Commentaires de livres faits par Skritt
Extraits de livres par Skritt
Commentaires de livres appréciés par Skritt
Extraits de livres appréciés par Skritt
En somme, un deuxième album qui ne fait pas décoller cette série originale sur la vie d’un chaton.
Le récit est assez linéaire, très basique, sans beaucoup de rebondissements mais le public devrait être malgré tout conquis par ce genre de lecture dans laquelle se mêle féérie, magie, et contemporain, avec des jeunes filles qui aiment la musique, les réseaux sociaux… En revanche, le graphisme est très moyen, les décors sont pour ainsi dire inexistants et les personnages manquent de relief. C’est réalisé assez rapidement et seules les couleurs douces rattrapent le tout.
C’est donc sur un bilan moyen que se termine ce deuxième album. Heureusement qu’un peu de culture termine cette bande dessinée.
Le récit est simple et nous nous retrouvons au niveau d’un chaton qui découvre un nouvel environnement. C’est léger avec de l’humour et l’auteur arrive finalement à nous amuser, à nous donner envie de découvrir un peu plus. Cette bande dessinée est une réelle réussite et surtout une grosse surprise vraiment agréable. Je ne me ferais peut-être pas tous les Chi, mais franchement, c’est un manga surprenant.
Assez fourni sans non plus devenir une encyclopédie imbuvable, ce supplément propose vraiment à tout un chacun ce qu’il est en droit d’espérer jouer dans cet univers complet et passionnant. Tout y passe, avec les différents peuples, les femmes, la religion, les divertissements à l’époque, la magie. Plus que de simples règles, c’est un recueil d’informations très complet qui sera parfaitement assimilable par des passionnés de l’univers de Pendragon. On appréciera les quelques illustrations en noir et blanc, même si aujourd’hui nous avons droit à de magnifiques couleurs. Il aurait apprécié en revanche un scénario ou deux pour mettre en pratique et pour permettre à un meneur de mettre en place quelques parties sans trop se fatiguer, mais bon…
Un très bon supplément, presque inséparable du livre des règles et qui devrait plaire aux passionnés.
Enfin, une bande dessinée intéressante, légère et hilarante à la fois, tellement proche de la réalité sans trop accentuer les clichés.
L’histoire est assez linéaire et les personnages apparaissent au fur et à mesure et se retrouvent contraints de combattre ensemble contre un ennemi puissant mettant en péril notre planète. Bien sûr, tout n’est pas facile et des dissensions animent ce nouveau groupe.
Le graphisme est très bien réalisé avec un petit bémol pour les couleurs sur certaines pages. Mais dans l’ensemble, les scènes très cinématiques sont réalistes donnent du rythme à l’histoire.
Un premier épisode intéressant qui fera découvrir un groupe de super-héros avec un accent mis sur certains plus que d’autres.
Un récit loin d’être fantastique pour Stephen King, loin des sentiers battus, avec lequel nous avons le sentiment que sa principale difficulté est la maîtrise du style. Pour se dédouaner, il nous explique même dans une sorte de post-face son incapacité à produire un roman digne de ce nom. Le récit manque de rebondissements frappants et surtout d’un dénouement. Le style est fluide, certes, et le roman, assez court, se lit rapidement, mais l’histoire est simple, linéaire et manque réellement de profondeur. En revanche, l’atout de ce court roman sont les personnages, et plus particulièrement les deux journalistes Dave et Vince. Deux personnages atypiques qui se connaissent depuis tellement longtemps qu’ils n’ont plus besoin de parler pour communiquer entre eux.
Un roman qui se collectionne pour amateur de Stephen King, mais comme à son habitude de la part de cet auteur, me déçoit énormément.
Le récit est assez basique et linéaire avec beaucoup de clichés sur les mafieux, les marseillais, mais c’est un peu l’essence de cette bande dessinée : rire des clichés dans un univers contemporain, c’est un peu l’enquêteur du dimanche.
Le graphisme, très adapté au genre, est bien réalisé, mais sans non plus être fantastique. Rappelons que cette album date des années 90, donc forcément, rien à voir avec aujourd’hui.
Le récit est sans beaucoup de rebondissements et surtout très annoncé, sans beaucoup de suspense, et au dénouement simple et efficace. Un album mitigé très simple, tant au niveau du scénario que graphiquement, qui plaira difficilement aux moins jeunes.
