truc le plus bête que j'ai jamais écrit dans un commentaire. ^^

"Dix petites inspirations. Saisis-les. Sens-les. Aime-les."

Comment peut-on expliquer avec des mots ce qu'un tel livre est capable de faire ? C'est comme si vous n'aviez plus d'air tout au long de votre lecture et qu'à la fin, une grande bouffée d'air frais remplissait vos poumons.

J'ai trouvé ce roman génial. Touchant et tellement bien écrit. Je ne parle pas simplement de la plume de K.A. Tucker bien qu'elle soit très agréable et jolie à lire. Je parle de l'histoire. Je crois que je n'ai jamais lu une histoire qui parlait aussi bien de TSPT.

Honnêtement, je ne ressens pas le besoin de dire un million de choses sur ce roman. Après une lecture comme celle-ci, mon vocabulaire se retrouve réduit au moins de moitié ! Mais je dois au moins dire que Ten Tiny Breaths est un roman... libérateur. Je ne sais pas trop pourquoi, c'est ainsi que je le ressens. C'est une sensation tellement bonne !

J'ai adoré l'histoire dès la première page. Tellement que j'arrivais encore moins à lâcher ce livre et à tout éteindre pour essayer d'aller dormir. Je suis insomniaque, je suis habituée à voir les heures de la nuit défilées, etc. D'habitude, à l'aube je finis toujours par m'endormir pour quelques petites heures. Mais avec Ten Tiny Breaths, fallait même pas y penser ! C'est pire que la caféine, pour rester éveillé. C'est un roman addictif.

J'ai aimé l'histoire, comment l'auteure nous dévoile le TSPT et l'accident, tout ça. Mais j'ai aussi adoré les personnages. Ils sont authentiques, touchants et attachants. Ils ont une histoire, ils ne sont pas plats. Ils sont vrais, parce que ça pourrait être n'importe lequel d'entre nous à la place de n'importe lequel d'entre eux.

J'ai beaucoup aimé Kacey. Elle a été détruite par l'accident et elle ne croit pas une seule seconde qu'elle pourra se reconstruire un jour. Elle ne veut même pas penser à tout ça même si elle ne peut pas s'empêcher de ramener presque toute sa vie à cette nuit fatidique où ses parents, sa meilleure amie et son petit-ami sont morts dans un accident de voiture auquel elle a survécu. Elle fait forte mais en vérité, elle est complètement démolie. Pendant longtemps elle s'est réfugiée dans l'autodestruction (sexe, drogue, alcool, violence). Finalement, ce côté fort et faible, humain, ça la rend attachante. Malgré l'armure qu'elle veut tant porter, sous la couche de glace qui la recouvre, on peut sentir la chaleur de son cœur. Tout au long de ce roman, on l'accompagne dans le chemin qu'elle fait pour aller mieux.

Sa petite soeur, Livie, est très attachante aussi. Elle est douce et elle donne l'impression d'être la seule constante dans la vie de Kacey. C'est son point d'ancrage, en quelque sorte. Un peu comme un ange gardien. Mais elle a aussi du caractère. Je l'ai bien aimé.

J'ai adoré Storm et Mia. Elles apportent de la chaleur et de la lumière dans la vie difficile et sombre de Kacey. Et même si elle ne le voulait pas au départ, Kacey finit par s'attacher à elles. Et moi aussi, je m'y suis attachée. Je ne pouvais franchement pas faire autrement. J'ai même pas essayé de résister.

Bien-sûr, je ne peux passer à côté de l’occasion de parler de Trent ! Ce mec est très contradictoire. Je n'étais jamais sûre de comment on allait le retrouver. Il est plus mystérieux qu'il paraît et je l'ai tout de suite trouvé intriguant. Et je l'ai adoré.

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Je ne sais pas pourquoi mais dès le départ, je l'ai lié à l'accident. Dès le départ, j'ai fait le rapprochement entre l'accident de Kacey et Trent. Mais je ne savais pas trop ce qui les liés. Quand on a découvert que Trent avait un tatouage dans le dos "Ignocentia" (je n'étudie pas le latin mais ça me paraissait logique), ça a été la confirmation pour moi qu'il avait un lien. Alors je me suis dit qu'il connaissait peut-être un des trois gars qui étaient dans la voiture qui a percuté celle de Kacey. Un des trois gars, Cole, a survécu. Je me suis dit qu'ils avaient peut-être un lien. Peu avant la révélation, j'ai compris que Cole et Trent, c'était la même personne. Les découvertes qu'on fait sur lui le rendent plus humain, moins parfait, plus beau dans un sens.[/spoiler]

J'ai bien aimé Dan, Tanner, Nate et Cain. Ben m'a un peu agacé. Le Dr. Stayner est dingue, je l'ai adoré !

La fin est tout bonnement parfaite. C'est la fin que méritait un tel roman. [spoiler]Après avoir passé plusieurs mois en thérapie, Kacey va mieux. Onze mois après la dernière fois qu'elle a vu Trent/Cole, celui revient dans sa vie. Ils sont tous les deux prêts à aller de l'avant sans laisser le passer les guider, ils sont soignés. Et ils s'aiment toujours.

Par dessus tout, Kacey a pardonné à Trent/Cole pour l'accident. Même si c'était dur. Elle a compris que dans un accident, tout le monde souffre, que tout le monde est une victime, au final. Et que pour pouvoir respirer à nouveau, il faut pardonner. Je trouve que ça a un petit côté symbolique : pardonner pour pouvoir avancer, pour aller mieux...
En s'imaginant à la place des autres, souvent on s'en rend compte qu'on aurait pu être de n'importe quel côté. Et ça aide Kacey a voir les choses sous un nouvel angle, ça l'aide à pardonner parce que du coup, elle comprend ce qui fait que Trent/Cole n'est pas un assassin. Je ne saurais pas l'expliquer mais l'idée est là. K.A Tucker l'explique à merveille ! L'empathie est le mot clé de cette fin superbe.

L'épilogue se passe trois ans plus tard. Dan et Storm se marient et attendent une petite fille. Trent et Kacey s'aiment, Livie va à Princeton, Ben a une copine, Tanner a une copine... Kacey fait des études de psy, spécialisée en troubles stress-post-traumatiques. Tout va pour le mieux !

En conclusion, Ten Tiny Breaths a été une merveilleuse surprise. En commençant ma lecture, je ne m'attendais franchement pas à ça. Mais je crois que si ce roman avait été autrement, je ne l'aurais pas autant aimé. Il était tout bonnement génial et je le recommande donc. Pour le moment, je ne ressens pas le besoin de lire la suite. Mais à coup-sûr, je le ferais un jour ! Parce qu'après un roman si unique avec un message si simple mais si fort à faire passer, je crois que je ne pourrais jamais passer à côté de la suite.

Affaire à suivre !

Même si le premier tome de cette saga ne m'avait pas rendue dingue et mené jusqu'au coup de cœur, je l'avais quand-même énormément apprécié. Et je ne sais pas pourquoi, quelque chose me poussait à croire que ce second tome serait d'enfer !
Ravie de ne pas m'être trompée !

J'ai beaucoup aimé Mine. Une nouvelle saison commence pour la ligue Underground et entre Remy et Brooke, les choses vont bien évolué. Même si ce n'est toujours pas un coup de cœur ni la lecture de l'année, j'ai passé un agréable moment et c'était tellement addictif que je l'ai dévoré !

Je n'ai pas grand-chose à dire mais je vais prendre le temps de le dire quand-même. Même si je me sens beaucoup trop survoltée pour restée assise à écrire une commentaire. Je ne sais pas pourquoi je me sens à ce point débordante d'énergie. ^^

La plume de Katy Evans a beau être simple, elle n'en reste pas moins fluide et agréable à lire. Dans ce qu'elle écrit, je peux sentir la passion qu'elle y a mis. Et ça rend son histoire attachante.

Ce second tome m'a d'avantage plu que le premier.

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Brooke est enceinte et pour ne pas qu'elle fasse une fausse couche, Remy la ramène à Seattle et repart pour continuer ses matchs. Ils ne se voient pas pendant quelques semaines et Brooke doit rester alitée le temps que le premier trimestre passe et que le risque de perdre leur bébé disparaisse.[/spoiler] Il ne se passe pas une montagne de choses mais c'est un bon roman pour se détendre et voir la vie d'un point de vue totalement différent du sien. Tellement différent du mien, en tout cas.

L'histoire est comme toujours bien basée sur la relation de Remy et Brooke. Elle évolue sans connaître de grands changements. Mais je l'ai préféré ainsi. Dans le premier tome c'était trop de sexe. Dans celui-ci, même si le sexe est toujours bien présent, il perd un peu de son importance et j'ai eu l'impression que Brooke et Remy avaient enfin de vraies conversations ! Dieu merci ! Ou plutôt Katy merci. J'ai donc préféré la romance du second tome. [spoiler]L'arrivée d'un bébé change toujours la donne.[/spoiler]

Bien-sûr les personnages sont toujours attachants. Je me suis d'ailleurs réellement attachée aux personnages secondaires, ce que je n'étais pas parvenue à faire dans le premier tome. À présent, je les vois comme une grande famille !

Brooke c'est toujours Brooke - elle pense beaucoup au sexe mais elle reste très attachante. Bien que je la trouve toujours assez banale comme personnage féminin, on ne peut pas ne pas l'apprécier ! [spoiler]Plus une Brooke enceinte, c'est mignon. Je ne saurais pas vraiment l'expliquer mais ça l'a rendue moins distante, en quelque sorte.[/spoiler]

On peut parler de Remy sans que personne ne s'évanouisse ? Je suis peut-être un peu devenue une groupie durant cette lecture. Remington est un personnage que j'adore. J'aime sa personnalité si instable et si imprévisible. Il est sombre et en même lumineux. [spoiler]Et puis Remy en futur papa, c'est sacrément canon ![/spoiler]

Comme je l'ai dit, je me suis d'avantage attachée aux personnages secondaires. J'adore surtout Pete. Je ne sais pas pourquoi. Je trouve Riley chou. Diane me donne envie de la serrer dans mes bras. Coach me donne envie de lui montrer toute ma force. Nora m'agace mais il y a quelque chose qui m'y attache. Et Mélanie, putain, Mélanie met de la couleur et de la bonne humeur. J'ai envie de crier avec elle que Remy est trop sexy. ^^

La fin m'a bien plu. Je trouve que Katy Evans écrit surtout de bonnes fins. Ça semble peut-être bête mais c'est vrai ! [spoiler]C'est la finale du championnat Underground. Un nouveau combat entre Riptide (Remy) et Scorpion (Benny l'enculé). C'est un combat où l'adversaire doit abandonner s'il veut survivre. En clair, ils doivent s'entretuer. Pendant que Remy se bat contre Benny (et lui met une raclée) Brooke perd les os alors qu'elle est à peine à son septième mois de grossesse. Mais comme elle veut que Remy remporte le combat sans s'inquiéter pour elle, elle ne dit rien. Remy gagne et il remarque sans tarder que le bébé va arriver. Il emmène donc Brooke à l'hôpital. Il la demande aussi en mariage et bien-sûr (quelle question), elle dit oui ! Brooke met au monde un fils qui a les yeux de son père et ils l'appellent Racer. Je ne sais pas d'où ça sort comme prénom mais je trouve ça chou ! Doux et sauvage. Un pur bébé Remy.
D'ailleurs, s'ils avaient eu une fille, ils l'auraient appelé Iris (en l'honneur de la chanson Iris de The Goo Goo Dolls - LA chanson de cette saga et une chanson dont je suis fan). Allez, au boulot !

En conclusion, j'ai trouvé que Mine avait remonté le niveau de Real. J'ai passé un bon moment et j'ai bien aimé ce que j'ai découvert. Je lirais donc la suite avec plaisir ! Je pense que ça ne sera jamais une histoire de dingue mais pas besoin de faire un truc de fou quand vous avez Remington Tate alias Riptide ! ;)

Cette saga a beaucoup de potentiel, je l'aime beaucoup, mais la version française a de tout petits points noirs, donc elle n'a pas spécialement marché. En plus du fait que le prénom de l'héroïne a été remodelé à la française (je comprendrais probablement jamais pourquoi) et que j'ai remarqué en lisant le troisième tome en Septembre dernier qu'il manquait dans la version française quelques passages du livre qui sont en VO. Plus, si on regarde bien les chiffres, c'est pas pour dire mais plus ça va moins ça marche (en France). Le troisième tome a quelque peu fait un flop. Je pense pas qu'ils éditeront Queen of Shadows en France. Je peux me tromper mais ça ne serait pas rentable de le faire, malheureusement (bien que ce tome-ci soit génial).
D'un côté, je trouve ça un peu bête de s'arrêter là alors qu'ils ont déjà édité la moitié de la saga et que le troisième tome servait de "pont" entre le deuxième et le quatrième. Mais d'un autre côté, je comprends qu'en éditant la suite ils risquent plus de perdre que de gagner... après je ne suis pas une experte, si ça trouve ils tenteront le coup plus tard.
Je crois que dès le départ, ils auraient dû faire d'avantage d'efforts pour que ça marche. C'est pas parce que ça fait un carton aux USA que ça va faire un carton en France. Je crois qu'ils ont pris le truc pour acquis et donc ils n'ont pas vraiment fait d'effort pour la couverture, le titre, la traduction et tout ce qui s'en suit. C'est dommage.
Après avec la sortie du premier tome en poche, peut-être que ça relancera la saga. Tout le monde n'a pas les moyens et même l'envie d'acheter une saga dont les prix sont passés de 16 euros pour le premier tome à 21 pour le troisième sans raison apparente. De plus, je trouverais ça franchement inutile si les poches sortaient jusqu'au troisième tome comme les grands formats et point barre. Je ne suis pas sûre que ça soit franchement rentable...
Mais comme je l'ai dit, je ne suis pas une experte.

