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Extrait ajouté par lavienlivre 2020-07-20T18:38:00+02:00

Je ne veux pas vous chasser, mais j’ai beaucoup à faire aujourd’hui.

Elle écarquilla les yeux.

– Oui. Bien sûr. Je suis désolée. Dans ce cas, je vais aller droit au but : j’ai une affaire à vous proposer.

Je levai un sourcil.

– Une affaire ?

Elle hocha la tête, tout en jouant avec le long collier en or qu’elle portait.

– Oui, eh bien, en fait, Monsieur Hawthorn, je suis ici pour vous demander en mariage.

J’éclatai de rire, recrachant presque la gorgée de café que je venais de prendre.

– Excusez-moi ?

Ses magnifiques yeux prirent alors une teinte indescriptible.

– Vous avez bien entendu, je pense que c’est une idée qui peut certainement nous être bénéfique. 

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Extrait ajouté par sabivilutini 2020-06-12T01:59:30+02:00

Elle a besoin d'amour, plus que n'importe qui. La seule chose qui pourrait lui faire du mal, c'est le manque d'amour.

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Extrait ajouté par sabivilutini 2020-06-12T01:59:18+02:00

- Je suis sûr que tu sais que les femmes te trouvent... attirant, pour une raison d'ailleurs parfaitement incompréhensible, dis-je en haussant les épaules.

- Attirant ?

- Sexy, terriblement excitant.

Grayson s'arrêta net, je fis de même, puis me retournai vers lui. Il me lança un regard malicieux.

- Ce sujet m'intéresse. J'aimerais qu'on l'approfondisse un peu.

Je repris mon chemin en riant. Il me rattrapa, me dépassa même, de sorte de me faire face en marchant de reculons, avec un air insupportablement prétentieux.

- Attends, est-ce que tu étais gênée parce que.. tu me trouves... attirant, petite sorcière ?

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Extrait ajouté par SherCam 2020-01-19T11:32:52+01:00

...s'il vous plaît, ne me laissez pas quitter ce monde sans avoir dit à ce môme ce que je pense de lui.

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Extrait ajouté par SherCam 2020-01-19T11:31:22+01:00

Il ne s'est pas passé une journée sans que nous soyons fiers de vous.

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Extrait ajouté par Melodie-26 2019-12-31T23:47:10+01:00

« Et gardez en tête que l’amour n’est pas toujours simple et facile. Il peut blesser. L’amour oblige à s’ouvrir et à laisser entrer l’autre jusqu’à la plus intime part de notre être. Car le véritable amour est une fleur, mais qui porte des épines... »

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Extrait ajouté par magaliB 2019-05-22T23:44:33+02:00

CHAPITRE 1

« Ne te tourmente pas, mon amour, l’univers équilibre toujours la balance. Ses chemins peuvent être mystérieux, mais ils sont toujours justes »

Isabelle Dallaire, “Grand-mère”

KIRA

Parmi toutes les mauvaises journées que j’avais pu passer, celle-ci était sûrement la pire. Et pourtant, il n’était que neuf heures du matin. En sortant de la voiture, je pris une grande bouffée d’air parfumé de cette fin d’été et me dirigeai vers la Napa Valley Bank. Je sentais la chaleur étouffante de cette superbe matinée m’envelopper, et la douce odeur du jasmin me chatouiller les narines. J’ouvris la porte vitrée de la banque. La beauté paisible de cette journée tranchait avec mon humeur maussade. Quelle prétention de ma part. Comme si la météo devait s’accorder à mon état.

– Puis-je vous aider ? me demanda une charmante jeune femme alors que je m’approchais de son guichet.

– Oui, dis-je, en sortant de mon sac ma pièce d’identité et un vieux livret d’épargne. Je voudrais fermer ce compte.

Je posai les deux documents sur le comptoir. Un coin du livret était corné et laissait apparaître des chiffres griffonnés par ma grand-mère lorsqu’elle m’apprenait à garder une trace des dépôts que nous faisions ensemble. Ce souvenir me transperça le cœur, mais je me forçai à offrir à la jeune femme du guichet ce que j’espérais être un sourire radieux pendant qu’elle prenait le livret, l’ouvrait et commençait à entrer le numéro du compte sur son ordinateur.

