Simplement lui
Auteur
- Vincent Koch (Écrivain)
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Classement en biblio - 16 lecteurs
extrait
Aujourd'hui. Pas de Hugues. Pas de parents. Pas de Salomé. Pas de petite sæur. Plus rien. Rien que moi. Moi seul. Mes études. Ma vie. Plus de psy. Fini. Vous voulez que je tourne la page. Je vais la tourner. Je sais que je vais pleurer. Encore. Plus. Mais qu'importe. Il faut souffrir pour être. Et comme je dois être. Ne nous posons plus de questions. Je serai.
Afficher en entierCommentaires récents
Je me suis enfin lancée dans ce livre qui trainai sur ma PAL depuis plusieurs mois.
Ce premier 'tome' est assez court et se lit plutôt vite.
Je ne l'ai pas trouvé exceptionnel d'ailleurs je ne sais si c'est parce qu'il était court justement mais je n'ai pas accroché.
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Heu... comment dire??? Le style des phrases est catastrophique, j'ai décroché. Je n'arrivais plus à comprendre le texte en lui-même. Désolée mais je n'ai pas du tout aimé.
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C'est bien la première fois que je n'arrive pas à finir un livre.
Le style de l'écriture est "inconfortable".
Des petites phrases du style "Je me lève. Je me douche. Je le regarde" tout au long du livre !!
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Date de sortie
Simplement lui
- France : 2010-05-10 (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
Hugues. Mon meilleur ami. Lui et Moi. Moi et Lui. On se connaît. On ne se quitte pas. On ne se quittera pas. Il me connaît par coeur. Il sait ce que j'ai dans la tête. Pas besoin de parler. Parfois. On se comprend. C'est comme ça entre nous. Fusionnel.
Une nuit, il est venu s'asseoir dans le lit avec moi. Il s'est endormi en parlant avec moi. J'ai rejoint Morphée aussi. Bien après. Au petit matin. Au réveil. Nous étions l'un contre l'autre. Les bras de l'un entourant ceux de l'autre. Je l'ai trouvé beau.
Je lui ai dit merci. Et un je t'aime est parti. Seul. Non voulu. C'est vrai que je l'aime. Il est plus qu'un frère. Je n'en ai pas. Plus qu'un père. Le mien n'est jamais là. C'est pas difficile de le remplacer.
Il est plus que tout. Il m'a regardé. Sereinement. Il m'a dit : « Je t'aime aussi, petit con. » Il ne l'avait pas mal pris. Il était toujours là. Pas d'ambiguïté. Il a compris mon message. Tant mieux.
On s'est dérobé. Décacheté. Avec nos érections matinales. On avait l'air de deux homos. Pas nous. Putain. »
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