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C'est dans des moments comme celui-ci, quand je parcours un autre monde en compagnie de gens qui maîtrisent la magie, que je demande si je ne suis pas folle. Il est possible que mon esprit soit prisonnier d'une sorte d'hallucination sophistiquée, tandis que mon corps serait toujours sanglé à un lit de l'hôpital de Belfont. C'est là-bas que mes parents m'ont envoyée. Je séchais tous mes cours, disparaissais sans donner d'explications, et on m'a surprise plus d'une fois à « parler toute seule » et à « faire des crises ». Kyol a mis un mois avant de m'y retrouver, et pendant ce temps on m'a obligée à avaler des médicaments, entourée de patients réellement fous.

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Ce côté à la fois négligé et sexy lui va très bien, et le fait que je n'y sois pas insensible achève de me mettre en rogne. Un tueur, ça devrait être moche et pleins de cicatrices, pas avoir un visage comme le sien.

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- Ils ne m'ont jamais barricadée dans une pièce ni menacée de mort.

- Ce n'est pas parce que tu ne sais pas que tu es une prisonnière que tu n'en es pas une.

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J'acquiesce d'un mouvement de tête. Je me fiche de son identité désormais. Je ne veux pas mourir. Je veux vivre. Je veux être normale, avoir mon diplôme, me trouver un vrai travail et passer du temps avec des amis dans le monde réel. Et mince, j'aimerais bien goûter au sexe au moins une fois avant de crever.

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Extrait ajouté par Sabbook 2018-07-01T01:56:42+02:00

—C'est moi le manipulateur ? Je t'ai gardée en vie, je t'ai protégée. Je ne t'ai pas fait de mal. En l'espace de quelques jours, tu en as appris davantage sur ce monde et cette guerre que durant tout le temps où tu as travaillé pour la Cour. Kelia t'a enseigné notre langue. Je t'ai sauvé la vie. Je t'ai soignée. Tu ne m'as rien donné en retour.

—Tu m'as enlevée !

—J'aurais dû te tuer !

A sa voix chargée d'émotion, je ravale ma repartie. Je ne suis pas certaine qu'il s'agisse uniquement de colère. A-t-il mal ? Je ne l'ai frappé qu'une fois. Peut-être a-t-il été blessé quand le plafond s'est effondré ? Je refuse de croire que cet accent de douleur dans sa voix puisse avoir une autre origine. Il n'a aucun sentiment pour moi. Et c'est réciproque.

Il soupire.

—Je ne peux pas laisser la Cour te récupérer,...

La diseuse d'ombres

Sandy Williams

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- ma blessure à l'épaule a besoin d'être désinfectée et refermée.

- Non.

Je détourne le regard vers la forêt. Il est blessé, mais je ne pense pas réussir à le semer. Peut-être s'affaiblira-t-il d'ici à ce qu'on atteigne le portail? Je pourrais alors revenir à la voiture et m'enfuir.

- McKenzie, dit Aren sur un ton de supplique.

- Je n'ai pas l'intention de te planter une aiguille dans la peau, dis-je en revenant à lui.

Faire des points de suture, c'est un peu trop pour moi. Je peux nettoyer le plaie, en revanche. Je regarde dans la boîte ouverte sur ses genoux. Les miliciens ont dû l'apporter avec eux; tout est étiqueté en anglais. Je repère quelques pansements avec des motifs de papillons et les sors.

- je peux me servir de ça pour maintenir la plaie fermée.

- je saigne trop.

- c'est ça ou rien.

Son expression se durcit.

- c'est ta nouvelle stratégie de fuite? Me laisser me vider de mon sang?

- ce n'est pas une mauvaise idée.

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- McKenzie?

La main d'Aren est restée en suspens.

- D'accord, dis-je en écartant mes cheveux de ma gorge.

Il se rapproche et pose la main sur la plaie.

Ça brûle, pas autant que lorsqu'il a réparé mon bras cassé, mais assez pour que je m'accroche à son tee-shirt et le serre dans mon poing.

- Elle n'est pas profonde, dit-il.

- Ce n'est pas mon impression.

Il secoue la tête.

- Ton artère principale passe par ici. (il appuie le pouce contre mon pouls, à droite de ma trachée.) Si je l'avais sectionnée, tu te serais vidée de ton sang. J'ai fait attention.

- Attention, mon œil, dis-je en grinçant des dents. (ça ne fait plus mal. C'est agréable, à présent. Ce qui est presque pire que la douleur.) J'ai perdu tellement de sang que je me suis évanouie.

- ça, c'était à cause de ta blessure au ventre, je pense. (il retire la main et examine ma gorge.) Tu as une cicatrice.

- Génial.

- Si tu m'avais laissé te soigner quand je te l'ai proposé la première fois, ça n'aurait pas été le cas.

Je hausse le sourcil.

- Tu tiens vraiment à ce qu'on débatte de qui est en tort dans cette histoire?

Lorsqu'il longe ma cicatrice du bout des doigts, je dois me faire violence pour ne pas frissonner.

- Remonte ton chemisier, nalkin-shom.

J'hésite, mais il n'a pas eu l'occasion de refermer complètement les entailles que j'ai au ventre, et comparée à elles, ma coupure à la gorge ressemble à une égratignure. Je relève le chemisier maculé de sang. En examinant les deux lignes hideuses et presque parallèles, je me dis que j'ai de la chance d'être en vie.

- J'imagine que celles-ci aussi vont laisser des cicatrices, dis-je.

Il hoche la tête.

- Mais là, ce n'est vraiment pas ma faute.

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Il prend soin d’effleurer ma peau quand il passe les mains derrière mon cou pour attacher le collier. Son souffle est chaud sur ma nuque. Je ne sais pas s'il a du mal avec le fermoir ou s'il s'attarde exprès, mais mon corps est réceptif à son contact. Je ferme doucement les yeux.

- Arrête, dis-je soudain. Aren, arrête ça.

Il ajuste le fermoir et retire les mains.

- Que j'arrête quoi?

- Je ne sais pas pourquoi tu fais ça.

- Tu as envie de rester avec moi.

Il déclare ça comme si c'était une réalité.

Je secoue la tête.

- Ce sont tes edarratae, Aren. C'est tout. Ils jouent avec mes émotions et me poussent à croire que je veux des choses qui ne sont pas bonne pour moi.

- je suis d'accord.

- Et peu importe ce que tu.... (une minute) Tu es d'accord?

- Taltrayn n'est pas bon pour toi. (il se rapproche de moi, je franchis à reculons la grille ouverte et me retrouve dans les jardins) La Cour n'est pas bonne pour toi. Ce sont eux qui t'ont manipulée.

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— Ça va ? je demande, même si je m'en fiche.

Oui, vraiment. Je ne fais que mon devoir d'être humain en emmenant Aren. Dès que nous aurons mis quelques kilomètres d'asphalte supplémentaires entre nous et les miliciens, je le largue sur le bas-côté et il se débrouille.

(...) Haletant, il s'appuie contre le siège et ferme les yeux.

Génial ! Blessé comme il l'est, je ne peux pas le virer.

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Extrait ajouté par Chlawee 2017-10-03T11:26:44+02:00

- Tu pourrais faire vite, s'il te plaît ?

- Je pourrais te guérir d'un baiser.

Une lueur malicieuse s'allume dans ses yeux argentés, et un millier d'éclats de chaos ricochent dans mon ventre. Une vague de chaleur déferle en moi, plus intense entre mes cuisses. Et merde. Merde ! C'est quoi mon problème, bon sang ?

- Contente-toi de me soigner.

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