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Commentaires de livres faits par Skritt

Extraits de livres par Skritt

Commentaires de livres appréciés par Skritt

Extraits de livres appréciés par Skritt

Si vous connaissez Dad, cette bande dessinée ne sera pas une surprise. Le père seul qui vit avec ses quatre filles, c’est une mine d’or pour trouver et mettre en scène des situations du quotidien agrémentées de pointe d’humour. On en rigole, mais on ne se moque pas.

Mais si vous ne connaissez pas, alors faites vous plaisir. Vous retrouverez forcément des moments déjà vécus dans ses pages et vous en rigolerez.

Ce genre de bande dessinée c’est sympa, vous riez sur chaque page, mais faut reconnaître que c’est pas non plus transcendant. Bien réalisé avec un graphisme très accessible, une bande dessinée à mettre dans les mains de tous les papas presque parfaits.
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date : 03-08-2019
Tout d’abord, merci à l’auteur pour m’avoir envoyé un exemplaire de son nouveau roman.

Le roman est un thriller qui se déroule à Paris. Un quadragénaire, avocat, en mal de sensations, qui s’ennuie auprès de sa femme, cherche l’excitation auprès de femmes mariées. Mais lors d’une rencontre il se retrouve dans un traquenard. Il est accusé d’un meurtre, tout semble l’accuser, mais lui seul sait qu’il est innocent.

Le récit est construit sur la même base qu’un roman Harlequin, Harlequin le champion de l’amour. Les clichés se succèdent les uns après les autres et parfois sont affligeants. Croisez la secrétaire de l’avocat et vous comprendrez. Blonde, pulpeuse, efficace, intelligente mais pas trop, presque un peu cruche, et au cœur d’artichaut.

L’histoire est assez linéaire, le personnage est agaçant, toujours à se justifier de ses actes. Il va faire cocu sa femme, il faut assumer, et pas se trouver des excuses.

Je suis resté sur une impression d’un roman très misogyne, abrutissant de niaiseries. Je n’ai pas aimé, mais pas du tout.
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Dans ce nouvel épisode des annales du Disque-Monde, oui pour les retardataires, le Disque-Monde est une monde plat porté à dos d’éléphant eux-mêmes sur une tortue géante qui navigue dans l’espace. Et au bout du monde, où se jettent les océans, eh bien, c’est le vide.

C’est Mortimer, ou Morty pour les intimes, qui est le héros de ce roman. Morty est un jeune villageois qui a toutes les difficultés du monde à marcher droit, à se faire remarquer, à être dans ce monde tout simplement. Et au forum de l’emploi, ce rien de moins que la Mort en personne qui vient le prendre comme apprenti. Et voilà Morty qui apprend à faire la Mort, avec tout ce qu’il faut, le cheval, la faux et le patatra général.

Le roman est une perle en lui-même, bourré d’humour, chaque page vous fera esclaffer devant la justesse des situations comiques, un peu lorsque vous regardez un bon film et que vous vous fendez la poire du début à la fin. Et là, c’est Morty qui sera le centre de votre attention de lecteur, attendant avec impatience quelle bourde va t-il faire ou comment va t-il se sortir de la dernière.

Pratchett est un maître dans cet art et ce roman en est la preuve. Le rôle de la Mort est particulièrement bien travaillé, on pourrait même penser à la théâtraliser tellement c’est juste parfait.

Le récit commence et se finit presque d’un seul trait. Si vous avez commencé par le premier tome, vous aurez même la chance de croiser des personnages et de découvrir ce qu’ils sont devenus quelques tomes plus tard.

