Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 680
Membres
1 013 363

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Si j'avais un perroquet je l'appellerais Jean-Guy



Description ajoutée par Tatou00 2017-05-26T01:17:43+02:00

Résumé

C’est dans un roman de Françoise Sagan emprunté à la bibliothèque que Catherine, jeune enseignante de français, trouve un marque-page bien particulier : le nom d’un homme – Jean-Philippe – et son numéro de téléphone, suivi de l’invitation « Appelle quand tu veux ». Célibataire mais aussi anéantie par sa dernière relation amoureuse, Catherine se lance dans un projet que son amie Margaux situe « à mi-chemin entre le plus fou des désespoirs et le plus admirable des espoirs ». Appeler ce Jean-Philippe.

« Si j’avais un perroquet je l’appellerais Jean-Guy (parce que Coco c’est déjà pris) », c’est l’histoire d’une rencontre improbable, d’un chat nommé Luc, d’une collection de miroirs, d’une Bénédicte aux cheveux roux, d’une impératrice russe et d’une profonde aversion pour les chemises à manches courtes.

Afficher en entier

Classement en biblio - 47 lecteurs

extrait

Je sortis sans ajouter un seul mot. Je venais de capituler deux fois en moins de dix minutes, deux fois et demie, même, et bien que vivement tentée par un corps à corps interminable et épuisant avec Éléonore Maurice, dans une boue aussi épaisse que profonde, j'allais plutôt me préparer un thé au kiwi.

Vendredi...J'avais oublié. Le fameux souper de Noël de l'école... Cela me tentait autant que de m'enfoncer un clou rouillé dans l'œil.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Bronze

Je suis un peu gênée de dire cela mais ce livre a été une énorme déception. Je n’ai pas aimé du tout…Peut-être que je m’en étais fait une idée fausse…

On suit la vie de Catherine, une enseignante célibataire qui trouve un numéro de téléphone dans un livre emprunté à la bibliothèque. Franchement, je trouve que le début de l’histoire est sympa. On se demande si elle va l’appeler ou pas, s’il va lui répondre ou pas,…

Et bien que l’héroïne soit très sympathique, j’ai trouvé que l’histoire prenait l’eau. Je n’ai pas été emmenée. J’ai trouvé ça long avec des passages dont je n’ai pas compris l’utilité… C’est la même chose avec les personnages secondaires, on se demande pourquoi certains apparaissent dans le roman…

Le style assez particulier de l’auteur qui passe du coq à l’âne sans aucune transition ne m’a pas dérangée. Ça change un peu de tout ce qu’on peut lire parfois.

Par contre, j’ai trouvé certains passages vraiment crus voire vulgaires. Et pourtant je ne suis pas prout-prout. En plus, certains de ces passages n’ont absolument pas leur place ici, on se demande pourquoi ils sont là, ils n’apportent absolument rien à l’histoire.

Conclusion :

Encore une fois, je suis navrée, mais je n’ai pas compris ce livre. J’avais peut-être trop d’attentes mais j’ai l’impression d’avoir une simple juxtaposition d’événements sans lien les uns avec les autres.

Afficher en entier
Lu aussi

Que dire...que j'aime le titre à rallonge bien plus que le contenu...et que j'espérais voir apparaître un perroquet pour de vrai ! Plutôt qu'il ne s'agisse que d'une énième élucubration excentrique (et elles sont nombreuses) de l'héroïne agitée du bocal, dont le pète au casque est plus éreintant que charmant.^^'

On enchaîne des digressions (sur tout et n'importe quoi même le jardinage) à n'en plus finir qui, par leur acidité régulière, rendent pesant l'humour pourtant voulu.

C'est aussi fluide que cela laisse perplexe et abasourdi.

Je me suis surprise à froncer les sourcils quasi pendant toute ma lecture. XD

Le principe de base est amusant, mais exploité de façon...bizarrement pas si fun. :/

Je ne sais pas trop. Le Jean-Philippe ne m'a pas convaincu. Catherine surtout ne m'a pas acquise à sa personne (à part concernant Laurence, là c'est un grand oui !). Elle ne mets pas à l'aise. (En tout cas je n'ai pas ressenti d'empathie en la suivant.) On a droit à des scènes de sexe totalement parasites et disparates. (Remarque ça change ! Là c'est pas le couple en devenir qui est en chaleur. Mais on a des scènes hot de partout : la sœur et l'ex, Sylvie, le rêve lesbien, le placard...et j'en oublie ce qui est pas plus mal.

Objectivement c'est bien écrit. Mais je suis contente de l'avoir fini et ne le relirai jamais.

Next.

Afficher en entier

Un livre pas particulièrement passionnant, pour ne pas dire carrément mauvais, le tout se passe dans un aéroport et c'est tout mélangé...bref, j'ai fini par abandonner.