Plus, je pensais tout à l'heure, si je ne me trompe pas les droits ont été rachetés pour en faire une série TV ou un film (je ne sais plus). Donc peut-être aussi qu'il reste un espoir qu'avec la sortie de ToG à la télévision, les ventes seront boostées et que la maison d'édition française continuera d'éditer la saga en VF. Si l'adaptation marche en France...^^

Après Maybe Someday, je me sentais dans le besoin de lire Maybe Not. Parce que j'adore Warren. Parce que je ne savais pas trop si j'adore Bridgette.

Je ne suis pas une grande fan des nouvelles. Souvent je les trouve trop courtes pour qu'elles donnent quelque chose de vraiment bon. Mais là en 146 pages, Colleen Hoover m'a agréablement surprise parce que j'ai adoré. Elle su mettre tout ce dont j'avais besoin. C'était ni trop ni pas assez, c'était tout simplement parfait. Un sans faute, pour moi !

Maybe Not commence un peu avant Maybe Someday, lorsque Bridgette devient la nouvelle colocataire de Ridge et Warren. Puis les semaines passent et Sydney arrive, etc.

Warren est un personnage que j'ai adoré dans Maybe Someday. J'étais donc super contente de pouvoir lire son point de vue. Ça l'a rendu encore plus attachant, ça l'a rendu plus réel et même si je continue à dire que parfois, Warren est vraiment un connard, je l'ai trouvé super. Je l'adore, ce gars. C'est Warren, quoi !

Quant à Bridgette, je n'étais pas sûre de vraiment l'aimer après ma lecture de Maybe Someday car c'est un personnage qu'on n'a pas vraiment découvert durant le roman. Dans Maybe Not, je l'ai découvert et elle est donc devenue beaucoup plus attachante à sa manière et plus humaine aussi. Je comprends mieux son personnage qui est plus complexe qu'il n'y paraît. J'ai fini par adorer son caractère, sa personnalité, tout ça. Je m'y suis attachée, alors que je n'étais pas certaine que ça soit réellement possible lorsque j'ai débuté ma lecture.

La relation entre Bridgette et Warren est simplement sexuelle au départ. On la voit évolué et la romance est agréable et vraiment mignonne dans le genre "je t'aime bien mais si tu t'approches trop près je te mets un coup de genoux dans tes parties sans hésiter." Un régal dans son genre ! ^^

Alors encore une fois, Colleen Hoover m'a eu. J'ai adoré ce que j'ai lu. Maybe Not ne rajoute rien à Maybe Someday concernant Ridge et Sydney puisque c'est centré sur Bridgette et Warren. Alors même si vous avez lu Maybe Someday et que vous avez aimé, vous n'avez pas forcément besoin de lire Maybe Not. Mais si comme moi vous avez aimé Warren et que vous êtiez intrigué par Bridgette, je vous la recommande fortement. On voit leur relation, on apprend à mieux les connaître, tout ça. C'est un excellent plus !

Quand je lis des livres tels que Maybe Someday, des livres si beaux qu'ils en feraient presque mal, je me dis que je lis pour me souvenir qu'il y a quelqu'un en moi, que je ne suis pas juste une enveloppe corporelle, que je peux ressentir des choses qu'on ne pourra jamais expliquer car même avec tous les mots du monde, jamais aucun ne sera à la hauteur.

Colleen Hoover malmène mon cœur mais elle pourrait le malmener jusqu'au bout du monde encore et encore et encore, je la laisserais faire parce que c'est la chose la plus douloureuse et la plus douce que je connaisse. Quand je lis des romans comme Maybe Someday, je prie pour ne jamais arrêter de lire.

Lorsque Maybe Someday est sorti, je ne comprenais franchement pas l'engouement et l'amour que tout le monde y porte. C'était tellement stupide ! Bien-sûr que je ne pouvais pas comprendre, je n'avais pas encore lu ce roman ! Je regrette presque de ne pas l'avoir lu plus tôt parce que maintenant je comprends. Putain, oui, je comprends.

J'ai un million de choses à dire mais je ne sais pas par quoi commencer. Je vais sûrement tomber amoureuse de tous les livres de Colleen Hoover. Quelque part, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'avec ses histoires, ses personnages et ses mots tout simplement, elle me donne tous les sentiments, les émotions et ce genre de choses que je n'ai plus depuis un certain temps avec le reste du monde.

Il n'y a que les livres qui peuvent me faire ça. Et ceux de Colleen Hoover le font tellement bien que j'en redemanderais toujours. Jusqu'à ce qu'elle ait épuisé toutes les idées de l'univers.

J'aime sa façon d'écrire parce que c'est fluide et simple si on lit seulement. Mais quand on regarde ce qu'elle écrit, quand on écoute et qu'on ressent, je crois que ce n'est pas difficile que cette auteure rend les mots d'une beauté à la hauteur de celle de ses romans. Époustouflante.

Dès la première ligne, j'ai aimé ce que j'ai lu. Dès la première ligne, ce livre m'a mise dans tous mes états. Et même dans des états que je ne me connaissais pas.

J'ai adoré l'histoire de Maybe Someday. C'est une belle réalité. Parfois ça fait mal et parfois ça nous vole un sourire idiot. Mais on en ressort toujours avec le cœur gonflé d'amour. Cette histoire est douce et vraie et je ne sais pas. Il y a un truc auquel aucun mot ne convient. Un truc qui rend Maybe Someday tellement plein d'espoir. Et j'aime pas l'espoir d'habitude, je trouve ça tellement injuste d'espérer quelque chose sans savoir si ça viendra ou si ça nous passera sous le nez. C'est bête. Mais j'aime pas espérer en me disant "un jour peut-être." Sauf dans Maybe Someday. Je suis ravie de m'être dit "un jour peut-être."

Je m'emballe, je sais. Mais ce roman me donne la sensation d'avoir des ailes qui peuvent résister à tout et que de ce fait, je peux voler près du soleil sans craindre de brûler.

À un moment, je me suis tellement emballée que j'ai chanté tout un paragraphe au lieu de le lire normalement. Ne me demandez pas pourquoi. Sachez juste que je ne deviendrais jamais chanteuse, c'est sûr.

Plume de l'auteure, histoire, c'est génial. Un travail d'artiste ! Et les personnages n'échappent pas à la règle Colleen-Hoover-pourrait-vous-faire-aimer-sa-liste-de-courses-tellement-elle-est-géniale (très longue règle mais elle a le mérite d'être claire). En bref, je me suis pas attachée aux personnages, je m'y suis agrippée comme s'ils étaient une bouée de sauvetage en plein milieu de la mer, ma réussite sur toute une vie, le dernier oasis d'un désert...

Pour commencer, Sydney m'a bien plu. Elle est attachante et elle a du talent et elle est probablement tout ce que je ne serais jamais. Elle est inspirante et maintenant que je m'y suis attachée, impossible de m'y détacher. Je n'y compte même pas !

Je suis tombée amoureuse de Ridge. Et je n'ai aucun mot pour vous expliquer à quel point je le trouve parfaitement lui. C'est bête, n'est-ce pas ?

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Il est sourd, il est muet même s'il parlait avant quand il était enfant. Et quand il s'est remis à parler pour Sydney, j'ai cru que j'allais mourir d'admiration parce qu'il faut du courage, je suppose. J'adore la façon dont il fait de la musique, c'est tellement authentique.[/spoiler] Il est doux, calme et en même temps il y a quelque chose de solide chez ce gars. Je suis en totale admiration.

Les personnages secondaires sont supers, pour la plupart. J'ai pas aimé Hunter et Tori mais c'était le but de départ et heureusement qu'ils sont tellement secondaires qu'on ne peut même plus les désigner comme tels ! ^^
J'ai trouvé que Brennan avait du charme, Maggie était mignonne et attachante, Bridgette m'a laissé sans voix. Je ne sais pas si je l'aime ou pas. ^^ Et Warren. Putain, ce gars est génial dans son genre.

Les relations entre les personnages sont très bonnes. Elles en rendent certains plus attachants. Comme Warren, par exemple. Et la romance est très bonne. Votre cœur n'y survivra sûrement pas ! [spoiler]Maggie et Ridge était mignons mais Ridge et Sydney ça va au-delà des étoiles et ça illuminerait un ciel éternellement sombre. Warren et Bridgette sont mignons dans le genre "Je t'aime. Va te faire foutre."[/spoiler]

Au départ, j'étais pas très emballée parce que j'avais entendu dire qu'il y avait un triangle amoureux dans Maybe Someday. Effectivement, il y en a un. Mais si tous les triangles amoureux étaient comme ça, je les supporterais beaucoup mieux ! Ce triangle amoureux, c'était pas du genre "J'en aime deux parce que j'aime bien vous mener par le bout du nez et que je ne sais pas ce que je veux." Il y a plus que ça derrière ce triangle amoureux et du coup, ça ne l'a pas rendu dérangeant et horripilant ou je ne sais quoi. On comprend et on voit ce qui se passe. Colleen Hoover m'a fait découvrir le seul triangle amoureux de l'histoire que j'ai été capable de supporter sans m'arracher les cheveux un par un.

Ce que j'aime par dessous tout dans les romans de Colleen Hoover c'est qu'ils sont tellement complets. Par exemple, pour Confess, on avait de magnifiques œuvres d'arts dans le bouquin et dans Maybe Someday on a une bande-son d'enfer spécialement écrite et interprétée pour le roman par Griffin Peterson qui a aussi interprétée des chansons pour Ugly Love et November 9. D'ailleurs, des mois en arrière, j'ai passé celle d'Ugly Love en boucle sur mon Ipod sans savoir que c'était la chanson du livre (j'ai fait le rapprochement seulement hier). Enfin, bref, tout ça pour dire que les chansons sont superbes et que je vous recommande cet artiste ! Owen Mason Gentry (OMG, clin d’œil) ! Je crois que j'ai un coup de cœur pour Hold On To You. Je vais fondre chaque fois que je vais l'écouter maintenant.

Quant à la fin de ce livre, Colleen Hoover ne me décevra jamais ! Elle a le don de faire des trucs qui me brise le cœur dans le bon sens du terme. Et merde, je ne savais pas qu'un truc pareil était possible ! [spoiler]Ridge et Maggie se séparent. Quelques semaines plus tard, Ridge va voir Sydney. Ils s'embrassent, parlent, etc. Ils en viennent à la conclusion que pour le moment, ils ne sont pas prêts ni l'un ni l'autre pour une relation car ils culpabilisent toujours par rapport à Maggie et tout ce qui s'en suit. Alors ils se donnent du temps. Ils se séparent et quelques mois plus tard, ils sont prêts. Ridge a amélioré sa façon de parler et Sydney a commencé à apprendre le langage des signes. Ridge a organisé un concert pour Sydney dans une petite salle (où il y a des gens et Syd bien-sûr) avec toutes les chansons qu'il lui a écrit durant les mois de séparation. Brennan chante et Ridge joue de la guitare. Et puis bien-sûr, ils finissent ensemble sans doute, sans culpabilité, sans peur. Avec de l'amour et de la passion. Quel régal ! Leur retrouvailles sont merveilleuses.[/spoiler]

En conclusion, j'ai adoré Maybe Someday de la première note à la dernière. Ce livre était fait pour moi, c'est clair. Et peut-être qu'il est fait pour tout le monde, au final. En tout cas, j'aimerais car il est vraiment génial et c'est pour quoi je le recommande chaudement !

Maybe est la plus belle des chansons et Colleen Hoover est une artiste, pas de doute là-dessus.

PS : Si vous allez ici : http://www.maybesomedaysoundtrack.com/extras.php et que vous entrez le mot de passe (le dernier mot du dernier chapitre [spoiler]soit en anglais 'Everything'), vous aurez l'épilogue de l'histoire. :)

Honnêtement, je n'ai pas grand-chose à dire sur ce roman. Mais autant le dire immédiatement : j'ai adoré. Car oui, mesdames et messieurs bienvenus dans le monde de la ligue underground, faites place à Remington Tate, RIIIIIPTIIIDE !!! ^^

Je ne pouvais pas résister à faire une telle annonce ! J'en rêvais presque. Enfin bref, passons aux choses sérieuses.

Un boxeur sombre, sexy, sauvage mais doux comme un ours en peluche ? Comment résister ? Un bad-boy adorable, jaloux et possessif ? Comment résister ? Dans ces cas-là, je ne résiste pas. Je n'essaie même pas. Parce que ça me semble totalement impossible. Pas quand il s'agit de Remy.

Dès le début, je me suis dit que ce gars causerait ma perte. Et on n'est franchement pas passés loin ! J'ai beaucoup aimé son personnage. Souriant un instant, sombre celle d'après. J'aime ces personnages qui ont des démons. Ces personnages auxquels je m'accroche parce qu'ils respirent la réalité, la beauté et ce genre de chose. J'ai bien aimé la personnalité de Remy, bien qu'elle soit très difficile.

