Extraits

Grayson était l'une des raisons qui me faisait apprécier la vie dans cette nouvelle maison – dépassant même la machine à café.

Premièrement, il pouvait m'aider en math quand ça devenait trop complexe pour moi – après tout, il avait deux classes d'avance sur moi. Deuxièmement, il n'était pas moche à regarder – même quand il était fatigué et qu'il bâillait comme un hippopotame. Et troisièmement, eh bien... il m'était juste très sympathique.

( Traduction personnelle. On copie, on crédite ! )

Puis il se pencha vers moi et commença à m'embrasser. Et c'est devenu un très beau rêve.

J'entendis Grayson soupirer.

-C'est bon, dit-il.

-Non, non, pas du tout. Tu es vraiment le plus adorable et le meilleur... grand-frère qu'on puisse rêver d'avoir.

(Et le plus beau aussi...)

Il rit doucement.

-Et toi, tu es la petite soeur la plus énervante... et la plus pleine de rougeurs que j'ai jamais eue. Dors bien, Liv.

Demain, tout ira bien.

"If you can dream it, you can do it. Walt Disney " (Epigraphe)

Un gros sanglot m'échappa.

-Il faut que je me réveille, il faut que je...

-Alors, fais-le, dit Henry. Liv, réveille-toi !

Il me prit dans ses bras, me tourna vers lui et m'embrassa fougueusement sur la bouche.

"Anabel croyait dur comme fer qu’un démon nous avait dotés de la faculté de nous rencontrer dans nos rêves."

Il leva la tête vers le four où Lottie venait d’introduire la première plaque à pâtisserie.

-Oh, là, là ! ça sent incroyablement bon. Qu’est-ce que c’est ?

-Les sblés de Noël à la vanille de Lottie, valables toute l’année, annonça Mia en posant les tasses fumantes sur la table. Pour que les choses soient claires : c’est moi qui vait les manger et Liv en aura aussi quelques-uns parce qu’elle s’est fait tellement de soucis pour moi qu’elle en a pleuré. Car j’ai **** *** *********** ** *´** ******* ** ****** *** ** *******. ** ** ** **** ******** que prce que Liv m’a versé de l tisane de valériane sur la tête.

Elle s’assis en souriant joyeusement à la ronde.

-Voilà, même si vous n’êtes pas d’accord, vous allez devoir vous contenter de nous regarder manger les sablés.

Henry souris lui aussi.

-Impossible, dit-il. N’est-ce pas, Grayson ?

Grayson secoua la tête, l’air réjoui.

-Non, on ne peut pas être d’accord. Si je ne peut pas avoir de sablés, je vis malheureusement pleurer moi aussi.

-Réveille-toi et fais-la descendre ! dit Henry d’un ton pressant. Là tout de suite !

-Je n’y arrive pas ! m’écriai-je d’une voix que je reconnus à peine, tant elle était hystérique. Pourtant, ce n’est pas faute d’essayer.

Un gros sanglot m’échappa.

-Il faut que je me réveille, il faut que je...

-Alors fait-le, dit Henry. Liv, réveille-toi !

Il me prit dans ses bras, me tourna vers lui et m’embrassa fougueusement sur la bouche.

"Mit Schwung warf ich meine Haare in den Nacken, drehte mich auf dem Absatz um und riss die Tür auf. Die Kunst des bühnenreifen Abgangs hatte ich mir von Florence abgeschaut. Dummerweise war es die falsche Tür. Diese hier führte nur in einen Wandschrank voller Handtücher.

Verdammt, verdammt, verdammt! Nicht mal ein ordentlicher Abgang war mir vergönnt."

Emily schüttelte den Kopf. „Ich möchte wirklich nicht mit dir tauschen“, sagte sie. „In deinem Kopf muss es doch total gestört zugehen. Erst die Sache mit Mr Snuggles und jetzt ... hey! Stell das sofort wieder hin.“

Ich hatte die Suppenschale von ihrem Tablett genommen und schnupperte daran. „Mmh, Lauchcreme – soll ja super für die Haare sein.“

„Du bist doch krank!“ sagte Emily, aber ich sah genau, dass sie es mit der Angst zu tun bekam.

Ich hob die Schüssel. „Mehr Glanz, weniger Spliss ... – möchtest du sie selber einmassieren, oder soll ich das auch übernehmen?“