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Extrait ajouté par Chlawee 2017-10-03T11:21:40+02:00

Lorn nous dépasse et s'arrête là où la moquette crème rejoint le carrelage de la cuisine.

- Kelia, ma chère. Pourrais-tu s'il te plaît t'éloigner de la machine à froid ?

- Réfrigérateur. (Elle tend la main, sans se retourner vers lui.) Et ça ne perturbe pratiquement pas mes edarratae.

- Ça les perturbe tout de même, dit-il. Vraiment, j'ai parfois l'impression que tu endommages ta magie juste pour me contrarier.

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Extrait ajouté par Chlawee 2017-10-03T11:14:34+02:00

- Tu n'es pas en forme.

- Personne ne l'est.

Lui compris.

- C'est vrai. Mais tous les autres ici ont réagi quand cette fissure s'est ouverte. Pas toi. Tu serais morte s'il n'y avait pas eu les archers. (Voyant que je ne réponds rien, il soupire.) Ce n'est pas ici que tu vas te remettre. Tu devrais retourner dans ton monde.

- Je vais bien, dis-je.

- Tu viens juste de me faire remarquer que personne ne va bien.

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Extrait ajouté par Chlawee 2017-10-03T11:09:33+02:00

- Tu vas la livrer à la Cour, Delan, dit-il.

- Tu m'as dit de la sortir d'ici. (Delan articule tellement mal que je peine à le comprendre.) Je vais le faire. Ce que je fais d'elle ensuite, ça...

Quelque chose.

- J'ai une autre solution, lance une voix familière.

Le groupe de faes qui bloque l'entrée de la taverne s'écarte pour révéler le nouveau venu qui se tient sur le pas de la porte : Lorn. Il ne me regarde pas, et tire sur ses manchettes comme si la scène l'ennuyait déjà. Je ne sais pas si je devrais être soulagée de le voir ou non.

- Je l'emmène, dit-il une fois satisfait de sa mise.

- En échange de combien ? demande Delan.

Lorn se contente de rire et répète :

- Je l'emmène.

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Extrait ajouté par Chlawee 2017-10-03T11:04:23+02:00

- Assieds-toi, McKenzie.

Je rejette sa main mais me laisse tomber sur la chaise.

- Elle est timide ? demande Lorn en m'observant.

- Je dirais plutôt qu'elle prépare sa prochaine tentative de fuite, réplique Aren.

Puis il repousse mon capuchon. Je me sens nue avec le visage découvert, mais je parviens à garder une expression neutre. C'est du moins ce que j'espère, car Aren a vu juste. Je commence à élaborer un plan.

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Extrait ajouté par Lacey 2017-07-30T19:10:11+02:00

- Bon sang, McKenzie! (Aren fait volte-face). Il t'a perdue! Il ne peut pas te ravoir!

Sous le cou de la colère, mon cœur se met à cogner.

- Je l'ai quitté...

- Parce que tu n'avais pas le choix.

J'enfonce mes doigts dans le fauteuil en cuir.

- J'allais le quitter avant que Radath m'envoie à Chaer.

- Parce que tu n'avais pas le choix, répète-t-il d'une voix chargée de venin. Il refusait de compromettre son honneur pour toi.

- Il allait parler de nous au roi!

Je pousse le fauteuil vers lui.

Il le balaie de son chemin et s'avance en trombe.

- Il a eu dix ans pour te rendre amoureuse de lui. Je n'ai pas eu dix semaines! Explique-moi en quoi c'est juste!

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« —Je ne te toucherai pas sans ta permission, dit-il en se hissant sur la table à côté de moi.

Il se fiche de moi ?

—Tu me touches sans arrêt sans ma permission.

—Je... (Il s'arrête et glousse.) Eh bien, il faut croire oui.

Mc K et Aren

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« —Tu te sens mieux ?

Il s'attend à ce que je sois reconnaissante, que je me sente redevable.

—Je tenais le coup, avant.

Il glousse.

—Ton entêtement te perdra, nalkin-shom. Je finirai par te rallier »

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ONE

MY SKIN TINGLES a moment before a slash of white light flashes at the front of the lecture hall. I grit my teeth and keep my eyes locked on my scantron, refusing to acknowledge the fae entering my world through that fissure. I don’t give a damn if it’s the king himself; I will pass this test tonight.

I darken in C on my answer sheet and then read the next question.

“McKenzie.”

It’s Kyol. Of course the Court would send him.

“McKenzie,” he says. “We must go.” No one else can hear or see him even though he towers over my professor, who stands less than two feet to his left. All the other students remain bowed over their desks, completely focused on their final exams. I grip my pencil and bubble in another circle.

The fae climbs the steps to my fifth-row seat. Still not meeting his eyes, I shake my head. I told him—I told all of them—not to call on me this week, but none of the fae understand why I need this degree, not when the Court takes care of all my needs. I tried to explain I’m human. I have human dreams and need a human life, and it shouldn’t take anyone eight years to earn a bachelor of arts in English. They hadn’t listened. At least, Kyol hadn’t.

Not now! I want to scream, but even the softest whisper will disturb the quiet in the lecture hall. I stare down at my exam, letting my long hair brush the top of my desk. It forms a brown curtain, cutting off my view of Kyol as I reread question ten. The Court’s war can wait until I finish.

Kyol lays a hand on my shoulder, and a pleasant warmth expands beneath the thin strap of my purple cami. If we were alone, I’d lean into his touch, soak in his heat, his scent—soak in him—but not here, not now, in the middle of a test I have to pass. I shift, trying to get away. When his hand remains, I slam my fist down on my desk.

My classmates turn their heads to stare and Dr. Embry frowns. Fantastic.

“Number ten,” I say with a nervous laugh. “It’s a doozy.” It isn’t. It’s on the works of C. S. Lewis. Easy. I bubble in A.

Kyol pulls on my shoulder and I squirm again. There’s no way in hell I’m flunking this course a third time. I need it to graduate, and I don’t care if Kyol drops his invisibility in front of all my classmates; my ass isn’t budging until I finish my test and triple-check my answers.

“We’ve no time to waste,” Kyol says. “The rebels have found you.”

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