Je repensai alors au jour où nous avions ouvert ce compte. Je devais avoir dix ans et, accompagnée de ma grand-mère, j’avais fièrement déposé cinquante dollars, gagnés pour l’avoir aidée à jardiner tout l’été. Nous avions pris l’habitude de venir régulièrement dans cette banque pendant les vacances dans sa maison de Napa. Entre autres choses, ma grand-mère m’avait enseigné la vraie valeur de l’argent : il est principalement fait pour être partagé, pour aider les autres, et il permet également une forme de liberté. Le fait que je ne roule pas sur l’or, que j’ai peu de perspectives et que les seuls biens matériels que je possède se trouvent dans le coffre de ma voiture me prouve qu’elle avait cruellement raison : sans argent, j’étais tout sauf libre.

– Deux mille quarante-sept dollars et seize cents, me dit la guichetière.

Satisfaite, j’acquiesçai. C’était même un peu plus que ce que j’espérais. Voilà une bonne surprise, car j’avais bien besoin de chaque centime. Je respirai profondément et croisai les mains sur le guichet en attendant qu’elle ait fini de recompter la totalité de la somme.

Une fois l’argent rangé dans mon portefeuille et le compte clos, je souhaitai une bonne journée à la jeune femme. Avant de sortir, je m’arrêtai à la fontaine d’eau.

Tandis que je savourais la fraîcheur dans ma bouche, une voix me parvint d’un bureau voisin :

– Grayson Hawthorn, ravi de vous rencontrer.

Mon sang se glaça, je me redressai lentement, en essuyant machinalement du pouce l’eau sur mes lèvres. Grayson Hawthorn… Grayson Hawthorn ?

Je connaissais ce nom. Je me souvenais de son effet sur moi, de la manière dont je me l’étais murmuré inlassablement pour le sentir vibrer sur mes lèvres, ce fameux jour, dans le bureau de mon père. Je me revoyais lui apporter une tasse de café, jeter un coup d’œil furtif sur ce dossier, qu’il avait immédiatement refermé. Était-il possible que ce soit le même Grayson Hawthorn ?

M’aventurant plus près du bureau, je ne vis rien d’autre que la porte close et le store de la fenêtre baissé. Je décidai alors de me réfugier dans les toilettes, de l’autre côté du couloir, à quelques pas de l’endroit où se trouvait le dénommé Grayson Hawthorn.

Une fois à l’intérieur, je verrouillai le loquet et m’adossai au mur. J’ignorais que Grayson Hawthorn vivait à Napa. Son procès avait eu lieu à San Francisco, c’était donc certainement là qu’il avait commis son crime. Je n’avais jamais su pour quel délit il avait été jugé, je savais simplement que mon père s’était intéressé à cette affaire pendant une courte période. Je me mordis la lèvre et, tout en me regardant dans le miroir accroché au-dessus du lavabo, je me lavai puis me séchai les mains.

Je poussai doucement la porte pour essayer de mieux entendre leur conversation, mais seules quelques voix étouffées me parvenaient. Soudain, la porte s’ouvrit, et, en me penchant, j’aperçus un homme en costume, probablement l’un des cadres de l’agence. Il entra dans le bureau. Il ferma derrière lui sans se rendre compte que la porte était restée très légèrement entrebâillée, ce qui me permettait de saisir quelques mots. Collée contre la porte fissurée des toilettes, j’essayai de nouveau d’entendre leur conversation.

Vraiment, Kira ? Ta curiosité est scandaleuse ! C’est une violation de la vie privée. Et, pire, cela n’a aucun intérêt.

J’ignorai la voix de ma conscience, et me remis à écouter.

Je chasserai vite cet acte peu glorieux de ma mémoire. Et puis après tout, personne d’autre que moi n’avait besoin d’être au courant.

Quelques mots me parvenaient : « Pardon… criminel… ne peut pas donner… cette banque… malheureusement… »

Criminel ? Ça devait forcément être Grayson Hawthorn. Quelle étrange et improbable coïncidence. Je ne savais presque rien de lui. À part son nom, le fait qu’il avait été accusé d’un crime, et que mon père avait été l’un de ceux qui l’avait utilisé comme un pion. D’ailleurs Grayson Hawthorn et moi avions ça en commun : avoir été un jouet dans les mains de mon père. Il avait ruiné tant de vies avec si peu de remords, qu’il était rare qu’il se souvienne du nom de ses victimes. Quoiqu’il en soit, j’étais en train d’écouter aux portes dans les toilettes d’une banque, et ma curiosité maladive ne me semblait pas être une raison suffisante pour justifier ma conduite. Je respirai profondément, puis m’apprêtai à sortir quand j’entendis le grincement d’une chaise, qui cessa aussitôt. Ils venaient certainement d’ouvrir la porte car à présent, j’entendais clairement leur discussion.