J’ai aimé, j’ai adoré, vivement le prochain.
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date : 28-07-2019
Ce livre est un recueil de quatre nouvelles dédiées au don du sang. Ecrites par des ténors des best-sellers, ces nouvelles se veulent pour les trois premières convaincantes, afin de pousser les récalcitrants au don à aller donner. Et en toute honnêteté, des nouvelles mielleuses, au petit goût acidulé de bonbon, des nouvelles pleine de chantilly, saupoudrées de sucre rose. Vous l’aurez compris, c’est gnan-gnan. Et pas convaincant pour un sou. Dommage, l’intention est vraiment bonne. Mais la dernière nouvelle est différente, joue sur le registre de l’humour et même si l’auteur n’a eu que quelques pages pour s’exprimer, c’est intéressant. Il manque un peu de travail, ça sent l’écriture sur le coin d’une table de brasserie avec le stylo dans un main, et le rouge dans l’autre, mais l’idée est là.
Un ensemble d’un niveau exécrable, décevant.
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Cette adaptation du roman de Stephen King est un sacré challenge. Le Fléau est une histoire compliquée et longue. Le défi pour cette bande dessinée est de proposer la même intensité que le roman. Le récit de ce premier album doit donc installer le récit et les personnages.

Les auteurs ont essayé de coller le plus au récit originel pour nous faire découvrir d’une manière différente, graphique, ce classique de la catastrophe, qui décime l’humanité toute entière.

Et pour ma part, je trouve que c’est assez réussi. Le récit est bien travaillé pour vraiment suivre cette ligne directrice qui stresse les lecteurs. En revanche, c’est au niveau du graphisme que j’ai moins aimé, les coups de crayon sont trop précis, les couleurs trop aseptisés, c’est trop parfait. J’aurais voulu lire une bande dessinée plus sombre, aux graphismes tranchées, incisifs, avec des personnages aux traits plus réalistes.

Je vais continuer cette saga, mais pour l’histoire, avec l’espoir que le virus s’éteigne et le graphisme explose les yeux.
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date : 20-07-2019
Cette bande dessinée traite d’un personnage atypique, un des plus grands escrocs de son époque dans l’une dans plus grandes capitales européennes. Militelli use des malheurs, du désespoir, de la bêtise des gens pour s’installer dans un lieu, se faire loger, voler les biens tout en restant dans la légalité. Un beau parleur qui prétend parler aux êtres chers disparus, pourvoyeurs de médicaments miracles.

Les auteurs traite de ce personnage en y ajoutant une dimensions surnaturelle, fantastique, mais malgré tout, le récit n’arrive vraiment jamais à décoller. L’histoire est comme un soufflé qui monte à chaque fois mais qui systématiquement retombe à chaque fois. C’est assez décevant.

Le graphisme n’est pas particulièrement intéressant. Et je le trouve sans beaucoup de détails, c’est dommage car le dessin aurait pu faire de cette bande dessinée une bonne histoire, mais le dessin ni les couleurs n’auront arranger le récit.

Un ensemble très décevant.
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Voici l’adaptation du premier roman de David Khara, les Vestiges de l’Aube, qui met en scène un vampire en mal de sociabilisation et qui se rapproche d’un flic new-yorkais pour l’aider dans ses enquêtes. Le roman est intéressant et original. Mais je n’ai pas retrouvé dans ce premier opus l’attachement que l’on peut avoir avec les personnages qui sont survolés dans cette bande dessinée. Les auteurs ne sont pas arrivés à retrouver l’âme de ce premier roman.

Même le récit n’est pas à la hauteur du roman. Enfin, pour ne pas être dans un avis mitigé, le graphisme n’est pas non plus à la hauteur. Les personnages manquent aussi de profondeur, d’expression.

Vous l’aurez compris, cet album est une grosse déception à tous les niveau, alors que le casting était au départ plutôt bon avec Le Tendre et Khara mais la sauce n’aura pas pris.
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Etats-Unis, la conquête de l’ouest, le chemin de fer. Quel lien avec le double meurtre de la femme et la fille de Montgomery. Un homme presque sans histoire, se trouve mêlé dans un double homicide. Mais un indice est laissé sur le corps meurtri de sa fille, une étoile, un dessin indien. Il part alors dans l’Arizona pour enquêter loin de la civilisation, où travaillent des ouvriers violents, dans une ville où des filles indiennes sont réduites en esclavage et dans laquelle un certain Cauldray mène tout ce petit monde au bout de son revolver.