Le récit est généreux, car l’auteur apprécie les pages sans texte, faites uniquement de gros plans, pour rendre des scènes cinématiques. Heureusement que ce premier tome est généreux, car la sensation de survoler est présente, trop certainement. Le graphisme est bien réalisé, tout en noir et blanc, mais les première planches en couleur donnent envie de se lire ce premier tome tout en couleur, car il faut l’avouer, le choix d’un univers sombre donne beaucoup de profondeur à ces premières planches très réussies.
Ce manga et l’auteur s’en vante, est réalisé à l’occidentale, rien de bien transcendant, on lisait Tintin et Astérix déjà comme ça il y a bien longtemps, mais faut croire que pour lui, c’est exceptionnel.
Bon, dans l’ensemble, mon avis reste mitigé, j’aime bien le graphisme mais l’histoire est molle, ça manque de carburant et dommage pour la couleur.
Le style quant à lui est simple, très fluide, ce qui donne l’avantage de vite lire ce livre très moyen. Un deuxième épisode mitigé, on sent que la saga des Royaumes Oubliés commence à s’épuiser et ce n’est que le douzième numéros de la série, c’est grave-grave.
L’univers est assez original et le récit semble bien construit, mais, l’humour trop présent gâche énormément le plaisir de la lecture. Bien que ce genre de bande dessinée soit certainement destinée à un public adolescent, c’est parfois les prendre un peu trop pour des demeurés tellement l’humour lourd et le dessin qui va avec est présent à presque chaque page. Le graphisme quant à lui est assez bien réalisé sauf pendant les pétages de plomb de l’auteur. Je n’ai pas accroché à la série et je m’y arrêterais dès le premier tome.
Dernier tome de la saga des Tigres Volants et certainement l’un des plus haletants tant l’action est omniprésente de bout en bout de cet album. Le sauvetage de la famille qui échoue puis le sauvetage des prisonniers… font de ce récit un dénouement des plus héroïques que Buck Danny nous a proposé jusqu’à maintenant. Un très bon album dont le graphisme participe grandement avec la réalisation des scènes d’actions très cinématiques, fluides et pleines de mouvements. Le choix des couleurs peut ne pas plaire mais l’époque voulait ce genre de mélange.
Un album très très bon qui clôt le triptyque des Tigres Volants d’une manière très remarquable.
Le récit est bien construit et nous présente la famille mais surtout le personnage de Benjamin Malaussène que Daniel Pennac a inventé et donné vie dans les années 80. L’enquête semble partir dans tous les sens et Benjamin quant à lui vit une vie sans pause entre histoires à raconter le soir au bord du lit, un chien paralysé et un chef qui l’accable de tous les maux, ce roman est tout simplement virevoltant.
Un style fluide qui donne au récit une dimension vivante et réelle aux personnages, nombreux qui tournoient autour de ce Benjamin. Attachant, Benjamin semble vivre nonchalamment mais la réalité le rattrape chaque jour et le promène ou plutôt le propulse d’un coin vers un autre à une vitesse vertigineuse.
Un très bon roman qui détonne et ouvre les portes à une saga familiale tonitruante.
Ce scénario devrait se caler parfaitement avant la campagne de l’ennemi intérieur, mais vous aurez ensuite des personnages trop puissants pour la campagne. En revanche, permettre à des personnages de s’initier ici puis de partir sur des scénarios plus durs serait parfait.
Très épique, un poil trop linéaire hors des combats, un peu de role-playing est malgré tout nécessaire même pendant les confrontations pour donner du piment à ce gros scénario.
Petit bémol sur les illustrations qui sont franchement du vu et revu dans la gamme Warhammer.
En somme, bon scénario qui donnera certainement des parties mémorables dans des combats dans lesquels vos personnages se démarqueront par des actes de bravoure. Le système de combat de Warhammer est malgré tout mis à rude épreuve et devrait voir quelques règles maison naitre pendant vos séances de Warhammer.
On apprécie les quelques ajouts aux règles comme la carrière de moine qui peut donner des idées à des joueurs. Bref, bon supplément dans son contenu mais dont la forme est bâclée.
Le récit démarre sur un mutilé de la guerre, une gueule cassée en 1919. Qui est-ce ? Puis rapidement nous revenons en 1914, au temps de l’insouciance pour faire la connaissance d’un groupe d’amis attachants pour que dès le premier village traversé rencontre la mort. L’histoire nous immerge très rapidement dans cette période joyeuse puis nous rencontrons comme ces soldats la peur, sur leur visage, la bêtise des gradés, la violence des balles qui sifflent, fauchent, tuent.
Le graphisme ajoute bien sûr à l’intensité du moment une dimension tragique. Les personnages sont particulièrement bien réussis et les décors sont très réalistes.
Dans l’ensemble, l’album est d’un très bon niveau, le travail réalisé est remarquable et l’hommage rendu est honorable. Un très bon premier album pour une série qui s’annonce belle et tragique à la fois.
Point culminant de cette saga des Tigres Volants, les auteurs proposent ici un des meilleurs récits de la série complète. Le graphisme est toujours aussi réussi avec des scènes de combats toujours aussi bien réalisées. Un deuxième tome d’une trilogie vraiment intéressante à lire.
Nous retrouvons Sonny, Tumbler et bien sûr Buck Danny, qui après une première scène de sauvetage se retrouvent dans une recherche fiévreuse d’une base cachée sur une île. Sonny est un personnage qui permet d’ajouter une pointe d’humour au sérieux de la situation. La recherche est passionnante et les scènes dans les airs sont époustouflantes. Cet épisode met les bouchées doubles pour satisfaire le lecteur avide de combat aérien.
Le graphisme un peu vieillot est malgré tout très bien réalisé. Et après avoir lu quelques Buck Danny, il serait peut-être judicieux de retravailler les couleurs pour nous proposer ces histoires avec des couleurs plus contemporaines.
Dans l’ensemble c’est un album très intéressant et bien au-dessus de la moyenne, qui entame une nouvelle saga qui promet d’être héroïque.
Le style d’écriture assez fluide permet au lecteur de rester accrocher à une quête très linéaire dans laquelle les héros sont menés d’un côté à l’autre sans vraiment avoir leur mot à dire. Le récit est malheureusement assez pauvre et ne retranscrit pas comme d’habitude dans cette série la richesse de l’univers créé. Les scènes d’action sont assez bien décrites et mettent un peu de piment, mais les autres séquences dont certaines à l’eau de rose, sont réellement de trop dans ce genre de roman.
Un premier tome très moyen, poussif même, qui ne présage pas d’une trilogie passionnante.
Le graphisme est quant à lui assez fidèle et surtout toujours aussi cinématique avec une grande maîtrise des personnages, des expressions aux mouvements. Encore un très bon album qui plaira aussi bien aux jeunes qu’aux plus anciens.
Un album intéressant, qui installe les prochains albums dans lesquels nous présumons un nouveau départ, des conflits aussi bien avec l’extérieur qu’à l’intérieur du groupe de Rick.
Un thriller psychologique écrit avec un style très fluide, trouvant le juste milieu entre l’émotion, le descriptif et l’histoire, une sorte d’enquête dans le drame qui se lie chez les Vasseur.
Le récit prend le temps de s’installer, de présenter les personnages, de s’immiscer lentement dans leur vie, leurs craintes, leurs peurs, jusqu’à découvrir la face cachée du monstre.
Un récit un peu lent et manquant finalement de rebondissements et de surprises, un dénouement qui déçoit, peut-être un peu bâclé, trop facile. C’est dommage. Maitriser le thriller psychologique est difficile et l’auteur se situe au-dessus de la moyenne sans non plus y exceller. Cela reste un moment de lecture agréable pour un roman qui se lit très facilement.
Le récit est très bien construit, et nous nous retrouvons mêlés entre la dictature d’un petit état, les USA qui frôle la catastrophe politique internationale et l’URSS qui a distance semble influencer et se rétracter. L’histoire très intéressante s’agrémente de passages héroïques dans lesquels Buck, Tumb et Sonny démontrent avec un immense talent leur pilotage.
Le graphisme est toujours aussi cinématique, avec des scènes d’actions impressionnantes de réalisme, surtout pour l’époque à laquelle a été réalisée l’album.
Un très bon album en somme, qui ravira les habitués de la saga mais aussi les autres qui aiment l’aviation, et les classiques un peu plus sérieux.
Le graphisme est bien réalisé avec des visages surprenants de réalisme, et aux expressions travaillées, complètes et diverses. Cet album est une sacré réussite et fait de ce diptyque une superbe aventure à découvrir, à lire et à relire.