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En même temps, ce n'est pas facile tous les jours un bipolaire ![/spoiler]

J'ai aussi bien aimé Brooke. Bien qu'elle soit assez classique. Je ne me suis pas identifier à son personnage. À la limite, je me sentais plus proche de celui de Remy que du sien car je ne suis pas du tout le même genre de personne que Brooke. Mais elle n'en reste pas moins un bon personnage, agréable à suivre et attachante.

Les personnages secondaires étant très secondaires, selon moi, je n'ai pas pu m'y attacher comme je l'espérais mais je les ai bien aimé. Même s'ils m'ont un peu agacés pour certains à certains moments.

La relation entre Remy et Brooke est bonne (sans arrière pensée, merde). Je l'ai bien aimé mais il y a quelque chose qui a fini par me déranger un peu. C'est un roman érotique donc forcément il y a de l'érotisme. Il n'y en aurait pas eu j'aurais dit "Eh mon gars, qu'est-ce que tu fous dans cette catégorie ?" Sauf que là, c'est beaucoup d'érotisme. Pour un rien, au final. Et du coup, dans les moments d'érotisme, je ne ressens plus d'émotions ni rien parce que ça arrive beaucoup trop souvent. Trop c'est trop et au final, ça donne plus rien. De plus, toutes les scènes se ressemblaient plus ou moins. J'ai trouvé que Brooke pense trop au sexe avec Remy. Il est gentil, sexe. Il est en colère, sexe. C'est vraiment dommage parce que ça gâche un peu la romance entre eux. Au final, ça me donne l'impression que c'est qu'une histoire de sexe alors que Katy Evans tente de nous montrer une histoire d'amour...

La plume de Katy Evans est assez simple et basique. C'est pas de la grande littérature. Mais ça reste agréable à lire et elle ne m'a pas dérangé. C'était simple mais ça n'en restait pas moins bon.

En ce qui concerne l’additivité du roman, je la déclare quasi absente. Et c'est sûrement dû au trop plein de sexe. Soyons honnêtes. Ce que j'aurais aimé c'est être plus dans la complexité d'une relation entre une personne comme Brooke et une personne comme Remy. Dans la beauté qu'on aurait pu y trouver. J'aurais aimé découvrir d'avantage le monde de la ligue underground et ce genre de choses.

Ce que j'ai vraiment aimé dans cette histoire, c'est l'importance que Katy Evans a donné à la musique. Via des chansons assez connues quand-même, Brooke et Remy se font passer des messages, ils se disent des choses qu'ils ne se diraient pas autrement. Finalement, ces moments-là c'est les conversations qu'on n'a pas et qu'on voudrait dans ce roman. J'aime bien, moi-même, faire passer des messages grâce à la musique. Dieu sait combien de fois je l'ai fait ! [spoiler]Le moment avec la chanson d'Avril Lavigne, I love you (un classique de cette chanteuse), était super mignon et je l'ai adoré ! [/spoiler]

Je crois que j'aurais mis ce roman en bronze si la fin ne m'avait pas donné ce que j'attendais depuis le début. J'accorde beaucoup d'importance aux personnages et aux fins et là, la fin de ce premier tome a rattrapé le reste, je trouve, et ça m'a donné envie de découvrir le second tome de cette saga. [spoiler]De plus, dans l'épilogue, Remy nous annonce clairement qu'à la saison prochaine il gagnera le championnat de la ligue underground (qu'il a perdu la saison passée) et qu'il demandera à Brooke de l'épouser. Ça promet !

En conclusion, même si Real a été une légère déception, je donnerais sa chance à Mine parce que mon instinct me dit que le second tome pourrait bien valoir le détour. On verra bien ! De plus, je n'ai pas détesté cette lecture, je l'ai beaucoup apprécié. J'ai passé un moment durant lequel je ne me suis pas pris la tête et c'était une lecture facile et rapide. Ce n'était pas lourd et j'y accorde suffisamment d'importance pour avoir envie de découvrir la suite. Je veux voir, par curiosité et avec l'espoir que l'histoire évoluera dans le bon sens, comment tout ça va continuer.

De bons personnages, une romance agréable, une histoire sympathique, une lecture simple mais adorable. C'était pas un coup de cœur, pas une lecture inoubliable mais c'était bon et je ne retiens que ça !

Affaire à suivre... :)

"Je t'aimerai toujours, même quand je ne pourrai plus."

Après avoir lu Ugly Love et complètement adoré, je ne pouvais pas résister à un autre Colleen Hoover. Je voulais voir si c'était vraiment une auteure hors-pair ou si c'était juste Ugly Love qui avait été hors-pair. Je ne pouvais pas résister à Confess.

Je peux dire aujourd'hui qu'en vérité, Colleen Hoover est une auteure hors-pair et que ses romans soient des histoires exceptionnelles. Les deux vont probablement ensemble, maintenant que j'y réfléchi bien.

J'ai adoré Confess dès la première ligne. Rien que le titre, j'aimais déjà ! Le prologue était émouvant, l'histoire était belle et addictive, artistique au sens propre comme au sens figuré et la fin était si merveilleuse que j'ai cru que j'allais m'évanouir !

Colleen Hoover est le genre d'auteure qui vous chamboule, n'est-ce pas ? Je ne comprends toujours pas comment elle fait. Je ne comprendrais sûrement jamais. Et puis, je ne suis pas sûre d'avoir envie de savoir. Je veux juste qu'elle continue de me bouleverser comme elle le fait à chacun de ses romans. Parce que je ne me sens jamais aussi mal et aussi bien que lorsqu'elle le fait.

Les personnages étaient tellement vrais, tellement humains et attachants. S'il aurait suffi d'un dessin d'eux pour les faire sortir de ce roman, j'aurais dessiné mille fois. Même si je ne suis franchement pas une grande artiste en ce qui concerne ce domaine ! ^^

Auburn est une fille très attachante, belle par tous les aspects possibles et imaginables qui a su me toucher et me rendre plus fragile. Son histoire m'a donné envie de sourire, de me rouler en boule dans un coin, de prendre le monde entier dans mes bras et de pleurer, tout ça en même temps. Je l'ai adoré.

J'ai aussi adoré Owen et cela dès le départ. Je ne saurais pas trop comment l'expliquer... il y a quelque chose dans ce personnage. On dirait un feu d'artifices, un tableau et une confession à lui seul. Il est très artistique et je suis tombée amoureuse de lui. Maintenant, plus jamais je ne dirais Oh My God. À partir d'aujourd'hui, je dirais Owen Mason Gentry. OMG. ^^

Les personnages secondaires sont très bons. Chacun ayant son rôle dans l'histoire, j'ai trouvé que l'auteure les rendait parfaits à leur façon. Parfois c'est moche d'être parfait et parfois c'est mignon. Tout dépend de votre rôle dans l'histoire.

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J'ai détesté Trey dès le départ. Lydia m'agaçait. Je ne portais pas spécialement le père d'Owen dans mon cœur mais à la fin, je l'ai bien aimé. J'ai aimé ce que j'ai découvert d'Adam via le prologue et la fin, via les personnages. J'ai adoré AJ. Il est mignon.[/spoiler]

[spoiler]Quand j'y pense, je me dis que c'est vraiment trop triste qu'Auburn ait découvert qu'elle était enceinte deux semaines après la mort d'Adam parce qu'il ne saura jamais qu'ils ont créé quelque chose ensemble, qu'il y a quelqu'un qui les liera pour l'éternité... c'est beau et c'est moche et c'est triste mais c'est beau.[/spoiler]

La romance dans ce roman est un pur régal, une vraie œuvre d'art que je voudrais exposer aux yeux du monde entier. J'ai savouré chaque instant en priant qu'il n'y ait pas de fin à ce livre. Merde.

Ce que j'ai aussi infiniment aimé dans Confess, c'est les photos de peintures, de magnifiques œuvres, qui se trouvent à l'intérieur. Ça rend le livre tellement plus vrai et plus artistique, c'est irrésistible ! Tellement que j'ai pas pu m'empêcher de les montrer à tous les membres de ma famille. Même à mon chien.

Ce que j'ai aussi aimé comme une dingue, c'est les confessions. L'idée en elle-même est géniale. Vous écrivez une confession anonymement et Owen s'en inspire pour ses œuvres. J'aime. De plus, les confessions de ce roman m'ont touchées. Certaines m'ont sidéré à un point que j'en ai ri, d'autres m'ont émue et rendues triste. Je les ai trouvé belles même quand elles ne l'étaient pas au départ.

J'ai tellement été charmée par l'idée que j'ai ouvert un nouveau traitement de texte sur mon ordinateur et j'ai commencé à y écrire toutes mes confessions. C'est libérateur et en même temps, ça me fait voir certaines vérités en face. Et l'idée me plait tellement ! Un jour peut-être qu'il y en aura un certain nombre, un jour peut-être que je les relirais et que j'en rirais ou en pleurerais, je ne sais pas. En tout cas, merci Colleen !

Pour passer à la fin de Confess, elle m'a émue aux larmes. [spoiler]Depuis le début, on sait que cinq ans plus tôt, le chemin d'Owen a déjà croisé celui d'Auburn. Il se souvient d'elle mais elle non puisqu'à l'époque elle ne lui a pas prêté plus d'attention que ça. Voir pas du tout. Enfin bref. J'ai beaucoup aimé découvrir le lien qui unit Owen, Adam et Auburn dans ce roman. C'est touchant, je trouve. Quand Adam se mourait à l'hôpital et qu'Auburn était à son chevet, dans la chambre d'à côté après avoir perdu sa mère et son grand frère, Owen attendait le réveil de son père dans le coma. Quand il n'était pas assis dans un fauteuil, il était assis dans le couloir. Durant plusieurs semaines il a donc aperçu Auburn quand elle venait rendre visite à Adam et il les entendait parler et tout ça.
Adam peignait. Mais comme il s'affaiblissaient, il ne le faisait plus. Lydia (sa mère) a donc demander à une infirmière de jeter les affaires de peinture qu'Adam avait dans sa chambre d'hôpital. Auburn a demandé à cette même infirmière si elle ne pouvait pas plutôt essayer de trouver quelqu'un qui en voudrait. Owen qui était là, a attendu qu'Auburn soit partie pour prendre les affaires de peinture.
Dans le présent, Auburn garde une peinture dans son appartement. Elle dit qu'elle lui vient d'Adam, ce qui est en partie vrai. En fait, c'est Owen qui a fait cette toile. C'était sa première. Il l'a fait pour Adam et Auburn. Puis il l'a montré à Adam. Ce dernier dit à Owen qu'il espère que ça ne sera pas la dernière œuvre qu'il fera et que c'est incroyable. Ensuite, il lui demande si Owen peut envoyer la peinture à l'adresse qu'il lui indique (celle d'Auburn) et dire que c'est de la part d'Adam. Owen l'a fait. Et il est devenu artiste peintre. Adam a confié à Owen qu'il espérait qu'Auburn aurait le droit à une autre chance en amour. Owen est cette autre chance et c'est beau, je trouve. C'est assez symbolique dans un sens.
Si je devais espérer quelque chose pour l'avenir d'Owen et Auburn, ça serait qu'un jour Owen lui raconte sa rencontre avec Adam et l'histoire de la peinture qu'Auburn chérit tant.

En conclusion, j'ai aimé. C'est aussi simple que ça mais ça va bien au-delà de ça, en fait. Je crois que c'est l'un des plus beaux romans que j'ai lu. La plume, l'histoire, les personnages, tout.
C'est une aventure magnifique, c'est le destin.

Je ne sais pas trop par quoi je suis censée commencer. C'est mon premier Colleen Hoover. Depuis quelques temps, j'avais très envie de découvrir cette auteure puisque je n'en entends toujours que du bien. Ravie de m'être enfin lancée avec Ugly Love.

Déjà, en lisant le synopsis je pensais que Miles serait un coureur de jupons, ce genre de choses... Putain, je ne pouvais pas plus me tromper. Et ça n'en a rendu ma lecture que meilleure !

Les mots de Colleen Hoover m'ont fait un truc que je ne serais même pas capable d'expliquer. Je me demande comment elle peut utiliser les mêmes mots que moi, les mêmes mots que tout le monde mais les rendre infiniment plus beaux. Sa plume m'a transpercé comme une flèche en plein cœur. Un vrai cupidon, Colleen !

C'est la raison pour laquelle, je suis navrée de briser le charme avec la révélation suivante. J'ai passé la nuit dernière éveillée à lire encore et encore. Au milieu de la nuit, j'ai eu très envie de pisser. Désolée. Mais j'étais tellement prise dans ma lecture que j'ai fini par oublier et j'ai continué à lire. J'ai deux bonnes nouvelles : la première c'est que je ne me suis pas faite dessus. Dieu merci. La seconde c'est que ça valait le coup de se retenir au point qu'on finit par ne même plus en avoir conscience. ^^

L'histoire qu'a écrit Colleen Hoover m'a fait tout un tas de choses. J'ai ri, je me suis sentie en colère, désespérée et triste. J'ai pleuré aussi mais ça c'est un secret. ;) À travers ses mots et son histoire, elle m'a fait ressentir une multitude de choses : elle m'a fait ressentir chacun de ses mots, chacun des regards échangés entre les personnages et tout ça, comme si des doigts m’effleuraient le menton et me disaient "Regardes par-là, c'est un soleil qui se lève lentement mais qui est si lumineux, si coloré, si beau. Mon dieu, que ça vaut le coup de se lever quand il fait encore nuit pour voir ça." Les révélations de ce roman n'ont pas de mot.