Afficher en entier
Bronze

Un roman sympathique et amusant, qui se laisse lire sans trop de prise de tête. Le plus original bien sûr est le titre à rallonge, un bon moment de lecture sans plus

Afficher en entier
Argent

C'est d'abord le titre inusité qui m'a fait découvrir ce livre, puis la quatrième de couverture qui parle d'un personnage qui retrouve un numéro de téléphone dans un livre emprunté à la bibliothèque.

Sur un ton très humoristique, parfois ironique, parfois plus cynique, l'autrice fait parler Catherine, jeune femme professeur, amateure de livres, de thé et de miroirs, qui a du mal à se remettre du coup bas de son ex-conjoint. Elle trouve un papier dans son livre emprunté sur lequel y figure un nom et un numéro de téléphone. "Appelle quand tu veux!"enjoint ledit papier. Entre ce papier mystérieux, ses amis, ses dilemmes, ses folleries, ses peines, ses malheurs et ses révélations, Catherine nous entraîne dans sa façon coloré et originale de concevoir la vie et ce qui l'entoure.

Il y a un peu de tout dans ce livre: injustices, romance, trahisons, amusantes comparaisons , métaphores audacieuses, beaucoup de fantasmes en tout genre, des personnages variés, des jeux de mots et où les petites joies et petits malheurs côtoient le bonheur et les gros chagrins.

Joli style d'écriture, à mi-chemin entre le vocabulaire français et québecois, à l'image de son autrice franco-québecoise.

À découvrir!

Et oui, très brièvement, on entend parler d'un potentiel perroquet, à vous de le trouver!

Afficher en entier
Diamant

Wouah ! J'adore ce livre ! Super drôle et touchant ! Tous les thèmes y sont abordés ! Pour tout avouer je n'avais pas compris pourquoi il est dans la catégorie drame mais c'est en lisant le chapitre 5 de la cinquième partie que je le compris, pareils pour le titre, je ne voyais pas le rapport avec l'histoire mais maintenant que j'ai passé la page 230, j'ai également compris ! Une histoire au TOP !

Afficher en entier
Or

J'ai dévoré ce livre qui se lit tout seul! Sincèrement, un excellent livre!

Afficher en entier
Argent

https://serialbookineuse.wordpress.com/2018/04/05/si-javais-un-perroquet-je-lappellerais-jean-guy-parce-que-coco-cest-deja-pris-blandine-chabot/

Je remercie tout d’abord les éditions Le cherche midi pour l’envoi de ce roman. Je dois dire que la première chose qui a attiré mon attention, en plus de la drôle de couverture, c’est le titre à rallonge. Plus ils sont décalés et farfelus, plus ça me donne envie de découvrir le contenu du livre. J’ai rarement lu des romans de cette maison d’édition (honte à moi ^^’) et pour ma première découverte de Blandine Chabot, j’ai été agréablement surprise et j’ai vraiment aimé cette lecture !

Tout commence lorsque Catherine, jeune professeur de français et célibataire désabusée, tombe sur un marque page, pour le moins intriguant, glissé entre les pages d’un roman de Françoise Sagan qu’elle avait emprunté à la bibliothèque. En effet, quelqu’un avait inscrit sur le bout de papier, un prénom, un numéro de téléphone et la demande « Appelle-moi quand tu veux ». Appeler ou ne pas appeler, telle est la question pour Catherine qui voit son quotidien chamboulé par ce petit mot !

Je ne lis de la chicklit qu’occasionnellement lorsque je veux me détendre et passer un moment sans prise de tête et ce roman réunit tous les ingrédients qui ont su me divertir. L’histoire n’a certes rien de bien original en soi mais on se laisse porter par le récit et on suit avec plaisir et amusement le quotidien et les péripéties de notre héroïne aussi bien dans son travail, qu’avec ses amis ou encore en ce qui concerne le mystère qui se cache derrière la personne au marque page.

J’ai été séduite par le style de l’auteur que je trouve frais et pétillant. Le récit peut paraître quelque peu décousu par moments mais j’a trouvé que ça correspondait parfaitement à la personnalité de Catherine et à son aptitude à s’éparpiller dans des réflexions qui sautent du coq à l’âne. La plume de Blandine Chabot est fluide et addictive et j’ai particulièrement adoré son humour teinté de sarcasme et de second degrés. On retrouve tout de même des passages tout en émotions qui ponctuent le récit ça et là et rendent l’ensemble plus réaliste.

Je me suis très vite attachée à Catherine car j’ai aimé son franc parlé et son côté un brin cynique. C’est une personne assez pragmatique avec une idéologie et une opinion bien tranchées. Sa dernière relation amoureuse l’a laissé anéantie et l’a rendu méfiante vis à vis des hommes. Elle a du mal à faire confiance et à s’attacher émotionnellement. Il n’empêche qu’elle m’a bien fait rire tout au long du roman. D’autres personnages gravitent autour de Catherine mais restent quelque peu en arrière plan.