Le récit étalé sur plusieurs albums permet de réaliser un histoire fournie, complexe, avec des rebondissements et des révélations importantes, intéressantes. L’histoire est passionnante, avec des personnages attachants, et surtout complexes. Cet homme qui recherche les causes du massacre de sa famille, lié malgré lui à la cause indienne.

L’album, un intégral de la saga, permet de s’immiscer dans cet univers violent, un far-west comme rarement on peut en lire, où un citadin se confronte à la bêtise crasse des ouvriers du chemin de fer.

Le graphisme est important dans cet album qui installe une ambiance poussiéreuse, avec des moments sombres, qui appuie le récit avec justesse. Les personnages sont magnifiquement bien travaillés ainsi que les postures.

Cette saga est très réussie et se lit avec un réel plaisir, particulièrement pour l’ambiance.
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Ce livre, énorme, est un peu le synonyme de l’oeuvre de l’auteur. Dédié à la nature, nous découvrons pas de magnifiques prises de vue les ravages que provoque l’activité de l’homme. Plusieurs thèmes sont abordés avec à l’appui des statistiques, de chiffres qui font peur.

Un magnifique ouvrage fourni de quantités de photographies. La Terre est magnifique et l’homme la détruit. Alors voilà, nous nous imaginons peut-être prendre conscience en ayant ce livre de faire quelque chose le temps que nous le lisons. Mais il n’en est rien, nos habitudes même les plus anodines sont à changer, comme celui d’utiliser des téléphones portables et de l’utiliser pour aller sur internet, les réseaux sociaux, ça pollue et pas qu’un peu.

Mais hormis les espèces vivantes qui nous sont contemporaines sont menées à disparaître avec nous, n’oublions pas que la Terre n’est qu’à la moitié de sa vie et que nous ne sommes qu’une goutte d’eau sur l’échelle de temps de notre chère Terre. L’homme n’est là depuis, quoi, un million d’années, alors que les dinosaures sont restés des centaines de millions d’années. Et la Terre, à chaque catastrophe, s’en est remise, à recréer la vie. Donc, dans un ou deux millions d’années, nos traces auront quasiment disparu, la Terre aura recommencer son travail et de nouvelles vies seront là pour prendre notre relève et s’épanouir.

Il n’en reste pas moins que le livre est magnifique.
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date : 30-06-2019
Dans un futur lointain, très très lointain, l’homme a colonisé l’espace, se déplace à la vitesse subluminique, mais ne se bat à coup de sabre laser. Nous sommes dans un space opera comme Star Wars, sans les batailles de vaisseaux spatiaux.

Sur une planète éloignée, presque aux confins de l’espace, pousse une plante exceptionnelle, capable de tout, la Fleur de Dieu. Sa formule est analysée, puis volée, dans le même temps, un enfant ingurgite l’une de ses plantes et semble être pourvu de pouvoirs « divins ». Qui a volé la formule, que peut faire l’Empereur contre le coup d’état que tout le monde semble sentir venir, mais sans pouvoir faire quelque chose. Qui est cet enfant, que veut-il.

Le roman démarre difficilement. L’auteur pour s’imprégner d’un univers totalement différent utilise des termes difficile à retenir malgré son petit dictionnaire à la fin du roman. Mais après quelques dizaines de pages avec des quantités de nouveaux mots, le reste du roman est beaucoup plus léger sur ce point et rentre plus dans le récit. C’est assez notable pour ressentir vraiment cette différence entre le placement du décor puis l’histoire qui débute.

Il y a une multitude de personnages sans que vraiment une bande de héros en ressortent. Il est donc difficile de s’attacher à l’un ou l’autre. J’ai malgré tout apprécié le seigneur de la guerre qui est en avance d’un coup à chaque fois et dont l’intelligence qui ressort du lot le fait apprécier.