– Je suis désolé, Monsieur Hawthorn, je ne peux pas approuver votre demande de crédit, disait le conseiller, la voix pleine de remords. Si vous aviez davantage de valeurs ou d’actifs…

Une voix grave lui coupa la parole, celle de Grayson sans doute.

– Je comprends. Merci pour votre patience Monsieur Gellar.

Avant de refermer la porte des toilettes, j’eus le temps d’apercevoir la silhouette d’un homme grand, aux cheveux bruns, vêtu d’un costume gris. Je me lavai les mains une fois de plus, pour gagner du temps, puis quittai cet endroit exigu. En passant, je jetai un coup d’œil rapide au bureau et vis un homme assis, en costume cravate, absorbé par ce qu’il était en train d’écrire. L’homme en costume gris était donc bien Grayson Hawthorn, et il avait certainement déjà quitté la banque.

Je fis quelques pas dans la rue par cette magnifique journée d’été puis montai dans ma voiture. Je pris une minute pour observer par la vitre le cœur de la ville historique : tout était parfait, des stores immaculés ornant les devantures des commerces aux pots de fleurs multicolores décorant les trottoirs. J’adorais Napa, du centre-ville jusqu’aux quais. J’aimais aussi la campagne environnante avec ses vignobles croulant de fruits mûrs jaune vif en été, et ses fleurs sauvages en hiver, les fameuses moutardes blanches. C’était là que ma grand-mère s’était retirée après le décès de mon grand-père, là que j’avais passé tous mes étés, dans cette petite maison avec son immense perron qui donnait sur Seminary Street. Désormais je la voyais partout, j’entendais sa voix, et je sentais en moi son esprit tendre et magnétique. Ma grand-mère se plaisait à dire : « Aujourd’hui c’est peut-être une très mauvaise journée mais demain pourrait être le meilleur jour de ta vie. Tu dois simplement patienter avant que ce jour n’arrive. »

J’inspirai profondément, comme pour chasser la solitude qui me gagnait. Oh, mamie, si seulement tu étais encore là. Tu me prendrais dans tes bras et tu me dirais que tout va bien se passer. Et, comme ces paroles viendraient de toi, j’y croirais.

Je fermai les yeux, me laissai aller contre l’appui-tête en chuchotant :

– Aide-moi mamie. Je suis perdue. J’ai besoin de toi. Fais-moi un signe. Dis-moi ce que je dois faire. S’il te plaît.

Les larmes que je retenais depuis si longtemps brûlaient mes paupières et menaçaient de couler.

Au moment où j’ouvris les yeux, un mouvement dans le rétroviseur côté passager attira mon attention. Je tournai la tête et découvris un homme grand, bien bâti dans un costume gris… Grayson Hawthorn !

Je sursautai légèrement, le souffle coupé. Il se tenait debout, contre l’immeuble proche de ma voiture, à droite de mon pare-chocs, le meilleur emplacement pour que je puisse le voir sans bouger. Je m’enfonçai juste un peu dans mon siège, me penchai en arrière puis tournai légèrement la tête pour le regarder.

Adossé au mur, les yeux fermés, il avait l’air effondré. Et mon Dieu, il était… époustouflant ! Il avait la carrure somptueuse d’un chevalier portant une armure. Ses cheveux noirs, presque trop longs, bouclaient sur son col. Mais c’était ses lèvres qui étaient vraiment dévastatrices ! Elles étaient tellement sensuelles que mes yeux voulaient les fantasmer encore et encore. Je le contemplai en essayant de mémoriser chaque détail de son visage. Puis mon regard se mit à voyager sur sa silhouette majestueuse. Son corps était en parfaite harmonie avec sa virilité intense, il était musclé et élégant, avec des épaules larges et une taille fine.

Oh, Kira, tu n’as pas vraiment le temps de reluquer des criminels sur le trottoir ! Tes problèmes sont un tout petit peu plus urgents ! Tu es à la rue et, soyons honnête, complètement désespérée. Concentre-toi donc là-dessus !

