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Harlem. Xiomara a 15 ans et un corps qui prend plus de place que sa voix : bonnet D et hanches chaloupées. Contre la rumeur, les insultes ou les gestes déplacés, elle laisse parler ses poings. Étouffée par les préceptes de sa mère (pas de petit ami, pas de sorties, pas de vagues), elle se révolte en silence. Personne n’est là pour entendre sa colère et ses désirs. La seule chose quil’apaise, c’est écrire, écrire et encore écrire. Tout ce qu’elle aimerait dire. Transformer en poèmes-lames toutes ses pensées coupantes.
Jusqu’au jour où un club de slam se crée dans son lycée. L’occasion pour Xiomara, enfin, de trouver sa voix.
écrire écrire écrire,
tout ce que j'aurais voulu dire,
transformer en larmes de poèmes
toutes mes pensées coupantes,
les imaginer trancher net
mon corps pour
que j'en
sorte.
Une lecture qui fait réfléchir. Réfléchir aux valeurs que l'on souhaite transmettre au sein d'une famille.
Xiomara est très différente de sa maman, dans le sens où elle n'est pas aussi impliquée que celle-ci auprès de Dieu, elle a des doutes. Elle souhaite être libre des exigences que lui imposent Mami. Sa mère a des valeurs et les imposent à Xiomara, sans se demander si elles lui conviennent.
Le roman (écrit d'une façon très originale), nous fait passer un message: il ne faut pas forcer, juste guider et être présent.
J'aurais aimé que le personnage de Xavier soit plus développé.
C'était sympa mais pas transcendant. Le fait sue ce soit en vers rajoute quelque chose à la lecture. Mais je n'ai pas été touché par l'histoire ni les personnages. C'était sympa mais pas inoubliable.
Lecture Commencée le 21 septembre 2023 & terminée le 27 septembre 2023
Ce roman raconte la vie de Xiomara, qui a ses problèmes familiaux, d'ados, mais ce que je retiendrai, c'est un roman plein de tendresse, certe fait en verre, et ça fait un bien de lire de temps en temps en verre
Ce roman est a mon avis à "la base" ciblé pour les ados.
Mais en tant qu'adulte c'est un roman poétique, plein d'espoirs, que je relirai certainement un jour 😊
Ce qui est certain c'est que je le conseillerai à ma fille, que ça aille bien ou mal dans sa peau, pour que ça l'aide à comprendre certaines choses de la vie & bien sur qd elle aura l'âge de le lire 😊
C’est ma première expérience avec un roman en vers libre, c’est une très bonne première impression !
Nous avons ici l’histoire de Xiomara, 16 ans, avec un corps qui prend plus de place que sa voix : bonnet D et hanches chaloupées. Et quand on l’embête, elle laisse parler ses poings.
Sa mère va à l’église et pour elle, Dieu est plus important que sa propre fille. Elle la force à aller à la messe, à prier, et surtout, à ne pas pécher. Xiomara est étouffée par les principes de sa mère (pas de petit ami, pas de sortie, pas de vagues), elle va se révolter en silence. Personne ne peut entendre sa colère et ses désirs.
La seule chose qui la soulage, c’est écrire, encore et encore. Elle écrit tout ce qu’elle voudrait dire. Elle transforme ses paroles qu’elle doit taire en poèmes.
Mais un jour, un club de slam se crée dans son lycée. Xiomara va enfin pouvoir trouver sa voix.
J’ai vraiment adoré ! J’avais peur de ne pas apprécier car ça a été traduit par Clémentine Beauvais, dont je ne suis pas très fan de l’écriture donc bon. Mais ce fut une très bonne surprise.
Un peu de romance, mais surtout de la rébellion. Je suis vraiment fière de Xiomara. J’ai beaucoup aimé voir les relations qu’elle entretient, que ce soit avec ses parents, son Jumeau, le père Sean, ou encore avec ses amis, voire plus, si vous voyez ce que je veux dire 😉
On se pose des questions tout au long du livre, on se demande ce qui va se passer ensuite. C’est vraiment bien écrit !