Et ces personnages ! Si ce livre a été capable de me faire aimer autant que de me briser le cœur puis de le réparer, les personnages ont fait un travail génial sur mes émotions et encore une fois, mon cœur a été une proie parfaite.

Je les ai adoré, je m'y suis attachée et j'aurais aimé les serrer dans mes bras. Tellement. Ces personnages qui semblaient plus vivants que certaines personnes bien réelles.

J'ai adoré Miles Mikel (je l'ai prononcé Michael la première fois, désolée Miles) Archer. Il est tellement beau, tellement touchant, émouvant et j'en passe. Il est tellement plus que ce que je croyais au départ que je ne pouvais pas faire autrement que l'aimer et m'y attacher comme s'il était ma bouée de sauvetage.

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Son passé avec Rachel m'a arraché des larmes. Avant la révélation finale, j'ai pensé à pleins d'hypothèses. L'accident de voiture, bien-sûr ! Mais je m'imaginais que Rachel et le bébé (Clayton) étaient morts. Pas que seul leur fils n'avait pas survécu. Ce qui rend probablement les choses pires que tout. Et c'est pour ça que Miles s'interdit d'aimer parce qu'après ça Rachel l'a quitté en le détestant de ne pas avoir sauvé leur fils.
Six ans plus tard, Tate est la première fille que Miles "fréquente".[/spoiler]

Je me suis attachée à Tate. C'était comme une obligation. Même si elle ressemble d'avantage à tous les personnages féminins de ce genre d'histoires, même si c'est une jeune femme ce qu'il y a de plus normal, elle est attachante et elle a quelque chose qui la rend unique en son genre. Je l'ai beaucoup aimé.

J'ai aussi beaucoup aimé Ian et Corbin. Et Cap'taine ! Ce petit vieux m'a arraché plus d'un rire, il m'a fait pensé à ce que mon grand-père était il y a quelques années. J'ai bien aimé Rachel aussi 'd'ailleurs au chapitre de son point de vue j'ai pas tout de suite percuté alors je me suis retrouvée à me dire "Rachel ? C'est qui Rachel ? Louan, tu es stupide !"

Les relations entre les personnages m'ont bien plu et la romance m'a charmée.

Le fait que le livre alterne entre le passé de Miles (nous dévoilant la raison pour laquelle il est l'homme qu'il est) et le présent m'a bien plu. J'ai aimé voir quel personne il est dans le présent et celui qu'il était dans le passé. Le présent m'a montré la façon dont les choses peuvent avancer, c'est le présent quoi. Le passé m'a sincèrement intrigué.

La fin a fait battre mon cœur si vite, mes poumons se sont gonflés d'air et j'ai retenu mon souffle. [spoiler]Tate emménage dans son nouvel appartement. Tate et elle se disent donc au-revoir. Grâce à Cap'taine, Miles va affronter son passé, va affronter Rachel. Pour avancer, pour accepté qu'il a le droit au bonheur avec Tate. Il découvre que Rachel a refait sa vie avec un homme nommé Brad. Ils ont une petite fille, Claire. Et qu'elle ne lui en veut plus de la mort de leur fils. C'est la délivrance de Miles.Deux semaines après qu'ils se soient dit au-revoir, Tate retrouve Miles devant chez elle. Et il lui parle. Vraiment. Ils lui dit ce qu'il est capable de dire pour l'instant, promettant d'en dire plus plus tard. Il lui avoue notamment que le soir de leur rencontre, c'était l'anniversaire de Clayton, il aurait eu six ans. C'est pour ça, qu'il était bourré devant la porte de Corbin (le frère de Tate). Miles avoue ses sentiments à Tate. Et c'est merveilleux !
Six mois plus tard, il la fait monter dans un avion et lui montre le lever du soleil d'en haut (avec Cap'taine). Ensuite quand ils sont de retour sur la terre ferme mais toujours dans le cockpit (sans Cap'taine) il lui demande si elle veut s'installer avec lui : elle dit oui. Puis il lui demande si elle veut l'épouser : elle dit oui.

L'épilogue est encore plus beau ! C'est deux ans après, Tate et Miles sont mariés et ils viennent d'avoir une petite fille qu'ils appellent Sam (en l'honneur de Cap'taine qui s'appelle Samuel).

En conclusion, je comprends maintenant le titre et la couverture VO de ce roman. Et je ne l'en trouve que plus beau, plus fort, plus tout.

Colleen Hoover est forte pour garder un secret. Forte pour vous faire vivre une histoire. Colleen Hoover a du pouvoir avec les mots. Putain, elle est puissante ! Au début tu te dis que c'est quelques heures avant l'aube et à la fin tu te dis que le soleil s'est enfin levé.

Et c'est magnifique.

Je ne me remettrais sûrement jamais de cette lecture, de cette histoire, de ces personnages, de tout ! C'était une aventure unique et je ne sais sincèrement pas par où commencer pour vous l'expliquer.

J'avais peur de me plonger dans The Rose & The Dagger parce que je n'avais simplement pas envie que ça se termine. Je n'étais pas prête alors j'ai attendu un peu. Je n'étais toujours pas prête quand j'ai commencé ma lecture mais une fois plongée dans ce second opus, je ne pouvais plus me convaincre de ne pas le lire. Alors je l'ai lu. ^^

Autant le dire tout de suite, j'ai adoré et c'est un énorme coup de cœur ! Mon pauvre cœur, il a pris cher sur ce coup-là.

Comme toujours, Renée Ahdieh a su me captiver et me faire vivre cette histoire comme dans un rêve. Et je dois dire que je trouve qu'elle a une très belle plume. Je ne pourrais pas mettre de mot dessus mais j'aime beaucoup sa façon d'écrire. Disons que c'est comme si elle vous racontait un conte à par entière et non pas une réécriture. Et c'est ça, The Wrath & The Dawn est un conte à part entière !

L'histoire de ce second tome reprend là où celle du premier tome nous avait laissé. Et dans ce deuxième et dernier opus, il est temps que les choses sérieuses commencent. Renée Ahdieh ne m'a pas déçue ! Dans The Rose & The Dagger, on a le droit à de grandes surprises, toutes servies sur de beaux plateaux d'or.

Et il y a des fois où j'étais tellement sidérée, surprise et tout ce que vous voulez par rapport à ce qu'il se passait dans l'histoire que j'ai fini par monologuer jusqu'à ce que je n'ai plus de souffle et que les mots n'aient plus de sens. ^^

Comme je le disais plus haut, mon cœur a pris cher durant cette lecture. Il s'est retourné, s'est brisé, s'est envolé et j'en passe.

Les personnages... par qui je pourrais bien commencer ? Peut-être simplement par vous dire que je les aime d'un amour fou et que je me suis attachée si fort à eux que je ne me sens pas capable de les lâcher. Jamais. Eux et moi, c'est pour toujours. ^^

Je vais commencer par le Roi des Rois. Khalid Ibn al-Rashid est le monstre le moins monstrueux et le plus beau que j'ai jamais rencontré dans un livre. Mon dieu, il est impossible de ne pas le vénérer. Il est fort, solide et tellement de choses à la fois qu'il n'existe pas assez de mots dans toutes les langues possibles et imaginables pour le décrire.

Sharzad al-Khayzuran est une héroïne aussi forte et intelligente que son mari. J'aime sa personnalité et son caractère. J'aime en vérité tout ce qu'elle est et représente. C'est une véritable Reine, pas seulement celle de Khorasan.

Peut-on seulement parler de Jalal ? Est-ce nécessaire que je vous dise à quel point je l'aime ? Ça me semble impossible qu'il en soit autrement.

Spoiler(cliquez pour révéler)

J'aurais simplement aimé le voir d'avantage mais pour toutes les fois où on le voit, je l'aime toujours. Même quand on ne le voit pas, en fait. ^^[/spoiler]

Despina est un personnage qui m'a offert les plus grandes surprises durant cette lecture. Je crois qu'elle voulait ma mort. Je l'ai adoré et je l'ai détesté, j'ai douté d'elle et puis je l'ai adoré à nouveau. Cette fille me fait à la fois l'effet d'un mur dans lequel je me plais à me cogner, d'une fleur si belle et si douce et parfois d'un poison que j'accepte de prendre avec le sourire. C'est un personnage plutôt complexe, si on y pense bien. Elle est sincèrement surprenante et je ne saurais pas expliquer mes sentiments à son égard mieux que ça.

Il faut aussi que je vous parle de Tariq al-Ziyad. Dans le premier tome, je le trouvais presque insupportable et impulsif. Je n'y étais pas spécialement attachée. Bien qu'il soit toujours du genre impulsif et un peu insupportable, dans ce second tome, je pense l'avoir découvert sous un autre angle et ça l'a rendu plus attachant. Il n'est toujours pas mon personnage préféré mais il a gagné un peu de mon estime. ;) Et mine de rien, il va quand-même me manquer !

Rahim... L'attachant et le loyal Rahim. Dans ce second tome, je vais simplement vous dire que je m'y suis d'avantage attachée. Sûrement parce qu'il a eu d'avantage d'importance. J'ai même succombé un peu à son charme si doux. [spoiler]Alors quand il est mort, j'ai pleuré comme un bébé. Ça m'a brisé le cœur. Et il m'a tout de suite atrocement manqué.[/spoiler]

Irsa, la petite sœur de Sharzad aussi a eu d'avantage d'importance dans The Rose & The Dagger et donc j'ai su l'aimer et m'y attacher. Elle est douce, intelligente et si innocente mais il y a quelque chose en elle qui la rend forte.

J'ai été ravie de retrouver Vikram ! Je n'étais pas sûre de le revoir, après la fin du premier tome, mais bien-sûr qu'un homme aussi fort pouvait supporter un peu de vent ! Pourquoi en ai-je seulement douté ? ^^ Je l'ai moins apprécié que dans le premier tome (sûrement parce qu'on le voit moins ?) mais il n'en reste pas moins un personnage duquel émane une véritable force et une irrésistible autorité. Eh ouais.

Il y a aussi le personnage de Artan Temujin (un petit nouveau) qui m'a émerveillée. Je suis tombée amoureuse de lui à la seconde où je l'ai rencontré. Ou plutôt à la seconde où Sharzad l'a rencontré. Il est tellement insolent, un chouïa arrogant et avec une pointe d'humour dans sa personnalité... Ah! je ne sais pas l'expliquer mais je l'ai adoré.

Plus, les personnages secondaires, Renée Ahdieh m'a fait rencontré une palette de personnages différents, tous parfaits dans le rôle qu'ils devaient jouer : je les ai aimé ou je les ai détesté. Parfois un peu des deux. Ça aussi, j'ai adoré.

Quant aux relations entre les personnages, quelles qu'elles soient, je trouve que Renée Ahdieh a su en faire quelque chose de super !

Pour parler de la romance, je suis fan ! Renée Ahdieh a un talent qui fait battre mon cœur si vite et si fort que le monde entier pourrait l'entendre et le ressentir. J'ai donc aimé la romance entre les personnages. Tellement ! [spoiler]Bien-sûr Sharzad et Khalid qui sont merveilleux. D'ailleurs, leur retrouvailles c'était comme si mon cœur avait sauté de ma poitrine pour s’étaler à leurs pieds et s'était prosterné.

Jalal et Despina - j'étais déjà sous leur charme dans le premier tome. Dans ce second, j'ai douté. On ne les a vu ensemble qu'à la fin et après une multitude de surprises qui m'ont foutue la trouille. Mais tout est bien qui finit bien et je les aime toujours !

Rahim et Irsa - Je les ai trouvé mignons, attendrissants et j'aurais aimé que ça dure. Mais le fait que ça soit fini (parce que Rahim est mort) rend leur histoire plus touchante et belle, je trouve. Ce premier amour dont Irsa se souviendra toujours.[/spoiler]

Comme je l'ai dit plus tôt, Renée Ahdieh m'a fait quelques surprises, quelques frayeurs et m'a offert une palette complète d'émotions. Il y en a que je n'ai sincèrement pas vu venir alors bravo Renée, tu es très forte ! [spoiler]Je n'ai pas vu venir le fait que Despina est la fille bâtarde de Salim Ali el-Sharif (oncle de Khalid et Sultan de Parthia).

Je ne m'attendais sincèrement pas à ce que Khalid et Tariq finissent pas trouver un terrain d'entente. Je pensais qu'ils allaient finir par s'entre-tuer. Ravie de m'être trompée.

Je m'attendais un peu à la mort de Rahim mais ça ne m'a pas empêché d'être sur le cul quand c'est arrivé. J'ai pleuré, je l'ai déjà dit. Mais avant de mourir, il fait promettre à Khalid de s'assurer qu'Irsa ne se sentira jamais seule et toujours aimée. Khalid promet. Et j'ai trouvé ça touchant.

