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- Je reviens dans une heure. Va mettre le DeKappel qu'on a volé à Van Eck dans le coffre. Je pense qu'il est emballé sous mon lit. Et commande - moi un nouveau chapeau.
- S'il te plaît.
Kaz laissa échapper un soupir avant d'entreprendre la douloureuse descente des trois étages. Il tourna la tête vers la jeune fille.
- S'il te plaît, Inej, ma chérie, trésor de mon coeur, pourrais tu me faire la grâce de me commander un nouveau chapeau ?
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)- Je ne pouvais pas vous laisser rencontrer mon père avec l’idée que je vous servirais d’assurance-vie.
- Nina t’a façonné ?
- La nuit où on a quitté Djerholm.
- C’est pour ça que je ne t’ai pas vu de la journée ? Tu n’aidais pas Matthias à s’occuper de Nina. Tu te cachais.
- Je ne me cachais pas, corrigea Wylan.
- Tu… combien de fois t’es venu sur le pont la nuit me retrouver alors que je pensais que c’était Kuwei ?
- Chaque fois.
- Nina va peut-être pas pouvoir te rendre ton visage d’avant, tu sais ? Pas sans une dose de parem. Tu vas peut-être rester toute ta vie comme ça.
- Et alors ?
- Je ne sais pas ! se fâcha Jesper. Peut-être qu’elle me plaisait, ta stupide bouille… ?
Il se tourna vers Matthias.
- Tu savais. Wylan savait. Inej savait. Tout le monde sauf moi.
- Demande-moi pourquoi, Jesper, lança Kaz, à bout de patience.
Afficher en entier— Tu connais la clé pour gagner au jeu, Helvar ?
Kaz posa sa bonne jambe sur la crosse du fusil par terre. L’arme se souleva. Kaz la pointa sur Matthias en une fraction de seconde. Il n’avait jamais été en danger.
— La TRICHE. Allez, perdons plus de temps. Enfilons ces uniformes, on a une fête qui nous attend.
— Un jour, tu viendras à bout de tes tours.
— Prie que ce soit pas aujourd’hui, alors
Afficher en entier- Trente millions de kruge, conclut Kaz.
- Nous avions dit vingt ! s'offusqua Van Eck.
- Vous aviez dit vingt. Il m'a paru évident que vous étiez désespéré, déclara Kaz en jetant un coup d'oeil ostensible vers le hangar, où des dizaines d'hommes attendaient simplement de mourir. Maintenant, je comprends pourquoi.
(...)
- (...) Nos espoirs reposent sur vous, monsieur Brekker. SI vous échouez, le monde entier en souffrira.
- Oh, pire que ça, Van Eck. Si j'échoue, je serai pas payé.
Afficher en entier« La supercherie n'est pas ma langue maternelle, mais je pourrais rapidement apprendre à la parler. »
- Matthias, p.426
Afficher en entier« Celui qui est pas né avec tous les privilèges apprends à saisir les opportunités. »
- Jesper, p.249
Afficher en entier"Kaz frappa de sa canne le poignet de Geels qui se fractura dans un craquement d'os. Le pistolet rebondit sur les pavés.
-J'avais baissé mon arme! grogna Geels. Je l'avais baissée!
-Tu diriges encore une fois un pistolet vers moi et faudra que t'emploie quelqu'un pour t'aider à pisser.
[...]
-Y a quelque chose qui tourne pas rond chez toi, Brekker, siffla Geels. [...]
Kaz se lissa le revers avec sa main gantée.
-Je suis le genre de connard qu'on fabrique seulement dans le Barrel."
Afficher en entier"Peu importe la taille du fusil, s'il ne sait pas où viser."
Afficher en entierImpossible de distinguer le verre de la glace ou de la pierre.
- Si ce n'est pas du travail de fabrikator, alors je suis la reine des lutins de la forêt, grommela Nina en kerch.
Afficher en entier« — Qu’est-ce que tu veux ?
— Ferme les yeux !
— Tu peux pas m’embrasser d’où tu es, Wylan.
— Fais ce que je te dis !
— Ça a intérêt à valoir le détour ! »
Extrait de Six of Crows
Leigh Bardugo
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