S.I.N., Tome 1 : Last Resort

Oh mon Dieu… par où commencer ? « SIN tome 1 » de K. Bromberg m’a laissé avec un sentiment d’ennui profond et de frustration. Sutton ne devait jamais revoir l’homme séduisant et rebelle avec qui elle a passé une nuit intense sans attaches, mais il s’avère être son nouveau client, Callahan Sharpe, l’héritier milliardaire. Maintenant, elle doit travailler et vivre avec lui dans les îles Vierges pour l’aider à honorer l’héritage de son père, tout en luttant contre leur attraction irrésistible malgré la règle de non-fraternisation. Dès les premières pages, j’ai trouvé l’histoire incroyablement lente et répétitive. Les réflexions internes des personnages étaient omniprésentes, mais malheureusement, elles n’apportaient rien de substantiel à l’intrigue. J’avais l’impression que les pensées des personnages tournaient en rond sans véritable progression. L’un des plus gros problèmes de ce livre est le recours excessif aux flashbacks au début de l’histoire. Beaucoup des informations cruciales sur le passé des personnages, notamment Sutton et Callahan, sont révélées à travers des flashbacks interminables. Cela aurait pu être mieux intégré dans des conversations directes entre les personnages. Au lieu de cela, on se retrouve à naviguer à travers des souvenirs dispersés qui finissent par ralentir le rythme de l’histoire. Je me suis souvent demandé pourquoi ces personnages ne pouvaient pas simplement parler entre eux pour résoudre leurs problèmes. La relation entre Sutton et Callahan, censée être au cœur du roman, m’a semblé superficielle et peu convaincante. Leur histoire d’amour ne m’a jamais vraiment touchée, car elle manquait de moments sincères et significatifs. Ce livre, est truffé de clichés et manque de substance. Les scènes de sexe, souvent mises en avant dans ce genre de roman, étaient correctes mais loin d’être mémorables. Elles n’ont pas réussi à compenser le manque d’investissement émotionnel dans les personnages et leur histoire. Chaque scène semblait traîner en longueur, transformant ce qui aurait dû être une romance passionnante en une série de moments ennuyeux. Les dialogues étaient plats, et les tentatives de créer de la tension ou de l’excitation tombaient à plat. Le plus grand problème de « SIN tome 1 » est son incapacité à susciter un quelconque attachement pour les personnages ou leur sort. Je ne me suis jamais sentie investie dans leur voyage ou leur évolution. À plusieurs reprises, j’ai eu envie de refermer le livre et de passer à autre chose, espérant trouver une histoire plus engageante ailleurs. Je suis consciente que cet avis peut sembler dur, mais il reflète ma déception face à ce roman qui promettait beaucoup et livrait si peu.

Les personnages eux-mêmes ne m’ont pas impressionnée. Sutton est l’héroïne de ce roman, et honnêtement, j’ai eu du mal à m’attacher à elle. C’est une femme intelligente et déterminée, marquée par des traumatismes familiaux et une relation amoureuse passée douloureuse. Dès le début, elle est présentée comme quelqu’un de résolu à ne pas mêler travail et relations personnelles, mais très rapidement, elle se retrouve impliquée dans une relation avec son patron, Callahan. J’ai trouvé son évolution beaucoup trop rapide et superficielle. On dirait qu’elle abandonne ses principes à la première occasion, ce qui rend son personnage incohérent et difficile à apprécier. Alors que pendant tout le livre, elle dit le contraire en s’achetant une conduite. Je n’ai vraiment pas compris son rôle. J’aurais aimé voir une progression plus naturelle et profonde dans sa relation, et surtout, une meilleure exploration de ses traumatismes passés. Sutton, en particulier, m’a semblé terne et dépourvue de traits de caractère intéressants. Ses interactions avec Callahan manquaient de profondeur et de spontanéité. Un autre aspect frustrant de l’histoire est la dynamique entre Sutton et son amie, où elle parle constamment de sexe. Il n’y a aucune profondeur dans leurs échanges. Pour un livre aussi court, on devrait s’attendre à plus de développement des personnages. De plus, la relation avec son ex n’a servi strictement à rien. On pourrait s’attendre à ce que cette relation apporte un certain conflit ou un point culminant dans le récit, mais rien de tout cela n’arrive. Clint reste une figure floue et sans impact réel sur l’intrigue principale. Il y avait tellement de possibilité de développement. Callahan, quant à lui, est décrit comme un homme-enfant paresseux et superficiel, sans qualités rédemptrices. Callahan est censé être le héros masculin du roman, mais je ne l’ai vraiment pas apprécié. Bien qu’il soit souvent décrit comme gentil, j’ai trouvé qu’il était irresponsable et égoïste. Il ne soutient pas ses frères comme il le devrait, ce qui contraste fortement avec l’image de l’homme de famille qu’on attend souvent dans ce genre de romance. Certes, il est charismatique et séduisant, mais ses défauts et son manque de profondeur émotionnelle le rendent peu attachant. Sa relation avec Sutton semble se baser presque exclusivement sur l’attirance physique, ce qui laisse peu de place pour une véritable connexion émotionnelle. En somme, je ne suis pas convaincue par son personnage. Son arc narratif, y compris la révélation de la vraie raison pour laquelle il a acheté la station défaillante, était prévisible et décevant. Sa superficialité m’a laissé de marbre, et je n’ai ressenti aucune empathie pour lui. La dynamique entre Sutton et Callahan est principalement centrée sur l’attirance physique. Leur relation évolue trop rapidement vers une dimension sexuelle, laissant peu de place pour un développement émotionnel et une réelle connexion. Ce manque de profondeur est frustrant et rend leur relation moins crédible et moins engageante.

