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Il n’y a aucune lumière dans un endroit comme Sin City ; on n’y trouve que misère, crime, perversion… Pourtant, au milieu de la crasse et des dégénérés, Marv, un ex-taulard massif et instable, a trouvé un ange. Goldie, une déesse qui a offert à ce misérable voyou une nuit de paradis. Et voilà qu’elle meurt, assassinée à ses côtés, sans le moindre indice sur son corps. Pourquoi ? Les flics sont déjà en route – ça sent le traquenard, et cette fois ils ne le laisseront pas vivre. Celui qui a tué Goldie, qui que ce soit… va payer.
À l'école, j'avais un copain. Il s'appelait Chuck. Il était un peu retardé. Y m'regardait assembler les pièces du puzzle et j'adorais c'gars-là parce qu'il était le seul à être assez débile pour me trouver génial.
C'est sombre, torturé, ça parle de maladie mentale, de pauvreté, de violence. C'est du génie au niveau du dessin (Frank Miller est clairement trop fort). Âmes sensibles s'abstenir, même moi qui ai l'estomac accroché y'a des moments chauds. Un scénario simple mais diablement efficace. À lire si vous aimez les comics, c'est une oeuvre importante dans le paysage.
On m'a vanté Sin City pour la qualité du scénario et du dessin. Ce dont je n'avais pas connaissance cependant, et que j'ai decouvert en lisant, est le propos de l'oeuvre. Un criminel qui trouve un sens à son existence en voulant venger le meurtre d'une femme avec qui il vient de passer la meilleure nuit de sa vie. Quel aubaine... L'omniprésence du machisme rétrograde m'a quel que peu dégouté, et je n'ai pas envie d'aller creuser plus loin.
Certainement une meilleure bd pour adulte que j'ai pu lire. Le récit est sombre à souhait, les personnages désaxés et les dessins magnifiques pour le style.
Le premier, et le meilleur ! Celui avec Marvin, sans la moindre concession, même pas les petites touches de couleur qu'on verra apparaître dans les suivants. On dirait un diamant brut, mais quand on y regarde de plus près, c'est finement taillé. Par contre, les arêtes sont bien aiguisées... Entier et cohérent jusqu'à la conclusion. A ne pas mettre entre toutes les mains, c'est sûr, mais c'est très très couillu (sisi) plus que "300", même.
Bon, après avoir déjà lu un tome prêté par un ami, j'ai décidé de lire le premier, et... Bon, soyons franc : j'ai beaucoup beaucoup de mal à lire du Frank Miller. Ses thèmes se répètent tellement et sont à un opposé tel de mes propres convictions que la lecture d'un de ses livres m'est insupportable : c'est macho, c'est réac, ça fait de la femme un être uniquement sensuel et vénal, etc. Et, en quelques sortes, Sin City est le summum de tout ça : le héro se définit lui-même comme macho , hyper violent, ne respectant pas les femmes, et Miller en fait son instrument pour lutter contre la cité des vices (composée comme chacune des villes de Frank Miller : de prostitution et de corruption). Frank Miller fait donc combattre les maux modernes (corruption, sexe facile, pouvoir de l'argent) par des valeurs conservatrices et paternalistes incarnées par le personnage principale. Et ça, je déteste. Le propos est à gerber.
Mais quoi qu'il en soit je suis bien obligé de dire que la technique de Franck Miller qui englobe ce propos est très réussie : les textes sont percutants, lancinants, les dessins en noirs et blanc créent une atmosphère sombre et propice à l'intrigue, et s'il y a quand mêmes quelques problèmes de perspectives j'ai beaucoup aimé le dessin.
Mais c'est justement ça qui me fait rager chez Frank Miller : il est très bon scénariste et penseur graphiste, mais son propos a toujours les mêmes relents de conservateur américain qui font que, tous beaux que soient ses livres, ils finissent toujours avec un goût de cendre dans ma bouche.
Un vrai polar avec l'ambiance du genre, des gueules cassées, des lieux sombres et pas fréquentables, de la violence, de la bagarre...
Il y a la poésie des polars dans la narration, le monologue déabusé du type qui trouve que le pire est de se réveiller chaque matin sans savoir pourquoi, de la tendresse pour les personnages, de la souffrance intérieure, des émotions à vif.
Enfin, il y a un magnifique travail sur les images, dessinées le plus souvent en "négatif", un mur entièrement blanc dont les briques n'apparaissent que dans l'ombre du personnages. Un superbe boulot sur le noir et blanc - qui rend parfois certaines cases un peu confuses à déchiffrer cependant.
J'ai adoré ce premier tome. C'est ultra-violent tout en étant très épuré. De la même façon que les dessins : le noir et blanc, le jeu des ombres et des lumières. Ça crée un univers très sombre et j'aime beaucoup l'ambiance qui s'en dégage. Je suis impressionnée par le boulot qu'il y a derrière. Au niveau de l'histoire, j'ai été captivée. A travers des dialogues souvent très crus et vulgaires, il y a une forme de joliesse très glauque qui m'a séduite. J'ai hâte de découvrir la suite.
Résumé
Il n’y a aucune lumière dans un endroit comme Sin City ; on n’y trouve que misère, crime, perversion… Pourtant, au milieu de la crasse et des dégénérés, Marv, un ex-taulard massif et instable, a trouvé un ange. Goldie, une déesse qui a offert à ce misérable voyou une nuit de paradis. Et voilà qu’elle meurt, assassinée à ses côtés, sans le moindre indice sur son corps. Pourquoi ? Les flics sont déjà en route – ça sent le traquenard, et cette fois ils ne le laisseront pas vivre. Celui qui a tué Goldie, qui que ce soit… va payer.
(Résumé éditeur - Huginn & Muninn)
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