En bref, Si j’avais un perroquet je l’appellerais Jean-Guy est une vraie bouffée de bonne humeur, un roman à la fois décalé et rafraîchissant qui vous fera passer un bon moment entre humour et émotions. Suivez donc Catherine le temps de quelques heures et laissez vous emporter par son histoire aussi mouvementée qu’emplie de tendresse !

Afficher en entier
Argent

Je vous invite à lire l'intégralité de mon avis sur mon blog : http://www.leslecturesdelily.com/2018/03/si-javais-un-perroquet-je-lappellerais.html#more

[...] Je vous conseille de lire ce livre si vous n'avez pas d'autres attentes que de passer un bon moment de détente, rire un bon coup et c'est tout (ce qui est déjà pas mal !). Prenez ce roman au second degré, vous ne serez alors pas déçus et surtout gardez en tête que la plume de l'auteure est parfois assez crue, qu'elle appelle un chat un chat et que vous trouverez aussi quelques scènes coquines.

www.leslecturesdelily.com

Afficher en entier
Argent

C’est un peu par hasard, attirée par la couverture et le résumé, que j’ai souhaité lire ce livre. Il m’aura suffi d’un dimanche froid et pluvieux pour que je vienne à bout de ce roman. Une histoire somme toute banale mais divertissante et décalée.

Célibataire depuis deux ans, Catherine n’a toujours pas surmonté sa dernière peine de cœur. Il faut dire que découvrir son fiancé et sa propre sœur dans une position embarrassante en traumatiserait plus d’une. Depuis ce jour, elle a fait une croix sur le bonheur et les relations amoureuses.

Pourtant, quand au hasard d’un livre emprunté à la bibliothèque, elle découvre un petit mot manuscrit disant « Appelle quand tu veux ! Jean-Philippe » accompagné d’un numéro de téléphone, Catherine est intriguée. Ce simple mot qui ne lui est de toute évidence pas adressé la chamboule. Que doit-elle faire ? Appeler ou pas ?! Ne pas prêter attention à ce message ?! Ce Jean-Philippe est-il aussi désespéré qu’elle pour laisser un tel message dans un livre ?! Peut-être que le plus simple serait de lui téléphoner pour en avoir le cœur net, non ?!

Ce roman m’a avant tout permis de découvrir une nouvelle auteure francophone et c’est avec plaisir que je me suis lancée dans cette lecture. Le style de Blandine Chabot est à la fois tendre, décalé, divertissant et élégant. Malgré quelques passages où le langage est un peu plus cru, il est dans l’ensemble raffiné. Pour être tout à fait honnête, j’ai eu du mal à accrocher dans les premiers chapitres et puis progressivement, je me suis laissé emporter par ce style particulier et drôle. Et finalement j’ai enchainé les chapitres sans m’en rendre compte et suis arrivée au dernier chapitre après quelques heures à peine.

De manière générale, l’histoire m’a plu. Mais il m’a tout de même manqué un petit quelque chose. Outre certains passages qui m’ont semblé décousus ou superflus, d’autres m’ont laissé un petit goût d’inachevé. J’aurais aimé que la rencontre entre Jean-Philippe et Catherine arrive plus tôt et qu’elle prenne plus de place dans l’histoire. J’attendais aussi un peu plus de révélations, notamment sur la raison qui a poussé Catherine à se renfermer sur elle-même. Bien sûr, je comprends que le traumatisme de son dernier échec amoureux soit difficile à surmonter mais je pensais qu’autre chose se cachait derrière qui rendait cette rupture plus douloureuse que les autres. Dommage ça aurait apporté un peu plus de profondeur au texte.

Sinon j’ai aimé découvrir la personnalité un peu fantasque de Catherine, cette prof de français qui ne mâche pas ses mots, ose la confrontation, affirme ses opinions et voue un culte au thé et aux miroirs.

Niveau émotions, ce livre ne m’a pas laissée insensible : il m’a fait souvent rire et m’a parfois ému au point da voir la vue trouble. Il ne me laissera pas un souvenir impérissable mais il a le mérite de m’avoir diverti le temps de ma lecture.

En bref, je reste un peu sur ma faim avec justement une fin trop rapide et des passages pas suffisamment développés à mon goût. Mais tout étant une affaire de goût, il se peut que si vous lisez ce roman il remporte tous les suffrages auprès de vous. Donc n’hésitez pas à vous lancer dans cette lecture détente, simple et rapide.

Afficher en entier

Date de sortie

Si j'avais un perroquet je l'appellerais Jean-Guy

  • France : 2018-02-08 (Français)

Activité récente

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 47
Commentaires 10
extraits 1
Evaluations 14
Note globale 6.71 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode