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«Promettre à quelqu’un de l’aimer pour la vie est tout simplement inconcevable. Pour les simples raisons que nos sentiments sont indépendants de notre volonté, et qu’on ignore de quoi demain sera fait. On peut promettre à son enfant de lui acheter un cornet de glace. On peut promettre à un ami de lui prêter sa voiture pour le week-end. Mais on ne peut pas promettre à un être humain de l’aimer toute une vie. On peut juste l’aimer toute une vie.»
Dans cette suite tant attendue de Si j’avais un perroquet je l’appellerais Jean-Guy (parce que Coco c’est déjà pris), Catherine, notre authentique et hypersensible jeune enseignante de français, cherche à se comprendre et à trouver l’équilibre. De François à Jean-Philippe, elle découvre qu’à carburer à la passion, on souffre, mais on vit intensément.
C'est mon premier "Chick-Lit" en matière de lecture, un genre qui ne m'attire pas spécialement, mais comme je suis libraire, je me fais un devoir de lire des genres variés, mais cela traduit aussi le fait que je critique un genre que je connais peu.
Je dois dire que ce style de roman ne semblait pas être du genre à être joli du point de vue de l'écriture et cela se confirme ici. Peu de détails, pas beaucoup de figures de style, tournures à la "MSN" ou du style "textos" avec la surabondance de caractères que cela implique, on est loin de la prose. Mais il semble que ce soit le but rechercher dans le genre. J'imagine que cela a le mérite d'être facile à lire. Le point positif , cependant, c'est la proximité du vocabulaire. On s'y reconnait, c'est du jargon de madame-monsieur tout-le-monde. Et comme c'est québecois, fini les slang de France comme "Teuf", "meuf", "ouf" et tout ces mots inversés. Ici, on parle de pastilles de la SAQ, des "étapes" de l'école secondaire, du "frette" hivernal et des mitaines. Ça, je dois dire que ça fait du bien de se retrouver en langage connu.
Donc, nous suivons Rosalie, complexée par son célibat alors que sa cadette va se marier, et qui va tenter de remédier à la situation en se trouvant un chum ( un copain) qui l'accompagnera au mariage. Selon une tradition - que, soit-dit en passant, je ne connais pas malgré la fleur-de-lys qui tatoue mon cœur- les aînés qui sont devancés par leur cadet/cadette en terme de mariage, sont tenus de faire une danse audit mariage en portant des bas jaunes. Histoire simple. Un final qu'on devine.
Rosalie m'apparait sous deux angles: la fille de caractère typique de chez nous, franco-américains du nord, mais aussi la fille très immature qui se soule à fond et qui obsède pas mal sur le sexe. On dirait une vieille ado désespérée, par moment. Personnellement, c'est pas super comme personnage.
Pour moi, ce type de roman est un peu creux: Pas réellement de connaissances à acquérir, pas vraiment de morale ou de leçon de vie, pas de beauté dans l'écriture...bref, on pourrait croire que le "Chick Lit" , tout comme sa cousine "Bit-Lit", c'est pour passer le temps avec un petit sourire en coin. Un type distractif, mais sans plus.
Résumé
«Promettre à quelqu’un de l’aimer pour la vie est tout simplement inconcevable. Pour les simples raisons que nos sentiments sont indépendants de notre volonté, et qu’on ignore de quoi demain sera fait. On peut promettre à son enfant de lui acheter un cornet de glace. On peut promettre à un ami de lui prêter sa voiture pour le week-end. Mais on ne peut pas promettre à un être humain de l’aimer toute une vie. On peut juste l’aimer toute une vie.»
Dans cette suite tant attendue de Si j’avais un perroquet je l’appellerais Jean-Guy (parce que Coco c’est déjà pris), Catherine, notre authentique et hypersensible jeune enseignante de français, cherche à se comprendre et à trouver l’équilibre. De François à Jean-Philippe, elle découvre qu’à carburer à la passion, on souffre, mais on vit intensément.
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