Un premier tome un peu poussif, fourni, mais qui se termine sur un dénouement étonnant que le second tome, espérons le saura sortir la saga du lot des romans habituels de space opera.
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Voici le supplément consacré aux Vampires dans l’univers de Warhammer. Alors qu’il n’y a pas de vrais suppléments sur les peaux vertes et les hommes bêtes qui sont les principaux ennemis des personnages, nous avons un supplément complet sur les vampires. Alors voyons voir.

Le livre est suffisamment généreux et présente le vampire dans Warhammer de sa naissance jusqu’à aujourd’hui. L’histoire du vampire est complexe mais bien expliquée, les différentes familles sont détaillées, les pouvoirs et quelques carrières aussi, mais ce intéresse c’est aussi la partie dominée par les vampires dans l’Empire, la Sylvanie.

Le background est costaud, mais l’utilité l’est moins. Quel intérêt de jouer des vampires dans Warhammer : aucun. Quel intérêt de jouer une campagne contre des vampires dans Warhammer, sauf pour se faire une boucherie de personnages : aucun.

A utiliser pour ce faire de temps en temps un gros scénario avec comme boss final un vampire mais à utiliser avec parcimonie. L’abus de vampires nuit à la santé.

Je ne trouve pas finalement très utile ce supplément. En tant que MJ ou joueur, la lecture des romans suffisent à découvrir le background chargé. Un supplément qui va vite dormir dans la bibliothèque et qu’on réveillera peut-être dans un siècle ou deux.
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date : 23-06-2019
Paru la première fois en 1979, les auteurs nous présentent un concept futuriste, visionnaire, mêlé d’ésotérisme, de religion. Dans un futur lointain, les guerres sont menés par des androïdes. Suite à un pacte de paix signé, les commanditaires ont l’obligation de déconnecter définitivement les androïdes concernés par le conflit. Mais ils retrouvent le premier, celui qui était parfait. Son concepteur, vieux, a trouvé comment au moment de sa mort de se ressusciter, dans son androïde.

Une question se pose, devons nous laisser la vie dans un androïde alors qu’il ne doit être qu’une machine aux ordres des hommes, peut-il avoir une conscience, apprendre…

Une bande dessinée comme Bilal a l’habitude de proposer, dans laquelle la réflexion sur l’avenir, la technologie qui se mêle à l’homme, prend son contrôle.

Graphiquement, c’est simple mais efficace, pourvu de cases assez grosses, les auteurs arrivent de manière succincte textuellement à faire passer le message.

Une bonne dessinée très intéressante, dont l’apport philosophie reste à mon sens important.
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date : 15-06-2019
Dix personnes sont invités dans une demeure en pleine mer, sur un île, l’île du Nègre. Mais leur hôte est absent et rapidement une première victime meurt dans d’étranges circonstances.

Et comment le meurtrier, introuvable, arrive à respecter une comptine pour se débarrasser de ces gens.

Le roman est assez court, d’une écriture très fluide, idéal pour une lecture d’adolescent, mais de là à en faire le meilleur polar de tous les temps, il y a un écart. Certes c’est bien écrit, et l’intrigue est prenante, mais vous n’avez pas le temps de vous attacher aux personnages qui sont des stéréotypes chacun dans leur genre.

De plus, concernant la manière dont les meurtres sont perpétrés est assez simple à découvrir et rapidement par déduction vous hésitez entre deux personnages.

En somme, je suis assez déçu par ce roman qui se veut être un classique, tellement facile, simple, sans l’espoir d’un dénouement qui vous mettra par terre. Dommage…
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date : 10-06-2019
Voici un comics dont les héros sont les aliens. Les monstres des films d’horreur dont la saga débuta dans les années 80 sont dans ce premier album à l’honneur. Dans les confins de l’espace, un vaisseau spatial intercepte un autre vaisseau qui a tout l’air d’être abandonné. Mais à l’intérieur l’équipage y découvre trois personnes cryogénisées.

L’atout de cette série comme l’auteur nous l’explique est qu’elle peut être lue dans le désordre, chaque histoire étant indépendante des autres, mais toutes ayant un lien malgré tout avec les autres. Nous voici avec un récit assez basique, assez fidèle même au film dans lequel un vaisseau transportant le monstre est découvert. C’est assez simple mais c’est super efficace. Il y a en réalité pas d’histoire avec des rebondissements et nous n’avons pas trop le temps de s’attacher aux personnages. Le récit est carré, presque sans surprise. Et même, dès le début, le vaisseau abandonné, la récupération de l’ancien équipage, nous destine immédiatement dans un huis clos meurtrier dans lequel le grand gagnant est l’alien.

Le graphisme est fidèle aux comics. Rapide, dans l’action, sans fioriture, sans trop de détails souvent, toujours de l’action. Cela se prête bien au style, mais j’aurais préféré un peu plus de travail malgré tout pour au moins faire une série de grande qualité, mais ce n’est pas l’objectif finalement.

Nous sommes dans un comics typiquement, avec ses qualités et ses défauts, mais surtout avec l’envie de faire découvrir une vision de la saga Aliens grâce à ce premier album.
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Le récit commence sur la prise de Vitry et le massacre des civils par l’Armée du Roi. Mais ce jeune Roi de France arrivé sur le trône quelques années plus tôt en est arrivé là. Son accession au pouvoir, son mariage avec Aliénor d’Aquitaine, tout est est imbriqué dans les manipulations intelligentes de son épouse qui n’a qu’un seul objectif, régner sans partage.

L’histoire est assez bien réalisé, nous sommes rapidement pris dans les différents stratagèmes que met en place cette reine sanguinaire et qui n’hésite pas à utiliser de tous les atouts pour arriver à ses fins.

Un récit très intéressant qui donne envie de continuer sur le prochain tome.

Le graphisme est tout aussi réussi. La couverture est attrayante et présente un personnage imposant, non pas grâce à son physique mais par sa prestance Les personnages sont assez bien réussis ainsi que les expressions des visages très réalistes. Les décors sont bien réalisés avec beaucoup de détails sans malgré tout faire brouillon. L’album est dans son ensemble très réussi, très intéressant, et nous propose une tranche de l’Histoire de France sous les couleurs et les illustrations d’une bande dessinée bien réalisée.
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Dans cet album les semi-elfes sont sur le devant de la scène. Résultat de viols ou d’un amour interdit, ces êtres considérés comme des bâtards, ils sont rejetés par les humains comme par les elfes. Mais un jour, un meneur les réunit tous pour fonder une nation.

Ce n’est franchement pas le meilleur des albums et le fait de traiter d’une minorité dans les premiers albums de cette saga me paraît un peu prématuré alors qu’il y a quantité de choses qu’il est possible d’aborder sur cette race fantastique que sont les elfes.

Le récit ne m’a pas emballé, j’ai même été un peu déçu par cette approche qui se veut différente. Le graphisme m’a même paru un peu léger, les scènes d’actions comme les batailles semblent bâclées. Bref, cet album est une grosse déception.
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date : 01-06-2019
Risque Zéro est un roman dans le même genre que la série Black Mirror. Je m’explique. Dans un futur proche, une société du nom de Providence propose à ses adhérents une puce sous-cutanée qui permet de relever tous les indicateurs nécessaires pour vous conseiller et vous pousser à systématiquement être dans une santé optimale. Mais l’épouse d’un des concepteurs travaille toujours dans un hôpital à l’ancienne avec des patients n’ayant pas les moyens de s’équiper de ce service. Mais une patiente équipée meurt dans l’hôpital. Le roman traite alors la différence de traitement entre les patients, le risque limité pour les patients, mais aussi pour les docteurs et chirurgiens qui ne se fient qu’à des chiffres et non à l’intuition, qui perdent ce rapport humain au bénéfice de données « fiables ».

Je ne classerai pas ce roman dans les polars mais plutôt dans un thriller dans lequel un couple aux idées assez opposées se trouvent au centre d’un scandale. Le choix cornélien s’impose de lui-même, qui doit-on favoriser : le mari et la technologie, la femme et la relation sociale, humaine avec les patients. Avec des personnages un peu caricaturaux dans leur mode de pensée, on suit l’histoire avec une envie toujours renouvelée pour découvrir comment dans le chapitre suivant le problème posé sera résolu. Ce mélange de nouvelles technologiques de philosophie de la vie est une approche assez réussie de l’auteur qui pose ici les jalons pour se poser les bonnes questions de l’avenir qui nous attend, de celui que nous voulons et de celui que nous aurons.

C’est dans l’ensemble un roman intéressant et l’auteur aurait pu approfondir certains thèmes abordés, avec un travail plus profond sur les personnages, le roman serait devenu un très bon roman de thriller visionnaire.
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Avant de commencer, je remercie l’auteur pour cet envoi dédicacé.

Les romances, ce n’est pas mon truc. J’adhère pas, et donc mon avis sera peut-être différent d’une personne qui a l’habitude de lire ce genre de romans. L’histoire est assez simple. Un homme vend ses services à des femmes ou des hommes, et s’aperçoit après quelques années qu’il eut avoir des sentiments. La femme qui lui a procuré des gargouillis dans le ventre, ce n’autre que sa patronne. Mais ce n’est pas simple de concilier le travail, l’amour, les sentiments et les révélations qui arrivent plus tard.

Bien que le style est assez fluide, même agréable à lire, le récit quant à lui est truffés de clichés, de bons sentiments mielleux, sirupeux. Je pensais en le commençant que l’originalité serait d’arriver à écrire un roman de ce type sans scène érotique, mais non, on y a droit. Voilà, je vous l’avais dit, je ne suis pas le meilleur conseil dans ce genre de lecture.
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Ce sixième tome est le dernier du cycle. Les Druides vont chercher des réponses de l’autre côté de l’atlantique. Cet album est une succession de rebondissements et de retournements. Il y a des révélations importantes qui éclairent d’une lumière crue les premiers albums et finalement se termine plutôt comme les lecteurs l’espèrent, en corrigeant les méchants de l’histoire. Autant le récit est très intéressant, le voyage jusqu’en Amérique, le dénouement, est vraiment osé mais en même temps bien écrit, en revanche, les personnages sont caricaturaux à souhait. Je les trouve finalement pathétique. Ce cycle terminé, je me demande si ça vaut le coût de continuer cette saga des Druides.

Les graphismes sont toujours beaux et l’attention particulière aux personnages et aux expressions est intéressantes. Le travail est bien réalisé et la bande dessinée se regarde avec plaisir.

Il y a toujours ce côté ésotérique que l’on retrouve un peu partout ailleurs sur l’extinction de la flamme druidique, de leur monde, à cause des croyances qui se perdent. L’approche est survolée et aurait pu faire l’objet d’un peu plus de travail sur cette saga.
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Dans ce cinquième album de la saga, l’enquête pose clairement qui sont ceux qui oeuvrent à l’anéantissement des druides. On ressent clairement la colonisation religieuse des chrétiens dans les régions tenues par différents peuples, pour diviser, régner, et éliminer définitivement les plus récalcitrants. Alors que dans les précédents épisodes le parti pris contre le christianisme est assez flagrant, ici nous sommes plutôt dans un retour plus historique, avec plus de recul. Malgré tout, il reste néanmoins ce détachement avec les personnages principaux qui nous poussent à ne pas nous identifier, les aimer, s’y attarder. Alors que nous sommes déjà au cinquième opus, le travail sur les personnages est toujours aussi médiocre.

Le graphisme est quant à lui toujours aussi bien travaillé sur les visages, les expressions. Mais le dessinateur préfère clairement faire de beaux druides et des chrétiens vraiment moches, qui portent sur eux leur caractère mauvais.

Le récit est bien entendu très intéressant et ce jusqu’au dénouement, avec des rebondissements qui tiennent en haleine le lecteur malgré les défauts cités plus haut.