Je me mordillai la lèvre, incapable de le quitter des yeux. Quel crime avait-il commis ? J’essayais de détourner mon regard mais quelque chose en lui m’attirait. Et ce n’était pas uniquement sa virilité saisissante qui me captivait tant. En fait, je me sentais très proche de lui, tant son air triste et grave faisait écho à ce que je ressentais.

« Si vous aviez davantage de valeurs… »

– Est-ce que toi aussi tu es désespéré, Grayson Hawthorn ? murmurai-je. Et pourquoi l’es-tu ?

Soudain, il redressa la tête et se massa les tempes tout en regardant autour de lui. Après l’avoir dépassé, une femme fit volte-face pour admirer son corps de haut en bas. Il ne la remarqua pas et, heureusement pour elle, elle se retourna juste à temps pour éviter un lampadaire. Je pouffai intérieurement.

Grayson fixait toujours l’horizon. Pendant que je l’observais, un sans-abri qui faisait la manche sans récolter la moindre pièce, se dirigea vers lui. Plus il s’approchait de lui, plus je retenais mon souffle. Pardon Monsieur, mais il semblerait que cet homme soit lui-même dans une situation encore pire que la vôtre.

À ma grande surprise, quand le mendiant arriva à sa hauteur, Grayson n’hésita qu’un court instant avant de lui donner de l’argent. Je crois même qu’il lui donna tout ce qu’il lui restait. Je n’en étais pas sûre car j’étais un peu loin, mais son portefeuille semblait désormais totalement vide. Grayson salua le SDF qui n’arrêtait pas de le remercier, puis l’observa qui s’éloignait. Il se dirigea ensuite d’un pas ferme dans la direction opposée, puis disparut de ma vue.

« Mon amour, observe le comportement des gens quand ils pensent que personne ne les regarde. Tu sauras ainsi qui ils sont vraiment. »

Les paroles de mamie résonnaient, comme si elle était tout près de ma voiture. Je poussai un petit cri en entendant la sonnerie stridente de mon téléphone et attrapai mon sac sur le siège passager pour y chercher mon portable.

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Extrait ajouté par Isabella_Books_Addiction 2019-03-22T08:13:16+01:00

Pour la première fois depuis mon retour, j’appelai José pour lui dire que j’étais trop malade pour travailler. Je n’aurais de toute manière pas pu y aller et laisser Kira seule. Mais en réalité, je n’étais pas en état de quitter la maison. J’étais comme un animal enragé. J’avais besoin de baiser comme un Viking, en pillant et en arrachant des vêtements. Il fallait que j’assouvisse mon désir encore et encore et encore, jusqu’à ce que cette insupportable douleur cesse et que je sois totalement vidé. Cette comparaison semblait dramatiquement ridicule mais je ne voyais pas d’autre manière de l’exprimer. Je changeai les serviettes humides sur le cou et le haut de la poitrine de Kira sans la regarder pour éviter de ne pas pouvoir résister à la tentation de la prendre, malade ou pas. Pour être capable de m’occuper de la petite sorcière, j’avais dû me soulager à quatre reprises dans la salle de bains. Non, ce n’était pas normal. Estce qu’elle m’avait jeté un sort diabolique ? Je me sentais comme possédé par un démon sexuel agressif, tout droit sorti des tréfonds de l’enfer.

J’étais sur le point d’appeler un médecin, ou peut-être plutôt un prêtre pour qu’il m’exorcise, quand dimanche, en fin de journée, les symptômes finirent par s’atténuer. Épuisé moralement et physiquement vidé, au sens propre du terme, je m’allongeai sur le lit près de Kira juste un moment. Elle était nettement plus fraîche, sa respiration était calme et régulière. La lumière du crépuscule qui filtrait à travers les lourds rideaux de la chambre et les mouvements lents du ventilateur au plafond m’endormirent en quelques minutes.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-03-15T05:55:36+01:00

Je n'aime plus les blondes.j'aime les rousses. Ou les brunes. Ou le mélange parfait des deux. J'aime toi.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-03-15T05:53:23+01:00

Mes yeux étaient plantés dans les siens et j'eus soudain l'irrésistible envie de tomber à genoux et de lui promettre de toujours la servir.

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