Je me doutais qu'il y aurait une bataille. Mais au départ, je pensais que ça serait entre Khalid et Tariq. Sauf qu'au final ces deux-là s'allient et que la bataille a lieu contre Salim (qui perd). D'ailleurs, à la fin il doit abdiquer et c'est sa fille (Yasmine) qui devient Sultana de Parthia[/spoiler]

[spoiler]Je ne peux pas écrire un commentaire sur cette merveilleuse histoire et ne pas parler de la malédiction de Khalid. Honnêtement, elle n'a pas une si grande place dans l'histoire et c'est plus facile que je ne le pensais de s'en débarrasser. Ils auraient pu le faire plus tôt ! ^^

Sharzad prend son tapis volant et va trouver Musa Zaragoza. Celui-ci lui présente Artan dont la tante est assez puissante pour briser la malédiction de Khalid. Sauf qu'elle doit voir Khalid en personne. Donc, Sharzad va chercher Khalid et tous les trois vont trouver Isuke (la tante). Celle-ci leur dit que le prix de la malédiction a été la vie du père d'Ava (celui qui l'a lancé, ce qu'on sait déjà) et que pour la briser, il faut que le prix soit égal. Le prix que demande Isuke pour délivrer Khalid est que ce dernier détruise un livre de magie noir que le père de Sharzad a en sa possession (celui avec lequel il a en partie détruit Rey, d'ailleurs) et qui vient de la famille d'Isuke et Artan. Le problème c'est que le père de Sharzad (Jahandar) ne lâche jamais le livre et la clé qui l'ouvre est autour de son cou. Du coup, Irsa décide de les aider et elle prépare une potion qui fait dormir Jahandar. Elle récupère le livre et la clé. Elle rejoint Sharzad et Khalid à un point de rendez-vous dans le désert (pas loin du campement de Tariq et tout le tralala). Petit problème : Tariq et Rahim suivent Irsa. Mais probablement pas pour les mêmes raisons... N'est-ce pas Rahim ? ^^<3 Lorsqu'il voit Khalid, Tariq perd le contrôle de lui-même et tente de l'atteindre d'une flèche sauf que c'est Sharzad qui reçoit la flèche dans le dos. Du coup, ça retarde un peu le truc. D'ailleurs, la première conversation entre Khalid et Irsa est trop mignonne (je trouve). Bref ! Finalement, plus tard, Khalid détruit le livre de la façon que lui a indiqué Isuke. Et voilà ! Khalid a brisé sa malédiction ![/spoiler]

Vous avez remarqué que mon commentaire part dans tous les sens ? C'est le bordel dans ma tête après une telle lecture, impossible de mettre de l'ordre ! Même dans ce que j'écris.

Enfin bref.

Maintenant, je vais parler de la fin. Parce que je ne peux pas passer à côté de ça et que si je n'en parle pas, je vais devenir dingue. Déjà, sachez qu'elle est géniale, au-delà de mes espérances ! [spoiler]Jahandar plante la dague qu'il vole à Sharzad dans le cœur de Khalid. Oh mon dieu. Khalid est donc en train de mourir. Le cœur de Sharzad se brise. Et comme Jahandar ne supporte pas cela, il sauve Khalid grâce à un sort qu'il connaît par cœur. Le sort qu'il avait utilisé avec la rose qu'il avait donné à Sharzad au début du premier tome. Khalid est donc sauvé. Merci, mon dieu. Tout est donc bien qui finit bien puisque la paix est de retour, la malédiction de Khalid est brisé et que tous sont entourés de ceux qu'ils aiment (ou presque. Repose en paix Rahim).

Maintenant, place à l'épilogue. Ce dernier se déroule quelques années après la fin. Tout le monde est heureux. Irsa, Artan, Tariq, Yasmine... Jalal et Despina ont eu une petite fille qui s'appelle Amira (Despina était enceinte de Jalal depuis le tome un). Amira est la meilleure amie de Haroun, cinq ans. Mais qui est-il ? Eh bien Haroun est le fils de Khalid et Sharzad !! Ah ça fait gonfler mon cœur de joie, ça. OMG, J'ai besoin d'air !

Donc, comme je disais, une très belle fin. À la hauteur d'un conte. Même au-delà.

Voilà, je crois que c'est tout. Je pourrais vous parler de cette lecture pendant des heures mais il est temps d'officialiser le fait que cette histoire est terminée. Tout ça va atrocement me manquer.

Je recommande chaudement The Wrath & The Dawn et je dis bravo à Renée Ahdieh pour avoir donné vie à une telle aventure ! Quand je l'ai commencé, je n'aurais jamais imaginé que je l'aimerais autant.

En trois M : Magique. Magnifique. Merveilleux.

Tout d'abord, pour ceux qui seraient intéressés par cette nouvelle, sachez que vous pouvez l'obtenir gratuitement !

Attention, ce commentaire peut contenir des spoilers de The Wrath & The Dawn.

À présent, place à mon avis dessus.

Pour faire court, The Mirror & The Maze met en scène "l'après-fin" du premier tome (The Wrath & The Dawn), lorsque Khalid revient à Rey, trouve sa ville en ruines et apprend que Sharzad a été emmené par Tariq.

C'est une nouvelle très courte, sur laquelle je n'ai rien à dire mis-à-part le fait que je l'ai beaucoup aimé malgré son manque de longueur. En même temps, elle n'avait pas besoin d'être longue.

Comme toujours, j'aime beaucoup la plume de Renée Ahdieh. Elle est capable de captivé un lecteur en seulement quelques mots, même lorsque c'est uniquement le temps de quelques pages !

Pour finir, The Mirror & The Maze a beau être une lecture très rapide, il n'empêche que c'est un très bon bonus pour les fans ! Je le recommande donc à ceux-là.

Un second tome meilleur que le premier. Quoi ? Eh oui ! En général, on dit que le meilleur tome est le premier et que le second est toujours un peu décevant. Eh bien, après cette lecture, je peux dire qu'en ce qui concerne La Conspiration, c'est le contraire !

J'ai préféré La Carte du Destin à son premier tome, même si j'avais bien aimé La Conspiration. Avec le recul, je me dis que le premier tome est une légère déception mais qu'heureusement, le second tome a su rattraper ça.

Honnêtement, avant aujourd'hui, je n'avais aucune envie de découvrir La Carte du Destin. Je n'étais pas motivée et je n'avais pas spécialement envie d'essuyer une déception. Mais je me sentais presque coupable et je me suis dit qu'ayant aimé le premier tome, je ne vois pas pourquoi je ne lirais pas le second.

Alors voilà, je l'ai lu. Et beaucoup aimé.

L'histoire est toujours bonne et l'intrigue est bien menée. Maggie Hall a su développé tout ça. J'ai bien apprécié cet aspect-ci du livre. L'histoire avance et les révélations sont passionnantes, claires, crédibles et elles forment un tout logique...

Ce livre a tout pour plaire : des révélations, de l'action, des meurtres, une chasse aux indices captivante, de la romance... Franchement, il vaut le coup. Mais il y quelque chose que je ne parviens pas à apprécier. C'est bête mais il s'agit de la plume de Maggie Hall.

J'ai cherché ce qui pouvait bien me déplaire concernant sa façon d'écrire mais je n'ai pas trouvé. Il n'empêche que j'ai beau essayé de l'apprécier, je n'y parviens pas. Il y a quelque... Enfin, du coup ça fait que si son histoire n'était pas aussi bonne, je ne prendrais pas la peine d'essayer de lire ses mots. Ce qui me mène au point suivant : Sûrement à cause de cela, à mes yeux, cette histoire n'est pas addictive et je peux arrêter de lire sans problème, etc.

Dommage concernant ce petit point noir.

Mais en dehors de cela, tout va bien !

Pour parler des personnages, j'aime beaucoup Avery. Pour moi, c'est l'héroïne classique à laquelle on s'attache sans effort, qui est capable d'être aussi agaçante que touchante.

Concernant Jack, je ne suis pas une grande fan de ce personnage. Je traîne ça depuis le premier tome mais dans ce tome-ci, j'ai eu énormément de mal à se supporter. Il m'a agacé plus d'une fois. Dommage.

Quant à Stellan, j'ai eu un coup de cœur pour ce personnage dans le premier tome même s'il était assez secondaire. D'ailleurs, concernant le premier tome, j'avais été déçue qu'il soit si peu présent. Mais j'étais tellement contente qu'il soit plus présent et plus important dans La Carte du Destin ! Ça m'a permis de le découvrir d'avantage et de pouvoir l'apprécier encore plus pour ce qu'il est vraiment. Je l'ai trouvé plus ouvert, donc plus craquant, à sa manière. Bien-sûr, je me suis donc attachée à lui.

J'ai aussi bien apprécié les personnages secondaires. Parfois, dans les livres, dans la quête du personnage principal, je me sens un peu isolée avec lui parce que les personnages secondaires sont très très secondaires. Là, les personnages secondaires sont présents et attachants. Ce qui est donc un bon point !

Pour parler rapidement de la romance de ce tome-ci, je l'ai bien apprécié. Elle est présente sans prendre trop d'importance et donc sans reléguer l'intrigue au second plan.

La fin est très bonne, aussi. Elle relance l'histoire et j'attends donc le troisième tome avec une certaine impatience. La suite promet d'être explosive, on passe aux choses sérieuses (même si c'était déjà du sérieux).

En conclusion, La Carte du Destin est un second tome qui a réussi à surpasser son premier opus et que j'ai plus aimé découvrir que je ne m'y attendais au départ. Une agréable petite surprise.

Déjà, je n'aurais jamais cru que ça me rendrait aussi triste de quitter la Sélection. Ça me donne envie de dire tous les gros mots du monde.

Je vais probablement commencer par dire que j'ai adoré ma lecture. Ce n'est pas de la grande littérature mais c'est tellement addictif et l'histoire est tellement attachante que je ne pouvais pas résister. J'ai lu les premiers tomes de la Sélection en 2014 et je croyais sincèrement que c'était fini. J'avais quelques réserves concernant le quatrième tome lorsqu'il a été annoncé mais lorsque je l'ai découvert en 2015, je n'ai pas pu m'empêcher de l'aimer comme j'avais adoré les trois premiers tomes. J'avais peur de ce cinquième et dernier tome. Je ne sais pas trop pourquoi. Peut-être que je n'étais simplement pas prête à admettre que c'était la fin...

En tout cas, à présent je peux dire que je l'ai adoré lui aussi. La fin de cette saga me donne envie de me rouler en boule dans mon lit et d'attendre que le prince charmant me trouve. Et en même temps, ça me donne envie de sourire et d'aller le chercher moi-même. J'adore.

Je trouve que la Sélection est une histoire pleine de romantisme, un peu comme si Kiera Cass nous présentait un conte de fées des temps modernes. Lors de ma lecture j'étais détendue et trop souriante pour mon propre bien. Et surtout j'avais l'impression que le monde portait de belles couleurs alors que ça n'est pas franchement le cas. J'aime prétendre que je suis quelqu'un de froid qui n'a pas vraiment de cœur (je sais, c'est franchement pas beau) mais je suis comme ça. Sauf avec les livres et de manière moins général avec la Sélection puisqu'elle a réussi à me remplir de joie et à me mettre les larmes aux yeux parce que la vérité est que j'ai un petit cœur fragile qui a du mal à résister aux auteurs tels que Kiera Cass : qui vous offrent une histoire qui vous fera vous sentir mieux.

Mon dieu, je me suis tellement attachée aux personnages que s'en serait presque inquiétant. Et le pire, je crois, c'est que je ne m'en suis pas rendue compte tout de suite. Enfin, je le savais mais je n'avais pas conscience que c'était à ce point.

Retrouver America et Maxon me donne un sentiment de fierté. Retrouver Aspen et Lucy me remplit de douceur. Retrouver Marlee et Carter me donne envie de dessiner des cœurs partout. Et rencontrer cette nouvelle génération, vivre une nouvelle aventure avec eux, je ne pouvais pas désirer mieux. C'était du pur Kiera Cass : vous offrir des personnages qui vous semblent plats au départ et vous dire à la fin "Mes personnages sont grands et toi, t'as rien vu venir."

J'ai adoré Eadlyn. J'ai vu que beaucoup de personnes ne l'avait pas spécialement apprécié dans le quatrième tome. Mais à la seconde où j'ai fait la rencontre de se personnage, je l'ai aimé. Elle est tout bonnement majestueuse.

