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—Tu observes Naito et Kelia, dit-il. Tu aimerais savoir ce que ça fait d'embrasser un fae.

Je sais ce que ça fait d'embrasser un fae. C'est tout le problème.

—Tu restes, cette fois ?

Je suis obligée d'étirer le cou pour le regarder quand il se campe devant moi.

—Je serais heureux de satisfaire ta curiosité.

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—J'ai tout le respect qu'il me faut.

— Mais ils ne t'ont pas intégrée, si ? Ils ne t'informent pas de leurs plans, ni des conséquences de ce que tu fais pour eux. Ils t'ont même interdit de parler leur langue.

Je garde la tête haute et essaie de prendre un air assuré. Ce n'est pas si facile avec un bras cassé et un corps meurtri, mais ses critiques me hérissent.

— Ils ne m'ont jamais barricadée dans une pièce ni menacée de mort.

— Ce n'est pas parce que tu ne sais pas que tu es une prisonnière que tu n'en es pas une.

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—Je viendrai pour toi, McKenzie.

Son baiser me prend par surprise. Un instant seulement, j'ai conscience que les pas de Kyol faiblissent, qu'il me regarde, qu'il nous regarde. Puis des éclairs se déversent des lèvres d'Aren, et il n'y a plus que nous.

Tout ce que je peux dire pour ma défense, c'est que les edarratae me font perdre ma retenue, car je rends son baiser à Aren. Et pas à moitié. Des éclats de chaos me chatouillent le visage et la gorge, courent sur mes épaules et le long de mes bras, m'ébranlent de la tête aux pieds. Je me rapproche d'Aren et presse ma poitrine contre la sienne.

Je sens sa main remonter jusqu'en haut de mon dos, et il m'attire plus près. Ses moindres caresses me comblent d'extase. Une extase absolue. La main qu'il avait posée sur mon épaule descend plus bas. Elle effleure mon sein avant de s'arrêter sur ma hanche. Seule ma mince robe de satin nous sépare, mais si je ferme les yeux, si je me laisse aller à oublier tout ce qui compte dans nos deux mondes, j'imagine le bout de tissu disparaître et visualise ma peau nue contre celle d'Aren.

J'ouvre brusquement les yeux quand Kyol m'empoigne le bras. Aren me retient encore un moment, tandis que ses lèvres et ses mains s'attardent comme s'il s'agissait de son dernier souffle. Comme si c'était le seul souffle à avoir jamais compté de sa vie. Puis il regarde le maître d'armes dans les yeux.

—Tu as de la concurrence, maintenant.

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Kelia se rend enfin compte que ses paroles se heurtent à un mur... un mur très fatigué, de mauvais poil et inébranlable.

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Pétrifiée, j'observe le fae agonisant jusqu'à ce qu'il disparaisse et que la brume blanche de son âme d'ombre s'élève dans les airs. Qu'est-ce que je viens de faire ? Ma mise en garde a signé son arrêt de mon mort. J'ai tué un fae de la Cour.

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L'orbe bleu et blanc suspendu au plafond est la seule chose qui tienne à distance la créature que j'entends gratter le sol dans les ténèbres. Hélas, il ne chasse pas mes cauchemars. Certains sont vieux, récurrents, d'autres inédits. Chaque fois que mes yeux se ferment, je prie pour qu'en les rouvrant je découvre que ces dernières semaines n'ont été qu'un rêve. La guerre du roi serait d'une évidence limpide, les méchants rebelles d'un côté et la gentille Cour de l'autre. Mais ce n'est pas ainsi que va le monde. La guerre, ce n'est jamais si simple.

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— D'accord, dit-il, essoufflé. Je sauverai ton précieux maître d'armes, McKenzie. Mais jamais je ne le laisserai te reprendre.

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—Je sais, dit Aren. Mais je voulais m'excuser. Je ne veux pas que Taltrayn te convainque que je suis le méchant.

Cette déclaration m'arrache un petit rire.

— Mais tu es le méchant, Aren.

En le voyant froncer les sourcils, je comprends qu'il interprète mal mes paroles.

— Ce que je veux dire, c'est que tu es... eh bien, le rebelle. Kyol est le gentil. Il a commis des erreurs, c'est vrai, mais il m'aime.

Il penche la tête de côté. À sa façon de me regarder, ma peau se met à me picoter. Il s'avance vers moi d'un pas hésitant, prudent, et je retiens mon souffle tandis qu'il me fixe de ses yeux argentés. Ses lèvres sont si proches. Je me rappelle la sensation de sa bouche collée contre la mienne, son goût, la chaleur de ses edarratae.

Seule une infime distance nous sépare quand il murmure :

—Tu penses que je ne suis pas amoureux de toi ?

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—Je suis désolée.

—Ne le sois pas, dit-il. J'apprécie que tu t'accordes le droit de me désirer. (Il m'effleure la joue du bout des doigts et des diamants scintillent dans ses yeux argentés.) Ah, l'un de tes rares sourires. Je pourrai mourir heureux, maintenant.

Je ris.

—Je souriais beaucoup avant de te rencontrer.

—Je veillerai à ce que tu souries beaucoup plus. (Je frissonne lorsqu'il dépose un baiser au creux de ma paume.) Beaucoup, beaucoup plus...

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Je pose la tête contre son torse et entends son cœur battre. Je lui trouve un son étrange, comme s'il était lourd et brisé. A moins que ce ne soit de mon cœur qu'il s'agisse.

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