En somme, un très bon album avec une saga qui tend très clairement vers une nette amélioration.
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date : 17-05-2019
Marseille, le soleil, le mistral, les cités et la drogue. Ce livre est le récit très chirurgical d’un journaliste sur la mort d’un jeune homme et sur un rescapé d’une fusillade alors qu’il n’avait que neuf ans. Le livre est un accumulation de chiffres, de statistiques. J’imaginais que l’auteur aurait écrit son enquête d’une manière plus romancée, mais il n’en est rien. Nous avons l’impression de lire des coupures de presse les unes après les autres, dans lesquelles le journaliste masque le drame derrière une série de données souvent tragiques. De la mort de ce Michou, on retiendra les informations qui font de sa mort une probabilité devenue une statistique. Lenny, quant à lui, à la chance de survivre à sa blessure, mais à quel prix.

Mais finalement, qui sont les responsables ? Les dealers qui mettent en place des réseaux et qui se livrent une bataille de tranchée entre eux, les politiques qui tournent le dos à ce jeu de massacre pour une paix sociale acquise sur le sang de gamins, les parents qui manquent cruellement de poigne, qui par peur de l’inconnu, préfère rester dans leur petit appartement miteux au lieu de déménager un peu plus loin, dans un quartier certes un peu plus cher, mais tellement plus calme et loin du tumulte de la cité, ou alors ceux qui viennent acheter pour consommer.

Cette enquête fait réfléchir sur l’inaction des parents, clairement, des politiques, élus par les citoyens, des consommateurs, pitoyables.

Le style est froid, sans âme, propre, trop même. Trop de recul même si l’auteur essaye faussement de nous faire croire à une empathie mal simulée. C’est tout simplement une enquête très journalistique sur Marseille et son trafic permanent. C’est encore ce qui fait de Marseille, du sud de la France, des clichés pour les bien-penseurs hypocrites, qui condamnent d’avance les jeunes de ces cités.
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D’étranges meurtres sont perpétrés dans Paris, avec une rare violence, les victimes sont torturées. L’enquête est confiée à Tomar, flic excellent mais souvent à la limite. Son équipe se rend vite compte que des meurtres similaires ont eu lieu un peu partout en Europe. Mais personne à ce jour n’est arrivé à mettre la main sur ce tueur volatile, invisible, un fantôme.

Le récit est assez court, et l’histoire est assez crédible. Outre le fait que le personnage principal est en fait un peu cinglé et que sa crédibilité sur le long terme est assez douteuse, il n’en reste pas moins que l’auteur tente de nous faire découvrir une certaine forme de banditisme, mais il va trop loin, il en rajoute toujours un peu plus. Alors commençons par des clichés, puis d’autres, on saupoudre un peu de personnages caricaturaux, on tente d’y ajouter de la poudre de perlinpinpin pour le côté fantastique, et on se retrouve avec un roman très largement bâclé. Le récit est pauvre, l’enquête n’a pas le temps de piétiner puisque tout est servi sur un plateau en argent, les personnages sont affligeants, impossible de s’attacher à l’un des personnages, ils sont agaçants. Et les personnages secondaires sont à un niveau de standardisation, l’auteur est allé dans la facilité. Il faut attendre les trente dernières pages pour avoir quelque chose à se mettre sous la dent d’intéressant. Grosse déception alors que l’idée aurait pu rendre un roman plus incisif, plus impliqué.

L’effort de l’auteur pour ce roman est sommaire. Le style est fluide, un peu dynamique mais l’ensemble reste médiocre. Pas de frisson, rien à la lecture de ce roman assez court. C’est le deuxième roman que je lis de cet auteur, et c’est la deuxième déception. Il manque quelque chose, ça ne fait pas vibrer.
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La cité a disparu. Les druides sont arrivés à s’enfuir. Ils repartent dans leur enquête. Les enjeux politique de l’église se font plus entendre dans cet album. L’esprit des chrétiens encore plus. Personnellement, j’ai toujours trouvé de discordance entre l’esprit de la bible et ce dont il est enseigné, et la pratique, c’est à dire ce que les chrétiens vont imposer aux autres pour le principe biblique alors qu’eux mêmes sont dans le péchés perpétuels. Encore une fois, le parti est bien pris dans cet album, même si certaines fois, c’est légèrement masqué, mais les auteurs nous posent de manière très claire la bêtise même de la religion.
Graphiquement, j’ai adoré les visages travaillés, on ressent la crasse de l’époque, même si encore une fois, les jolis beaux gosses sont les druides et les moches sont les chrétiens.