J'ai adoré Ahren, Kaden et Osten. J'ai adoré Henri, Hale, Ean, Fox attachants et j'ai adoré l'atmosphère amicale qui se dégageait des prétendants. Je dois avouer une chose : dans le quatrième tome je n'étais pas fan d'Erik. Je ne sais pas pourquoi. Mais dans ce cinquième opus, je l'ai adoré. Je m'y suis attachée et je me suis rendue compte que je ne l'avais pas aimé dans le tome précédent parce

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j'ai vu arriver à des kilomètres le fait qu'il serait celui qu'Eadlyn choisirait à la fin. Et j'étais Team Kile alors... ^^ Mais j'ai changé d'avis parce que s'interdire d'aimer un personnage parce qu'on en aime un autre, c'est franchement nul. Je préfère aimer les deux et je me suis dit que de toute façon, je pouvais pas empêcher ce que Kiera Cass avait décidé d'écrire. Et honnêtement, à présent, je n'aurais pas aimé que les choses se déroulent autrement.[/spoiler]

Dans ce dernier tome, en plus de nous avoir fait un peur bleu concernant America, Kiera Cass nous offre quelques révélations un peu dingues sur le moment mais complètement dignes d'elle. [spoiler]Lady Brice est en fait la petite demi-sœur de Maxon. Hale a des sentiments pour Ean et c'est réciproque, c'est pourquoi ils n'épouseront pas Eadlyn, ni l'un ni l'autre. (Celle-là je l'avais pas vu venir ! Mais j'ai adoré l'idée ! OMG.) J'ai d'ailleurs trouvé qu'Eadlyn faisait un geste empli de bonté (en quelque sorte) en renvoyant les deux garçons à quelques jours d'intervalle sans rien dire. Si plus tard Illéa découvre qu'ils sont amoureux l'un de l'autre, ils pourront dire que ça s'est passé après la Sélection et ils ne seront donc pas accusés d'une quelconque trahison (comme Marlee et Carter à l'époque de la Sélection de Maxon et America).[/spoiler]

Quant à la fin de cette histoire de cœurs roses comme je me plais à la voir, je l'ai beaucoup aimé. C'est une fin à la Kiera Cass, tout simplement ! [spoiler]Eadlyn est couronnée reine d'Illéa. Fox, Ean et Hale partent. Eadlyn avoue à Kile qu'elle ne peut pas l'épouser même si c'est lui qu'elle aurait choisi sinon. Elle lui dit de vivre son rêve : quitter le palais et devenir un grand architecte. Et comme il refuse de partir, elle le banni durant un an. ^^ Elle l'envoie à l'autre bout du pays. Elle lui donne tout ce dont il aura besoin pour réaliser ses projets. Donc il n'aura plus le droit de la voir durant un an (sauf à son mariage, à Noël et à son anniversaire). Ils se quittent en amis et avec le sourire. Elle demande Henri en mariage et celui-ci accepte. Mais le jour de l'annonce de leur fiançailles, il refuse finalement car il a deviné qu'Eadlyn est amoureuse d'Eikko (Erik) et que c'est réciproque. Du coup, Eadlyn et Eikko décident de se fiancer (et j'aurais tellement voulu avoir plus de ces deux-là). Eadlyn annonce qu'Illéa va devenir une monarchie constitutionnelle. Et tout est bien qui finit bien, n'est-ce pas ?[/spoiler] Je n'ai pas été déçue de cette fin. Mais honnêtement, j'ai un sentiment d'inachevé. Vous savez, ça fait comme à la fin de l'Élue, on se demande "Et après" ?

La seule chose que je reprocherais à Kiera Cass, c'est le fait (si on oublie que je suis un peu déçue que ce dernier tome soit assez court) [spoiler]que je trouve qu'elle dévoile trop rapidement la relation d'Eadlyn et Erik durant la seconde moitié du roman. Elle aurait peut-être dû la développer dès le début et prendre son temps les concernant. Ça aurait été mieux, ç'aurait paru moins spontané et ça nous aurait permis de profiter un peu plus de leur amour. Après, ce n'est qu'un avis personnel, bien-entendu. :)

Alors voilà, c'est fini ! Je recommande cette saga. Elle n'est certainement pas parfaite mais elle permet de vivre une aventure digne d'un conte de fées (des temps modernes) avec ce qu'il faut de réalisme pour qu'on se dise que ç'aurait très bien pu arriver pour de vrai. ^^ Tout n'est pas rose mais les couleurs de cette histoire sont dans les tons.

Bon, après, je dois bien avouer que je suis triste de quitter tout ce petit monde alors forcément, si vous voulez vous sentir aussi mal et aussi bien que moi concernant une saga, c'est celle-ci que je vous recommande.

Je ne suis même pas sûre que ce que je dis a vraiment du sens, en toute honnêteté. Je suis crevée mais beaucoup trop contente de cette lecture pour aller me coucher.

Au final, j'ai trouvé cette lecture touchante et elle m'a fait l'effet d'un grand sourire : elle m'a donné envie de sourire en retour.

Olet hullu tytto. Vous êtes folle Kiera Cass mais je suis heureuse de vous avoir lu ! ^^

Dès la première ligne j'ai compris que ce tome-ci serait (à mon avis) plus sombre que les deux premiers tomes. Il régnait une atmosphère tellement malsaine dans le prologue que je me suis dit que c'était encore plus malsain de trouver ça addictif et d'aimer. Et pourtant...

Titus King est un personnage que j'avais très hâte de découvrir depuis son apparition dans le premier tome parce que même s'il est flic, il n'empêche qu'il se dégage de lui quelque chose de brute, de sauvage et de sombre qui me disait de regarder au-delà de l'insigne et que j'allais désespérément aimé ça. Eh ouais.

Quant à Reeve Black, c'est un personnage que j'ai aimé par son côté mi-ange mi-démon, sa détermination et son passé. À certains moments, je l'ai même trouvé touchante. Tout le monde ne voit en elle que la fille qui a dénoncé Dovie à Novak en oubliant le reste. En oubliant, qu'ils n'auraient probablement pas fait mieux et qu'il y a parfois des trucs qu'on fait (sûrement pas pour de bonnes raisons) mais parce qu'on le doit et qu'on pense qu'on ne peut pas faire autrement, point barre.

Titus et Reeve ne sont pas tellement différents. Ils ne sont pas opposés. Dès le départ on se rend compte que, niveau personnalités, ils sont dans le même camp. Ça renforce ce qu'ils sont, je trouve.

L'atmosphère du roman est sombre, dangereuse et pesante. Mais parfois, de temps en temps quand on s'y attend le moins, un doux moment de tendresse se glisse entre les pages... Encore une fois, Jay Crownover a bien su mener son intrigue et guider ses personnages avec brio.

En parlant de personnages, mis-à-part le fait que j'aime toujours autant Race, Bax, Brysen et Dovie, je dois avouer que je veux PLUS de Noah Booker et Karsen Carter. Je ne peux pas résister à ces deux-là. J'aimerais qu'ils aient leur propre tome. Ça pourrait être intéressant.

Au niveau de l'histoire, je trouve qu'à chaque tome Jay Crownover se surpasse un peu plus et nous tisse une intrigue qui vaut vraiment le détour. Tellement criminelle !

J'ai donc tout bonnement adoré ce troisième tome. The Point ne cessera probablement jamais de me fasciner. Et je ne peux qu'en demander d'avantage. Je crois bien que je n'ai jamais autant préféré l'ombre au soleil. Si on me demande un jour de choisir un sale monde de ténèbres où aller vivre, je vais à The Point avec tout ce qu'il me faudra pour entrer dans ce monde dangereux.

C'est fou, à chaque fois je me demande comment dans une saga si sombre et impitoyable on peut trouver des personnages aussi attachants que redoutables. Je trouverais peut-être la réponse un jour... Jay Crownover m'épate.

En tout cas, si vous cherchez une histoire louche avec un parfum doux-amer et qui vous rendra tellement accro que vous en redemanderez toujours un peu plus, Bad est pour vous et The Point vous attend avec un sourire mauvais aux lèvres.

Une chose est sûre : on ne ressort pas de The Point sans quelques blessures.

J'attendais avec impatience de retrouver mon ordinateur pour pouvoir vous dire ce que j'ai pensé de ce troisième tome de la merveilleuse saga Marked Men. Et maintenant que j'ai à nouveau mon ordinateur devant moi, je ne sais sincèrement pas par quoi je dois commencer...

Déjà, j'ai attendu ce troisième tome avec grande impatience. Rome étant un personnage que j'ai beaucoup idolâtré dans le premier tome. Honnêtement, ce troisième opus est allé haut-delà de mes espérances.

Je l'ai lu très vite. Je suis allée le chercher le jour de sa sortie et dans la nuit du 13 au 14 Mai, je l'avais déjà terminé. C'est simple, une fois que je l'avais commencé je ne pouvais plus m'arrêter. Mais je crois bien que je n'ai jamais autant regretté d'avoir lu un livre aussi rapidement parce que j'aurais bien aimé qu'il ne se finisse jamais, parce que j'adore cette histoire et que j'aurais bien voulu avoir suffisamment de maitrise de moi-même pendant cette lecture pour savoir m'arrêter et pouvoir savourer "Rome" comme il le mérite. Mais merde, c'était tellement bon et tellement addictif que je ne pouvais pas !

De base, Cora et Rome sont deux personnages que j'aime beaucoup et qu'il me tardait vraiment de découvrir dans un tome qui leur est propre, je dirais. Ils sont tous les deux attachants et avec leur forte personnalité, difficile de ne pas succomber au cocktail explosif qu'ils forment.

J'ai adoré Cora. Sous ses airs de dure à cuir se cache une douce petite chose que j'ai énormément aimé découvrir. Elle n'est peut-être pas la plus grande personne du monde mais elle a un grand cœur, pas de doute là-dessus. Je l'ai trouvé attachante et touchante (surtout par rapport à son passé).

Quant à Rome, le grand frère Archer, comme je l'ai dit plus haut, c'est un personnage que j'ai idolâtré durant les deux premiers tomes. J'attendais donc avec impatience de voir le soldat de l'histoire se dévoiler. Et quel régal ! Je l'ai adoré. Je me serais jetée à ses pieds et je lui aurais offert mon cœur même si c'était pour qu'il le piétine. ^^ Il est beaucoup plus que le grand frère auquel je me suis attachée dans les tomes précédents. Il est beaucoup plus que le gars qui a passé les dernières années de sa vie à combattre pour son pays. Il est bien plus que la tête de con qui rentre à Denver renfermé sur lui-même, plein d'amertume et de souvenirs cauchemardesques. Il est bien plus que ça et moi, je ne pouvais pas résister à ça. Rome est irrésistible.

Quant aux autres personnages, bien-sûr que j'ai été heureuse comme une gamine devant un nouveau jouet de le retrouver. Et j'ai vraiment hâte pour le quatrième tome de les retrouver à nouveau.

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Dommage que Jet ne soit pas présent (vu qu'il est tout le temps en tournée).[/spoiler] J'aime beaucoup voir comment ils évoluent au fil des tomes. C'est un pur plaisir. [spoiler]Jet et Ayden sont mariés et ils vont emménager ensemble (bien qu'ils vivent déjà ensemble) quand Jet sera rentré de tournée et aura transformer une partie de son studio d'enregistrement en loft, Asa est carrément une autre personne (plus posée, je trouve), Rule et Shaw vivent ensemble et ils vont se marier (OMG), Nash découvre que Phil (son oncle) est en fait son père et que ce dernier a un cancer (ce qui nous lance sur une partie de l'histoire du quatrième tome), on découvre un peu plus Rowdy (et je sens que lui résister sera très dur quand viendra son tome)...[/spoiler]

La relation entre Cora et Rome est superbe. Et légèrement différente de celles entre Rule et Shaw et entre Jet et Ayden, ce que j'ai bien apprécié. [spoiler]Ils commencent par coucher ensemble. OK, rien de bien surprenant jusque-là. Mais au lieu du "bon, je t'aime bien mais je préfère qu'il y ait que du sexe entre nous jusqu'à ce que je sois complètement amoureux de toi" qu'on a eu pour les deux premiers tomes, là on a un "Tu m'exaspère mais en même temps, t'es canon. On couche ensemble parce que ça arrive comme ça et oups, je suis enceinte ! On sort ensemble et on tombe amoureux ? OK." En gros, c'est ça. Honnêtement, ça ne m'a pas étonné. Dans ma tête ça faisait Shaw et Rule : "j'emménage chez toi puis on emménage ensemble dans notre propre baraque." Jet et Ayden : "On se marie." Donc pour moi, Cora et Rome ça devait être le bébé. Mais je ne me faisais pas trop de faux espoirs. Quelle joie quand je me suis rendue compte que j'avais bien deviné ! Et ça ne m'a aucunement enlevé le plaisir de découvrir leur histoire.[/spoiler] Au-delà de ça, leur relation ne connaît pas que des jours heureux. Bien heureusement parce que sinon ça n'a aucun intérêt. Ils sont très différents l'un de l'autre et avec leur passé, difficile de s'ouvrir l'un à l'autre. Cora a eu le cœur brisé des années auparavant et n'a aucunement envie de le confier à nouveau à quelqu'un. Quant à Rome, le retour de l'armée ça laisse des traces bien-entendu. Voir comment ils surpassent les obstacles a été plaisant, si je puis dire.

Et bien-sûr, Jay Crownover c'est Jay Crownover. Je ne peux pas ne pas aimer un seul livre de cette auteure. C'est à présent une quasi certitude. Sa plume, ses personnages et ses histoires sont addictifs, attachants et irrésistibles.

En conclusion, c'est encore un coup de cœur. J'ai adoré le déroulement des choses, je n'aurais pas pu rêvé mieux. [spoiler]En plus, rencontrer Orlando (l'ancien petit copain de Remy) a été un moment touchant et que j'attendais depuis qu'on a découvert que Remy était gay. Quelque part, ça fait avancer l'histoire de ce côté-ci et ça aide les frères Archer à aller de l'avant.

Quand Rome se prend des balles pour sauver Cora et le bébé, mon cœur s'est emballé. Toujours à jouer les héros, Rome Archer.

Rome et Cora vont avoir une petite fille. J'ai hâte de voir ça dans le prochain tome puisqu'à la fin du troisième elle n'est pas encore née.

Et voilà pour ce beau mélange Cora/Rome et leur combat contre leurs différentes blessures du passé, pour pouvoir se tourner vers le futur... Je l'ai déjà dit suffisamment de fois pour que ça soit clair mais j'ai adoré.

J'adore toujours de toute façon avec Jay Crownover. Cette auteure causera ma perte mais je veux bien perdre sans problème dans ce cas-là.

Je vous recommande les romans de cette auteure. Elle vous rendra plus accro que si vous décidiez de vous mettre à boire ou de commencer à vous droguer. Et d'un côté, c'est pas plus mal d'être addict à une auteure plutôt qu'aux drogues et à l'alcool. Je m'égare, pardon. ^^

Tout ça pour dire : Génial.