Un livre écrit en vers retraçant les premiers mois de lycée d'une adolescente vivant dans une famille très catholique/conservatrice. Xiomara se bat depuis des années, au sens littéral, contre les garçons et les hommes qui la draguent. Elle est en colère contre sa mère qui l'empêche de vivre. Contre son père qui ne dit jamais rien. Contre son frère jumeau qu'elle doit toujours défendre. Son talent pour l'écriture de poésie l'aide énormément dans son combat, et lui permet d'orienter sa colère et d'en faire une force.
Un roman inspirant et touchant qui donne envie de se mettre à écrire de la poésie !
Un liver different de ce que j'ai pu lire. Les poème écrit sont magnifique et l'histoire est incroyable. Il faut laisser parler not mots et pas nos poing est ce que ma appris ce livre je le recommande
J’ai lu ce livre pour un projet de groupe sur la littérature de migration. Je ne pense pas que j’aurai été attirée par ce livre autrement.
J’ai bien aimé le fait que le roman soit sous forme de journal, ce qui permet une approche très personnelle de l’héroïne. J’ai bien aimé lire les différents poèmes, le mélange avec le style plus familier de la narratrice. Les poèmes en genre de calligramme sont très expressifs. L’auteure réussit bien à nous faire comprendre son ressenti, ses émotions, il y a des passages assez marquants par leur violence. Par contre, j’ai trouvé que la période couverte était trop étendue, selon moi il n’y avait pas assez de détails sur les événements, ou sur la vie quotidienne de Xiomara. J’ai aussi été très déçue par la fin qui a été beaucoup trop rapide selon moi et pas très réaliste, ce qui est dommage car il y avait une très bonne tension au milieu du roman. J’ai bien aimé le fait que le roman traite de sujets divers, par exemple la perception du corps, l’homosexualité, les origines dominicaines, le fait de vivre à Harlem, par contre j’aurais aimé que ces thèmes soient encore plus développés. C’est cependant un roman qui fait beaucoup réfléchir à la différence de valeurs entre parents et enfants. Enfin, si le personnage de Xiomara a une forte personnalité, et est facilement identifiable, j’ai trouvé dommage que les autres personnages ne soient pas plus développés, et ne soient présents que par rapport à l’héroïne.
En bref, c’est un livre qui traite des thèmes intéressants mais qui selon moi reste un peu trop simple même pour un roman Young Adult.
Une lecture qui fait réfléchir. Réfléchir aux valeurs que l'on souhaite transmettre au sein d'une famille.
Xiomara est très différente de sa maman, dans le sens où elle n'est pas aussi impliquée que celle-ci auprès de Dieu, elle a des doutes. Elle souhaite être libre des exigences que lui imposent Mami. Sa mère a des valeurs et les imposent à Xiomara, sans se demander si elles lui conviennent.
Le roman (écrit d'une façon très originale), nous fait passer un message: il ne faut pas forcer, juste guider et être présent.
J'aurais aimé que le personnage de Xavier soit plus développé.
Résumé
Harlem. Xiomara a 15 ans et un corps qui prend plus de place que sa voix : bonnet D et hanches chaloupées. Contre la rumeur, les insultes ou les gestes déplacés, elle laisse parler ses poings. Étouffée par les préceptes de sa mère (pas de petit ami, pas de sorties, pas de vagues), elle se révolte en silence. Personne n’est là pour entendre sa colère et ses désirs. La seule chose quil’apaise, c’est écrire, écrire et encore écrire. Tout ce qu’elle aimerait dire. Transformer en poèmes-lames toutes ses pensées coupantes.
Jusqu’au jour où un club de slam se crée dans son lycée. L’occasion pour Xiomara, enfin, de trouver sa voix.
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