Je continue la saga des druides, pour ce mélange entre histoire et fantastique, ce parti pris assumé.
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Nouveau tome, nouvelle histoire. Nous sommes aux côtés de Fall, chasseur de dragon. Sa quête, un dragon blanc qui se meurt. Le récit se fait d’une traque, accompagné d’un humain. Mais Fall est un elfe adopté. Pourquoi ? Alors que ce peuple se pense supérieur, il tend à disparaître, comme le dragon que le traqueur tente de capturer. La morale de cet album est vraiment intéressante, le récit a un dénouement perturbant. L’histoire est bien travaillée pour arriver sur un final qui s’apprécie pour sa violence psychologique. J’ai beaucoup aimé cet album et une nouvelle fois, le travail sur ce peuple est toujours intéressant à lire.
Graphiquement, je reste sur le graphisme du premier album, même si celui-ci est bien réalisé. C’est aussi un avantage de se renouveler autant à chaque fois.

En somme, très bon album, un récit époustouflant.
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Ce deuxième opus présente une nouvelle histoire qui nous fait découvrir un peu plus le peuple des elfes. Ce qui semble intéressant, c’est la vision qui est éloignée des connaissances populaires et se rapproche plus des romans ou jeux de rôles de fantasy sombres comme Warhammer par exemple, avec des elfes très complexes. Cet album nous parle d’un peuple hautain, sanguinaire en réalité mais par procuration. Mais le récit est plus compliqué. Une cité humaine est assiégée et envoie es émissaires pour aller demander de l’aide aux elfes. Le chemin est semé d’embûches. Sans vouloir raconter le dénouement, il y a une certaine similitude entre les deux premiers albums, et nous pouvons présager le pourquoi de l’extinction de ce peuple millénaire. Le graphisme est différent, avec un dessinateur différent. Je préfère le dessin du premier album, mais cela se joue à quelques détails. Les scènes d’action sont un peu brouillons mais les décors sont bien réalisés.

En somme, c’est un bon album avec un récit très intéressant, au dénouement très moralisateur, qui annonce malheureusement un dénouement pour ce peuple magnifique tragique.
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Suisse, Neuchâtel, un attentat sur la place de la ville. Le procureur se trouvait sur la place à cet instant. Il se réveille quelques jours plus tard à l’hôpital, amnésique. La police enquête et n’exclut pas que le procureur était la cible, que c’est peut-être le Vénitien, un tueur en série qui fait de ses meurtres une oeuvre artistique douteuse.

J’avoue avoir été désarçonné par le fait que ce roman se déroule en Suisse, dans des coins qui jusqu’alors nous ne pouvions imaginer qu’un attentat s’y déroule. Un détail très perturbant même, le nom de l’équipe de football locale, les Xamax. Dépassé ce premier stade, nous nous retrouvons aux côtés du procureur qui essaye au quotidien de retracer son parcours, tout en suivant les traces d’une prostituée liée à un réseau, tout en se plaçant du côté des enquêteurs. Il faut reconnaître qu’un autre détail perturbant sont les termes des organisations judiciaires, alors que nous avons l’habitude grâce aux polars ou aux séries télévisées aux dénominations françaises ou américaines des différents services de police.

L’enquête m’aura paru un peu lente, comme si nous avions pris un peu trop de recul, et l’immersion dans le roman aux côtés du procureur ne s’est pas faite. Entre deux lectures, il n’y avait pas cette impatience de retrouver des personnages attachants auxquels nous nous identifions.

Le dénouement est même assez décevant non pas parce qu’il n’est pas cohérent, mais parce qu’il m’a semblé un peu bâclé. Alors que l’écriture est fluide et que le roman se lit avec une grande aisance.

En somme, ce roman manquait d’énergie.
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