Après le premier tome et la plume totalement addictive de Jay Crownover, je n'ai pas mis longtemps avant de me plonger dans ce second opus. J'avoue que je craignais d'être déçue. Je crains toujours d'être déçue avec les seconds tomes, plus par habitude que par réelle crainte.

Et je dois dire que je n'avais aucune raison de m'inquiéter de cette suite parce qu'elle était à la hauteur du premier tome. Criminelle et aussi addictive qu'une drogue.

Bien que j'ai quand-même une préférence pour le premier tome, celui-ci m'a vraiment plu et j'ai pris énormément de plaisir à le lire.

J'ai trouvé les personnages du premier tome avec plaisir et suivre la suite de l'histoire du point de vue de Brysen Carter et Race Hartman a été beaucoup plus plaisant que je ne m'y attendais.

Encore une fois, Jay Crownover a mis en place une très bonne intrigue. Je l'ai tout bonnement adoré. Elle l'a très bien menée et le déroulement des actions s'est fait très naturellement, je trouve. Jay C. est dans son élément, je trouve.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Brysen. En vérité, ce que j'ai vraiment aimé c'est ce côté doux et glacial à la fois qu'elle dégage naturellement. Je l'ai trouvé attachante.

Comme pour tous les personnages masculins auxquels Jay Crownover donne vie, je n'ai pas pu résister à Race. Je n'ai même pas essayé. J'ai beaucoup aimé la puissance et l'intelligence qui se dégagent de sa personne.

La relation qu'entretiennent Brysen et Race est différente de celle qu'entretiennent Bax et Dovie. Pourtant, elle n'en reste pas moins enivrante et je ne pouvais pas m'empêcher d'en vouloir toujours plus.

Mais, je l'avoue, ce que j'ai préféré dans ce livre c'est l'intrigue. J'aime le côté sombre de l'histoire. Le monde de Bad est impitoyable et c'est étrange de dire que j'aime ça mais j'aime ça. C'est le genre d'endroit dangereux qui attire sans qu'on puisse rien y faire et où en laissant ressortir le mauvais de nous-même on fait aussi ressortir ce qu'il y a de bon. En tout cas, c'est ainsi que je le ressens.

J'ai préféré le premier tome, je ne vais pas mentir. Mais j'ai suffisamment adoré ce second tome pour le mettre dans la même liste que le premier volet et pour avoir hâte de découvrir le troisième.

Au-delà des personnages de Race et Brysen, ainsi que de Bax et Dovie, il y a Titus que je suis toujours très curieuse de découvrir. Mais pas seulement ! Dans ce second tome, je suis aussi devenue très curieuse quant aux personnages de Nassir (bien qu'on ne le voit pas des masses) et de Honor (elle encore moins), je ne sais pas trop pourquoi mais j'espère qu'on aura l'occasion de les découvrir d'avantage, de dépasser les apparences... Aussi, c'est peut-être bête mais je veux plus de Booker et de Karsen.

Au-delà des histoires et de la plume de Jay Crownover, je trouve que ses personnages sont géniaux. Ils donnent vraiment vie à tout ce qu'elle écrit.

En conclusion, ma lecture de ce second tome m'a énormément plu et la fin relançant l'histoire comme il se doit, j'attends avec impatience le moment où je me déciderais à lire le troisième tome. Probablement très bientôt, d'ailleurs. Il m'attend dans ma PAL, je risque de ne pas résister très longtemps.

Je vais être claire : je compte lire TOUS les livres de cette auteure. Je ne me lasserais sûrement jamais de ses histoires, ses personnages et tout ce qu'elle fait passer à travers tout ça. Je ne vois pas comment il me serait possible de m'en passer.

Waouh, waouh, waouh. Je ne peux pas dire mieux. Juste, waouh.

En commençant ce livre, je ne m'attendais pas à ce qu'il termine dans ma liste de diamant. Argent, peut-être, à la limite or mais franchement pas diamant. Et pourtant, je ne pouvais pas le mettre ailleurs parce que c'est un véritable coup de cœur. J'ai envie de sauter partout, de crier comme une groupie et j'en passe.

Je ne sais pas par quoi commencer, honnêtement.

Déjà, je dois bien avouer que le synopsis en révèle un peu trop sur ce roman et que c'est donc un peu dommage mais je suis rapidement passée au-dessus de ça.

Stepbrother est un roman qui se divise en deux parties : avant (à l'arrivée d'Elec dans la vie de Greta alors qu'ils sont encore adolescents) et après (sept ans plus tard lorsqu'ils sont adultes). J'ai lu un livre dans ce genre un jour et je ne suis pas une grande fan de ça. Pourtant, j'ai adoré cet aspect de l'histoire avec Stepbrother.

La plume de Penelope Ward m'a fasciné, je l'ai adoré. Elle réussit à faire passer les émotions avec brio et je ne pouvais pas résister à ça.

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Surtout les adieux entre Elec et Grita (les deux fois) sont touchants et brisants. J'avais envie de me rouler en boule et de pleurer comme un bébé pour le restant de mes jours. ^^[/spoiler]

L'histoire est bien menée, passionnante et par-dessus tout très addictive. Cependant, il y a quelque chose qui m'a un peu chiffonnée au début de ma lecture. Même si j'ai adoré l'histoire telle qu'elle est et que pour rien au monde je voudrais qu'elle soit changée, je trouve que tout dans ce livre se déroule un peu vite. C'est sûrement pour cette raison qu'il fait (seulement) 313 pages. Mais même avec cette impression, j'avais le sentiment qu'on ne pouvait pas faire autrement. Pour moi, cette histoire était une urgence. Le genre qu'on commence à lire et qu'on dévore à une rapidité incroyable sans pouvoir s'en empêcher. Une urgence comme un sentiment que vous avez désespérément besoin de faire quelque chose sinon vous allez suffoquer. Vous comprenez ? Donc, au final, je crois que j'ai aimé ça aussi.

Je me suis attachée aux personnages parce que je crois que dans la vie, c'est ce que je sais faire de mieux. Je m'attache à des personnages plus souvent que je ne m'attache à des personnes réelles. Ce qui pourrait bien être un peu inquiétant, j'avoue...

J'ai adoré Greta. Elle est douce mais en même temps, il y a quelque chose d'assez brute en elle. Je ne sais sincèrement pas comment l'expliquer, c'est horrible. ^^ J'avais beau trouver son personnage assez ordinaire, il y avait toujours quelque chose chez elle qui me faisait ensuite dire le contraire.

Et bien-sûr comme il fallait s'y attendre, je n'ai pas résisté aux charmes d'Elec. Comment aurais-je pu ? Faut dire que les deux Shamrocks sur ses abdos, c'était bien trop pour mon petit cœur ! Honnêtement, je me suis arrêtée à la vingt-deuxième page pour l'insulter d'enfoiré mais plusieurs choses m'ont vite fait changer d'avis. Je suis fragile, je n'y peux rien.
J'ai même parfois trouvé qu'Elec était plus profond et plus doux que Greta. Qui l'eut cru ? De plus, j'ai trouvé son honnêteté pure et dure rafraichissante et je m'y suis d'avantage attachée.
[spoiler]Et puis, j'avoue le fait qu'il écrive des bouquins m'a fait craqué et il a gagné mon respect et mon amour éternel.[/spoiler]

Les personnages secondaires ne m'ont pas trop fait d'effet, sincèrement mais je n'y accorde pas d'importance. Pour une seule raison : Sully. Ce personnage-là, je me suis mise à genoux devant et je l'aurais vénéré pendant le restant de mes jours. Je l'ai adoré. ^^

J'ai adoré l'évolution des personnages d'Elec et Greta. Et ils font franchement des métiers supers. [spoiler]Elec travaille avec les enfants et Greta est agent littéraire. Greta a été fiancée à un homme, Tim, mais ils se sont séparés quand celui-ci a été muté en Europe et que Greta n'a pas accepté de partir avec lui. Elec sortait avec une jeune femme nommée Chelsea et avant de revoir Greta, il comptait la demander en mariage. On apprend plus tard que trois ans après qu'Elec soit rentré en Californie (après avoir passé sa première nuit avec Greta où elle lui a donné sa virginité et plus), il est allé à New York pour lui avouer ses sentiments pour elle. Sauf que lorsqu'il a trouvé Greta il l'a vu avec Tim. Un an plus tard, Randy lui a dit que Greta était fiancée alors il est parti du principe qu'elle était heureuse et donc qu'il était temps pour lui de tourner la page. Puis bien-sûr après la mort de Randy quand ils se revoient dans le jardin, il apprend qu'elle n'est plus fiancée et qu'elle est célibataire... mais il repart quand-même parce qu'il est avec Chelsea et qu'il ne veut pas la faire souffrir. Et puis il l'aime malgré tout. Deux mois plus tard, il demande à Greta de lire l'autobiographie qu'il écrit et elle apprend cela et tout. Quand elle lui dit qu'elle a fini sa lecture, Elec la rejoint. Il a rompu avec Chelsea pour être avec Greta. Quand il écrivait qu'il fallait qu'il fasse ce qu'il y avait de juste, ça signifiait qu'il devait être avec Greta et non pas Chelsea mais qu'il devait faire les choses correctement.[/spoiler]

J'ai beaucoup aimé aussi en apprendre plus sur l'histoire des parents d'Elec parce que ça fait partie de sa propre histoire et ça répond à une grande question. [spoiler]Pilar (la mère d'Elec) était très très jeune quand Patrick O'Rourke (son premier mari) l'a emmené vivre aux USA. Patrick avait une ex-femme et un fils, nommé Randy. Pilar est tombée amoureuse de Randy et comme Randy n'était pas le fan numéro un de son paternel, il en a profité. Ils ont couché ensemble, toujours en se protégeant. Ils se sont aimés, tout simplement. Et puis un jour, ils se sont faits chopés par Patrick et ce dernier a violé Pilar. Ensuite il est mort et Pilar a appris qu'elle était enceinte d'Elec. Randy est devenu le père d'Eldec alors qu'il était en vérité son demi-frère. Randy avait supplié Pilar d'avorter mais comme elle ne l'a pas fait... c'est la raison pour laquelle Randy n'a jamais été capable d'aimer Elec. En gros.[/spoiler]

Quant à la fin... je l'ai trouvé merveilleusement belle et émouvante. [spoiler]Elec fait publier Lucky et le gamin (le bouquin qu'il a écrit quand il était ado) et il écrit un deuxième volet. À Noël Elec fait une demande en mariage géniale à Greta. Oh mon dieu ! Ils se marient un an plus tard le soir du nouvel an à la mairie et ensuite ils vont dîner chez Charlie (un pub) et ils ont fêté le nouvel an à Times Square (en l'honneur du jour où Elec est revenu pour Greta cinq ans plus tôt - même si elle ne l'a pas su et qu'il est arrivé "trop tard"). Greta lui annonce qu'elle est enceinte ! Ils ont un fils qu'ils appellent Cameron parce que si on change les lettres du prénom d'ordre ça fait Romance. Merveilleux ! La meilleure fin heureuse que j'ai lu.

En vérité, je m'attendais à une lecture un peu brute et avec un Elec beaucoup moins charmant, plus joueur et tout ce qui va avec. Finalement, ce que j'ai découvert m'a conquise et je n'aurais pas aimé cette histoire autrement. Je l'ai trouvé touchante et belle et authentique. Une belle surprise et un coup de cœur dont je ne suis pas sûre de me remettre un jour.

Après avoir commencé la saga Marked Men de cette même auteure et avoir adoré, je ne pouvais forcément pas résister à tester Bad.

Amour Interdit est la promesse d'une trilogie addictive et dévastatrice. Mon pauvre cœur vient d'en prendre un coup, Jay Crownover et ses histoires sont un véritable danger pour moi.

Bad est une histoire différente en de nombreux points de Marked Men. C'est pour quoi au départ, j'avais peur de finir déçue. Au final, je suis plus que satisfaite et je dois vous dire que Jay Crownover a le genre de talent qu'on regretterait d'avoir manqué. Elle a su mené l'histoire de ce premier opus avec brio !

L'histoire est sombre, sexy et intense. L'intrigue est bien montée, intéressante avec son suspens, sa violence ainsi qu'une jolie touche de douceur parfois. Et personnellement, elle a fait marché mes petites méninges parce que je voulais toujours essayer de deviner ce qui allait se passer dans cette histoire ô combien imprévisible.

J'avoue que je suis un peu trop fière de dire que j'ai réussi à trouver deux-trois trucs avant que l'histoire me confirme que j'avais raison. ^^

J'ai aussi bien aimé l'histoire que les personnages.
Dovie est le genre de personnage féminin que j'adore parce qu'elle simple mais authentique et qu'elle n'essaie pas de jouer l'héroïne parfaite comme le font tant de personnages féminins dans les bouquins.

Aussi, j'ai succombé au charme brute et sombre comme la nuit de Shane Baxter plus connu sous le nom de Bax. Si j'avais résisté aux charmes de ce garçon, je me serais inquiétée de ma santé, sincèrement. Il m'a fait craqué autant par son côté bad-boy que le côté plus humain qu'il laissait apparaître à certains moments. Je ne pouvais définitivement pas résister à ça.

J'ai aussi beaucoup aimé les personnages de Race et Titus. Il me tarde de les découvrir d'avantage dans les prochains tomes.

J'ai bien aimé les personnages que j'ai pu rencontré tout au long du tome qu'ils soient simples figurants d'une scène ou deux ou plus réguliers. Qu'ils fassent partis des "gentils" ou des "méchants" parce que j'ai trouvé que Jay Crownover avait surtout construit son univers sur les personnages et ce qu'ils dégageaient. Et sincèrement, ils dégageaient tous un truc qui a rendu l'histoire, l'univers, la plume de l'auteure et bien-sûr les personnages vraiment attachants.