Des personnages peu attachants et une intrigue superficielle…

C'est un auteure qu' jaime beaucoup dans différentes saga mais la je trouve que c'est vu et revu et l'histoire est beaucoup trop rapide

il s’agit de mon premier K.Bromberg. J’ai les 3 tomes de la série S.I.N dans ma pal depuis qu’ils sont sortis l’année dernière. Influence booksta et booktok bonjour !

Mais j’ai lu le premier tome pendant le mois de janvier et j’ai beaucoup aimé la plume de l’autrice.

Dans 𝑳𝒂𝒔𝒕 𝒓𝒆𝒔𝒐𝒓𝒕, on est sur une workplace romance entre Callahan Sharpe, un milliardaire à la tête de l’entreprise familiale avec ses deux autres frères, et Sutton Pierce, consultante pour Sharpe International Network (S.I.N), récemment séparée d’un ex toxique, elle décide de se recentrée sur elle-même et reprendre confiance.

C’est un roman assez spicy. Les scènes de smut sont plutôt crues. Moi ça ne me dérange pas mais je peux comprendre que ce n’est pas aux goûts de tout le monde.

J’ai adoré la reconstruction de Sutton suite à sa relation toxique avec son ex. Elle se prend en main, elle décide de ce qu’elle veut.

C’est un roman qui m’a fait voyager sous les tropiques et qui m’a libérer l’esprit de tous mes tracas quotidiens.

J’ai hâte de découvrir la suite des aventures des frères Sharpe !

Encore un coup de coeur signé K. Bromberg. Cette autrice est vraiment une des reines de la new romance. L'écriture est de qualité, les personnages hyper attachants, les scènes hot ne tombent pas dans la vulgarité. Bref, j'ai adoré. Le tome 2 est sur ma liste d'envies :)

Quel lecture agréable. Callahan m’a beaucoup touché . Les personnages sont bien écrits ont s attachent à eux . Hâte de connaître la suite avec les autres frères.

Dans l’ensemble j’ai apprécié cette histoire que j’ai trouvée légère et sans prise de tête. Beaucoup de choses convaincantes et d’autre un peu moins.

J’avais beaucoup d’appréhension avec ce livre car K Bromberg m’a faite aimer certains de ses livres et d’autres beaucoup moins donc c’était le livre de la dernière chance en quelque sorte. Mais je dois vous dire que j’ai été convaincue de la plume qui est incroyablement fluide et de la traduction que j’ai trouvé très correct.

Pour ce qui est de l’histoire le monde du travail est bien mis en avant et j’ai apprécié cet aspect là du bouquin. On a aussi le deuil qui est très bien représenté également et j’ai beaucoup aimé ce côté-là.

Pour ce qui est de la romance je l’ai très peu aperçu dû à la trope One bed stand. Mais pour le coup l’évolution est très lente entre nos deux protagonistes. On commence l’histoire sur les chapeaux de roue avec du spicy et qui continue une bonne partie du bouquin. C’est plutôt dommage, car l’histoire aurait pu être encore plus intéressante. Mais malheureusement la profondeur de la relation arrive plutôt tardivement et j’ai commencé à apprécier totalement ma lecture à 80% du livre.

Belle surprise, à la croisée de Bodyguard et Dreamland Billionaires.

Joyeux mois de juillet ! Il fait environ 3000° à l’ombre, il y a des moustiques partout et impossible pour moi de foutre un pied dehors sans virer rouge écrevisse dans la seconde, on est bel et bien en été ! Et quoi de mieux en cette période maudite que de lire des comédies romantiques ensoleillées, à défaut de pouvoir vraiment voyager ?

J’ai vraiment beaucoup aimé ce petit patron employé sous les tropiques, supplément ils se sont déjà rencontrés sur un plan euuuh… astral on va dire pour rester tout public. L’alchimie entre Sutton et Callahan est palpable du début à la fin et j’ai pas mal rigolé par instants.

Il me faut cela dit admettre que la situation initiale, où elle n’est pas sûre que ça soit bien lui qu’elle a rencontré au bar la veille, n’a pas été suffisamment exploitée à mon goût, même si c’était d’une évidence crasse pour nous autres lecteurs.

Mais en dehors de ça, on est bien sur une romance légère d’été au top, qui se lit vite, pas trop prise de tête, avec un mec charismatique au possible et une héroïne qui ne se laisse pas faire.

Si mon staple du genre, ma recommandation ultime en termes de comédie estivale reste Cocky Bastard, de Penelope Ward et Vi Keeland, Last Resort est un petit nouveau bienvenue dans le paysage que je vous recommande fort de lire dans les beaux jours à venir !

Une histoire sympathique qui fait passer un bon moment.

C'est une histoire calme et tranquille, mais elle fait du bien. Le deuil est présent, l'histoire est construite et l'évolution des personnages est très bien et nous les fait adorer. Sutton est vraiment adorable quant à Callahan, il n'est pas aussi dur qu'on le croit.