Je ne sais pas vraiment comment l'expliquer.

Aussi, je n'ai pu qu'adorer la romance entre Shane/Bax et Dovie.
En général, lorsque je lis un roman, au fil de ma lecture, je prépare toujours mon commentaire avec des petits mots clés par-ci, par-là. Pendant ma lecture de ce premier tome de Bad, je n'ai posé aucun mot concernant la relation de Bax et Dovie parce que j'en trouvais pas de juste et que j'avais envie de mettre le premier terme qui me viendrait à l'esprit quand j'écrirais mon commentaire pour les définir et tout ce que je trouve à cet instant précis c'est : méchamment beau.

Je ne sais pas si ce que je viens d'écrire était vraiment clair...

Enfin, tout ça pour dire que j'ai adoré ce que j'ai découvert et que je pense donc sincèrement que Jay Crownover est une auteure talentueuse que tout le monde devrait prendre le temps de découvrir. Elle vous rend accro en un rien de temps et vous prenez plaisir à être totalement accro.

En conclusion, je recommande non seulement Bad mais aussi tout simplement, je recommande Jay Crownover.

Pour moi, ce livre était criminellement génial et addictif.

J'ai à la fois l'impression de ne rien avoir à dire et d'avoir un millier de choses à dire sur Did I Mention I Need You?.

Pour commencer, j'attendais ce second tome de la trilogie DIMILY avec une certaine impatience et une grande curiosité parce que je voulais vraiment savoir comment les choses entre Eden et Tyler allaient se passer, même si c'est un peu prévisible.

Je suis très satisfaite par ce second opus. Il est aussi bien mené et aussi addictif que le premier tome. Peut-être un peu moins bien mais il n'en reste pas moins super malgré tout ! Je l'ai beaucoup aimé et donc, je ne peux pas m'empêcher de me sentir un peu triste en l'ayant terminé. Attendre Novembre me semble presque impossible !

Enfin bref.

La première chose que j'ai à dire c'est pourquoi j'ai trouvé Did I Mention I Need You? moins bien que Did I Mention I Love You? Je vous dirais bien que c'est parce que, comme ça arrive parfois, c'est un second tome et que les seconds tomes donnent souvent l'impression que l'histoire s’essouffle ou je ne sais quoi. Mais ça n'est pas pour cette raison. En fait, la raison est simple. L'histoire n'avance pas tellement durant tout le livre jusqu'à la toute fin où elle prend un nouveau chemin qui nous mènera direction au troisième tome et donc à la conclusion de DIMILY. En plus clair, pour moi ce tome-ci est une sorte de pont (je vais le dire comme ça parce que je ne trouve pas l'expression juste) entre Did I Mention I Love You? et Did I Mention I Miss You?. Il ne s'est donc pas passé un million de choses incroyables et pour moi, on a un peu fait du sur-place.

Mais je me suis rendue compte que le fait de ne pas tant avancer que ça dans l'histoire ne m'a pas tant déranger que ça. Premièrement grâce à la fin. Les fins de DIMILY sont superbes, je trouve parce qu'à chaque fois elles relancent l'histoire et on se retrouve au début d'une nouvelle route qu'on a pas encore traversé et on ne sait donc pas vraiment ce qui nous attend. On ne peut qu'imaginer la suite en si disant "ça va être prévisible" et en même temps en ayant un petit doute quant au déroulement des choses à venir.

Deuxièmement parce que j'adore les personnages et que le simple fait de les retrouver et de revivre un été avec eux m'a comblé ! Je ne voulais rien de plus.

Retrouver Eden a été un plaisir car je l'aime beaucoup. Je la trouve mignonne, attachante. Mais ce que j'ai le plus aimé, c'est retrouver Tyler. Depuis le début de la trilogie (soit deux ans dans l'histoire), il a mûri et son évolution m'a énormément plu. J'ai adoré le jeune homme qu'il est devenu après un an passé à New York.

De plus, leur romance est toujours aussi bien. Les moments entre eux respiraient l'amour et la tentation.

En plus de cela, on fait la rencontre de Snake (Stephen) et Emily qui sont deux personnages auxquels je me suis attachée sans vraiment m'en rendre compte.

On revoit beaucoup des personnages du premier tome (la plupart) mais je les ai juste trouvé agaçants. Donc bon.

Je ne sais pas si j'ai été très claire avec ça mais Did I Mention I Need You? est malgré tout LE tome de la vérité

Spoiler(cliquez pour révéler)

puisque Eden et Tyler décident d'arrêter de se cacher et annoncent donc à ceux qui les entourent qu'ils s'aiment.

Emily le prend très bien, elle l'a compris toute seule.
Snake (Stephen) le prend plutôt bien.
Dean ne le prend pas très bien. Pas bien du tout même.
Rachael ne le prend pas très bien non plus.
Jamie (le plus grand des petits frères de Tyler) ne le prend pas spécialement bien.
Jack (l'amoureux de la mère d'Eden) et la mère (Karen) d'Eden avaient fait un pari dessus ! ^^ En gros, ils le savaient déjà et ils l'ont bien pris.
Le père (Dave/David) d'Eden le prend très très très mal !
Ella (la mère de Tyler) ne le prend ni vraiment bien ni vraiment mal.[/spoiler]

Ce tome est bourré d'émotions. En tout cas, c'est l'effet qu'il m'a fait. J'avais un peu de mal à respirer à certains moments (et ça n'a rien avoir avec mon rhume). Il y a des fois où j'avais envie de hurler [spoiler]Face à Tiffani et sa personnalité de peste, face à Rachael, face à la jalousie d'Eden au début, face au fait que la père de Tyler soit sorti de prison...[/spoiler] où j'ai eu l'impression que mon cœur allait fondre comme du chocolat [spoiler]Quand Tyler offre des converses à Eden, comme celles qu'elle a perdu la nuit où ils ont couché ensemble pour la première fois. Bon, il a mis deux ans mais il l'a fait ! Et puis qu'il écrit au marqueur dessus comme elle le faisait. Quand il se fait tatouer son prénom et quand elle se fait tatouer à son tour pour lui faire comprendre qu'elle est à lui et à personne d'autre. Quand on apprend que Tyler parlait d'Eden dans ses conférences en disant que c'est elle qui l'avait le plus aidé mais qu'il n'avait jamais dit son prénom et tellement d'autres ![/spoiler] et j'en passe...

Quant à la fin, elle me semble lourde et légère. Je ne sais pas si je m'en remettrais. Attendre Novembre que le troisième et dernier tome sorte en France va être très long et ça va être de la torture pure et dure ! [spoiler]Après qu'ils aient avoué la vérité sur leur relation à tous ceux qui les entourent, Tyler dit à Eden qu'il part pour quelques temps (il ne précise pas combien de temps). À cause de son père à lui et de son père à elle, etc... Elle lui propose de venir avec elle à Chicago (là où elle va faire ses études universitaires). Mais il refuse et il lui dit que peut-être ils ne devraient pas être ensemble... Tyler lui explique qu'il a besoin de temps pour réussir à faire les choses bien pour lui et pas seulement pour elle. Et qu'il a besoin de découvrir s'il est comme son père ou non. Il lui promet que dès qu'il aura trouvé les réponses qu'il cherche, il reviendra. Alors il part.

En conclusion, ce fut un très bon second tome, bien que moins bon que le premier mais j'attends tout de même la suite avec impatience ! J'ai vraiment hâte de découvrir la fin de cette histoire qui m'a conquise.

P.S : "No te rindas."

Je suis la nouvelle groupie de Jet Keller.

J'ai tellement aimé le premier tome et j'étais tellement impatiente de découvrir le second tome de la saga Marked Men que je n'ai franchement pas résister longtemps avant de me jeter dessus. Et autant vous le dire tout de suite, j'ai adoré !

Retrouver l'univers des tatoueurs et des métaleux m'a énormément plu. Tout comme retrouver la plume de Jay Crownover ainsi que les merveilleux personnages auxquels elle a donné vie.

L'histoire de ce second opus se déroule dans la continuité du premier tome. Et on découvre l'histoire et les points-de-vue de Jet Keller (chanteur dans un groupe de métal et autre) et d'Ayden Cross (étudiante). Ils sont aux antipodes l'un de l'autre et tous les deux sont des personnages bien plus profonds et complexes qu'on aurait pu le croire dans le premier tome. C'est donc avec beaucoup de plaisir et d'attention que je les ai découvert. Vraiment découvert, je veux dire.

Sincèrement, Jay Crownover a répondu à toutes mes attentes concernant "Jet" car j'avoue que je craignais un peu d'être déçue. Mais heureusement, le deuxième tome de Marked Men est aussi addictif que le premier et comme précédemment, ça m'a donné envie de découvrir la suite.

Je suis accro à cette saga comme on serait accro au crac.

Pour en revenir aux personnages, j'ai adoré apprendre à mieux connaître Jet. Il m'a surprise avec son côté doux et attentionné, etc. Je ne m'attendais pas à ça mais je ne m'en suis certainement pas plaint ! J'ai bien aimé aussi le fait qu'il n'ait pas peur de ses sentiments. Comme je l'ai dit au début de ce commentaire, je suis devenue sa nouvelle groupie. Première page et vous m'aviez déjà perdue. ^^

Quant à Ayden, j'ai beaucoup aimé découvrir sa personnalité et son passé, bien qu'elle ne m'ait pas autant surprise que Jet puisque dans le premier tome, on avait déjà eu le temps de commencer à la cerner.

Un petit nouveau débarque, son prénom est Asa et j'aurais presque envie que ça rime avec enfoiré de première.

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Bien qu'à la fin après son séjour à l’hôpital et tout, il ait gagné un peu de mon estime. Mais bon, je vais bien ce que ça donne sur le long terme dans les prochains tomes, n'est-ce pas ? Au fait, c'est le grand frère d'Ayden ![/spoiler] Vous me croyez si je vous dis que je suis presque sûre que je vais finir par m'attacher à ce crétin ?

Retrouver les autres personnages m'a fait plus plaisir que je ne l'admettrais jamais parce que je me suis sentie plus heureuse de retrouver des personnages fictifs que des membres bien réels de ma famille que je n'avais pas vu depuis un certain temps. Ça craint un peu, je sais, mais si ça c'est craindre alors je veux craindre pour le restant de mes jours ! Aucun problème, là-dessus.

J'arrête de dire n'importe quoi. Enfin, je peux au moins essayer. Je crois que tous mes commentaires concernant cette saga vont être dans ce genre parce qu'à chaque fin (des deux que j'ai vécu pour l'instant), j'ai l'impression que je pourrais rester éveillée pour l'éternité sans ressentir la moindre fatigue et être la fille la plus joyeuse du monde.

Mais j'ai beau avoir adoré suivre l'histoire de Jet et Ayden, je dois bien admettre que j'ai quand-même une mini préférence pour Rule et Shaw. D'ailleurs, j'ai adoré les revoir ! Ça m'a presque donné un sentiment de fierté de voir comment ils étaient... c'est con, je sais.

Les bases de l'histoire sont les mêmes que pour le premier tome, à quelques différences près. Dans le genre : "Je ne veux que du sexe pour l'instant mais je ne veux que ça soit qu'avec toi même si on sait parfaitement qu'à un moment il y aura plus que le sexe en jeu, etc..." Mais p*tain, c'est tellement addictif que je lirais ce genre d'histoire pour le restant de mes jours. Et j'ai que seize ans, alors question jours, je pense qu'il m'en reste quand-même un certain nombre.

Et puis, sérieusement, les romances de Jay Crownover me rendent dingue ! Commencez par une soit-disant simple attirance physique, ajoutez une pointe de romantisme, une juste dose de sexe et une marmite entière de tension irrésistible et vous obtenez une bombe que vous allez volontairement (et avec plaisir) laisser exploser dans votre cœur littéraire. Jay Crownover et Marked Men me retournent tellement le cerveau que je ne suis pas sûre de le retrouver en état de marche quand j'aurais lu toute la saga.

Mais je crois sincèrement que ce que j'aime le plus dans cette saga c'est la solidarité et cette sorte de lien fraternel qu'il y a entre les personnages de la bande. Ils sont comme une famille et j'aime cette idée. J'aime aussi l'idée de ces bad-boys coureurs de jupons (qui courent bien soit-dit-en-passant) qui se laissent attendrir par des filles qu'ils n'attendaient pas... Ça fait remonter à la surface mon côté romantique que j'essaie désespérément de cacher. ^^

La fin est, comme pour le premier tome, le genre de fin que j'aime parce qu'en plus d'avoir l'air de te dire "Tu vendrais ta mère pour en avoir plus", elle relance l'histoire et ouais, j'en veux plus ! Désolée maman.
[spoiler]Rule et Shaw ont leur propre maison, Jet et Ayden sont mariés. Asa prend le chemin de la rédemption. Nash et Rowdy... c'est Nash et Rowdy. Cora désespère de trouver l'homme parfait mais Louan (moi, quoi) est heureuse, attendant le troisième tome avec la plus grande impatience. D'ailleurs, Rome est de retour. Et même si le Rome du début du premier tome me manque, j'espère qu'on le retrouvera dans le troisième tome dans lequel il aura le rôle principal avec notre joli lutin (Cora) !